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20 jul 2008

STIGLITZ: LA FIN DU NEOLIBERALISME

JOSEPH E. STIGLITZ

La fin du néolibéralisme
[ 21/07/08 ]

Le monde n'est pas tendre envers le néolibéralisme, ce fourre-tout d'idées basées sur la notion fondamentaliste que les marchés sont autocorrecteurs, qu'ils distribuent efficacement les ressources et servent l'intérêt général. C'est le fondamentalisme de marché qui a soutenu le thatchérisme, la « reaganomique » et le « consensus de Washington » favorables aux privatisations, à la libéralisation économique et à des banques centrales indépendantes préoccupées uniquement par l'inflation.

Après un quart de siècle d'expérimentations parmi les pays en développement, les perdants apparaissent clairement : non seulement ceux qui ont adopté une politique néolibérale ont perdu la course à la croissance, mais quand il y a eu croissance, elle a bénéficié de manière disproportionnée aux plus riches.

Même si les néolibéraux se refusent à l'admettre, leur idéologie a échoué aussi à l'égard d'un autre critère, celui de l'allocation des ressources, comme à la fin des années 1990 avec les investissements consacrés à la fibre optique. Cette erreur a eu au moins un avantage inattendu : le coût des communications a baissé et l'Inde et la Chine se sont intégrées plus avant dans l'économie mondiale.

Mais aucune retombée positive n'a accompagné la mauvaise allocation à grande échelle des ressources au niveau de l'immobilier. Les maisons neuves appartenant à des familles qui n'avaient pas les moyens de les payer sont tombées en ruine et des millions de personnes se sont retrouvées à la rue. Dans certains cas, le gouvernement à dû intervenir pour sauver ce qui pouvait l'être et, quand il ne l'a pas fait, les dégâts se sont étendus. Certes, l'investissement excessif dans l'immobilier a été porteur de bénéfices à court terme : quelques Américains sont devenus propriétaires de maisons bien plus grandes que cela n'aurait été possible autrement. Mais à quel coût pour eux-mêmes et pour l'économie mondiale ? Avec leur maison, des millions de gens vont perdre les économies de toute une vie. Et les saisies dans l'immobilier ont entraîné un ralentissement mondial de l'activité. Il y a consensus quant aux prévisions : le ralentissement sera général et de longue durée.

De même, les marchés ne nous ont pas préparés à la hausse du prix du pétrole et de l'alimentation. Le problème de fond est que la rhétorique du marché est brandie de manière sélective : elle est revendiquée quand elle sert des intérêts particuliers et rejetée quand ce n'est pas le cas.

L'un des rares éléments que l'on peut mettre au crédit de George W. Bush est d'avoir réduit le fossé entre la rhétorique et la réalité, et cela comparé à Ronald Reagan qui, malgré tous ses discours en faveur de la liberté des marchés, avait imposé en toute liberté des restrictions commerciales, notamment la fameuse limitation « volontaire » à l'exportation des voitures japonaises.

La politique de George Bush a été pire, mais son outrecuidance à servir ouvertement le complexe militaro-industriel américain est bien plus apparente. L'administration Bush a pris une seule fois une mesure en faveur de l'environnement ; c'était avec les subventions en faveur de l'éthanol, dont l'intérêt écologique est douteux.

Ce mélange de rhétorique en faveur de l'ouverture des marchés et d'intervention gouvernementale a été particulièrement nuisible aux pays en développement. On leur a dit de ne plus intervenir dans l'agriculture, ce qui revenait à mettre en danger leurs paysans face à la concurrence irrésistible des Etats-Unis et de l'Europe. Leurs agriculteurs auraient peut-être pu concurrencer ceux du Nord, mais ils ne pouvaient concurrencer leurs subventions. Aussi les pays en développement ont-ils moins investi dans l'agriculture, et le fossé alimentaire s'est élargi.

Autrement dit, dans un monde d'abondance, des millions de gens dans les pays en développement ne peuvent toujours pas bénéficier du minimum nutritionnel. Dans beaucoup de ces pays, l'augmentation du coût de l'alimentation et de l'énergie aura des effets désastreux pour les plus démunis, car ces deux postes représentent une grande partie de leur dépense.

La colère dans le monde est palpable. Il n'est pas étonnant que les spéculateurs soient les premiers visés. Ils rétorquent qu'ils ne sont pas la cause du problème : « Nous sommes simplement à la recherche du juste prix. » Ce qui veut dire qu'ils ont découvert que l'offre est insuffisante.

