SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

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Evolucion del dolar contra el euro

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20 jul 2009

CRISE: PAYS PAUVRES EN DANGER

Commentaire de la CNUCED

Timothy Geithner : "Notre modèle de croissance doit être plus équilibré

Geithner, était en visite à Paris, jeudi 16 juillet. Il a notamment rencontré le premier ministre, François Fillon, et la ministre de l'économie, Christine Lagarde, afin de préparer le prochain G20, qui se déroulera à Pittsburgh, aux Etats-Unis, le 24 septembre. Le but de ce sommet sera de tenter de trouver des solutions pour relancer la croissance mondiale et réguler le système financier international.

Convergence avec M. Fillon et Mme Lagarde

Dans la perspective du sommet du G20 à Pittsburgh (Pennsylvanie) fin septembre, le secrétaire d'Etat au Trésor américain, Timothy Geithner, a rencontré à Paris, jeudi 16 juillet, le premier ministre, François Fillon, et la ministre de l'économie, Christine Lagarde. "On a vraiment une grande communauté de vues sur la nécessité d'une meilleure régulation, d'une meilleure discipline et sur la nécessité absolue de la stabilité et du principe de transparence", a déclaré la ministre de l'économie. M. Fillon et Mme Lagarde ont tous deux insisté pour que les principes définis au G20 de Londres sur les rémunérations des traders soient rapidement appliqués. Il s'agit de "mieux lier performance, risque et rémunération". Toutefois, "on a un point de désaccord sur ce qu'on appelle l'"effet de levier" et sur la limite à l'effet de levier (...) applicable dans les banques et les établissements financiers", a précisé Mme Lagarde.
Fuite des capitaux inattendue en mai

Les Etats-Unis ont enregistré un déficit inattendu de 19,8 milliards de dollars (14 milliards d'euros) de leur balance des capitaux à long terme en mai, après un excédent de 11,5 milliards en avril, a indiqué le Trésor jeudi 16 juillet. Les institutions publiques étrangères, dont les banques centrales, ont été vendeuses nettes de titres américains à long terme pour 23,4 milliards de dollars (essentiellement des obligations d'Etat), contrairement aux investisseurs privés (acheteurs nets pour 31,3 milliards de dollars, dont plus de la moitié d'actions).

Ces données, preuve d'une fuite des investisseurs, ont suscité l'inquiétude de la communauté financière alors que le recours aux capitaux étrangers est indispensable au financement des Etats-Unis. Surtout en période de crise, où le Trésor a émis des montants considérables de dette.

Les investissements en obligations du Trésor des Chinois, premiers détenteurs de ces titres, ont augmenté de 5 % en mai, à 801,5 milliards de dollars. Les avoirs des Japonais, seconds créanciers, ont baissé de 1,3 %, à 677,2 milliards de dollars.


Eclairage Timothy Geithner, un pragmatique au chevet de la crise

Quelle est votre plus grande crainte pour les mois qui viennent ?

En réalité, je suis plus optimiste qu'il y a trois mois et je pense quelque part que nous faisons mieux que ce que nous aurions pu imaginer au début de 2009. La confiance dans la politique menée aux Etats-Unis, et plus globalement dans le monde, donne des résultats. Le retour de la croissance passe par la refondation du système. Notre mission à tous consiste à aller dans cette direction. En persévérant, je suis sûr que nous arriverons à réparer les dégâts. Mais cela va prendre du temps, car nous traversons une récession très profonde.

Quand prévoyez-vous le retour à la croissance ?

La plupart des prévisionnistes tablent sur une amélioration des indicateurs aux Etats-Unis dès le quatrième trimestre. Ailleurs dans le monde, la situation est différente, bien qu'on observe des signes de stabilisation. Encore une fois, nous devons ces améliorations à la confiance qu'a instillée le G20 de Londres, en avril. C'est une grande différence avec la façon dont le monde a géré la Grande Dépression. Nous avons su adopter très rapidement une stratégie commune. C'est très précieux pour restaurer la confiance.

Pourtant, il semble que les banques ont repris leurs mauvaises habitudes en s'apprêtant à verser d'énormes bonus. Le secteur bancaire a-t-il vraiment tiré les leçons de la crise ?

