SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

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4 sept 2009

crise: reprise en vue

La reprise s'amorce dans le monde

A Panizzo (lefigaro.fr)
04/09/2009 | Mise à jour : 16:25
|

Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

Aux Etats-Unis et ailleurs, l'immobilier se stabilise, la consommation des ménages reprend et les marchés boursiers retrouvent la confiance des investisseurs. Mais le secteur de l'emploi reste grippé, une tendance qui pourrait durer encore quelques mois.

FMI, BCE, OCDE, Banques centrales, etc. Pour la majeure partie des institutions monétaires mondiales, la reprise est proche. Certes, la prudence reste encore de mise, mais la publication de statistiques économiques encourageantes depuis quelques semaines fait penser que le pic de la crise est clairement passé. La plupart des marchés mondiaux l'ont d'ailleurs bien compris, retrouvant ces deux dernières semaines des niveaux qui n'avaient plus été vus depuis de nombreux mois.

Comme l'a indiqué le chef économiste du FMI, Olivier Blanchard, dans une revue publiée par l'organisation internationale, pour qu'une reprise mondiale s'opère, il faut que l'économie américaine, «à l'origine de la crise», soit «au centre du rebond». Son institution a d'ailleurs annoncé vendredi qu'elle anticipait désormais une contraction de 1,3% du produit intérieur brut (PIB) mondial cette année, contre une prévision précédente de -1,4%. En 2010, le fonds voit l'économie mondiale croître de 2,9%, alors qu'il tablait jusqu'ici sur +2,5%.

Les Etats-Unis sortent enfin du gouffre

En août, l'activité industrielle américaine a enfin progressé après dix-huit mois de baisse, revenant au niveau d'avant la crise des crédits immobiliers. Barack Obama n'est pas resté insensible à cette annonce, la saluant comme «un signe que nous sommes sur la voie de la reprise économique».

Autre bonne nouvelle, la stabilisation du marché immobilier, avec un net rebond des promesses de ventes de logements en juillet, pour le sixième mois de suite. Enfin, et c'est peut-être un des points clé de la reprise, les dépenses de consommation des ménages américains ont augmenté pour le troisième mois de suite en juillet, de 0,2% par rapport à juin. Cette progression est d'autant plus encourageante que les revenus des ménages n'ont, de leur côté, pas augmenté d'un mois sur l'autre.

Ces données macro-économiques n'ont pas échappé aux dirigeants américains, le secrétaire américain au Trésor, Timothy Geithner, déclarant mercredi qu'il voyait «les premiers signes de la croissance» aux Etats-Unis et dans le monde. Une semaine avant, le président de la Fed Ben Bernanke, connu pour son optimisme timide, estimait de son côté que «l'activité économique (…) est en train de se stabiliser, à la fois aux Etats-Unis et à l'étranger».

Le reste du monde suit la tendance

En zone euro, la tendance s'améliore également. Le PIB y a en effet reculé de 0,2% au 2e trimestre, marquant un cinquième trimestre consécutif de recul, mais le rythme de baisse a fortement chuté, si on le compare au plongeon de 2,5% au premier trimestre. Les deux principales économies de la zone euro, l'Allemagne et la France, ont vu un retour à la croissance au 2e trimestre. Jeudi, le président de la Banque centrale européenne (BCE) est sorti de sa torpeur habituelle, indiquant que l'économie «en zone euro et ailleurs» montrait des «signes croissants de stabilisation». La période de forte contraction de l'économie a touché à sa fin, a déclaré Jean-Claude Trichet, même si «les incertitudes restent élevées». Jeudi toujours, un rapport publié par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) indiquait que la reprise économique mondiale pourrait être «plus précoce» que prévu, même si elle resterait «modeste». L'organisation en a profité pour relever plusieurs de ses prévisions de croissance pour 2009, notamment pour le Japon (-5,6% contre -6,8% auparavant), l'Allemagne (-4,8% contre -6,1%) et la France (-2,1% contre -3%), trois pays qui sont sortis de la récession au deuxième trimestre.

