SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


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14 jul 2009

USA: El doble error de Robert McNamara

Original francés artículo : RÉFLEXION DE DAMIEN MILLET, ÉRIC TOUSSAINT

By Las reflexiones de Damien Millet y Eric Toussaint

El doble error de Robert McNamara

Translated lundi 13 juillet 2009, par J.A. Pina

Robert McNamara, secretario de Estado norteamericano de Defensa y luego Presidente del Banco Mundial, activo partidario de la intervención en Vietnam y feroz anticomunista, acaba de morir a la edad de 93 años. Sus actuaciones entre 1961 y 1981 contribuyeron a dar forma a la economía mundial de hoy. En el momento de los balances Damien Millet y Éric Toussaint revelan la amplitud de los desastres causados en su carrera, apoyada en el tríptico comercio, guerra y deuda.

Primer Presidente - Director General de la multinacional automovilística Ford sin ser miembro de la familia Ford, McNamara sólo permanecerá en este cargo cinco semanas antes de llegar a ser Secretario de Defensa de los Estados Unidos, bajo la presidencia de John F. Kennedy (1961-1963), cargo que mantendrá con el presidente Lyndon B. Jhonson (1963-1968), McNamara es uno de los principales artífices de la agresión militar de los EE.UU. a Vietnam, guerra a menudo denominada “la guerra de McNamara”. Ejerció continuas presiones para enviar allí más tropas militares, en total más de 500 000 soldados. Alrededor de 1 millón de combatientes comunistas y patriotas vietnamitas y 4 millones de civiles fueron asesinados entre 1961 y 1975. Años más tarde, McNamara reconocería sus errores : “Nosotros, los miembros de las administraciones Kennedy y Johnson, participes directos en las decisiones sobre Vietnam (…) nos equivocamos, estábamos terriblemente equivocados.” Además añadirá : “Yo nunca había visitado Indochina, y no comprendía nada de su historia, de su lengua, de su cultura, de sus valores. Era totalmente insensible a todo ello. (…) Cuando se trataba de Vietnam, estábamos en posición de decidir una política para una tierra desconocida para nosotros.”

En 1968, cuando la situación llego a ser muy difícil para los EE.UU., McNamara es nombrado presidente del Banco Mundial, donde se va a comportar como un misionero, continuando la campaña anticomunista. Su llegada marca un giro significativo en el Banco Mundial que da un acelerón a la deuda, al utilizarla como una verdadera arma geopolítica. De 1968 a 1973, el Banco Mundial concertó más préstamos que durante todo el periodo 1945-1968. Se incitaba a los países del Sur a pedir préstamos masivamente, para financiar la modernización de su aparato de exportación y para vincularles más estrechamente al mercado mundial. De hecho, McNamara empuja a los países de Sur a someterse a las condiciones asociadas a estos préstamos, a aceptar infraestructuras inútiles, presupuestos sociales insuficientes, a construir grandes presas ruinosas en un medioambiente saqueado, a deudas colosales… El cebo utilizado : liquidez puesta a disposición de gobiernos locales sin ningún mecanismo de lucha contra la corrupción y la malversación de fondos públicos. A cambio de esta liquidez, los gobiernos aceptan la mayor parte de las recomendaciones del Banco Mundial.

¿A quién se otorgan estos préstamos ? En plena guerra fría, el Banco Mundial interviene para oponerse a la influencia soviética y a las diferentes tentativas nacionalistas y antiimperialistas. La estrategia fue doble. Por una parte, el Banco Mundial apoyó a los aliados estratégicos de los EE.UU. en las diferentes regiones del planeta (Mobutu en Zaire, Suharto en Indonesia, Pinochet en Chile, las dictaduras brasileña y argentina…) para reforzar el área de influencia estadounidense. Por otro lado, el Banco Mundial prestó de manera condicionada a países que intentaban aplicar políticas en ruptura con el modelo capitalistas dominante, para poder ejercer un control sobre sus políticas económicas (Nasser en Egipto, N´Krumah en Ghana, Manley en Jamaica, Sukarno en Indonesia…)

Al principio de los años 1980, los países del Sur, endeudados en exceso, sufren de lleno el alza brutal de las tasas de interés y la caída de los precios de las materias primas, cuya producción aumentan sin cesar para pagar su deuda, lo cual que acreciente la competencia entre ellos, al mismo tiempo que la demanda no crece en el Norte. Las consecuencias serán terribles para los pueblos del Sur que están obligados por el FMI y el Banco Mundial a desangrarse para pagar a los ricos acreedores.

