SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

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13 ene 2009

crise: quels enseignements..?

Quels enseignements retenir de la crise financière et économique de 2008 ?
























Que peut-on retenir de la période de crise que nous traversons depuis l’été 2007 et qui s’est accélérée et aggravée depuis le 15 septembre 2008  ?
Il y a tant de leçons à tirer que je ne peux prétendre à l’exhaustivité. Je vais cependant faire part, dans ce texte court, de quelques remarques qui me semblent fondamentales.

L’avenir nous apprendra sans aucun doute encore beaucoup sur le passé, depuis au moins 30 années.
 
D’abord, la crise et surtout son ampleur n’ont été vraiment anticipées par personne. Ni les économistes observateurs spécialisés, ni les acteurs de cette économie. Or, s’il est de bon ton de stigmatiser une certaine incapacité sur ce point parmi les économistes qui sont supposés - selon quelques pourfendeurs récurrents - bons à rien ou presque, en revanche les acteurs de l’économie qui n’ont pas été plus perspicaces sont largement épargnés de ce point de vue.

Il serait plus convenable de pratiquer davantage la neutralité car, il me semble qu’il n’est pas constructif de critiquer sans cesse les uns pour leurs limites analytiques quand les autres ne font pas mieux. D’une part, nombre d’acteurs sont à l’origine de la crise et d’autre part, ils n’ont même pas anticipé le retour violent du boomerang, la crise et toute sa gravité.

Je reste convaincu que c’est bien de la complémentarité des points de vue qu’une meilleure compréhension des mécanismes économiques, financiers, monétaires, sociaux, …, peut provenir et favoriser l’émergence d’un système plus stable.
 
Ensuite, la crise financière qui a tout révélé, et non pas déclenché, a des causes microéconomiques et des origines macroéconomiques interdépendantes.
 
Du point de vu microéconomique, le comportement des banques en matière d’octroi de crédit n’a pas été à la hauteur des devoirs de précaution qui s’imposent, notamment en matière de solvabilité. En substituant une forme de solvabilité actif (patrimoine) à une forme de solvabilité revenu, les banquiers ont commencé à fabriquer les germes de leurs futures pertes. Une situation dans laquelle la solvabilité n’est assurée que dans la mesure ou l’actif acheté voit son prix augmenter n’est de facto pas durable car dès l’instant où les prix baissent, les défauts des emprunteurs augmentent … Lorsque l’effet de richesse se retourne, la pyramide tend à s’effondrer comme un vulgaire château de cartes.

De plus, la pratique d’une titrisation débridée des créances (afin d’obtenir une meilleure et plus grande répartition des risques en regroupant des créances à risque faible isolément, en se soustrayant aux contraintes prudentielles, …) en contribuant à faciliter et à accroître la distribution du crédit, a soutenu la dynamique de gonflement de la bulle immobilière et financière.

Si on ajoute à ceci la grande complexité des produits (ABS, MBS, CDS, …) qui ont porté la titrisation, produits si complexes que seuls quelques spécialistes y comprenaient quelque chose (et encore …), on comprend que les acteurs concernés (banques et autres instituions financières) ont joué un rôle majeur dans le déclenchement et la propagation de cette crise. En effet, la diffusion du risque via son partage et son émiettement par la titrisation ont rendu l’information sur le degré d’exposition à celui-ci d’une grande opacité. C’est le revers de la médaille de la titrisation, le côté obscur du système.

 Quand la confiance aveugle et panurgienne devient défiance généralisée, le mur est proche.

Comme plus personne ne savait qui possédait quoi, ni combien, les marchés se sont asséchés au sens ou lorsque la liquidité de marché tend vers zéro, plus personne ne peut vendre car personne ne souhaite acheter, et les prix des actifs immobiliers et financiers s’effondrent. Ceux-ci entrainent ipso facto dans leur sillage les bilans des sociétés concernées qui chutent successivement comme dans un jeu de dominos. Les pertes en capital se cumulent, la solvabilité se dégrade, les défauts se multiplient, la liquidité disparaît etc … La baisse entraîne la baisse comme la hausse suscitait de nouvelles hausses quelques semaines, mois, plus tôt.
 
Les problèmes microéconomiques évoqués – titrisation des créances basé sur des produits complexes, opacité sur les risques, solvabilité richesse, … - doivent être résolus tant au niveau des banques, des assureurs, des autres acteurs financiers que des régulateurs. Les responsabilités des acteurs privés sont suffisamment importantes pour ne point les ignorer ou les sous-estimer. D’ailleurs, la littérature économique abonde sur ces thèmes.
 