Mais leur réponse manque de franchise. S'ils s'attendent à une hausse des prix et à une volatilité du marché, des centaines de millions d'agriculteurs vont prendre des précautions. Ils gagneront davantage s'ils font des stocks qu'ils écouleront plus tard. S'ils n'agissent pas ainsi, ils ne pourront pas se rattraper l'année prochaine si la récolte est moins abondante. Quelques grains retirés du marché par des centaines de millions d'agriculteurs un peu partout sur la planète finissent par représenter une quantité appréciable.

Les défenseurs du fondamentalisme de marché veulent faire porter la responsabilité de l'échec du marché, non à l'économie de marché mais au gouvernement. Un haut responsable chinois aurait déclaré que le problème tenait à ce que, face à la crise de l'immobilier, le gouvernement américain n'a pas fait assez pour venir en aide aux populations les moins fortunées. Je suis d'accord avec lui, mais cela ne change pas la réalité : les banques américaines ont mal géré les risques, et cela à une échelle colossale, avec des conséquences mondiales, tandis que les dirigeants de ces institutions sont partis avec des milliards de dollars d'indemnité.

Il y a aujourd'hui découplage total entre les bénéfices sociaux et les intérêts privés. S'ils ne sont pas soigneusement couplés, l'économie de marché ne peut fonctionner de manière satisfaisante.

Le fondamentalisme néolibéral est une doctrine politique au service d'intérêts privés, il ne repose pas sur une théorie économique. Il est maintenant évident qu'il ne repose pas non plus sur une expérience historique. Cette leçon est le seul bénéfice à tirer de la menace qui pèse sur l'économie mondiale.

JOSEPH E. STIGLITZ, prix Nobel d'économie 2001, est professeur à l'université Columbia (New York).

Cet article est publié en collaboration avec Project Syndicate.

USA: CITI LOSS 2.2 BILLION, 2d Q

CITI REPORTS SECOND QUARTER NET LOSS OF $2.2 BILLION, LOSS PER SHARE OF $0.49, FROM CONTINUING OPERATIONS
NET LOSS OF $2.5 BILLION, LOSS PER SHARE OF $0.54, PRIMARILY DUE TO FIXED INCOME WRITE-DOWNS AND HIGHER CONSUMER CREDIT COSTS IN NORTH AMERICA
SUBSTANTIAL SEQUENTIAL IMPROVEMENT DRIVEN BY LOWER WRITE-DOWNS AND STRENGTH OF CORE FRANCHISE
PROGRESS ON NEAR-TERM GOALS, INCLUDING YEAR-TO-DATE HEADCOUNT REDUCTIONS, LOWER EXPENSES FOR THE SECOND CONSECUTIVE QUARTER, AND REDUCTION IN LEGACY ASSETS
STRENGTHENED CAPITAL AND LOAN LOSS RESERVES
New York, NY, July 18, 2008 — Citigroup Inc. (NYSE: C) today reported a net loss for the 2008 second quarter of $2.5 billion, or $0.54 per share, based on 5,287 million shares outstanding.(1) Solid results in the core franchise were offset by write-downs and credit costs. Results include $7.2 billion in pre-tax write-downs in Securities and Banking (See Schedule C on page 10). Additionally, credit costs increased $4.5 billion, mainly driven by Consumer Banking in North America and Global Cards....

BCE: TRICHET, Objectif prioritaire, 2%, LF

Objectif prioritaire,l'inflation à 2 % Objectif Prioritaire,

Propos recueillis à Francfort par Jean-Pierre Robin
18/07/2008 | Mise à jour : 10:42 |

Jean-Claude Trichet : «Ceux qui fixent les prix aujourd'hui et les partenaires sociaux doivent prendre en compte que nous serons revenus à la stabilité des prix selon notre définition disons dans une période de l'ordre de dix-huit mois.» Crédits photo : ASSOCIATED PRESS
INTERVIEW - Le président de la Banque centrale européenne s'explique sur le choc pétrolier, la crise financière et le ralentissement économique.

Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne, a accordé un entretien à quatre journaux européens, la «Frankfurter Allgemeine Zeitung», l'«Irish Times», le «Jornal de Negócios» et «Le Figaro».

