SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


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25 nov 2008

CHINE:DESACELERATION

FP

"L'économie chinoise s'est modérée pour atteindre un rythme plus viable", affirme la Banque Mondiale, qui prend en compte les effets de la crise dans ses ddernières prévisions de croissance pour 2009: 7,5%, contre 9,2% initialement.

La Banque mondiale revoit ses prévisions en baisse pour 2009. La hausse du PIB chinois devrait être limitée à 7,5%, contre 9,2% initialement. Pékin a mis en place un plan de relance géant.

La Banque mondiale a revu sensiblement à la baisse mardi les prévisions de croissance en Chine en 2009, à +7,5%, contre initialement 9,2%, son plus faible niveau en 19 ans, dans son rapport trimestriel sur l'économie chinoise.

"L'économie chinoise s'est modérée pour atteindre un rythme plus viable", a affirmé la Banque Mondiale, qui prend en compte les effets de la crise mondiale.

L'institution table désormais sur un produit intérieur brut en hausse de 9,4% cette année, contre 9,8% dans son précédent rapport trimestriel, après le bond de de 11,9% en 2007 en glissement annuel, qui avait marqué la cinquième année consécutive de croissance à deux chiffres.

Le mois dernier, son économiste en chef, le Chinois Lin Yifu, avait estimé qu'"il devrait y avoir une correction de deux à trois points de pourcentage, par rapport à la croissance passée à deux chiffres".

Le gouvernement, qui depuis plusieurs années se fixe un objectif de croissance de 8%, estime que l'économie chinoise devrait encore progresser de 8 à 9% l'année prochaine, selon de récentes déclarations de ses responsables, dont le gouverneur de la Banque centrale Zhou Xiaochuan.

Mais Louis Kuijs, économiste de la Banque Mondiale à Pékin, a mis l'accent sur les facteurs intérieurs et extérieurs de ralentissement.

"Les perspectives pour l'économie mondiale sont plus faibles qu'il y a six mois. De plus, la décélération intérieure a été plus prononcée", a-t-il déclaré, en présentant le rapport.

Pour la Banque mondiale, la faiblesse du marché immobilier "largement due aux mesures de contrôle macroéconomiques" des dernières années fait notamment sentir son impact.

L'investissement privé devrait être tiré à la baisse "par la faiblesse persistante" de ce secteur immobilier, ainsi que par "les perspectives extérieures non favorables", ajoute-t-elle.

Mais la BM note aussi que, dans ce contexte, Pékin a pris des mesures depuis l'été 2008 pour soutenir la croissance et "des positions macroéconomiques plus expansionnistes" tandis que "les plus fortes dépenses d'investissements vont jouer un rôle clef en 2009".

Il y a deux semaines, la Chine a annoncé un plan de relance de 4.000 milliards de yuans (586 milliards de dollars) jusqu'à la fin 2010 visant à stimuler investissements et demande intérieure.

Ce plan intervient alors que la croissance est tombée à 9% au 3e trimestre, son plus faible niveau trimestriel en cinq ans.

Depuis 1991, la Chine connaît des taux de croissance compris en 8% et quelque 14%, hormis en 1998-1999 où le rythme avait été de +7,8% et +7,6%.

Une croissance à 7,5% marquerait la plus faible augmentation du PIB depuis 1990, année suivant la violente répression des manifestations en faveur de la démocratie de la place Tiananmen, à Pékin. La Chine alors isolée au plan international avait vu son PIB croître de seulement 3,8% en 1990.

EURO: PLAN ANTICRISE

Pays par pays, les plans anti-crise en Europe

Par LEXPRESS.fr, publié le 24/11/2008 16:44 - mis à jour le 24/11/2008 18:31


La France a annoncé son plan anti-crise dès le mois d'octobre, tandis que l'Italie tarde encore à finaliser le sien. Alors que Bruxelles doit présenter mercredi un plan concerté de l'ordre de 130 milliards d'euros, LEXPRESS.fr le point sur les mesures, programmées ou annoncées, des principaux Etats membres.

Voici les principales mesures nationales de soutien à l'activité économique annoncées ou programmées jusqu'ici par les principaux pays européens, alors que la Commission européenne doit annoncer mercredi un plan concerté de l'UE de l'ordre de 130 milliards d'euros.

Grande-Bretagne
Le gouvernement doit annoncer des allègements fiscaux pour 15 ou 16 milliards de livres (18 à 19,2 milliards d'euros), avec principalement une baisse de 2,5 points de la TVA, qui passerait ainsi de 17,5% à 15%. Londres envisage aussi l'extension d'un abattement fiscal de 120 livres par an consenti aux contribuables les plus modestes, ou un report du projet d'augmenter le taux de l'impôt sur les plus petites sociétés.