Pourtant, cette crise présente également des fondements macroéconomiques majeurs. En effet, les Etats et les banques centrales sont largement responsables de la persistance de déséquilibres financiers et monétaires internationaux qui portaient en eux, depuis des années, un potentiel de crise systémique. Néanmoins, le récent G20 n’en a rien dit !

Comment expliquer que les systèmes monétaires et financiers internationaux mis en place et maintenus par les Etats de l’OCDE, par les pays occidentaux, par les EU, l’UE et la ZE, les pays émergents et exportateurs de pétrole, …, puissent permettre que de tels déséquilibres persistent ?

Comment se fait-il que, paradoxalement, ce sont les excédents de la Chine et des pays exportateurs de pétrole qui financent le déficit des paiements des Etats-Unis ? Autrement dit, comment justifier à l’aune de la logique économique de base que ce sont les pays les moins développés, ceux ou les perspectives de rentabilité et de croissance sont les plus élevées, qui financent la croissance de l’économie la plus riche  ?

Le fait que le pays le plus riche, ayant un taux d’épargne quasiment nul, puisse consommer et investir de manière durablement excessive parce que des économies beaucoup moins développées épargnent énormément, mais investissent relativement peu au regard des besoins d’investissement qu’ils ont et transfèrent leurs capitaux vers les EU ou les agents peuvent ainsi continuer à consommer et investir comme des brutes, est une véritable énigme contemporaine.
 
Les excédents commerciaux de la Chine ont pour contrepartie un gonflement exponentiel des réserves de change de la banque centrale qui n’a pas hésité à acheter les dollars qu’elle recevait et des actifs en dollars en créant de la monnaie domestique pour éviter une appréciation du renminbi par rapport au dollar. Ce comportement en matière de change étant une conséquence de la crise monétaire et de change qu’ont connu de nombreuses économies asiatiques à la fin des années 90. L’objectif est non seulement de maintenir un haut degré de compétitivité prix, mais de surcroit, une plus grande capacité de défense du taux de change contre une éventuelle dépréciation brutale.
 
Or, ces dollars accumulés vont revenir vers les Etats-Unis. Ils vont venir gonfler la base monétaire et donc y alimenter la création monétaire. La combinaison d’une politique monétaire excessivement expansionniste (des taux d’intérêt durablement bas pour lutter contre la crise de la « Nouvelle économie » et des nouvelles technologies au tournant des années 2000) et l’afflux des dollars en provenance de Chine vers les EU a produit un excès durable de liquidité macroéconomique (monétaire) qui a entretenu les conditions pour le crédit facile, la titrisation, la demande d’actifs, le gonflement de bulles spéculatives, …., et finalement la crise actuelle dans toutes ses dimensions.
 
En résumé, c’est bien la combinaison de déséquilibres monétaires et financiers internationaux et de comportements inappropriés au niveau microéconomique qui est responsable du déclenchement de la crise, de sa propagation et de son ampleur.
 
Nous pouvons clairement déduire de cet épisode, en cours, qu’un régime de croissance basé sur l’endettement privé est insoutenable à moyen terme. Il n’est pas possible de soutenir durablement la croissance d’une économie dans laquelle les inégalités de revenu se sont accrues, une économie ou le seul moyen de maintenir un haut niveau de consommation, de croissance, est de permettre l’endettement des plus pauvres. Soutenir la consommation via l’effet de richesse (lié à la hausse des cours des actifs acquis) quand les gains de productivité d’une économie ne suffisent plus à augmenter simultanément les profits et les salaires réels (pourvoir d’achat) ne peut être une solution durable. L’endettement ne peut résoudre le problème des inégalités.
 
En conclusion, il me semble que les problèmes financiers, monétaires, économiques et sociaux du monde ne pourront être résolus tant que les Etats, la puissance publique, ne mettront pas collectivement en place un système dans lequel les déséquilibres macroéconomiques de grande ampleur aux niveaux nationaux, régionaux et mondiaux, ne seront plus soutenables. Il est indispensable de repenser et changer non seulement les principes de fonctionnement des acteurs au niveau macroéconomique mais également au niveau microéconomique. Ces changements doivent s’opérer à un niveau global car la globalisation, et les interdépendances qu’elle crée, impose des réponses concertées et coordonnées face aux risques de déflation et de dépression.
 
Si la globalisation pose des problèmes multiples et indiscutables de divers points de vue, il ne me semble pas pertinent d’en déduire que c’est la fin de l’histoire pour le triangle Economie de Marché - Capitalisme - Démocratie. S’il est facile de tirer sur l’ambulance, de « trouver » des coupables et responsables, il est beaucoup plus difficile ensuite de proposer un système de remplacement qui soit cohérent, réalisable et qui ne relève pas que de la chimère, de l’utopie, de l’incantation.
 
