SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


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23 sept 2009

FMI : les banques centrales n'ont pas vu les «signaux» de la crise

A Panizzo (lefigaro.fr)
22/09/2009 | Mise à jour : 19:14 |
Le Fonds monétaire international s'est inquiété mardi des points de croissance perdus par l'économie mondiale et souhaite un élargissement des pouvoirs de surveillance des banques centrales au niveau macroéconomique.

Dans son rapport intitulé « Perspectives de l'économie mondiale », le Fonds monétaire international dresse un tableau des principaux enseignements que l'on peut tirer des 88 crises bancaires de ces 40 dernières années. Dans un des chapitres de l'étude, l'institution s'inquiète de la croissance perdue par l'économie mondiale ces prochaines années à cause de la crise financière. «Les crises bancaires ont généralement des répercussions durables sur la production, même si la croissance finit par reprendre. Les baisses du taux d'emploi, de l'investissement et de la productivité sont autant de facteurs qui contribuent à prolonger les pertes de production». Le FMI note ainsi que pour un pays moyen, le niveau de production reste inférieur «d'environ 10 % au niveau antérieur à la crise sept ans après son déclenchement». L'organisation internationale avance comme raisons principales une baisse de la productivité dans un premier temps de la crise, puis un affaiblissement de l'investissement et du niveau d'emploi global. «L'activité réelle dans les économies développées a peu de chances de rebondir vers sa tendance d'avant-crise» poursuit le FMI, précisant cependant que les pertes de production ne sont pas inévitables et qu'elles sont moindres dans les pays disposant de mesures de relance à court terme.

Plus de pouvoir pour les banques centrales

Revenant sur certaines des causes de la crise actuelle, le FMI estime que la politique monétaire n'est pas directement responsable. «Dans quelques pays, elle (la politique monétaire) a été laxiste durant les années qui l'ont précédée, mais il est improbable qu'elle ait été la principale cause systématique des expansions et des récessions consécutives dans l'ensemble de l'économie mondiale» avance le FMI, qui estime que les différences entre les politiques monétaires nationales ne sont pas bien corrélées aux écarts entre la croissance des prix immobiliers et boursiers. Cependant, les responsables des politiques monétaires ne sont pas exempts de tout reproches car ils auraient pu détecter des «signaux d'alerte», les banques centrales ayant accepté sans broncher l'assouplissement des conditions de financement, créant le risque d'une grave récession. Afin que ces erreurs ne se reproduisent pas, le FMI prône pour l'instauration d'instruments «macroprudentiels» au sein des banques centrales, conçus «pour atténuer les cycles du marché du crédit».

L'Asie, moteur de la reprise

Arnaud Rodier
22/09/2009 | Mise à jour : 20:38 |
La Banque asiatique de développement révise à la hausse ses prévisions de croissance pour la région en 2009 et 2010.

Ce n'est pas une surprise, mais la BAD (Banque asiatique de développement) le confirme : l'Asie est en passe de conduire la reprise de l'économie mondiale. Elle estime même que la région est «plus résistante qu'on ne le croyait» et a, ce mardi, révisé à la hausse ses prévisions du mois de mars dernier.

À ses yeux, la croissance globale de l'Asie, hors Japon, sera de 3,9% cette année et de 6,4% l'an prochain. Elle sera tirée par la Chine (+ 8,2% en 2009 et + 8,9% en 2010) qui profitera de son plan de relance de 4 000 milliards de yuans (396 milliards d'euros), mais pas seulement. L'Inde (+ 6% et + 7% respectivement) et l'Indonésie (+ 4,3% et + 5,4%) y participeront également.

Car, souligne la banque, ce sont les grands pays encore en développement qui vont s'affirmer comme les véritables locomotives de la sortie de crise et non pas les plus petits qui sont les plus ouverts aux échanges internationaux.

Ainsi Singapour, très dépendant du monde occidental, va-t-il plonger de 5% cette année avant de retrouver une croissance de 3,5% l'an prochain, de même que Hong­kong (- 4%, puis + 3%), Taïwan (- 4,9%, + 2,4%), la Thaïlande (- 3,2%, + 3%) et la Malaisie (- 3,1%, + 4,2%).