En Asie, après un premier trimestre 2009 décevant, la croissance reprend de la vigueur, notamment en Chine (+7,9% au deuxième trimestre). Le gouvernement attend désormais 8,5% au cours des trois prochains mois.

L'emploi reste à la traîne

Mauvais élève de la reprise économique, l'emploi continue de subir les conséquences d'une crise qui laisse des séquelles sérieuses. Cette situation n'est pourtant pas une surprise, les économistes, Ben Bernanke en tête, ayant toujours indiqué que le chômage réagirait avec décalage par rapport à l'évolution de la conjoncture. Très attendus, les chiffres publiés vendredi par Washington ont fait d'un taux de chômage qui a augmenté plus qu'attendu en août, à 9,7% de la population active, après 9,4% en juillet. Il s'agit du taux de chômage le plus élevé depuis juin 1983, lorsqu'il avait atteint 10,1%. Sinistré par la crise, le secteur américain de l'industrie paye un lourd tribut, avec 136.000 suppressions de postes contre 122.000 en juillet.

L'Europe ne se porte pas mieux. En zone euro, le chômage a ainsi touché les 9,5% en juillet, son plus haut niveau depuis 10 ans, avec plus de 15 millions de personnes sans emploi, selon Eurostat.

usa:deficit fiscal 12% mas

Mille milliards de déficit :
le budget américain explose

Arnaud Rodier
13/07/2009 | Mise à jour : 21:53
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En tournée en Europe et au Moyen-Orient, le secrétaire d'État au Trésor, Tim Geithner, doit rassurer les investisseurs sur la valeur de leurs actifs en dollars.

Plus de 1 000 milliards de dollars de «trou» depuis le début de l'exercice budgétaire, en octobre : dévoilé officiellement lundi soir par le Trésor, le chiffre du déficit public américain donne le vertige. Pour le seul mois de juin, la différence entre les dépenses et les recettes fédérales dépasse 94 milliards. Soit, en neuf mois, un déficit cumulé de 1 086 milliards exactement.

Sur la même période, un an plus tôt, le déficit n'était encore « que » de 286 milliards. Mais, depuis, selon les calculs du Congrès, les recettes ont plongé de 18 %. Les dépenses se sont, elles, envolées de 21 %, à cause des mesures de sauvetage des banques et du plan de relance de l'économie (787 milliards). À ce rythme, le déficit fédéral dépassera 12 % du PIB sur l'ensemble de l'année budgétaire, estiment les économistes interrogés par l'agence Bloomberg !

Or le plan de relance américain est censé sauver ou créer 3,5 millions d'emplois. Mais, en quatre mois et demi, l'Amérique en a supprimé 2 millions. Du coup, certains pensent qu'une rallonge sera nécessaire, plombant encore plus dramatiquement le déficit budgétaire, et pesant sur le cours du dollar. Washington dément jusqu'ici cette idée de nouveau plan.

La suprématie du dollar remise en question

Il n'empêche, le secrétaire au Trésor, Timothy Geithner, qui arrive mardi matin à Djeddah en Arabie saoudite après un bref passage à Londres, et qui sera mercredi à Abu Dhabi avant une escale à Paris jeudi, va avoir le plus grand mal à convaincre les pays du Moyen-Orient que leurs investissements aux États-Unis ne sont pas menacés. Les pays du Golfe sont d'autant plus sensibles aux attaques contre le billet vert qu'ils sont tous de gros détenteurs de bons du Trésor américain, qu'ils ont massivement recyclé leurs pétrodollars aux États-Unis et qu'ils imaginent aussi créer un jour une monnaie commune.

En outre, devant les incertitudes qui planent sur les États-Unis, plusieurs autres pays, dont la Chine, la Russie et, depuis la semaine dernière, la France, remettent en question la suprématie du dollar et son statut de monnaie de réserve.