Allemagne
Quinze mesures adoptées début novembre, parmi lesquelles une exonération de taxe sur les achats de voitures neuves ou encore un renforcement des aides au financement des PME. En octobre, l'Allemagne avait préalablement annoncé des baisses de cotisations sociales ou encore une augmentation des allocations pour les jeunes enfants. Berlin estime l'enveloppe à 32 milliards d'euros sur deux ans, soit 1,3% du PIB national.

France
Plan de soutien annoncé le mois dernier de 22 milliards d'euros pour aider au financement des PME, et exonération totale de la taxe professionnelle jusqu'au 1er janvier 2010 pour les nouveaux investissements des entreprises en France (coût: un milliard d'euros par an). Paris veut créer un fonds souverain national ("Fonds stratégique d'investissement") doté de 20 milliards d'euros et destiné à soutenir l'industrie du pays dans la crise et à défendre les secteurs stratégiques contre tout "prédateur" étranger.

Italie
Plan anti-crise en préparation que Rome chiffre à 80 milliards d'euros. Mais l'opposition dénonce le fait que l'utilisation de la majeure partie de ces fonds était déjà prévue avant. Il s'agit d'aider les familles à faibles revenus (chèque de bonus, réduction des factures d'électricité et de gaz, carte prépayée pour les biens de première nécessité), les entreprises (déductions fiscales, augmentation des ressources du fonds de financement du chômage technique). Et de financer des projets d'infrastructure.

Espagne
Le gouvernement compte dévoiler jeudi les détails d'un plan d'investissements publics contre le chômage, d'un montant non précisé (accélération du rythme des grands travaux et soutien au secteur automobile).

Pays-Bas
Le gouvernement vient d'annoncer des mesures, fiscales notamment, pour soutenir leurs entreprises d'un montant de six milliards d'euros, soit 1% de leur produit intérieur brut (PIB). Il est aussi prévu une indemnisation partielle, sous conditions, des salariés au chômage technique en raison de la situation économique.

Hongrie
Le gouvernement a présenté mi-novembre un plan d'aide de 1.400 milliards de forints (5,4 milliards d'euros) sur deux ans pour aider les entreprises face à la crise. Le programme prévoit pour les PME des aides, garanties de crédit et taux d'intérêt préférentiels. Des baisses de charges sociales sont aussi programmées.

Autriche
Les partis social-démocrate et conservateur autrichiens prévoient un programme de relance de plus de trois milliards d'euros dans leur accord de gouvernement conclu dimanche. Il inclut 2,2 milliards d'allègements fiscaux dès 2009.

EURO: PLAN ANTICRISE

Pays par pays, les plans anti-crise en Europe

Par LEXPRESS.fr, publié le 24/11/2008 16:44 - mis à jour le 24/11/2008 18:31


La France a annoncé son plan anti-crise dès le mois d'octobre, tandis que l'Italie tarde encore à finaliser le sien. Alors que Bruxelles doit présenter mercredi un plan concerté de l'ordre de 130 milliards d'euros, LEXPRESS.fr le point sur les mesures, programmées ou annoncées, des principaux Etats membres.

Voici les principales mesures nationales de soutien à l'activité économique annoncées ou programmées jusqu'ici par les principaux pays européens, alors que la Commission européenne doit annoncer mercredi un plan concerté de l'UE de l'ordre de 130 milliards d'euros.

Grande-Bretagne
Le gouvernement doit annoncer des allègements fiscaux pour 15 ou 16 milliards de livres (18 à 19,2 milliards d'euros), avec principalement une baisse de 2,5 points de la TVA, qui passerait ainsi de 17,5% à 15%. Londres envisage aussi l'extension d'un abattement fiscal de 120 livres par an consenti aux contribuables les plus modestes, ou un report du projet d'augmenter le taux de l'impôt sur les plus petites sociétés.

Allemagne
Quinze mesures adoptées début novembre, parmi lesquelles une exonération de taxe sur les achats de voitures neuves ou encore un renforcement des aides au financement des PME. En octobre, l'Allemagne avait préalablement annoncé des baisses de cotisations sociales ou encore une augmentation des allocations pour les jeunes enfants. Berlin estime l'enveloppe à 32 milliards d'euros sur deux ans, soit 1,3% du PIB national.

France
Plan de soutien annoncé le mois dernier de 22 milliards d'euros pour aider au financement des PME, et exonération totale de la taxe professionnelle jusqu'au 1er janvier 2010 pour les nouveaux investissements des entreprises en France (coût: un milliard d'euros par an). Paris veut créer un fonds souverain national ("Fonds stratégique d'investissement") doté de 20 milliards d'euros et destiné à soutenir l'industrie du pays dans la crise et à défendre les secteurs stratégiques contre tout "prédateur" étranger.