Le cas de la Corée du Sud semble à part. Malgré un important programme de soutien à la consommation, ce pays restera dans le rouge en 2009 (- 2%) et devra attendre 2010 pour renouer avec la croissance (+4%).

Intégration régionale

Mais la BAD se veut encore prudente. «La reprise reste fragile et exposée à des risques importants», souligne son économiste en chef, Lee Jong-wha. Il ne faudrait surtout pas, insiste-t-il, que les gouvernements décident de «tirer à la hâte sur les tapis des soutiens budgétaires et monétaires».

L'Asie tout entière, ajoute-t-il, a impérativement besoin de s'appuyer sur une demande intérieure beaucoup plus forte qu'elle n'est actuellement pour compenser sa dépendance vis-à-vis du poids de ses exportations. Pour y parvenir, la détermination des pouvoirs publics pour relancer la consommation sera primordiale.

Mais il lui faudra aussi compter davantage sur une véritable intégration régionale. Elle a commencé à le faire en faisant tomber de nombreuses barrières tarifaires. Malheureusement la création d'un vrai marché commun, construit autour de l'Asean (Association de nations de l'Asie du Sud-Est), de la Chine, de la Corée du Sud et du Japon, n'avance qu'à la vitesse d'un escargot.

EURO: 1.4796 DOLLAR

L'optimisme affiché des cambistes sur la reprise économique dope toujours la monnaie unique européenne au détriment du dollar.

L'euro retrouve ses niveaux du 23 septembre 2008. Vers 11h45, l'euro cote 1,4796 dollar, touchant en séance un plus haut d'un an face au billet vert à 1,48 dollar. Les investisseurs ont retrouvé le moral depuis les déclarations du président de la Fed, Ben Bernanke, il y a plus d'une semaine, sur le fait que la récession américaine entamée en décembre 2007 était terminée. La confiance revenant, ils sont ainsi plus enclins à prendre des risques et à se porter davantage sur des monnaies plus rémunératrices, telle que l'euro, ce qui explique la faiblesse du dollar.

Ce mardi, débute la réunion du comité de politique de la Fed (FOMC). Le marché, qui s'attend à un statu quo concernant les taux directeurs, s'interroge notamment sur la politique de sortie de crise. Le communiqué qui rapporte les conclusions de la réunion doit être publié mercredi à 20h15. Il permettra aux investisseurs de se rendre compte des perspectives économiques de la Fed pour les prochains mois. Si la Reserve Fédérale continuait à rester optimiste, l'euro pourrait bien dépasser les 1,60 dollar dans quelques semaines. Toutefois, certains analystes estiment que l'inflation pourrait bientôt poindre son nez et amener la Fed à relever ses taux directeurs prochainement.

NACIONES UNIDAS: OBAMA COOPERACION

Obama apuesta por abrir "una nueva era de cooperación"

El presidente de los EE.UU. se declara dispuesto a actuar "de modo valiente y colectivo" en los grandes desafíos internacionales | Ban Ki Mun pide unidad ante la pobreza, los conflictos como el de Afganistán y la gripe A

23/09/2009| Actualizada a las 21:18h | Internacional

Naciones Unidas. (Agencias).- El presidente de los EE.UU., Barack Obama, ha lanzado un llamamiento apremiante para abrir "una nueva era de cooperación" contra los desafíos internacionales y se declaró dispuesto a actuar "de modo valiente y colectivo". En términos similares se ha expresado el secretario general de la ONU, Ban Ki Mun, que ha pedido unidad a los líderes mundiales para afrontar los desafíos.
Ban Ki Mun, durante el discurso de apertura de la 64 Asamblea General de Naciones Unidas
Ban Ki Mun, durante el discurso de apertura de la 64 Asamblea General de Naciones Unidas / Ap / Richard Drew

"Defenderé los intereses de mi país y de mi pueblo y no voy a pedir disculpas por ello, pero es mi firme creencia que en los tiempos que vivimos, más que nunca los intereses de nuestros países y nuestros pueblos son comunes". "Ha llegado el momento de adoptar una nueva era de acercamiento basado en los intereses mutuos y el respeto mutuo, y esta tarea debe comenzar ya", sostuvo, al tiempo que criticó duramente que la ONU se haya convertido "a menudo en un foro para sembrar la discordia en vez de buscar puntos de acuerdo".