Timothy Geithner ne peut donc pas se contenter de promettre que le déficit américain sera ramené à des niveaux raisonnables dès que la crise sera passée. Il doit également montrer que l'Amérique reste ouverte aux investissements étrangers et que la crise ne la pousse pas à avoir des réflexes protectionnistes. Il lui faut aussi peser de tout son poids afin que l'Opep accepte un prix « raisonnable » du baril de pétrole, pour éviter de reporter la reprise américaine aux calendes grecques. Son étape en Arabie saoudite n'en est que plus cruciale.

Quelques heures avant son départ, il s'est voulu rassurant. «Alors que les gens sont très inquiets des risques, ils veulent investir dans le marché le plus liquide et le plus sûr du monde, qui est encore le marché de nos bons du Trésor» , a-t-il déclaré sur CNN. Et d'ajouter : «Un dollar fort est dans l'intérêt des États-Unis.»

france: signaux de reprise?

Croissance : les voyants passent au vert

Cécile Crouzel - Dossier réalisé par A. Boh, M.-C. B., C.L., E. B., A. D., D. G. et I. L.
10/08/2009 | Mise à jour : 22:51
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La production industrielle est repartie à la hausse en mai et en juin. Le Figaro a identifié dix signaux qui plaident en faveur d'un redémarrage économique.

C'est peut-être le bout du tunnel pour l'industrie française : en juin, la production manufacturière a augmenté de 0,4 % par rapport à mai. Mieux, il s'agit du deuxième mois consécutif de hausse. Un signal encourageant, même si le «Made in France» est loin d'avoir retrouvé ses niveaux de l'an passé. La crise a été si violente l'hiver dernier que la production manufacturière française en juin 2009 est encore inférieure de 16,4 % à celle de juin 2008 !

La récente embellie doit beaucoup à la prime à la casse, instaurée dans de nombreux pays européens . «Ce système a profité aux petites cylindrées, une spécialité des constructeurs français», fait remarquer Jean-Christophe Caffet, économiste chez Natixis. Résultat, la production automobile française a augmenté de 5,3 % en juin, après une hausse de 12,2 % en mai. Et, parallèlement, les exportations de voitures françaises ont crû de 4,8 % au deuxième trimestre. «En outre, partout dans le monde, les industriels sont en train de reconstituer des stocks qui étaient tombés très bas. Cela tire le secteur des biens intermédiaires. La production de la chimie française a, par exemple, progressé de 1,6 % en juin», ajoute Véronique Riches-Flores, chef économiste Europe à la Société générale. De fait, les points forts de l'industrie française - la pharmacie et les constructions aéronautiques, navales et ferroviaires - ont bien tenu en juin. Et dans les secteurs les plus liés aux cycles économiques comme l'emballage, le transport aérien, la grande distribution ou encore la publicité, on perçoit les premiers signaux positifs.

Sortie plus rapide de la récession

Dans ces conditions, avec une production manufacturière en hausse de 0,2 % et une consommation des ménages en augmentation de 0,7 %, le deuxième trimestre ne s'annonce pas si mal pour l'économie française. «On peut imaginer un retour à la croissance, avec une progression du PIB comprise entre 0 % et 0,1 %», précise Véronique Riches-Flores. Moins optimiste, Jean-Christophe Caffet table sur un recul du PIB de 0,25 %. Un chiffrage néanmoins supérieur aux dernières prévisions de l'Insee, calées sur une chute de l'activité de 0,6 % au deuxième trimestre, après le plongeon de 1,2 % au premier. Le verdict sera connu jeudi, avec la publication de la première estimation du PIB français entre mars et juin.

Et pour la suite ? La Banque de France table sur une stabilisation de l'activité au troisième trimestre. «Nous avons une prévision similaire. L'économie française profite de l'élan créé par les différents plans de relance mis en place dans le monde. Mais la production industrielle pourrait repartir à la baisse en 2010», explique Jean-Christophe Caffet. En cause : la fin des primes à la casse, même si le gouvernement français plaide pour une sortie progressive du dispositif.