In fine, il y a donc loin de la coupe des critiques aux lèvres des propositions…
 

BOLSA:GRANDES PERDEDORES

October 9, 20086:43 PM

biggest-losers.jpg

It was exactly a year ago (give or take a day) when the Dow Jones Industrial Average established its all-time high of 14,279. Friday morning it will open at 8,579—a 40 percent drop. Most of us whose meager wealth is tied up in 401(k) plans have suffered a beating of similar magnitude. But just how have the obscenely affluent fared? VF.com took a look at the nation's 25 richest people whose fortunes are primarily derived from one or two publicly traded stocks.

The result? Not so great! On top of the list (or the bottom, depending on how you look at it) is Sheldon Adelson. The cantankerous casino mogul's shares in his Las Vegas Sands have plummeted 91 percent since reaching their peak last October, shedding a staggering $24.8 billion from his net worth. The collective fortune of Google's founding wunderkinds, Sergey Brin and Larry Page, dropped $12 billion. Even Wall Street savior Warren Buffett got whacked, giving up $16.3 billion of his considerable paper wealth.

And you thought you were taking it on the chin.


NameCompanyBillions Lost/$Peak Value/$Current Value/$% Loss
Sheldon AdelsonLas Vegas Sands24.927.52.691%
Walton clanWal-Mart21.1108.086.919%
Warren BuffettBerkshire Hathaway16.366.049.725%
Sergey Brin & Larry PageGoogle12.121.69.556%
Bill GatesMicrosoft12.029.717.740%
Larry EllisonOracle8.527.118.631%
Charles & Rupert JohnsonFranklin Resources8.513.34.864%
Harold HammContinental Resouces7.610.32.774%
Steve BallmerMicrosoft6.215.39.140%
Stephen SchwarzmanBlackstone
Group
4.96.92.071%
Rupert MurdochNews Corp.4.87.62.863%
Charles SchwabCharles Schwab4.68.13.557%
Micky ArisonCarnival Cruise Line4.59.75.246%
Jeff BezosAmazon4.510.05.545%
Pierre OmidyareBay4.47.22.861%
Michael DellDell4.27.63.456%
Daniel OchsOchs Ziff4.15.00.982%
Sumner RedstoneCBS, Via3.66.02.460%
Steve WynnWynn Resorts2.94.31.468%
Tom WardSandRidge Energy2.42.90.582%
Steve JobsApple, Dis2.34.92.646%
Mitchell & Steven RalesDanaher2.25.53.340%
Gordon MooreIntel2.14.82.744%
Ronda Stryker & familyStryker Corp.2.16.44.333%
Dan DuncanEnterprsie Products2.04.92.942%


Photo illustration by Hamish Robertson.

Photo credits: Bill Gates by Andy Mettler; Sergey Brin by James Duncan Davidson/O'Reilly Media; all others from AP Photos.

ALEMANIA:RELANZAMIENTO ANTICRISIS

Alemania aprueba mayor paquete de estímulo económico desde posguerra

20:52 | El paquete prevé entre otras cosas reducciones de impuestos y de cargas para los ciudadanos y la economía por un valor de unos 12 mil millones de dólares

Berlín (dpa) - El gobierno de coalición de la canciller alemana, Angela Merkel, aprobó hoy el mayor paquete de medidas coyunturales en la historia de Alemania desde la posguerra por un valor de hasta 50.000 millones de euros (66.700 millones de dólares). 

Las cúpulas de la Unión Cristiano Demócrata (CDU) de Merkel, su partido hermano de Baviera, la Unión Cristiano Social (CSU) y el Partido Socialdemócrata Alemán (SPD) acordaron hoy por la noche en Berlín un segundo paquete de medidas coyunturales. 

El paquete prevé entre otras cosas reducciones de impuestos y de cargas para los ciudadanos y la economía por un valor de unos 9.000 millones de euros (12.000 millones de dólares). Las reducciones impositivas se implementarán el 1 de julio. 

Los políticos de la Unión y el SPD acordaron entre otras cosas un apoyo único para las familias en el marco de la crisis económica. Habrá, por ejemplo, un bono de 100 euros (133 dólares) por cada niño. Las cúpulas de la coalición también acordaron un pacto de inversiones de unos 18.000 millones de euros (24.067 de dólares). También se prevé un paraguas protector para empresas que tienen problemas para obtener créditos. 