El presidente estadounidense expresó la voluntad de su país de recuperar el multilateralismo y enumeró una serie de medidas ya adoptadas para ello, entre ellas la colaboración con el G20 para hacer frente a la crisis económica mundial o la decisión de cerrar la prisión de Guantánamo. "Ha llegado el momento de que todos nosotros adoptemos la parte de responsabilidad que nos toca para una respuesta global a desafíos globales", declaró. "Si somos honestos con nosotros mismos, debemos admitir que no estamos asumiendo esta responsabilidad", añadió al enumerar problemas como el terrorismo, los conflictos de larga duración, el genocidio o la proliferación nuclear como ejemplos de la necesidad de hacer más.

La cooperación, a juicio de Obama, debe tener cuatro pilares: la no proliferación, la promoción de la paz y la seguridad, la preservación del planeta y una economía global que dé oportunidades a todos. "Debemos detener la expansión de las armas nucleares y buscar la meta de un mundo sin ellas", afirmó.

En este sentido, lanzó una advertencia a los regímenes de Irán y Corea del Norte de que si continúan adelante con sus programas nucleares "tendrán que rendir cuentas". También advirtió que "no permitiremos refugios para que Al Qaeda lance ataques desde Afganistán o cualquier otra nación" y expresó su compromiso a buscar una paz duradera en Sudán.

EE.UU. no reconoce la legitimidad de los asentamientos israelíes
El presidente de EE.UU aseguró además que EE.UU. no reconoce la legitimidad de los asentamientos israelíes, en el primer discurso de su mandato ante la Asamblea General de la ONU.

Obama, que se reunió el martes al margen de la Asamblea con el primer ministro israelí, Benjamín Netanyahu, y el presidente palestino, Mahmud Abas, sin lograr un acuerdo para el restablecimiento de las negociaciones, indicó que para lograr la paz "aún es necesario hacer más". Los palestinos deben "poner fin a la incitación contra Israel", declaró el presidente estadounidense.

Por otro lado, EE.UU. "sigue subrayando que EE.UU. no acepta la legitimidad de los asentamientos israelíes", resaltó. En una reiteración de sus declaraciones tras la trilateral del martes, Obama insistió que "ha llegado el momento de relanzar las negociaciones, sin condiciones previas, sobre los asuntos del estatus final: la seguridad para israelíes y palestinos, las fronteras, los refugiados y Jerusalén".

La meta debe ser dos Estados que convivan en paz: un Israel seguro y un Estado palestino "viable e independiente, con territorio contiguo que ponga fin a la ocupación comenzada en 1967 y permita a los palestinos alcanzar su potencial".

EE.UU. también buscará, subrayó el mandatario, la paz entre Israel y Líbano, Israel y Siria y "una paz más amplia" entre Israel y sus vecinos. Obama admitió que lograr este objetivo "no será fácil" pero "debemos decidir si somos serios acerca de la paz o sólo hablamos de la boca para afuera".

Las partes deben estar dispuestas a declarar en público lo que reconocerían en privado, sostuvo. Así, EE.UU. "no le hace ningún favor a Israel cuando dejamos de vincular nuestro compromiso inquebrantable con su seguridad a la insistencia de que Israel respete los derechos y reclamaciones legítimos de los palestinos". Por otro lado, otros países "no hacen ningún favor a los palestinos cuando optan por ataques venenosos en vez de una voluntad constructiva de reconocer la legitimidad de Israel y su derecho a existir en paz y seguridad", declaró.