Inquiétudes pour 2010

«Il n'existe pas de soutiens durables à la croissance», renchérit Véronique Riches-Flores. Il faut dire que la chef économiste a de sombres prévisions pour l'emploi : elle prévoit que le taux de chômage culminera à 11,1 % fin 2010. Le tout alors que les ménages ne pourront plus compter, comme aujourd'hui, sur des baisses de prix pour doper leur pouvoir d'achat. «L'inflation va repartir à la hausse dans le sillage des matières premières. Dès la fin de l'année, les prix pourraient progresser de 1,5 % en rythme annuel, alors qu'en juin ils étaient en baisse de 0,5 %», précise Véronique Riches-Flores.

Bref, si l'éclaircie est indéniable à court terme, la conjoncture française n'est pas à l'abri de l'arrivée de nouveaux gros nuages, à moyen terme.

Les 10 signaux positifs pour la France

1. Le moral des industriels s'améliore

2. La production d'acier redémarre

3. Les résultats d'entreprises sont meilleurs que prévu

4. Les ventes en grandes surfaces progressent

5. Le CAC 40 reprend des couleurs

6. L'automobile remonte la pente

7. La fréquentation du transport aérien se stabilise

8. L'emballage alimentaire rebondit

9. Les investissements publicitaires bruts repartent à la hausse

10. Les indicateurs internationaux virent au vert

ocde: reprise chaotique

Pour l'OCDE, les pays riches renouent avec la croissance

Anne Cheyvialle
04/09/2009 | Mise à jour : 18:10
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Les prévisions pour les deux derniers trimestres et pour 2009 ont été revues à la hausse.

La prudence reste de mise. C'est en substance le message du dernier rapport de conjoncture de l'Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE). Certes, la reprise est là, elle est plus précoce que prévu, mais elle sera aussi plus timide. Ainsi, les prévisions du troisième trimestre ont toutes été revues à la hausse pour les pays du G7 (+ 1,2 %).


La meilleure performance revient à l'Allemagne (+ 4,2 % en croissance trimestrielle annualisée), suivie des États-Unis et de la France (+ 1,6 %) et du Japon (+ 1,1 %). En revanche, l'Italie, le Royaume-Uni et le Canada affichent encore une croissance négative.

À la faveur de cette embellie, les résultats annoncés en juin pour l'année 2009 s'annoncent moins catastrophiques, en particulier pour les trois pays qui sont déjà sortis de la récession au deuxième trimestre : Allemagne (- 4,8 % contre - 6,1 %), la France (- 2,1 % contre - 3 %) et le Japon (- 5,6 % contre - 6,8 %). À noter en revanche une dégradation pour le Royaume-Uni. À l'appui de ces prévisions plus optimistes, les moteurs de l'économie montrent plusieurs signes d'amélioration.

Premièrement, le système financier est en voie de stabilisation avec un desserrement des conditions de crédit et une baisse du coût de l'argent. Deuxième facteur positif, la reconstitution des stocks, qui devrait entraîner à moyen terme une hausse de la production. Troisième bonne nouvelle, le commerce mondial, qui a chuté de 13 % depuis l'automne 2008, se stabilise, avec même une légère croissance au cours de l'été dans certains pays. Le dernier élément qui nourrit la reprise est le redressement des marchés immobiliers, en particulier aux États-Unis, où les ventes de maisons neuves reprennent et les prix arrêtent de chuter.

Une reprise «chaotique»


Ce panorama semble redonner confiance aux acteurs économiques. Le moral des ménages, même s'il reste très faible, se stabilise et celui des entreprises se reprend, notamment aux États-Unis. Voilà pour les notes optimistes. Il y a cependant quelques bémols.