LE FIGARO. Comment voyez-vous les perspectives économiques à court terme de la zone euro et quelles en sont les implications pour les taux d'intérêt ?
Jean-Claude TRICHET. J'ai toujours dit au nom du Conseil des gouverneurs, avec tous mes collègues dont Christian Noyer que pour avoir une indication claire de ce qu'a été l'économie de la zone euro au cours de ces derniers mois nous devrions considérer ensemble les premier et deuxième trimestres de 2008. Alors que le premier trimestre a été très dynamique, en raison de circonstances particulières, y compris le climat et ses conséquences positives sur l'activité du bâtiment en Allemagne en particulier, l'activité du deuxième trimestre devrait être faible. Notre scénario de base est qu'il y aura un creux dans le profil de croissance dans la zone euro durant les deuxième et troisième trimestres, et par la suite un retour progressif à une croissance modérée. J'ai également dit clairement que, s'agissant de la croissance future, les risques étaient à la baisse. Parmi ces risques, il faut noter en particulier les conséquences de la correction très significative des marchés financiers qui est en cours, d'éventuelles nouvelles hausses des prix du pétrole et des matières premières, et les risques associés aux grands déséquilibres externes observés au niveau mondial. Pour ce qui est des taux d'intérêt, je n'ai rien à ajouter ni à retrancher à ce que j'ai dit pré­­cé­dem­­ment au nom du Conseil des gouverneurs : nous croyons que notre décision de relever notre taux directeur principal de 4 % à 4,25 %, contribuera à assurer la stabilité des prix à moyen terme, conformément à notre définition. J'ai aussi mentionné que je ne donnais aucune indication supplémentaire sur nos futurs taux d'intérêt, que nous ne sommes jamais engagés à l'avance et que nous ferons à l'avenir ce qui est approprié pour assurer la stabilité des prix à moyen terme, et, pour être crédible, car cela est essentiel pour ancrer les anticipations d'inflation.

L'inflation dépasse actuellement 4 % aux États-Unis. Diriez-vous que les risques qui pèsent sur la stabilité des prix sont plus élevés en Europe qu'outre-Atlantique ?
Je ne jugerai pas les politiques menées par d'autres banques centrales. Nous avons tous nos propres responsabilités dans nos économies et nous sommes confrontés à des défis différents : les chocs que nous devons affronter ne sont pas de même nature ni de même amplitude ; les économies elles-mêmes ont des structures différentes ; les marchés y sont plus ou moins flexibles. Ces circonstances et ces défis spécifiques expliquent pourquoi les taux d'intérêt diffèrent d'un pays à l'autre.Savez-vous que les taux au Royaume-Uni, en Australie, Nouvelle-Zélande, Suède et Norvège, par exemple, sont plus élevés que dans la zone euro ? Je crois que toutes les banques centrales font le nécessaire pour contrecarrer les pressions inflationnistes et pour être crédibles dans leur action visant à assurer la stabilité des prix à terme. Pour le Conseil des gouverneurs de la BCE, assurer la stabilité des prix à moyen terme est nécessaire pour cinq raisons : premièrement, c'est ce que les démocraties d'Europe nous ont demandé de faire quand elles ont créé la BCE ; deuxièmement, c'est ce que nos concitoyens nous demandent avec force dans les circonstances présentes ; troisièmement, c'est particulièrement nécessaire pour nos concitoyens les plus vulnérables et les plus pauvres ; quatrièmement, c'est une condition nécessaire pour assurer une croissance durable et une création d'emplois durables ; et cinquièmement, il est particulièrement important d'ancrer solidement les anticipations d'inflation dans une période de tension et de volatilité des marchés financiers pour éviter d'ajouter à leur volatilité.

Pourquoi le Conseil des gouverneurs de la BCE met-il tant l'accent sur la nécessité de supprimer les effets de second tour ?
Notre message est qu'il faut éviter les effets de «second tour». Nous ne pouvons changer aujourd'hui les prix du pétrole et des matières premières. Mais nous devons empêcher que tous les autres prix qui dépendent de nous par exemple les prix des services ou les salaires n'augmentent de façon anormale, comme si le niveau anormal de l'inflation présente devait durer. Nous sommes là pour dire aux ménages, aux entreprises et aux partenaires sociaux, que nous maintiendrons la stabilité des prix moins de 2 %, près de 2 % à moyen terme et qu'ils doivent naturellement en tenir compte lorsqu'ils fixent leurs propres prix et s'engagent dans leurs négociations.

Qu'entendez-vous par effets de second tour ?
J'entends toutes les hausses des prix qui seraient fondées à tort sur l'hypothèse que l'inflation resterait dans les prochaines années aussi élevée qu'elle l'est aujourd'hui. Ceux qui fixent les prix aujourd'hui et les partenaires sociaux doivent prendre en compte que nous serons revenus à la stabilité des prix selon notre définition disons dans une période de l'ordre de dix-huit mois.

L'inflation sous-jacente dans la zone euro n'est que de 1,7 %, pourquoi alors s'inquiéter autant de l'inflation ?
D'abord l'inflation sous-jacente pour l'ensemble de la zone euro est plus élevée que ce chiffre et deuxièmement nous ne considérons pas l'inflation sous-jacente comme un bon indice de l'inflation future. Je vous donne un exemple de ce qui justifie nos préoccupations. Les coûts unitaires de travail sont un indicateur important de l'inflation future, parce qu'ils constituent un coût majeur dans l'économie de la zone euro. Dans les années récentes, nous avons eu des augmentations des coûts unitaires de travail de 1 % en 2005, 0,9 % en 2006, 1,5 % en 2007 et 2,4 % au premier trimestre de cette année. Quand vous essayez de démêler les facteurs qui sont derrière cette évolution, la moitié environ est liée à des augmentations de salaires et l'autre moitié à une réduction de la productivité du travail.