La solución al conflicto de Oriente Medio "concierne al derecho de cada ser humano de vivir con dignidad y seguridad" y por ello, prometió, "no flaquearé en mi búsqueda de la paz".

Tras la trilateral del martes, el presidente estadounidense ha instruido a su enviado especial a la zona, George Mitchell, para que se reúna en Washington con representantes de ambas partes y continúe las negociaciones para restablecer el proceso de paz.

El plazo es hasta mediados de octubre, cuando la secretaria de Estado, Hillary Clinton, deberá informar sobre los progresos obtenidos. La afirmación de Obama sobre los asentamientos israelíes se produce después de que en esa reunión el presidente estadounidense dejara de exigir, como había hecho en los últimos meses, la "congelación" y se refiriera a la necesidad de "refrenar" esas actividades. Las autoridades palestinas exigen que Israel congele los asentamientos antes de poder proceder a las negociaciones de paz, mientras que Netanyahu considera que el destino de esos emplazamientos debe decidirse en las conversaciones.

Ban Ki Mun pide unidad contra la pobreza y el cambio climático
Ban Ki Mun, por su parte, pidió unidad para afrontar retos como la pobreza, la pandemia de gripe A o el cambio climático, y conflictos como los de Somalia, Afganistán Birmania o Gaza. "Si alguna vez ha habido un momento para renovar el espíritu del multilateralismo y crear una ONU de auténtica acción colectiva, es ahora (...). La gente espera una respuesta de nuestra parte", aseguró Ban, en la apertura de los debates de la 64 Asamblea General de Naciones Unidas.

El responsable de la ONU, ahora en la mitad de su mandato de cinco años, aseguró que todos los países tienen que estar "unidos en los propósitos y en la acción". Abordó también el problema de la pobreza que, debido a la recesión económica ha hecho que desde este año haya 100 millones más de pobres, por lo que consideró que "en vez de brotes verdes de recuperación, lo que hay son banderas rojas de peligro".

El secretario general de la ONU señaló que aunque los mercados empiezan a mostrar signos de recuperación, no ocurre lo mismo con el nivel de ingresos y los puestos de trabajo, y por ello dijo que "la gente está enfadada y que la economía global está en su contra". Ban, además, avanzó que en esta misma fecha de septiembre de 2010, convocará una cumbre especial sobre los Objetivos de Desarrollo del Milenio (ODM), cuando solo queden cinco años para alcanzar, sin un previsible éxito, la fecha fijada para reducir la pobreza del mundo a la mitad.

Se refirió también a la situación de las mujeres y los niños en el mundo y señaló que mientras en los últimos 20 años el índice de mortalidad infantil bajó el 28%, no ha habido progresos similares en cuanto a salud materna y mortalidad. También propuso que la prevención de la violencia sexual contra las mujeres se convierta en una de las prioridades de la comunidad internacional. "La ONU no puede mirar hacia otro lado cuando una mujer muere en el parto o son violadas como arma de guerra, sin tener a donde ir", afirmó Ban, que señaló que esa preocupación le llevó a reunir a todos los organismos de la ONU que tratan sobre los problemas de las mujeres bajo una misma agencia.

USA: FED 0 a 0.25%

La Reserva Federal mantendrá los tipos cercanos a cero "un largo tiempo"

El Comité Federal de Mercado Abierto de EE.UU. prolongó la decisión que ya había tomado en el mes de agosto | La decisión del organismo resultó la que ya esperaban los mercados

Nueva York. (EUROPA PRESS) El Comité Federal de Mercado Abierto (FOMC) de la Reserva Federal de EE.UU. (Fed) decidió hoy mantener los tipos de interés en un rango objetivo de entre el 0% y el 0,25%, tal como ya decidió en su pasada reunión del mes de agosto y tal como esperaban los mercados.