Comme l'a souligné le chef économiste de l'OCDE, Jorgen Elmeskov : «Il est probable que la reprise sera chaotique, inégale.» La grande interrogation est la dégradation du marché de l'emploi qui risque de saper le moral des consommateurs. «La poursuite du chômage et la baisse de l'activité vont entraîner des pressions sur les salaires et sur les prix, a-t-il ajouté. Les ménages, tout comme les banques et les entreprises, ont encore beaucoup à faire pour reconstituer la santé de leur bilan.» L'investissement des entreprises reste encore à des niveaux très faibles.

Dans son rapport, l'OCDE juge nécessaire à court terme la poursuite des mesures de stimulation des pouvoirs publics. « Lorsque l'économie aura repris plus de vigueur, les pays devront assainir leurs déficits et réfléchir à des stratégies de sortie de crise crédibles », poursuit l'économiste.

Enfin, s'agissant de la politique monétaire, il faudra attendre mi-2010, et même au-delà, pour envisager une normalisation des taux d'intérêt, qui sont aujourd'hui à des niveaux exceptionnellement bas.

france: L'emprunt

L'emprunt pourrait être étalé sur plusieurs années

Marie Visot
03/09/2009 | Mise à jour : 00:30
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Michel Rocard et Alain Juppé, coprésidents de la commission sur le grand emprunt, le 26 août à Paris.
Michel Rocard et Alain Juppé, coprésidents de la commission sur le grand emprunt, le 26 août à Paris. Crédits photo : LUDOVIC/REA

Divisé en plusieurs tranches, le futur grand emprunt permettrait de maintenir la crédibilité de la signature de la France sur les marchés.

Depuis le début, l'exécutif martèle que le montant du grand emprunt dépendra des besoins et des priorités définies par la commission coprésidée par les deux anciens premiers ministres, l'UMP Alain Juppé et le socialiste Michel Rocard. Le groupe d'experts doit rendre en novembre un rapport listant les investissements stratégiques pour construire la France de demain.

En attendant, le gouvernement refuse donc d'évoquer les modalités de cet emprunt. Et encore plus son montant : «Il faut d'abord avoir défini les priorités, le montant total que cela représente en investissement, la part qui sera mise par le public et celle par le privé, et enfin celle qui reviendra stricto sensu à l'État. C'est cette somme-là qu'il faudra emprunter», insiste une source gouvernementale. «Tout le reste n'est que littérature !», renchérit une autre.

Quelques jours après l'annonce de Nicolas Sarkozy, au mois de juin, du principe de cet emprunt, le chiffre de 80 ou 100 milliards d'euros avait commencé à circuler. Et avait immédiatement été jugé «trop élevé» par le premier ministre, François Fillon. «Jamais aucun pays, les États-Unis y compris, n'a emprunté 100 milliards d'un coup», note un expert.

D'où l'idée qui commence à germer de répartir la somme sur plusieurs années. «Je préférerai un emprunt, par exemple, de 100 milliards, 5 fois 20 milliards plutôt qu'en une seule fois», a déclaré le week-end dernier l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin.

«Ne pas faire n'importe quoi»

«Nous savons d'ores et déjà que la France ne peut pas en une seule année s'endetter massivement de façon supplémentaire, parce que son crédit aujourd'hui reste bon et, si on veut garder ce crédit, il ne faut pas faire n'importe quoi», a renchéri mercredi Alain Juppé, sur Canal +. « Aujourd'hui, nous empruntons sur les marchés à des taux avantageux et nous sommes situés au même degré de crédibilité que l'Allemagne. Il faut garder cette position. Ça veut dire qu'il ne faudrait pas charger la barque de plus de 20 à 25 milliards par an, d'où l'idée peut-être de faire plusieurs tranches annuelles. Cette idée mérite d'être approfondie», a-t-il ajouté.