El gobierno alemán lanzó un primer plan de rescate bancario en octubre para mermar la falta de liquidez en el mercado interbancario. Dicho fondo integra garantías de 400.000 millones de euros (casi 545.000 millones de dólares al cambio actual) y créditos directos de 80.0000 millones de euros (más de 109.000 millones de dólares). 

Tras ello, en noviembre aprobó un primer paquete de estímulo económico por valor de unos 31.000 millones de euros (42.000 millones de dólares). Sin embargo, los expertos lo estimaron insuficiente para revivir la economía porque incluía únicamente unos 12.000 millones de euros (16.000 millones de dólares) en nuevos gastos. 

El martes por la tarde está anunciada una rueda de prensa en Berlín en la que Merkel, el ministro alemán de Relaciones Exteriores, Frank Walter Steinemeier, y el jefe de la CSU y primer ministro bávaro, Horst Seehofer, detallarán los resultados obtenidos en las negociaciones de ho

AFPS:CHILE PIERDE 25 MIL MILLONES DOLARES

Los fondos de pensiones chilenos pierden 25 mil millones de dólares

21:13 | Como consecuencia del derrumbe de los mercados bursátiles por la crisis internacional, informó hoy la superintendencia de esos organismos privados

Santiago de Chile (AP) - Los fondos de pensiones de unos 8,3 millones de chilenos perdieron hasta un 40% durante 2008 --unos 25.000 millones de dólares-- como consecuencia del derrumbe de los mercados bursátiles por la crisis internacional, informó el lunes la superintendencia de esos organismos privados. 

Descontada la pérdida del último año, los fondos acumulan actualmente unos 69.000 millones de dólares, agregó el organismo supervisor. 

Los ahorros previsionales de los trabajadores están depositados en cinco fondos de las cinco administradoras privadas. 
Según la información oficial, el fondo A, perdió 40,26%; el fondo B, un 30,06%; el C, que es donde están depositados los mayores recursos, perdió 18,94%. El fondo D, tuvo una rentabilidad negativa del 9,86% y el E 0,93%. Este último es el de menor riesgo por estar sus fondos depositados en documentos de renta fija. 

La superintendenta de las administradoras de fondos de pensiones, Solange Berstein, al entregar los resultados del año anterior dijo que "la crisis mundial impactó de manera importante a los fondos previsionales". 

La fuerte caída de los fondos de pensiones hizo que parlamentarios pidieran una investigación y una mayor fiscalización de las cinco empresas privadas que administran los fondos. 

Los defensores del sistema privado de pensiones, creado en 1981 durante la dictadura de Augusto Pinochet, sostienen que en su conjunto la rentabilidad desde su creación ha sido del 8%. 

La superintendencia informó que, en todo caso, en diciembre la rentabilidad de los fondos fue levemente positiva. 

El economista Guillermo Pattillo, de la Universidad de Santiago, señaló a la AP que el panorama para este año tampoco es favorable, "pero si uno mira en espacios largos sin duda la rentabilidad del sistema de pensiones y de los distintos fondos es claramente positiva y en mejor promedio que las alternativas viables". 

Agregó que ahora la discusión es cómo disminuir los riesgos. 

Pattillo manifestó que la negativa rentabilidad del sistema no afectará el mecanismo de pensiones solidarias otorgada a partir de julio por el gobierno y que permitirá otorgar recursos a casi un millón de personas mayores de edad y de menores ingresos. 

La reforma previsional que entró en vigencia a mediados del año pasado y que estableció un sistema de pensiones solidario con financiamiento estatal, aumentó al 45% los recursos acumulados que las administradoras de los fondos de pensiones pueden depositar en el exterior. La medida apuntó a aumentar la rentabilidad de los fondos, pero la crisis internacional frustró ese propósito. 

Aunque discutido, el sistema de capitalización individual es defendido actualmente por los gremios. La Central Unitaria de Trabajadores (CUT), la principal organización laboral del país, sin embargo, pretendió el mes pasado mediante un recurso judicial a que las cinco administradoras asumieran las pérdidas y devolvieran a los trabajadores los recursos perdidos. Pero la justicia rechazó su recurso. 

Al sistema privado de pensiones pertenece la gran mayoría de los trabajadores chilenos y sólo algunos miles que resistieron las tentaciones cuando se creó se mantienen en el antiguo sistema estatal. 

También las fuerzas armadas tienen un mecanismo en manos del estado que le implica millonarios aportes para solventarlo. Todos los trabajadores que comienzan sus cotizaciones previsionales deben hacerlo en algunas de las cinco administradoras.

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NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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