Italie
Plan anti-crise en préparation que Rome chiffre à 80 milliards d'euros. Mais l'opposition dénonce le fait que l'utilisation de la majeure partie de ces fonds était déjà prévue avant. Il s'agit d'aider les familles à faibles revenus (chèque de bonus, réduction des factures d'électricité et de gaz, carte prépayée pour les biens de première nécessité), les entreprises (déductions fiscales, augmentation des ressources du fonds de financement du chômage technique). Et de financer des projets d'infrastructure.

Espagne
Le gouvernement compte dévoiler jeudi les détails d'un plan d'investissements publics contre le chômage, d'un montant non précisé (accélération du rythme des grands travaux et soutien au secteur automobile).

Pays-Bas
Le gouvernement vient d'annoncer des mesures, fiscales notamment, pour soutenir leurs entreprises d'un montant de six milliards d'euros, soit 1% de leur produit intérieur brut (PIB). Il est aussi prévu une indemnisation partielle, sous conditions, des salariés au chômage technique en raison de la situation économique.

Hongrie
Le gouvernement a présenté mi-novembre un plan d'aide de 1.400 milliards de forints (5,4 milliards d'euros) sur deux ans pour aider les entreprises face à la crise. Le programme prévoit pour les PME des aides, garanties de crédit et taux d'intérêt préférentiels. Des baisses de charges sociales sont aussi programmées.

Autriche
Les partis social-démocrate et conservateur autrichiens prévoient un programme de relance de plus de trois milliards d'euros dans leur accord de gouvernement conclu dimanche. Il inclut 2,2 milliards d'allègements fiscaux dès 2009.

FRANCE:RECESSION 2009

La France connaîtra la récession en 2009, estime l'OCDE

[ 25/11/08 - 11H18 - actualisé à 12:49:00 ]

L'Organisation pour la coopération et le développement économiques voit le PIB français reculer de 0,4% l'année prochaine, avant de se redresser en 2010 (+1,5%). Le déficit public passerait à 3,7% du PIB en 2009, puis à 3,9% en 2010, et le taux de chômage monterait à 8,2%.

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La crise financière internationale devrait plonger la France dans la récession en 2009, avec un recul du PIB de 0,4% et un taux de chômage à 8,2% de la population active, creusant nettement le déficit public, selon les perspectives de l'OCDE publiées mardi.

Selon l'Organisation pour la coopération et le développement économiques, qui publie également ce jour une série de prévisions prévoyant une récession sévère sur les pays de la zone OCDE, la croissance française serait de seulement 0,9% en 2008. Le PIB reculerait ensuite de 0,4%, avant de se redresser fortement en 2010 (+1,5%). Le gouvernement français table pour sa part sur une croissance comprise entre 0,2 et 0,5% en 2009, et de 2,0% en 2010.

Ce "repli marqué de l'activité en 2008 et 2009 devrait entamer sensiblement les recettes budgétaires, notamment les rentrées d'impôts sur les bénéfices", tandis que "la montée du chômage exerce des pressions à la hausse sur les dépenses sociales", analyse l'OCDE.

Le déficit public (Etat, sécurité sociale et collectivités locales) devrait passer de 2,9% du PIB cette année à 3,7% l'an prochain, puis à 3,9% en 2010, bien au-delà de la limite de 3% autorisée par la Commission européenne. Dans le même temps, la dette publique devrait dépasser 70% du PIB d'ici 2010 alors que le pacte de stabilité européen préconise un taux de 60% au plus. L'objectif du gouvernement français est de ramener le déficit public à 2,7% du PIB en 2010, après l'avoir laissé se creuser à 3,1% en 2009 en raison de l'impact de la crise sur les finances publiques. (source AFP)

USA: 800 M CONTRE LA DEFLATION

Etats-Unis : plan de relance de 800 milliards de dollars

Six cents milliards de dollars sont destinés à soutenir le financement de l'immobilier et 200 milliards sont dirigés vers les consommateurs et les petites entreprises. Ce plan complète le plan à 700 milliards de sauvetage du système financier.

Après avoir injecté du capital dans la plupart des grandes banques américaines, puis, ces derniers jours, sauvé Citigroup de la déroute, l'administration Bush lance une bouée de sauvetage en direction du marché immobilier, du crédit à la consommation et des petites entreprises.

Son nouveau plan de 800 milliards est destiné à venir plus directement à la rescousse de l'économie, son plan précédant à 700 milliards étant destiné à s'assurer de la solidité du système financier. Les marchés financiers semblent apprécier la nouvelle à quelques minutes de l'ouverture de Wall Street.