Je pense que l'une de nos principales missions consiste à mettre en place les réformes qui rendent le système plus stable et moins vulnérable. Le président Obama a pris la décision stratégique d'agir rapidement, alors même que la crise était dans sa phase critique. Si nous avions attendu, il aurait été plus dur de trouver un consensus politique. Vous savez, il est difficile de faire changer les gens. Nous devons essayer de faire comprendre que cela est nécessaire afin de parvenir à plus de stabilité. Le système financier américain, avec notamment les prêts hypothécaires, a perverti le concept d'innovation. Nous voulons mettre en place un système plus stable avant que le monde oublie les erreurs récentes.

Le déficit public américain vient de franchir la barre impressionnante des 1 000 milliards de dollars (710 milliards d'euros).

Cela ne risque-t-il pas d'entamer la confiance des investisseurs dans la capacité des Etats-Unis à rembourser leurs dettes ?

Non, je ne crois pas. Le déficit est très important en raison des politiques menées ces dernières années et de la récession. Mais comme d'autres pays, y compris la France, nous avons adopté une stratégie consistant à soutenir la demande pour réparer le système financier et rétablir la croissance.

La stabilité du dollar est-elle menacée ?

Le dollar joue un rôle très important dans le système financier international et je pense qu'il va rester la principale monnaie de réserve. Mais je reconnais que les Etats-Unis doivent assumer leurs responsabilités. On ne peut pas juste régler la crise et remettre en état le système financier.

Mais nous devons nous assurer que nous avons toujours la capacité de stabiliser le système monétaire et financier international. C'est important pour les Etats-Unis et pour le monde, et je suis confiant dans le fait que nous y parviendrons.

Quels sont vos objectifs lors du prochain G20 ?

D'abord, nous devons veiller que les politiques mises en oeuvre permettent le retour de la croissance. Deuxièmement, nous devons vérifier que nous progressons dans la réforme du système financier. Troisièmement, nous devons faire en sorte de provoquer des changements plus profonds des institutions financières internationales, assurer une surveillance plus étroite et une capacité financière plus forte. Nous ne voulons pas, alors que nous allons sortir de la crise, reproduire certains déséquilibres qui en sont à l'origine. Notre modèle de croissance doit être plus équilibré et plus stable. Il faut que les Américains épargnent plus et que les autres pays dans le monde s'orientent vers un développement davantage tiré par leur demande intérieure. Cela serait sain. Déjà, nous observons une progression très forte du taux d'épargne aux Etats-Unis. C'est bon pour nous et pour le long terme. Mais cela reflète une réalité de base - la nature de la croissance sera plus équilibrée.

Cette propension à plus épargner est-elle un changement structurel ou bien juste une conséquence de la récession ?

C'est difficile à savoir. J'aurais tendance à penser que pour les ménages, il s'agit d'un changement durable des comportements. Mais nous ne savons pas combien de temps cela va durer.

Certains estiment que les Européens n'en font pas assez en matière de relance. Vous partagez cet avis ?

Je n'ai jamais dit que les Européens n'en faisaient pas assez. Nous sommes face à des défis, des structures politiques et des échelles différents. Ce qui importe, c'est d'agir ensemble et, dans ce domaine, chaque pays a joué son rôle.

Des personnalités, comme le lauréat du prix Nobel d'économie 2008, Paul Krugman, pensent qu'il faudrait un second plan de relance aux Etats-Unis. Etes-vous d'accord ?

Le moment n'est pas encore venu pour prendre ce type de décision. Le plan actuel était basé sur deux ans. Les mesures fiscales ont déjà produit des effets. Quant aux grands investissements d'infrastructure, qui auront un impact sur l'emploi, ils vont être concentrés au second semestre.

La Réserve fédérale (Fed) s'est résolue à acheter des emprunts d'Etat, ce qui revient à financer directement le déficit public. N'a-t-elle pas perdu une partie de son indépendance ?