La institución ha mantenido los tipos en los últimos meses en este nivel para dar aire a una economía perjudicada por la crisis y ante la estabilidad de las perspectivas de inflación. En un comunicado, el organismo dirigido por Ben Bernanke subrayó su intención de mantener las tasas en niveles bajos "por un periodo prolongado". Asimismo, la Fed estimó que la actividad económica de EE.UU. se recuperó "tras una severa desaceleración", pero que se mantendrá "débil" por un tiempo.

"La información recibida desde el encuentro del Comité Federal de Mercado abierto de agosto sugiere que la actividad económica se ha recuperado tras una severa desaceleración. Las condiciones en los mercados financieros han mejorado y la actividad en el sector de la vivienda se ha incrementado. El gasto familiar parece haberse estabilizado, pero sigue estando restringido por las pérdidas de empleo, el lento crecimiento de la renta, el valor más bajo de la vivienda y la escasez de crédito", añadió.

Prolonga las compras de títulos hasta marzo
Asimismo, la Fed anunció que prolongará su programa de compras de títulos hipotecarios, extendiendo su vida hasta finales del primer trimestre de 2009, aunque reducirá "gradualmente" el ritmo de estas compras de deuda con el fin de "promover una transición sin problemas en los mercados". Así, comprará un total de 1,25 billones de dólares en deuda respaldada por hipotecas y hasta 200.000 millones de dólares en deuda de agencias. La economía estadounidense ha mostrado una ligera mejoría en los últimos meses. De hecho, el PIB del segundo trimestre se contrajo un 1% en tasa trimestral anualizada, frente al retroceso del 6,4% del primer trimestre, según la segunda estimación hecha pública por la Administración estadounidense.

En cuanto a la evolución de los precios, la inflación en EE.UU. aumentó cuatro décimas en agosto en términos mensuales y se situó en el -1,5% en términos interanuales, alejándose cada vez más los temores de deflación.

ALEMANIA: DIE LINKE

Todos contra la izquierda

La descalificación y caricaturización del pujante partido de Lafontaine y Gysi oculta una temerosa patología alemana
RAFAEL POCH | Berlín. Corresponsal | 23/09/2009 | Actualizada a las 02:15h | Internacional

En la Europa de hoy hay una línea de marginalidad que comienza a la izquierda de la socialdemocracia. Más allá de ella, están los soñadores y perdedores. Eso no es así en Alemania, donde hay una anomalía europea llamada "Die Linke", que en el actual panorama continental recuerda al poblado de Asterix. Se trata del Partido de la Izquierda de Oskar Lafontaine y Gregor Gysi, una alianza de disidentes socialdemócratas del Oeste y ex comunistas del Este, que no deja de crecer desde su fundación hace dos años.
Los puntos en el mapa indican los lugares donde hay presencia institucional del Partido de la Izquierda Un sarpullido que crece
Los puntos en el mapa indican los lugares donde hay presencia institucional del Partido de la Izquierda Un sarpullido que crece / Die Linke

Primero se hizo fuerte en las cinco regiones de la antigua Alemania comunista, y se explicó como un "club de nostálgicos" del "comunismo" con el reloj parado. En los dos últimos años ha ido ganando posiciones en el oeste. En el Sarre (21%) es la tercera fuerza, en Turingia (27%) la segunda, gobierna en Berlín con los socialdemócratas, cuyo líder, el alcalde gay Klaus Wowereit, es una estrella en alza del SPD, está presente en 11 de las 16 regiones del país, y tiene vocación de gobierno: su líder, Lafontaine, es un ex Ministro de Hacienda, con veinte años de experiencia de gobierno, que fue candidato a Canciller. En Turingia, donde se ha acabado con veinte años de gobierno conservador, el jefe de lista del partido, Bodo Ramelow, ha propuesto ceder la jefatura del gobierno regional a una candidata verde mucho menos votada que él, para hacer posible un tripartito de izquierdas con verdes y SPD. Todo esto ya no se puede explicar con simplezas.