La Réserve fédérale américaine a ainsi annoncé un plan de 600 milliards de dollars pour racheter de la dette immobilière et de la dette immobilière titrisée. Elle a également annoncé que 200 milliards de dollars seraient débloqués pour soutenir le crédit à la consommation et les petites entreprises.

Le but est désormais de relancer le marché du crédit et d'éviter que la déflation ne s'empare de l'économie et ne paralyse toute l'activité. Il y a six ans, Ben Bernanke avait, dans un discours devenu célèbre, théorisé tous les moyens dont disposaient les autorités monétaires pour lutter contre cette menace : Deflation : Making Sure "It" Doesn't Happen Here (S'assurer que cela ne se produise pas ici).

L'annonce du plan de l'administration Bush intervient alors que l'équipe économique de Barack Obama a laissé comprendre à la presse américaine que le président-élu travaillait sur un vaste plan de soutien à l'économie à mettre en place le plus tôt possible.

Concrètement, la Réserve fédérale va acheter 100 milliards d'obligations émises par Fannie Mae, Freddie Mac et les autres établissements de financement de l'immobilier bénéficiant du soutien implicite de l'Etat (Federal Home Loan Banks, FHLB). Elle achètera également jusqu'à 500 milliards de prêts immobiliers titrisés (c'est-à-dire transformés en titres financiers négociables sur des marchés) garantis par Fannie Mae et Freddie Mac.

Fannie et Freddie sont des agences gouvernementales de refinancement de l'immobilier : elles achètent des prêts immobiliers, les regroupent et les saucissonnent pour les revendre à des investisseurs. Elles étaient autrefois à capitaux privés mais ont été nationalisées suite à la débâcle de la crise du subprime. Elles continuent à garantir environ un tiers des emprunts immobiliers en circulation qui s'élèvent à plus de 10.000 milliards de dollars.

L'administration Bush espère que ces dispositifs soutiendront le marché immobilier, donc les banques qui détiennent des dettes adossées à de l'immobilier et par ricochet l'ensemble des marchés.

Par ailleurs, la Fed va prêter jusqu'à 200 milliards de dollars aux détenteurs de titres financiers notés AAA (la meilleure note des agences de notation) adossés sur divers titres de prêts : des prêts à la consommation, des prêts étudiants, des prêts contractés par le biais de cartes de crédit et des prêts garantis par le Small Business Act, c'est-à-dire le programme gouvernemental destiné à favoriser les PME américaines. Le but de ce deuxième volet est notamment de soutenir la consommation. Le consommateur américain a longtemps été la locomotive de l'économie mondiale. Il donne aujourd'hui des signes de fatigue.

L'économie américaine a décru de 0,5 % au troisième trimestre, contre 0,3% estimé auparavant, a-t-on appris aujourd'hui. L'aggravation est due à des chiffres d'évolution de la consommation plus mauvais que prévu. Les achats de bien non-durables ont chuté de 7% et ceux de bien durables de 15%.

PERU: BALANCE APEC, CANCILLER

APEC ha sido un referente para todos', dice el canciller

8:05 | El canciller peruano dice que en la reunión de Lima el 51% de las economías que manejan el comercio en el mundo marcó la pauta del camino por seguir para superar la crisis

Por Carlos Novoa Shuña

Satisfecho por los resultados no solo de la reciente cumbre del APEC, sino también de la del ALC-UE (países de América Latina y Europa), el ministro de Relaciones Exteriores, José Antonio García Belaunde, hace un balance de lo que han significado estas reuniones realizadas en el Perú. El canciller también se refiere a los resultados de las citas bilaterales entre el presidente Alan García y los jefes de Estado de China, Japón, Corea del Sur, Estados Unidos, Rusia, Chile, entre otros.

¿Qué le dejan en concreto las reuniones de APEC y el ALC-UE al Perú?
Estas reuniones nos han expuesto ante el mundo y hemos sabido demostrar que no solo sabemos organizar una cumbre, porque se desarrolló de forma impecable, sin ningún incidente, sino que además hemos ofrecido la imagen de un país que, en medio de esta crisis financiera, apuesta por el futuro, es optimista y un buen lugar para la inversión y para el turismo. Fue una puesta en valor de lo mejor que tiene el Perú.

En lo que al APEC se refiere, ¿cuál es el balance general desde su perspectiva?
Hay tres mensajes importantes. El primero es la convicción de los 21 países de usar todos los mecanismos a su disposición para hacer políticas contracíclicas que eviten que se profundice la recesión. El segundo es que este es un fenómeno global y todos debemos actuar coordinadamente. Todos vamos a hacer lo mismo. El tercero es que todos estamos de acuerdo en evitar la gran tentación de volver al proteccionismo. Otro tema en el que estamos de acuerdo es el asunto de la pobreza, que debemos afrontar los países si queremos seguir avanzando.