McNamara se equivocó en Vietnam al organizar una guerra colonial absurda, y se equivocó en el Banco Mundial al conducir a los países del Sur a un sobreendeudamiento trágico. La gestión de McNamara durante veinte años tenía dos objetivos llevados a buen término : recuperar la ventaja sobre los países que habían afirmado su voluntad de independencia y aumentar la dominación sobre los pueblos del Sur. Hoy, es triste que McNamara no haya sido obligado a rendir cuentas al respecto.

« McNamara es uno de los artífices de la agresión militar de los Estados Unidos a Vietnam. que costó la vida de 1 millón de combatientes y 4 millones de civiles »

omc: conclure doha

Les grands de ce monde, réunis en fin de semaine dans différents sommets à la composition changeante à L'Aquila (Italie), ont à nouveau accouché d'engagements creux qu'ils s'empresseront d'oublier aussitôt retournés dans leurs capitales respectives. Pourtant, il faut souhaiter que leur volonté de conclure enfin, en 2010, les négociations commerciales internationales entamées il y a huit ans à Doha, se traduise dans les faits.

On pouvait certes s'attendre à ce que les dirigeants des principales puissances économiques s'accordent sur l'idée que céder à la tentation protectionniste au prétexte de lutter contre la crise aurait pour effet d'aggraver la récession mondiale. Là-dessus, tout le monde est d'accord tant qu'on en reste aux grands principes. Pour l'instant, la réalité s'accorde d'ailleurs à ces proclamations vertueuses : rares sont les pays qui sont passés à l'acte. Pourtant, la menace protectionniste est réelle, et la tentation semble grande, ici ou là, d'y recourir.

Mais c'est surtout le changement du contexte politique qui peut inciter à un optimisme raisonné sur l'avenir des négociations de Doha. Celles-ci avaient achoppé il y a un an sur l'opposition frontale entre les Etats Unis et l'Inde à propos, notamment, des échanges de sucre et de coton. Mais les élections qui ont eu lieu depuis dans les deux pays ont installé au pouvoir des dirigeants plus enclins au compromis.

Certes, l'Europe et les pays émergents se demandent encore si le président américain Barack Obama a vraiment fait du commerce international une de ses priorités - il en a en effet défini bien d'autres, sur le plan intérieur, dès les premiers mois de son mandat. Mais l'espoir est que le prochain sommet du G20 - devenu le véritable forum où se discute l'avenir de l'économie mondiale -, qui doit se tenir à Pittsburgh (Pennsylvanie) en septembre, sera l'occasion d'un coup d'accélérateur important. M. Obama, qui a un intérêt évident au succès du premier sommet dont il sera l'hôte, aura peut-être fait évoluer d'ici là sa réflexion sur le commerce international.

Il y aurait quelques bonnes raisons à cela. Les échanges internationaux vont diminuer de 10 % en volume en 2009, selon l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Les financements, eux, se tarissent, et les plans de sauvetage bancaires des pays riches ont aujourd'hui pour effet d'aggraver le problème en contraignant les établissements bancaires à se replier sur leur territoire national. Enfin les pays du G20 ne semblent pas pressés de débourser les quelque 250 milliards de dollars (180 milliards d'euros) de crédits dont ils avaient décidé le principe en avril à Londres. D'ici à septembre, l'urgence de passer des promesses aux actes devrait être claire pour tout le monde...

