SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

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8 may 2009

USA:Le stress test du Trésor Américain: beaucoup de bruit pour $ 75 milliards.

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Nous venons de vivre une semaine quelque peu hystérique sur le marché boursier des banques américaines, et un anti-climax qui confirme l’adage boursier : « acheter sur les rumeurs, et vendre sur les événements ». Les spéculations sur le résultat de ces tests allaient bon train. Ce matin, le Wall Street Journal a pratiquement annoncé les interventions et leurs montants. Un jeu de « fuites » pour préparer la marché ? On se demande pourquoi le Trésor a retardé les annonces de quatre jours si c’est pour en arriver à communiquer sous formes de fuites. A moins que ce soient les banques elles-mêmes qui aient lâché le morceau ?

Le résultat est intéressant : les 19 banques testées sont les plus importantes des États Unis qui en comptent plusieurs milliers. Dix d’entre elles devront augmenter leurs fonds propres d’un total de $ 75 milliards. Parmi celles-ci, quatre représentent 65 des ces 75 milliards : la Bank of America qui combine ses problèmes avec ceux de Merrill Lynch représente a elle toute seule 35 des 75 milliards. La surprise est General Motors Acceptance, le bras financier de GM, détenu par Cerberus, le fonds de capital investissement, qui était le propriétaire de Chrysler avant la faillite : GMAC aurait besoin de $ 11,5 milliards. Wells Fargo a besoin de $ 13 milliards pour avoir surpaye Wachovia, six fois plus que l’offre de la Citi. Cette dernière, avec $ 5.5 milliards, se tire remarquablement bien de cet examen. Les six autres se repartissent $ 10 milliards.

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Cet exercice périlleux est remarquable. En se livrant à cet examen, Le Trésor Américain se substitue aux agences de notation dont la crédibilité a beaucoup souffert de leur manque d’intégrité. Ce faisant, il prend position publiquement sur l’état de santé de ces banques, et indirectement du système bancaire des États-Unis. C’est une redoutable responsabilité, même si elle ne constitue pas une notation.

Un rapide calcul des fonds propres de ces 19 banques aboutit à des chiffres très au-delà du billion de dollars. On est dès lors en droit de considérer que, à quelques points de pourcentage près, ces banques sont de nouveau en état de prendre des risques, et certaines d’entre elles pourront probablement prendre le risque de rembourser les capitaux prêtés par le Gouvernement américain au cœur de la crise.

Comme il ne fait aucun doute que ces constatations ont été âprement discutées avec les banques elles-mêmes, cela signifie également que le management considère ces conclusions comme conformes à leurs propres estimations. Dans le cas contraire, elles sont tenues de rendre publics leurs éventuels désaccords.Mais il y a une crainte sous-jacente que le “stress” n’ait pas été suffisant.

Pour mieux comprendre la portée de cet examen de passage, la référence à la médecine peut aider. Depuis longtemps, les différentes disciplines médicales, et particulièrement la cardiologie, ont développé une manière de tester la résistance de nos organes. L’objectif est d’évaluer la capacité du patient de faire face à une médication ou une intervention chirurgicale. L’enjeu est le risque d’une issue fatale.

En mettant tous ces éléments ensemble, on mesure à la fois la portée et les limites de l’épure. Ce que nous dit le gouvernement américain, c’est que le risque d’une importante faillite dans le système bancaire peut être écarté si, particulièrement, ces quatre institutions financières lèvent des fonds propres a concurrence des montants publies. C’est une information capitale vu la crise de confiance qui, aussi près que le mois de mars dernier, a provoqué une chute massive des cours. La limite, c’est que ce n’est pas un bulletin de santé : rien ne nous est dit sur la capacité de ces institutions d’être adéquatement bénéficiaires, de se doter des ressources technologiques et humaines, ou de se positionner stratégiquement dans l’avenir.

Comme nous l’avons évoqué il y a quelques jours, des voix s’élèvent en Europe demandant que le même exercice au niveau européen soit développé afin d’éviter que le système financier européen apparaisse moins sûr que son concurrent américain. Les Britanniques, qui ces temps derniers n’ ont pas brillé en matière financière -malgré ou peut être a cause d’un Premier Ministre ancien Chancelier de l’Echiquier- ont d’ores et déjà fait savoir que « comme il s’agit d’interventions utilisant les moyens du contribuable, la gestion des risques des banques doit être réglementée au niveau national ». On ne pouvait mieux exprimer le refus absolu du Royaume Uni de soutenir la moindre forme de réglementation commune : mais alors, qu’est venu faire Gordon Brown à Paris pour enseigner la gouvernance aux pays de l’Euro-zone, ou au G 20 dont il était l’hôte s’il ne soutient pas un tel projet. Essaie-t-il de faire croire que la réglementation britannique qui est en train de changer de nature est meilleure ? La City de Londres va-t-elle se replier sur elle-même ? Elle a, d’ores et déjà, perdu une part non négligeable de sa réputation dans la crise financière. La manière lamentable dont le Gouvernement de Sa Majesté et la Banque d’Angleterre ont géré le cas de Northern Rock, la seule grande faillite d’une banque commerciale dans cette crise, a conduit a abandonner la « light regulation » de la City pour un nouveau système plus contraignant.