El tema de la pobreza siempre se pone de manifiesto en las reuniones de jefes de Estado. ¿Pero cómo plasmar en la práctica lo que está escrito en un papel?
Yo diría que más inversión, más comercio generan más trabajo y también mayor capacidad de los estados de actuar en programas sociales de salud o educación. A la gente le decimos: "Mire, esta es la crisis, vamos a seguir invirtiendo en la gente, en el pueblo. Vamos a seguir invirtiendo en los programas sociales, en actividades que generan empleo como son la construcción de puentes, de carreteras, es decir, desarrollo de infraestructura". Si el Estado asume mayor compromiso con la inversión social, entonces generará trabajo.

¿Qué ha dejado la cumbre del APEC en el Perú con respecto a los APEC de años anteriores?
Probablemente, fijar una presencia más gravitante del APEC, que viene después de la reunión del Grupo de los 20 (G-20). Cierto es que nueve de los 21 líderes que estuvieron en Lima participaron del G-20 en Washington. De alguna forma, estos líderes marcan la pauta cuando salen a decir que se va a derrotar la crisis y se va a hacer manteniendo la economía abierta, manteniendo el fomento a la inversión. De alguna manera, el 51% del producto bruto interno del mundo y el 51% del comercio del mundo (que representa a las economías que estuvieron en el APEC de Lima) están diciendo que este es el camino por seguir y por allí vamos.

Una de las principales conclusiones del APEC ha sido la defensa del libre comercio frente al proteccionismo. ¿Esta es la única alternativa para salir de la crisis? Le digo esto teniendo en cuenta que en el APEC han participado países con discrepancias ideológicas...
No. Lo que pasa es que el mensaje era importante porque una crisis llama en muchos sectores al proteccionismo. La crisis de 1930 terminó en un gran proteccionismo, en cierre de mercados, subsidios, devaluaciones artificiales y cosas por el estilo. En el APEC hemos dicho: no caigamos en la tentación proteccionista porque eso agrava la crisis. La crisis se tiene que superar con una gran participación de los gobiernos, tanto por la vía financiera, es decir inyectando dinero, como por la vía de los mensajes claros que se deben dar. Aquí el elemento fundamental es la confianza. La gente debe tener confianza y para eso están los líderes políticos que deben dar confianza a sus pueblos.

¿Cree que esta receta del APEC será tomada en cuenta por los países que no forman parte de este foro?
No creo que (lo hagan) los países europeos porque ellos tienen sus mecanismos muy institucionalizados, pero sí países o economías emergentes como Colombia, que comparte la filosofía del APEC. Colombia es un buen ejemplo de que el APEC termina siendo un referente para todos.

- "Hemos recuperado la relación con Japón"
¿Qué nos dejan en concreto las reuniones bilaterales que sostuvo el presidente García con otro jefes de Estado?
Con China se concluyeron las negociaciones para un acuerdo de libre comercio, vamos a tener ese acuerdo con ellos. Pero, además, se acordó una operación de financiamiento de Chinalco para la explotación del yacimiento de Toromocho por 2.200 millones de dólares. Luego nos reunimos con Corea del Sur. Hemos renovado la cooperación, son 10 millones de dólares bien orientados que nos llegan anualmente y es cooperación no reembolsable.

El primer ministro japonés, Taro Aso, hizo referencia a acuerdos con el Perú.
La visita del jefe de Estado de Japón es muy importante porque hemos recuperado una buena relación que estuvo deteriorada. Primero firmamos un acuerdo de cooperación por casi 200 millones de dólares para el proyecto Agua para Todos. Es decir, agua y alcantarillado en Huánuco, Cajamarca, Loreto, en Lima mismo. Además, durante dos años le planteamos a Japón la conveniencia de firmar un acuerdo de libre comercio y ahora Japón ha dicho que está dispuesto a considerarlo. Luego, tuvimos una larga entrevista de trabajo con el presidente Bush para ver los detalles de la implementación del TLC con EE.UU.

¿Cuánto mejoró la relación con Chile?
Con la presidenta Michelle Bachelet hay una relación fluida, sin problemas en comercio, las inversiones siguen viniendo. Las discrepancias en el tema marítimo están ubicadas en la Corte de La Haya, y al mismo tiempo la relación está marchando bien.

PARAISOS FISCALES

VER EN MAPAS

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PERU: NUEVO SOL SE APRECIA

Nuevo sol cerró en 3,095/ 3,097 unidades por dólar

16:31 | "La mejora de la moneda local fue por las noticias positivas de afuera", indicaron expertos

(Reuters).- La moneda peruana se apreció el lunes un 0,16 por ciento frente al dólar, siguiendo el curso alcista de las divisas y bolsas regionales, animada por la noticia de un plan de Washington para inyectar 20.000 millones de dólares y rescatar al banco Citigroup, dijeron operadores.