Como toda la izquierda europea, Die Linke es mas fuerte en la crítica, en la negación, que en la propuesta positiva, pero a diferencia de sus parientes, electoralmente pobres de Europa, defiende un programa bastante coherente que sintoniza con los enfados que la crisis comienza a sembrar en el continente. Tras sus eslóganes electorales "Fuera de Afganistán", "Gravar la riqueza", "Más para educación, menos para bancos", "Justicia social", etc., el partido conjuga, esencialmente, recortes de impuestos a los trabajadores y las pequeñas y medianas empresas, con fuertes subidas de impuestos a los pudientes, a las transacciones bursátiles, incrementos para las herencias y subida de los tipos impositivos a las rentas más altas y a las grandes compañías. De esta forma, dice, se avanza hacia una sociedad mas justa y se llenan las arcas públicas que sostendrían una política de tendencia niveladora.

Este programa es calificado por doquier de "populista", "incompetente" e "irreal". Las conversaciones con diplomáticos, expertos y periodistas en Berlín, suelen dar por supuesta la falta de "seriedad" del partido de la Izquierda. Die Linke es, además, la única de las cinco fuerzas políticas que se declara en contra de la guerra de Afganistán, que tanto desagrada a tres de cada cuatro alemanes. Solo ella recuerda la paradoja que para la soberanía popular supone, que las fuerzas políticas que concentran el 90% de la intención de voto ignoren la voluntad antibélica del 60% o 70% de los alemanes. Pero en la actual campaña, la Izquierda, lejos de explotar esa paradoja ha tendido a moderarla, tendiendo puentes hacia las otras fuerzas políticas que, ante la evidencia del desastre afgano, comienzan a barajar "estrategias de salida".

No hay en Die Linke un estilo "radical", que a los alemanes desagrada. Ninguna de las dos fuentes de las que se nutre el partido, la socialdemocracia del oeste y el partido de Estado de la Alemania comunista -un partido conservador, como todo partido único-, eran radicales, sino profundamente institucionales. El diagnóstico de la clase política y de los medios de comunicación es demasiado unánime y superficial como para no evidenciar una patología de miedo hacia una nueva realidad en ascenso que se comprende mal, que reniega de la Unión Europea neoliberal y que afirma que Alemania debe "aprender francés" en lo sindical, es decir radicalizarse un poco.

En la prensa alemana, es muy difícil encontrar artículos neutros sobre Die Linke. Abundan las seudo revelaciones sobre turbios pasados en la Alemania comunista, las denuncias de "antisemitismo", por criticar el cheque en blanco a Israel que suscribe la mala conciencia nacional por el Holocausto, y las noticias sobre divisiones internas.

En junio, cuando celebró su congreso la prensa daba por segura una escisión que no se produjo, lo que hizo que el congreso dejara de ser noticiable. En vísperas de las elecciones, se leen nuevas "revelaciones" contra Gregor Gysi en "Der Spiegel", y el "Süddeutsche Zeitung" publica las de su colaborador infiltrado, ridiculizando el partido.

Los 53 diputados de la Izquierda en el Bundestag son los únicos que merecen el privilegio, oficialmente reconocido, de ser "vigilados" (teléfonos, ordenadores, correo, seguimientos) por los servicios secretos, como si fueran unos delincuentes, una situación que humilla al parlamentarismo, recuerda las peores tendencias estatistas alemanas y que no ha suscitado el menor escándalo en la prensa liberal. Está claro que la anomalía europea de Die Linke, suscita miedo en el "establishment" alemán.

UE: CHOMAGE

SUR
http://democratieetavenir.over-blog.com/article-36441114.html

VENEZUELA-FRANCE: PETROLEO

"Venezuela y Total: acuerdo por petróleo" : http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/09/090923_1400_venezuela_total_orinoco_alf.shtml?s

"¿Podrá China salvar al mundo?" :

http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/09/090916_esp_crisis_financiera_china_mes.shtml?s

camino a Copenhague:

http://www.bbc.co.uk/mundo/ciencia_tecnologia/2009/09/090922_1721_cambio_lp.shtml?s

Donde esta la crisis? A la vuelta de la esquina?



Hola Luis,

Tu pregunta es ambigua. ¿Puedes formularla de una forma mas precisa? En el artìculo de Juergengen se dicen muchas cosas y no todas son afirmaciones.