Tout cela confirme une impression lancinante prévalant aux Etats Unis, que l’Europe n’est pas sérieuse dans son souhait de reformer sa règlementation financière.

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USA: 2 Banks Cited in Stress Tests Find Ready Investors

Published: May 8, 2009

A day after federal regulators ordered 10 of the nation’s biggest banks to raise a total of $75 billion in extra capital, the first of them, Wells Fargo and Morgan Stanley, each tapped the markets for $7.5 billion on Friday to provide themselves with capital cushions and satisfy the regulators’ concerns.

The results of the stress tests on 19 major banks, released by the Obama administration on Thursday, were far more positive than many in the industry had feared when the tests were first unveiled in February. Nevertheless, they created an immediate pressure on 10 banks to demonstrate they could raise new capital.

Wells Fargo and Morgan Stanley both seemed to answer questions about the banks’ ability to do so, at least for now and at least for some banks.

Amid a growing optimism about the future of the financial sector and the economy, the stock market moved higher on Friday, with the Standard & Poor’s 500-stock index trading up 1.9 percent by the afternoon.

Wells Fargo sold $7.5 billion of common stock. The regulators had asked the bank to raise $6 billion. Morgan Stanley raised $7.5 billion by selling both stocks and bonds, up from the $5 billion it said Thursday that it would raise and more than the $1.8 billion the regulators had required the bank to find.

The stress tests painted a broad canvas of the 19 banks, their health and their capital needs. Bank of America was judged one of the weaker institutions, with a need to raise about $34 billion in equity capital. The bank hopes to raise half of that by selling common stock and converting preferred shares to common stock.

All 10 banks must give regulators their plans for raising the money by June 8 and raise it by November.

Citigroup, which for many has come to stand for the problems plaguing the financial industry, was told by regulators that it must raise $5.5 billion, in addition to its recent efforts to raise capital by selling businesses and converting just over half of the $45 billion of its preferred stock held by the government into common stock.

Citi’s chief executive, Vikram S. Pandit, said he would expand the bank’s offer to exchange preferred shares of stock for common stock to a broader assortment of private investors.

Meredith A. Whitney, a prominent banking analyst, said even if the stress tests results had removed the possibility of failure among the biggest banks, they did not eliminate several more quarters of expected poor financial results. And even then, she said, some of the banks would not be attractive growth companies.

“Banks are not going to make a lot of money from credit cards,” she said. “Banks have not made a lot of money from originating and holding mortgages on their balance sheets, and the revenue environment is very different.”

She said that even if all the banks secured more capital, they still might not lend, holding back the economy.

The stress tests estimated how much each bank would lose if the economic downturn proved even deeper than currently expected: under the worst-case assumptions, with an unemployment rate of 10.3 percent, the losses by the 19 banks could total a startling $600 billion this year.

Economic date on Friday showed the American economy lost a further 539,000 jobs in April and the unemployment rate leapt to 8.9 percent — a sign that the United States may already heading toward the worse-case scenario. although the job losses were less than Wall Street had been expecting.

Some analysts are now saying that even this more adverse scenario may turn out to be too optimistic. The adverse scenario assumed a 3.3 percent decline in the nation’s gross domestic product in 2009, but the gross domestic product contracted by 6.1 percent in the first quarter.

"The 6.1 percent annualized decline in first-quarter G.D.P. means that the economy could easily shrink by more than 3.3 percent this year," Paul Ashworth, a senior United States economist for Capital Economics, wrote in a client note. The implication of all this, some analysts say, is that the stress tests may have been too lenient.

Given this, attention is now turning to the thousands of smaller banks beyond the largest 19 elsewhere in the country and whether they will be able to survive any deterioration in economic conditions.

Eric Dash and Catherine Rampell contributed reporting

USA: Fed las pérdidas de los grandes bancos US$599.000 millones

La Reserva Federal de Estados Unidos proyectó que las pérdidas de 19 de las mayores entidades financieras del país ascenderán a unos US$599.000 millones hasta finales del próximo año y les exigió que recauden US$74.600 millones en capital para resguardarse de posibles pérdidas.