Ce scénario d'un étalement de l'emprunt, Bercy est loin de ­l'exclure. «C'est une option sérieuse, notamment parce qu'il ne fait pas peser de risque sur l'État français», explique-t-on au ministère de l'Économie. À Matignon, on ne rejette pas non plus l'idée d'emblée, «à condition que les investissements qui seront retenus aient besoin d'être financés sur plusieurs années».

Cette solution serait en outre une moins mauvaise nouvelle pour la situation des finances publiques. Le gouvernement prévoit d'ores et déjà une envolée de la dette - qui dépassera largement les 80 % du PIB dès l'an prochain. Quant au déficit public, il pourrait être encore plus creusé que prévu, a prévenu cette semaine Christine Lagarde.

bce: previsions 2010

CE : maintien du taux à 1%

Guillaume Puech
03/09/2009 | Mise à jour : 15:12
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Crédits photo : AP

Jean-Claude Trichet a annoncé, à l'issue du conseil des gouverneurs européens, les grandes lignes de la politique monétaire de la zone euro pour les prochaines semaines.

«Les taux d'intérêt de la zone euro restent appropriés». C'est l'une des premières phrases de Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, lors de la conférence de presse à 14h30. Sans surprise, la BCE a décidé à l'unanimité de maintenir son princiipal taux directeur à 1%, son niveau de mai dernier. Un niveau historiquement bas qui devrait perdurer au moins un an. Entre octobre 2008 et mai dernier, le taux directeur, qui détermine les conditions de crédit, est passé de 4,25% à 1%.

Concernant les prévisions dans la zone Euro, Jean Claude trichet a adopté un ton rassurant. Selon ses propres termes, «l'économie en zone euro et ailleurs montre des signes croissants de stabilisation». Il a ajouté que «la période de forte contraction de l'économie a touché à sa fin». La BCE table sur une reprise «très progressive» de la conjoncture, même si «les incertitudes restent élevées».

A propos de l'infation, Jean Claude Trichet estime que les riques d'inflation restent «équilibrés». Il relève toutefois ses prévisions pour 2009 et 2010, en raison de la hausse des prix de l'énergie. En 2009, elle devrait se situerà +0,4%, contre +0,3% auparavant. En 2010, l'inflation devrait être plus importante, autour de +1,2%, contre +1% auparavant.

ROUBINI:RGE MONITOR 4 SET

http://www.rgemonitor.com/roubini-monitor

usa: unemployment non official, 16,4

The Ticker

Recession Pushes More Into Part-Time Work, Discouragement

Unemployed Americans are so discouraged about the prospect of finding a new job that they're checking out of the labor force at the highest and fastest rate in nearly 10 years. Further, the recession has forced more full-time workers into part-time slots than at any time over the past 15 years.

Those are the sobering conclusions drawn from some data analysis we did here at The Ticker, pegged to last week's unemployment report that showed July joblessness actually ticked down a little.

Despite this small reduction in the unemployment rate, our data show that things are no better for Americans who want full-time jobs but can't find them.

For this analysis, we compared two unemployment rates over the past several years: the official rate and the unofficial rate, which we write about every month here at The Ticker.

The resulting chart shows the gap between these two rates has widened to its highest level since 1994 during the current recession:

U.S Unemployment Chart

First, a word on the difference between the two rates:

-- The official rate -- which dropped to 9.4 percent in July from 9.5 percent in June -- is determined by a rotating monthly survey of 60,000 U.S. households performed by the Labor Department's Bureau of Labor Statistics, combined with jobs data sent in by employers. According to this measure, you are marked as "unemployed" if you're jobless and you meet certain criteria, including whether you looked for work in the previous four weeks.

-- The unofficial rate starts with the official rate and then adds in everyone else who should be working full-time but is not, including those whose hours have been reduced from full-time to part-time, those who have become so discouraged they have given up looking for work and others who are "marginally attached to the labor force." Many economists believe this rate is a truer measure of the health of the economy. In July, the rate dipped to 16.3 percent from its historic high (since 1994) of 16.5 percent in June.