Al término de la jornada, el sol marcó 3,095/3,097 soles por dólar, frente a las 3,101/3,102 unidades del cierre previo, con negocios entre bancos por unos 145 millones de dólares, sin considerar transacciones bilaterales.

"La mejora del sol fue por las noticias positivas de afuera. Luego salió algo de demanda de dólares de corporativos que por el nivel del tipo de cambio se animaron a comprar. El mercado ha estado mixto, con flujos de ambos lados", expresó un agente de cambios.

Operadores habían advertido que la baja del precio del dólar podría atraer flujos de demanda del billete verde de clientes corporativos, lo que ocurrió efectivamente durante la última hora de la sesión, recortando las ganancias del sol.

El mercado de cambios peruano reanudó el lunes la actividad, tras permanecer cerrado el jueves y el viernes, debido a los feriados que decretó el Gobierno por la celebración en Lima de la cumbre de Cooperación Económica Asia-Pacífico (APEC).

En tanto, las principales monedas de la región se apreciaron el lunes, en línea con la mejora de los mercados bursátiles.

De otro lado, el Banco Central local inyectó liquidez en soles en el mercado mediante la colocación de tres préstamos Repo por 3.090 millones de soles, en un sistema financiero que inició con una liquidez negativa de 2.200 millones de soles.

El tipo de cambio en el mercado informal de Lima se ubicó el lunes en 3,091/3,098 soles por dólar. En las ventanillas de los bancos, el precio fue de 3,000/3,190 soles por dólar.

El sol peruano se ha depreciado este año un 3,27 por ciento, tras haber alcanzado ganancias de hasta un 10,14 por ciento frente al dólar en abril.

PETROLEO:El barril de petróleo subió 9,2% y cerró a 54,5 dólares en Nueva York

18:24 | Los precios de los combustibles también mostraron una fuerte tendencia al alza en la primera sesión de esta semana

Nueva York (EFE).- El barril de crudo de Texas se encareció hoy un 9,2 por ciento y finalizó a 54,5 dólares por barril (159 litros) en Nueva York, en paralelo al alza que registraba la Bolsa de Wall Street y al debilitamiento del dólar frente al euro y otras divisas.

Al concluir la sesión en la Bolsa Mercantil de Nueva York (Nymex), los contratos de Petróleo Intermedio de Texas (WTI) para entrega en enero sumaban 4,57 dólares por barril al precio al que cerraron el pasado viernes (49,93) y acababan con un coste similar al que tenían hace una semana.

Los precios de los combustibles también mostraron una fuerte tendencia al alza en la primera sesión de esta semana, en la que el mercado estará inactivo el jueves, por conmemorarse en Estados Unidos el día de Acción de Gracias.

Los contratos de gasolina para entrega en diciembre se encarecieron casi 8 centavos y finalizaron a 1,142 dólares el galón (3,78 litros).

El gasóleo de calefacción para ese mismo mes concluyó la sesión a 1,784 dólares/galón, unos 9 centavos más caro que el viernes.

Los contratos de gas natural para entrega en diciembre finalizaron a 6,88 dólares por mil pies cúbicos, 40 centavos más que en la sesión anterior.

El valor del petróleo WTI con vencimiento más próximo recuperó hoy el terreno que había perdido en las tres últimas sesiones y que lo había llevado a negociarse a menos de 50 dólares por primera vez en más de tres años.

La escalada alcista de hoy en el precio del crudo fue al unísono con la notable subida que registraba la Bolsa de Nueva York, donde sus principales índices subían entre un 4 por ciento y un 7 por ciento en la última hora de contrataciones.

El optimismo bursátil estaba relacionado con el plan de rescate que el Gobierno de EE.UU. diseñó para el banco Citigroup, uno de los mayores del país por valor de sus activos y al que aportará 20.000 millones de dólares adicionales, entre otras medidas.

El presidente electo, Barack Obama, también presentó hoy a algunos integrantes de su equipo económico, incluido Tomothy Geithner, hasta ahora presidente del Banco de la Reserva Federal en Nueva York y quien será el próximo secretario del Tesoro.

Sin embargo, Obama no reveló detalles acerca del plan de estímulo que se propone poner en marcha una vez que llegue a la Casa Blanca, para dinamizar la actividad económica.

Además de las ganancias en Wall Street, que suele suscitar mayor confianza en las perspectivas de la economía y animar por consiguiente al mercado petrolero, el debilitamiento del dólar favoreció este lunes la recuperación de los precios del crudo y de los combustibles, según los expertos.