Los resultados de las llamadas pruebas de resistencia desataron una carrera de los bancos más débiles por encontrar capital y una ofensiva de los más fuertes para distanciarse del gobierno, que a fines del año pasado les inyectó fondos de los contribuyentes.

El anuncio de la Fed vino acompañado de una lúgubre predicción: las pérdidas relacionadas a créditos hipotecarios, préstamos comerciales, valores y otros activos en los balances de las instituciones sometidas a las pruebas de resistencia alcanzarán los US$599.200 de aquí a fines del próximo año. El cálculo se basa en supuestos económicos que son peores a los anticipados por muchos economistas.

[El veredicto ]

Timothy Geithner, secretario del Tesoro, dijo ayer que está "razonablemente confiado" en que los bancos lograrán levantar el capital que necesitan entre inversionistas privados, aliviando la necesidad de que Washington se inmiscuya aún más en el sistema bancario. La información provista por las pruebas de resistencia "simplificará la labor de los bancos para recaudar capital fresco de fuentes privadas", aseveró.

Algunos bancos a los que se les solicitó levantar fondos anunciaron de inmediato sus planes para acudir a los mercados de capital. Wells Fargo & Co., que debe conseguir US$13.700 millones, realizará una colocación de acciones comunes de US$6.000 millones. Morgan Stanley, que debe cubrir una brecha de US$1.800 millones, venderá US$2.000 millones en acciones y US$3.000 millones en deuda no garantizada por el gobierno de EE.UU.

En caso de prosperar, las ventas "deberían constituir un paso significativo en la tarea de restaurar un mínimo de confianza en la banca", dijo David Havens, director ejecutivo de la firma de valores Hexagon Securities. "Indica que incluso los bancos grandes en problemas tienen la capacidad de captar capital privado".

Alrededor de la mitad de los bancos sometidos a la prueba de resistencia, desde conglomerados financieros como J.P. Morgan Chase & Co. y Goldman Sachs Group Inc. a bancos regionales como BB&T Corp., cuenta con niveles adecuados de capital. Esto equivale esencialmente a un sello de aprobación de la Fed.

La otra mitad, en tanto, necesita recaudar entre US$600 millones, en el caso de PNC Financial Services Group Inc., a US$33.900 millones, en el de Bank of America Corp.

Los expertos advierten que las pruebas podrían tener una consecuencia ‐inesperada: dificultarles a los consumidores y las empresas el acceso al financiamiento. La concentración del gobierno en lograr colchones de capital más voluminosos podría alentar a los bancos a acaparar efectivo y recortar aún más el crédito, señala Jim Eckenrode, ejecutivo de investigación bancaria de TowerGroup. Según su análisis, los bancos tendrán menos margen para ofrecer bajas tasas de interés a los consumidores, mientras que las empresas podrían tener dificultades para financiar proyectos de desarrollo inmobiliario comercial y residencial.

Eso podría menoscabar un objetivo clave del gobierno de Obama, que ha estado presionando a los bancos para que concedan más préstamos con el fin de estimular la economía.

Los resultados de las pruebas fueron enérgicamente cuestionados por algunos bancos, que argumentaron que las evaluaciones eran superficiales y no reflejaban diferencias significativas en la salud de los portafolios de préstamos de varias entidades.

Ahora que concluyeron las pruebas de resistencia, la campaña de Washington por sanear el sistema financiera entra en una fase nueva y potencialmente complicada.

Aunque es probable que la mayoría de los bancos que necesiten levantar capital lo consigan, analistas e inversionistas indican que el gobierno podría acabar con una participación significativa en algunos de ellos, ante su incapacidad de levantar capital entre inversionistas privados.

Sin embargo, han surgido algunas señales alentadoras.

En las últimas semanas, un puñado de bancos saludables, desde Goldman Sachs al banco de Denver Guaranty Corp., han recaudado fondos en los mercados de capital. Eso representa un cambio radical frente a la situación que imperaba a principios del año, cuando ningún inversionista quería acercarse a las acciones de los bancos estadounidenses.

"Lo que empezamos a escuchar de los inversionistas es que las acciones de estas empresas cayeron demasiado y, aunque la situación es mala, no lo es tanto como se llegó a pensar", señaló Brian Sterling, codirector de banca de inversión para la firma de inversión Sandler O'Neill & Partners.

Los bancos reconocen, no obstante, que el apetito de los inversionistas es limitado. "Creo que hay cierta demanda en el mercado para levantar un monto determinado, pero es muy improbable que se financie un agujero de US$60.000 millones en los próximos dos meses", afirma Joshua Siegel, de la firma de inversión StoneCastle Partners LLC. "Tengo muy poca confianza en los resultados de estas pruebas".

Por David Enrich y Robin Sidel, en Nueva York,
y Deborah Solomon, en Washington, WSJ

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