Bruno

--- In MacroPeru@yahoogroups.com, Luis Destefano-Beltran <LuisDestefano@...> wrote:
>
> Estimados:
> Que tanto de este OpEd es cierto? Estamos tan cerca de un crack?
>
> Saludos
>
> ¿Dónde está la crisis?Mar, 22/09/2009 - 21:13Jurgen Schuldt
>
> *Economista , Universidad del Pacífico*
>
> Observando las deprimentes cifras macroeconómicas, uno diría que nos
> encontramos en una situación desastrosa a nivel microeconómico. Sin embargo,
> muchos se preguntan cómo así las familias de casi todos los estratos
> socioeconómicos siguen comprando a un buen ritmo, si bien a manos no tan
> llenas como el año pasado. Parecería existir, por tanto, una incongruencia
> entre la desaceleración económica y el aparente bienestar relativo de la
> población.
>
> En efecto, la demanda interna ha caído en 5.6%, comparando el segundo
> trimestre de este año respecto al mismo del anterior, en gran parte por el
> descenso de la inversión en 20,8% y del gasto público y otros menores en
> 18,2%. En el segundo trimestre respecto al primero de este año, la inversión
> siguió cayendo (-10%), pero fue compensada en términos absolutos por el
> aumento del gasto público (32%). Las calamitosas cifras de producción
> sectorial asustan y son de dominio público, especialmente el derrumbe de la
> producción manufacturera en 12,5%.
>
> ¿Dónde está el secreto de la curiosa bonanza relativa? Evidentemente en la
> expansión del Consumo Privado real, que representa el 71% de la demanda
> interna. Ese gasto familiar aumentó apenas en 1,9% en ese periodo, pero se
> expandió a una sorprendente tasa del 10,1% en el segundo trimestre vis a vis
> el primero de este año. Curiosamente, sin embargo, resulta que los ingresos
> no han aumentado y el empleo urbano a nivel nacional ha caído en 2,9%,
> comparando el primer semestre de este año (promedio del índice: 134,7) con
> el segundo del año pasado (138,7), considerando únicamente el que se refiere
> a empresas con diez o más trabajadores.
>
> De manera que no queda sino explicar ese incremento del consumo familiar
> como consecuencia del crédito que el sistema financiero les ha otorgado a
> las familias y a las microempresas: aumentó en 35%, comparando los primeros
> siete meses de este año con similar periodo del año anterior. El crédito
> para consumo se expandió en 14%, para vivienda en 40% y para microempresas
> en 30%. Con lo que las deudas acumuladas de las familias han aumentado a
> ritmos que hacen pensar que la insolvencia podría estar a la vuelta de la
> esquina. Es cierto que aún la tasa de morosidad es baja, pero ha aumentado
> en 39% (de 1,19 a 1,65) en los últimos doce meses, lo que ya es una primera
> señal preocupante.
>
> Como en EEUU hasta hace poco, estamos flotando sobre una pareja de burbujas,
> resultado del estímulo espurio proveniente del sector financiero, que –si
> bien se está desacelerando– resulta peligroso porque en cualquier momento
> puede colapsar. La acumulación de las deudas y la sobreinversión en
> viviendas están a la vista. Bastará una pequeña chispa, digamos la quiebra
> de algunas empresas textiles o agroindustriales exportadoras, que enfrentan
> graves problemas de demanda y que sufren a consecuencia de una tremenda
> sobrevaluación del sol respecto al dólar, el que se ha revaluado
> nominalmente en más del 11% desde marzo (cayendo de 3,259 a 2,894).
>
> Ciertamente la vejiga aún tardará en desinflarse, lo que sucederá a más
> tardar cuando El Niño juguetón la pinche. Las injustificadas expectativas
> tan optimistas que mantienen a flote nuestro bote en estos momentos y la
> expansión del crédito pueden voltearse con la menor ventisca. Guerra avisada
> no mata gente.
>
>
> --

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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