Notice that the chart only goes back to 1994, so it covers only the two most recent recessions. I wanted to go back to 1970, which would have covered seven recessions, but the BLS changed the way it counts the unofficially unemployed in 1994, so that's as far back as I could go with a strict, apples-to-apples comparison.

Based on that, here's what our chart shows: The gap between the officially and unofficially employed in 2000 -- just before the recession caused by the dot-com crash and 9/11 -- was at its smallest. This means that if you were unemployed at this time, you were the most encouraged you'd been since 1994 that you'd find a new job.

That gap peaked in March of this year, and has backed off just a little since then. This means that more people who are unemployed now have checked out of the labor force and just given up looking for work. It also means that more full-time employees have been reduced to part-time workers, as we will see in a moment.

Official unemployment has risen swiftly from the beginning of the recession in December 2007 to now: From 4.9 percent to 9.4 percent in July.

But the rise in unofficial unemployment has been jaw-dropping: From 8.7 percent in December 2007 to 16.3 percent in July.

The rate has nearly doubled and the gap between the two measures has increased more swiftly than it did during the previous recession.

(The main reason I wanted this chart to go back farther was to capture the 1982-83 recession, when the official unemployment rate shot up to nearly 11 percent, the highest in nearly 40 years.)

So this chart is startling, to be sure. But what does it mean?

We pinged Harvard economist Lawrence Katz, a former chief economist at the Labor Department, to get his take on the data.

His takeaway: This recession has been so bad, that even after businesses have laid off workers, they've been forced to reduce many of their remaining employees from full-time to part-time status. That's what happens when you have to cut to the bone. And then keep cutting.

"Workers on short hours (the underemployed or the involuntary part-time) account for 5.6 percentage points of the 6.9 percentage point gap between the unofficial and official unemployment rate measure," he wrote us by e-mail, "while those who have dropped out (discouraged and other marginally attached workers) account for only 1.3 percentage points in the gap."

While it may be "only 1.3 percentage points," that still translates to 796,000 people, an increase of 335,000 from last year. That's a lot of people checking out of the labor force.

This number "is larger than the 2001 recession," Katz writes, "but we don't have comparable data for the 1982-83 recession since BLS tightened up on the definition of what is a discouraged worker" in 1994.

He did add, however, that if you look at the unofficial data from the 1982-83 recession (not an apples-to-apples comparison) it indicates that there were "much larger levels and increases" in discouraged workers in that recession than in this one. So, at least we've got that going for us.

As you may remember, unemployment benefits were extended earlier this year as part of the $787 billion stimulus bill. We wondered if this would disincentivize the jobless from looking for work because the unemployment checks keep rolling in.

But Katz says just the opposite is true.

"The increase in the length of unemployment benefits actually leads more people to continue to call themselves unemployed [as opposed to "discouraged"] and to stay connected to the labor force and searching for jobs," Katz writes. The unemployment benefit "extensions seem to be succeeding in keeping the unemployed attached to the labor force and not dropping out and going onto, say, disability programs."

Even if the recession ends in this quarter -- meaning positive growth in GDP -- unemployment is likely to continue to climb to at least 10 percent, economists and the White House say. Unemployment has continued to rise for several months after six of the past seven recessions. That's just what it does as a lagging indicator.

What we'll be watching for, however, is whether the gap between the officially and unofficially unemployed continues to grow. If it does, this recovery will take even longer than people think.

-- Frank Ahrens

cuba: menores restricciones

http://www.bbc.co.uk/mundo/america_latina/2009/09/090903_0113_cuba_menos_restricciones_rb.shtml?s

India y Brasil: azúcaR

http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/09/090903_0001_azucar_brasil_india_irm.shtml?s

USA:Nuevo récord de desempleo

http://www.bbc.co.uk/mundo/internacional/2009/09/090904_empleo_eeuu_cc.shtml?s

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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