Le Monde.fr : Les marques s'adaptent à la baisse du pouvoir d'achat

Enquête

Les marques s'adaptent à la baisse du pouvoir d'achat

LE MONDE | 10.07.09 | 14h03

Pendant des années, les fabricants de produits de grande consommation ont plutôt ciblé le haut du marché. S'appuyant sur la puissance de leurs marques, les Danone, Nestlé ou autres Unilever cherchaient ainsi à se distinguer des produits premiers prix et des marques de distributeurs, quitte à les vendre un peu plus cher. Mais, dans un contexte de recul de la consommation qui pèse sur leurs ventes, ces groupes font évoluer leur stratégie en attaquant également maintenant le "bas" du marché.

Accédez à l'intégralité de cet article sur Lemonde.fr
http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/07/10/les-marques-s-adaptent-a-la-baisse-du-pouvoir-d-achat_1217482_1101386.html


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Copyright Le Monde 2009

PERU:le NIÑO est de retour, Le monde

El Niño est de retour après trois ans d'absence.

Jeudi 9 juillet, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a annoncé que cet événement climatique, qui revient tous les trois à cinq ans, était bel et bien de nouveau à l'oeuvre dans le Pacifique tropical. Les chercheurs de la NOAA ne se prononcent pas encore sur son intensité mais assurent qu'il d


El Niño est la phase chaude d'une oscillation couplée de l'océan et de l'atmosphère. Il a été baptisé ainsi au XIXe siècle par les pêcheurs péruviens, qui remarquaient ses effets au moment de Noël - en espagnol, El Niño signifie l'enfant, en référence à la nativité.

Il est caractérisé par une augmentation des températures du Pacifique tropical qui peut atteindre 5 oC - comme ce fut le cas en 1998, au cours du Niño le plus intense jamais enregistré. Ce réchauffement s'accompagne d'une série d'effets parfois catastrophiques pour les populations rurales, de l'Amérique du Sud à l'Australie en passant par l'Asie du Sud-Est.

Des précipitations accrues dans certaines régions d'Argentine ou du Brésil perturbent les récoltes et provoquent parfois de meurtrières coulées de boue. En Indonésie et en Australie, ce sont des sécheresses parfois dramatiques qui sont enregistrées. Aux Etats-Unis, El Niño est susceptible de favoriser de violentes tempêtes hivernales en Californie et dans le sud du pays.

D'autres effets, plus subtils, ont des conséquences non moins redoutables : l'augmentation de la température des eaux de surface du Pacifique tropical entrave la remontée des eaux profondes riches en nutriments. Du coup, au large des côtes péruviennes et chiliennes, les planctons cessent de prospérer, les poissons qui s'en nourrissent aussi. La fragilisation de toute la chaîne alimentaire induit une forte réduction des prises de pêche.

Les effets en cascades ne s'arrêtent pas là : la réduction de l'activité biologique dans l'océan entraîne la réduction des populations d'oiseaux de mer, d'où une fragilisation momentanée de l'industrie du guano - prélevé pour être transformé en fertilisants agricoles...

Cependant, "contrairement à une croyance populaire, tous les effets d'El Niño ne sont pas négatifs", explique la NOAA dans son communiqué. Il "procure des précipitations hivernales bénéfiques dans le sud-ouest aride" des Etats-Unis et "réduit les risques d'incendies en Floride".

Depuis quelques années, le monde financier s'intéresse de près à la prévision d'El Niño : celui-ci peut permettre d'anticiper les évolutions à moyen terme des cours de certaines matières premières.

Par exemple, le "courant de l'enfant Jésus" procure des hivers doux sur l'Amérique du Nord et réduit l'activité cyclonique dans le bassin atlantique. Ces deux effets devraient faire baisser les tensions sur les marchés des énergies fossiles : les hivers doux sont peu propices à d'importantes dépenses de chauffage et la réduction des cyclones sur l'Atlantique devrait prémunir les infrastructures pétrolières du Golfe du Mexique contre les destructions et, partant, la réduction des capacités de raffinage américaines.

Au plan climatique, l'irruption du Niño devrait faire grimper les températures moyennes globales de l'année en cours : certains s'attendent à une année 2009 bien placée au palmarès des années les plus chaudes.

Stéphane Foucart

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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