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19 oct 2009

papiers keynesiens, jean paul simonnet, contrainte de financement

La contrainte de financement

Créé le : samedi 1er novembre 2008 - Dernière mise à jour : dimanche 2 novembre 2008 par Simonnet Jean-Paul
Vouloir investir pour répondre à la demande ou pour mettre en place une innovation ne suffit pas, il faut pour que la décision soit appliquée que l’entreprise dispose des ressources financières indispensables et que le profit attendu soit suffisant.
Le financement peut être interne ou externe.
- l’entreprise utilise ses ressources (son épargne brute qui est équivalente à son revenu disponible brut) pour la FBCF.
- elle cherche un financement extérieur, des apports de capital :
- financement intermédié lorsqu’elle s’adresse à une banque
- financement de marché en émettant des titres financiers (actions ou obligations).

 Le financement interne

Le problème du financement ne se réduit pas à l’achat de capital fixe (FBCF) : l’entreprise doit financer l’ensemble de son activité. Si les recettes des ventes ne suffisent pas, elle sera aussi obligée d’emprunter.

La capacité d’autofinancement ou marge brute d’autofinancement mesure l’aptitude de l’entreprise à financer son développement. Une capacité d’autofinancement élevée ne garantit pas que l’investissement sera élevé. La capacité d’autofinancement peut par exemple être utilisée pour faire des placements spéculatifs. Il ne faut pas confondre la capacité d’autofinancement et l’autofinancement.

Le taux de marge et le taux d’épargne (en % de la VAB)
source : Rapport économique, social et financier Tome I - Perspectives économiques 2007-2008 et évolution des finances publiques

Source : INSEE Comptes de la Nation pour 2006 (juin 2007)
Le taux d’épargne et le taux de marge ont des évolutions comparables, le taux de marge conditionne le taux d’épargne...
Le taux de marge et le taux d’investissement (en % de la VAB)

Source : INSEE Comptes de la Nation pour 2006 (juin 2007)
Le taux d’investissement devrait suivre l’évolution du taux de marge (ou du taux d’épargne) or on constate qu’entre 1982 et 1984 d’une part et entre 1990 et 1997 ce n’est pas le cas : le taux d’investissement diminue alors que le taux de marge augmente ou est stable, cela veut dire que disposer d’un financement ne suffit pas pour investir. Mais cela peut aussi traduire une modification dans le comportement des entreprises : les entreprises consacrent une part croissante de la valeur ajoutée aux investissements immatériels (recherche-développement, formation en particulier) et elles utilisent leur épargne pour financer des investissements directs à l’étranger. De ce fait le taux d’investissement sous-estime très fortement l’effort d’investissement.
Taux d’autofinancement (EB / FBCF en %) et taux d’investissement en % de la VAB

Source : INSEE Comptes de la Nation pour 2006 (juin 2007)
source : Rapport économique, social et financier Tome I - Perspectives économiques 2007-2008 et évolution des finances publiques
Le taux d’autofinancement est le rapport de l’épargne brute à la FBCF. [1]

 Le financement externe

Les entreprises qui n’ont pas assez d’épargne pour financer leurs investissements (c’est la situation normale, on l’a vu) ont un besoin de financement.
Elles s’adressent alors aux banques et aux autres institutions financières.
Les grandes entreprises ayant accès au marché financier, peuvent émettre des titres pour trouver du financement (des actions et des obligations).
- Dans le cas du crédit bancaire et des emprunts obligataires, il faudra rembourser le capital emprunté et payer des intérêts, le taux d’intérêt représente alors le coût du financement..
- Dans le cas d’une augmentation de capital par émission d’actions, il n’y a pas de capital à rembourser, donc pas d’intérêt à servir, il faudra cependant éventuellement payer des dividendes (le dividende est la part du bénéfice qui est attachée à chaque action, il est versé sous deux conditions : le bénéfice existe, et il est distribué). Il faut aussi tenir compte du risque de perte de contrôle puisque le capital est moins contrôlé après l’émission qu’avant.
- On peut donc considérer que l’émission d’action joue le même rôle que l’autofinancement à partir des profits.
Le financement externe des sociétés non financières de 2005 à 2007

Source bulletin mensuel Banque de France, février 2008.

Source : Bulletin mensuel Banque de France (mai 2007)
Les transformations du système de financement et des comportements de financement observés en France depuis le milieu des années 1980 peuvent être interprétées comme le passage d’une économie d’endettement à une économie de marchés financiers [2].
[*La contrainte de financement dépend du coût du capital.*]
- Le coût d’usage du capital est fonction du prix du bien d’équipement et des dépenses qu’il faudra engager pour l’utiliser (amortissement, bien entendu, mais aussi dépenses liées).
- Le coût d’accès au capital dépend du financement envisagé (autofinancement, obligations ou emprunts, actions) et le taux d’intérêt réel (taux nominal diminué du taux d’inflation) des obligations est un assez bon indicateur du coût d’accès au capital.
[*La contrainte de financement dépend du niveau d’endettement et de la structure financière de la firme.*]
Le ratio d’endettement est le rapport de l’endettement obligataire et bancaire aux fonds propres, EN / FP.
- Une entreprise très endettée adopte un comportement d’investissement différent d’une entreprise peu endettée. Le coût de l’endettement est proportionnel à ce taux d’endettement, mais il dépend aussi des conditions des emprunts.
- On calcule le taux d’intérêt réel apparent en faisant le rapport des frais financiers payés actuellement à l’endettement actuel, FF / EN et en éliminant l’inflation.
- Une forte inflation allège les charges financières, la désinflation pénalise au contraire les entreprises endettées. En situation de faible inflation et de stock d’endettement important pour des taux nominaux d’intérêt élevés, les entreprises doivent d’abord améliorer leur structure financière avant de former du capital fixe. Elles doivent se désendetter.
source : Rapport économique, social et financier Tome I - Perspectives économiques 2007-2008 et évolution des finances publiques
L’économiste américain James Tobin (1918 - 2002) propose de prendre en compte la « valeur » de l’entreprise comme critère de décision : si la valeur boursière de l’entreprise est supérieure au coût du remplacement des actifs (capitaux installés) alors il faut investir et inversement.
Coefficient Q de Tobin = Valeur boursière de l’entreprise / valeur de remplacement du capital installé.
[1] Lorsqu’il est supérieur à 100 % cela veut dire que les entreprises disposent d’une capacité de financement après avoir réalisé leurs investissements. Cette situation est anormale et elle traduit en fait une crise de l’investissement.
[2] Distinction introduite par l’économiste anglais John Richard Hicks (1904 - 1989). Elle oppose deux modes de financement : un financement par l’endettement auprès des banques et un financement sur ressources propres (autofinancement et augmentation du capital par émission d’actions).

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