Je ne vois pas les choses comme cela. La Fed fait ce qui est nécessaire et approprié dans toute crise financière. Nous avons une banque centrale indépendante, capable de maintenir une inflation stable à un bas niveau. C'est très important et c'est pourquoi nous soutenons son action.
Propos recueillis par Alain Frachon et Stéphane Lauer.
Article paru dans l'édition du 18.07.09.

slate: La crise est derriere nous


La crise est derrière nous. (Théoriquement).


peru: consumo duradero cae, -16.4% 1 sem

Venta de vehículos nuevos se contrajo en 16,4% en el primer semestre del año
8:15 Según la Asociación de Representantes Automotores del Perú se vendieron un total de 36.097 unidades
La venta de vehículos nuevos en el Perú cayó 16,4% en el primer semestre del año, en que sumó 36.097 unidades, informó la Asociación de Representantes Automotores del Perú (Araper). Sin embargo, si se comparan estos resultados con los del primer semestre del 2007 se obtiene un crecimiento de 58,6%.
En junio de este año las ventas de vehículos nuevos fueron de 6.893 unidades, es decir, un 17% más que en mayo del 2009, según dio a conocer la agencia de noticias Andina.
Ivan Besich, director ejecutivo de Araper, dijo que el aumento de las ventas de vehículos de junio frente a mayo podría indicar que la caída empezaría a revertirse.
“Tenemos que esperar a ver una tendencia de por lo menos tres meses, pero sí es un indicador muy alentador para el sector”, refirió.

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La venta de vehículos nuevos en el Perú cayó 16,4% en el primer semestre del año, en que sumó 36.097 unidades, informó la Asociación de Representantes Automotores del Perú (Araper). Sin embargo, si se comparan estos resultados con los del primer semestre del 2007 se obtiene un crecimiento de 58,6%.
En junio de este año las ventas de vehículos nuevos fueron de 6.893 unidades, es decir, un 17% más que en mayo del 2009, según dio a conocer la agencia de noticias Andina.
Ivan Besich, director ejecutivo de Araper, dijo que el aumento de las ventas de vehículos de junio frente a mayo podría indicar que la caída empezaría a revertirse.
“Tenemos que esperar a ver una tendencia de por lo menos tres meses, pero sí es un indicador muy alentador para el sector”, refirió.

PERU: UTILIDADES EMPRESARIALES CAYERON 48%






Se acentúa caída de utilidades de empresas líderes de la Bolsa.Gestion (17/07/2009)SE REDUJERON EN 48%, SEGÚN ESTIMADOS DE CENTURA SAB.En el segundo trimestre, las ganancias de una muestra de 17 compañías representativas de los sectores económicos, se redujeron en 48%, según estimados de Centura SAB.Como reflejo de la sensible disminución de la actividad económica en el país y el mundo, las utilidades de las principales firmas locales siguieron contrayéndose en el segundo trimestre del año.Así lo revela un informe de Centura SAB, en el que se proyecta que las ganancias netas de una muestra de 17 compañías líderes en la Bolsa de Valores de Lima, alcanzaron los US$ 655.7 millones, inferiores en 47.9% a las que obtuvieron en el segundo trimestre del 2008.
Tal caída sería más severa que la observada en el primer trimestre del presente año, cuando los estados financieros de las principales empresas que cotizan en la bolsa mostraron, en conjunto, una disminución de 36% en sus ganancias.Para Centura, la fuerte reducción de las ganancias de las empresas de la muestra, en el segundo trimestre, se explica, en gran medida, por la contracción de las utilidades del sector minero (-54.2%), pues si bien los precios de los metales se han recuperado, aún no llegan a niveles del 2008.Sin embargo, sostiene que los menores costos de la industria minera, ligados a una rebaja en los precios de los suministros y del petróleo en este año, atenuaron el impacto negativo en los resultados de estas empresas.Según la casa de bolsa, las utilidades de Southern Copper y Cerro Verde habrían sido afectadas por el menor precio del cobre (frente a la cotización del metal rojo en el segundo trimestre del año pasado).En el caso de Minsur, la reducción del precio del estaño impactó en las ganancias de la compañía; mientras que la utilidad neta de Buenaventura se habría contraído en el segundo trimestre por la menor producción de oro.Volcan y Atacocha también se perjudicaron por la menor cotización de los metales.Por otro lado, el menor dinamismo de la construcción habría afectado los resultados de Cementos Lima y Cementos Pacasmayo. Mientras que los mayores costos asociados a planes de expansión influyeron en las ganancias de Graña y Montero, y la baja base estadística de comparación ayudaría a una mejora en las utilidades de Ferreyros.




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NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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