Un dólar más débil tiende a estimular las compras de petróleo y de otras materias primas que se negocian en esa divisa y que resultan por tanto más baratas si se adquieren con monedas fortalecidas.

El euro se cambiaba hoy a 1,2906 dólares, comparado con los 1,2577 dólares del viernes.

A pesar de la reciente subida de los precios del crudo en el mercado mayorista, los estadounidenses ven con alivio que los valores de la gasolina y de otros productos derivados del petróleo se mantengan en una senda bajista en las estaciones de servicio.

El galón de gasolina se vendía hoy en Estados Unidos a un precio medio de 1,9 dólares, dos centavos menos que el día anterior y 83 centavos menos que hace tan solo un mes.

Los operadores en los mercados del petróleo están también pendientes de la reunión que celebrará la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP) el próximo sábado y en la que no se descarta que de nuevo rebaje sus cuotas de producción, para tratar de frenar el descenso en los precios.

UK:El Gobierno británico se endeudará para relanzar su economía

12:04 | El ministro de Finanzas, Alistair Darling, anunció un plan de aumento de gastos y recorte de impuestos por 19.000 millones de euros

Londres (Reuters) - Reino Unido gastará miles de millones de libras para financiar un recorte de impuestos con la esperanza de evitar que se agrave la recesión, pero advirtió el lunes de que los impuestos tendrán que subir posteriormente para hacer frente al impulso.

El ministro de Finanzas, Alistair Darling, dijo al Parlamento que recortaría el impuesto sobre las ventas y ampliaría la ayuda para las pequeñas empresas, los salarios más bajos y los propietarios de casas, en un paquete por valor de 16.000 millones de libras (19.000 millones de euros), o alrededor de un uno por ciento del Producto Interior Bruto.

Pero Darling advirtió que los recortes impositivos actuales implicarán futuras subidas, incluida una prevista del impuesto a los ingresos para los salarios más altos, aplazada hasta después de las próximas elecciones,

La decisión es el principal cambio de política del Gobierno laborista y significaría la primera vez que se eleva ese impuesto sobre los ingresos desde 1975.

"Estos son tiempos extraordinarios y desafiantes para la economía global. Y están teniendo un impacto sobre los negocios y las familias de todo el mundo", declaró Darling.

Las apuestas son elevadas: Reino Unido se hunde en una recesión, con fuertes bajas de los precios de las casas, alzas en el número de desocupados y contracción de la producción manufacturera.

El impulso fiscal de Darling está siendo igualado, de alguna manera, en gran parte del mundo mientras la economía global cae en picado.

La Comisión Europea presentará el miércoles planes para impulsar la economía de la UE, y el presidente electo de EEUU, Barack Obama, ha sentado las bases para un nuevo paquete de estímulo masivo, combinando recortes de impuestos para las clases medias y gasto en infraestructuras.

Alemania, Holanda y España ya han anunciado planes de estímulo. El de la UE está valorado en 130.000 millones de euros.

GRAN DEUDA
Para pagarlo, Darling dijo que la deuda pública británica ascendería a alrededor de 118.000 millones de libras en el próximo año fiscal, alrededor del 8% del PIB y muy por encima de los 38.000 millones que él previó en marzo.

El primer ministro británico Gordon Brown de ganar las próximas elecciones, que se deben celebrar a mediados de 2010, podrían depender de una recesión corta y superficial - pero parece poco probable que esto suceda.

Darling recortó sus previsiones de crecimiento económico al 0,75 este año y un crecimiento negativo de entre 0,75 y un 1,25 por ciento el próximo año. En marzo, Darling previó un crecimiento del 2 por ciento este año y alrededor de 2,5% en 2009.

CAN:ACCION COORDINADA CONTRA CRISIS

Países de la CAN piden establecer acciones coordinadas contra crisis

17:49 | A la cita realizada en Lima asistieron ministros de Perú, Bolivia y Ecuador, así como el presidente del BCR

(EFE).- Responsables de Finanzas y de los Bancos Centrales de los países de la Comunidad Andina (CAN) destacaron hoy en Lima la necesidad de establecer acciones "coordinadas y concertadas" para atenuar los efectos de la crisis económica mundial.

Tras reunirse en la sede de la CAN en Lima, el ministro de Economía de Perú, Luis Valdivieso; el de Hacienda de Bolivia, Luis Alberto Arce; y el ministro coordinador de Política Económica de Ecuador, Pedro Páez, pidieron actuar "de forma inmediata y oportuna" para afrontar la crisis internacional.

En una breve declaración, los ministros reconocieron a la CAN, integrada por Bolivia, Perú, Ecuador y Colombia, como espacio propicio para "apoyar los esfuerzos de los países miembros" en la "búsqueda de alternativas para mitigar los efectos adversos de la crisis".