Les effets de second tour sont-ils déjà à l'œuvre ?
La récente hausse des coûts unitaires de travail est une indication que nous devons prendre en compte. Il y a des risques que nous devons considérer. Je ne dirai sûrement pas que les effets de second tour constituent un phénomène général, mais je vois des signes sérieux. À cet égard, je suis préoccupé par les procédures d'indexation des salaires nominaux sur les prix à la consommation dans certains pays de la zone euro. Ils impliquent un risque de spirale salaire-prix, très néfaste à l'emploi.

Y a-t-il un risque de voir l'inflation dépasser 5 % dans la zone euro ? Un ralentissement économique sévère est-il préférable à une spirale inflationniste ?
Nous ne poursuivons pas deux objectifs ; nous poursuivons un objectif, qui est la stabilité des prix à moyen terme. La stabilité des prix est une condition nécessaire à la croissance durable et à la création d'emplois. Il n'y a pas de contradiction entre la stabilité des prix et la croissance durable. Depuis la création de l'euro en 1999, les deux ont été atteints. Sur les neuf premières années, l'inflation a été en moyenne de 2,1 % dans la zone euro et en neuf ans, 15,7 millions d'emplois ont été créés, presque trois fois plus que dans la période de neuf ans précédant l'euro et un million d'emplois de plus qu'aux États-Unis sur la même période. Le taux de chômage dans la zone euro a été l'an dernier le plus faible depuis vingt-cinq ans.

Sur l'année écoulée, l'expansion du crédit aux sociétés non financières est très rapide alors que, pour les ménages, on observe une très forte décélération. Faut-il y voir une forme de «credit crunch» ?
Sur les douze derniers mois, la croissance du crédit aux entreprises non financières a atteint 14,2 %, ce qui est un multiple impressionnant de la croissance nominale du PIB. D'un autre côté, le crédit aux ménages a progressivement ralenti depuis que nous avons relevé les taux d'intérêt en décembre 2005. Il est également vrai que les banques, comme nous le montrent nos enquêtes, ont resserré leurs normes de crédit. Nous surveillerons étroitement ces évolutions dans les mois qui viennent.

Les conditions actuelles sont-elles comparables aux chocs pétroliers des années 1970 ?
La situation n'est pas identique. La structure de l'économie mondiale a beaucoup changé sous l'influence croissante des économies émergentes. Il y a eu des avancées scientifiques et technologiques majeures. Beaucoup de progrès ont été faits s'agissant des économies d'énergie. Cela étant dit, je crois qu'il y a de grandes similitudes. Aujourd'hui, comme en 1973-1974, il y a un transfert considérable de richesses depuis les consommateurs de pétrole et d'énergie en faveur des producteurs. C'était à l'époque, et ce serait aujourd'hui, une faute grave que de vouloir le nier. Il existe seulement deux façons également dangereuses de préserver les ménages de ce transfert réel de richesses qui est inévitable : soit l'on demande aux entreprises de le payer et l'on affaiblit considérablement le secteur productif ; soit l'on demande au budget de le payer, et l'on affaiblit dramatiquement la situation des finances publiques ; soit l'on fait les deux ! Cela a été le cas malheureusement dans plusieurs pays lors du premier choc pétrolier. Dans les circonstances actuelles, suivre ce chemin du passé nous conduirait à avoir une forte spirale inflationniste, un chômage élevé et la stagnation économique. Nous devons tenir compte des leçons du passé.

Êtes-vous inquiet de la réappréciation du taux de change réel de l'euro ?
J'ai dit publiquement qu'il est très important à mes yeux que le président des États-Unis, le secrétaire au Trésor, Hank Paulson, et le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, aient dit qu'un dollar fort est dans l'intérêt des États-Unis.

Seriez-vous surpris que les responsables politiques décident de changer le mandat de la BCE, avec deux objectifs, la stabilité des prix et la croissance ?
C'est une question purement théorique. Nous avons un mandat premier donné par un traité, qui a été négocié, signé et ratifié soit par les Parlements soit par les peuples par 27 démocraties, dont 25 sans clause d'«opting out». Les peuples d'Europe nous ont confié ce mandat parce qu'ils croient, à mon avis avec raison, que la stabilité des prix est le préalable à une croissance durable et à la création d'emplois de telle sorte qu'il n'y ait pas de contradi

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