Así, pidieron a los cuatro miembros de la CAN aportar informes técnicos sobre las medidas adoptadas frente a la crisis de cara a un encuentro ministerial en febrero de 2009, que permita analizar la posibilidad de emprender acciones comunes para atajar sus efectos en los países de la región.

"La idea es marchar a pasos acelerados, pero con mucho rigor, para definir nuevas políticas para proteger la salud económica de los países", dijo el ministro Páez en una rueda de prensa.

Los participantes en la reunión, en la que también estuvieron el presidente del Banco Central Reserva (BCR), Julio Velarde, y el gerente de estudios económicos del Banco de la República de Colombia, Jorge Toro, consideraron fortalecer los canales de comunicación entre los países de la CAN para conocer los posibles cursos de acción frente a la crisis internacional.

COREA: CRISIS LLEGA AL SECTOR REAL, DAEWOO

Daewoo suspenderá durante un mes su producción por la caída de ventas

8:40 | La medida se aplicará a partir del 1 de diciembre y hasta el 4 de enero del 2009 en la planta Bupyeong de Seúl

Seúl (EFE) .- La división surcoreana de General Motors, GM Daewoo, anunció hoy que suspenderá la producción en su principal fábrica de Corea del Sur durante un mes a partir de diciembre debido a la caída de ventas en el mercado nacional e internacional.

Según informó la agencia local Yonhap, esta medida se aplicará a partir del 1 de diciembre y hasta el 4 de enero del próximo año en la planta de Bupyeong (próxima a Seúl).

Allí se fabrican los vehículos sedán y los SUV (Sport Utility Vehicles) para el mercado surcoreano y para su exportación hacia Asia y Europa bajo la marca de GM.

Otras plantas de GM Daewoo en Gusan y Chagwon (sur de Seúl) suspenderán su producción durante dos semanas a partir del próximo 22 de diciembre.

De acuerdo con Yonhap, la compañía considera la posibilidad de suspender la producción de sus fábricas hasta marzo del próximo año si la demanda de sus vehículos no se recupera en los próximos meses.

Las ventas de GM Daewoo cayeron un 11,3 por ciento en octubre pasado respecto al mismo periodo del pasado año hasta las 73.180 unidades.

Por su parte, la principal firma automotriz de Corea del Sur, Hyundai Motor, comenzó el pasado fin de semana una reducción de la producción de su planta en Ulsan (sur de Seúl) que continuará al menos hasta finales del año.

Hyundai redujo además las horas extras que se realizaban los fines de semana.

Por otro lado, la división surcoreana de la firma francesa Renault Samsung anunció la semana pasada que recortará unos 600 puestos de trabajo mediante la jubilación anticipada voluntaria.

COREA: CRISIS LLEGA AL SECTOR REAL, DAEWOO

Daewoo suspenderá durante un mes su producción por la caída de ventas

8:40 | La medida se aplicará a partir del 1 de diciembre y hasta el 4 de enero del 2009 en la planta Bupyeong de Seúl

Seúl (EFE) .- La división surcoreana de General Motors, GM Daewoo, anunció hoy que suspenderá la producción en su principal fábrica de Corea del Sur durante un mes a partir de diciembre debido a la caída de ventas en el mercado nacional e internacional.

Según informó la agencia local Yonhap, esta medida se aplicará a partir del 1 de diciembre y hasta el 4 de enero del próximo año en la planta de Bupyeong (próxima a Seúl).

Allí se fabrican los vehículos sedán y los SUV (Sport Utility Vehicles) para el mercado surcoreano y para su exportación hacia Asia y Europa bajo la marca de GM.

Otras plantas de GM Daewoo en Gusan y Chagwon (sur de Seúl) suspenderán su producción durante dos semanas a partir del próximo 22 de diciembre.

De acuerdo con Yonhap, la compañía considera la posibilidad de suspender la producción de sus fábricas hasta marzo del próximo año si la demanda de sus vehículos no se recupera en los próximos meses.

Las ventas de GM Daewoo cayeron un 11,3 por ciento en octubre pasado respecto al mismo periodo del pasado año hasta las 73.180 unidades.

Por su parte, la principal firma automotriz de Corea del Sur, Hyundai Motor, comenzó el pasado fin de semana una reducción de la producción de su planta en Ulsan (sur de Seúl) que continuará al menos hasta finales del año.

Hyundai redujo además las horas extras que se realizaban los fines de semana.

Por otro lado, la división surcoreana de la firma francesa Renault Samsung anunció la semana pasada que recortará unos 600 puestos de trabajo mediante la jubilación anticipada voluntaria.

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