SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

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18 oct 2008

CONSEQUENCES DE LA CRISE:CONTRIBUABLES

Contribuables: quels impôts demain ?

Par Corinne Lhaïk, mis à jour le 15/10/2008 15:37:18 - publié le 15/10/2008 15:08

En supplément

Quel que soit le montant des emprunts que l'Etat devra réaliser, la charge de la dette est appelée à grossir encore. Et il faudra bien la rembourser.

Nationalisations des banques, garanties de leurs dettes et des dépôts de leurs clients : les Etats sont sur tous les fronts, valsant avec ces milliards qu'ils sont les seuls, aujourd'hui, à pouvoir emprunter. Les Etats ? C'est-à-dire les contribuables, puisque les dettes d'aujourd'hui font les impôts de demain.

En Europe, la facture s'élève à 1 700 milliards d'euros, dont 480 pour l'Allemagne, 380 pour le Royaume-Uni et 360 pour la France. Les dettes de ces pays vont-elles grossir d'autant ? Dans le cas de la France, les 360 milliards annoncés correspondent à ce que l'Etat est autorisé à emprunter pour sauver son système bancaire. Sous deux formes différentes. A hauteur de 320 milliards, il s'agit d'une garantie indirecte donnée aux prêts entre banques. Ce chiffre est le résultat de savants calculs effectués à partir du montant global des crédits à l'économie (500 milliards d'euros). En pratique, les montants empruntés seront d'autant plus élevés que les banques continueront à se méfier les unes des autres.

Le second poste, 40 milliards d'euros, permettra à l'Etat de recapitaliser les banques. Là encore, il est impossible de savoir à l'avance à quelle hauteur cette possibilité jouera. Mais le gouvernement fait remarquer qu'une fois actionnaire de ces établissements il peut espérer une plus-value, lorsque après la crise, il vendra ses titres. Ce qui fait dire à l'économiste Charles Wyplosz qu'il y a « une bonne et une mauvaise dette. Quand un pays emprunte pour investir - et là, on investit dans l'évitement de la catastrophe - on est dans le premier cas de figure ».

Bon ou pas, tout nouvel emprunt viendra alourdir la charge de la dette, le deuxième poste de dépenses de l'Etat, avec 44,3 milliards d'euros prévus pour 2009 avant tout impact de la crise financière.

De plus, il est fort probable que ce montant augmente du fait de la crise économique : plus de dépenses sociales et moins de recettes fiscales vont dégrader les finances publiques. Actuellement, le ministre du Budget, Eric Woerth, continue de prévoir un déficit égal à 2,7 % du produit intérieur brut (PIB) en 2008 et en 2009, malgré la récession annoncée. En 1993, avec un recul du PIB de 0,9 %, ce chiffre avait grimpé à 6 %.

A force d'emprunter, les Etats seront-ils contraints de rémunérer davantage leurs prêteurs ? Une récente étude (datée du 1er octobre) de Standard & Poor's, agence de notation qui surveille la qualité des emprunteurs, estimait que les pays européens (à l'exception de l'Islande) ne fragilisaient pas leurs finances publiques en renflouant leurs banques. Cette analyse soulignait même que l'impact financier du vieillissement de la population représentait une menace plus sérieuse que la crise financière actuelle. L'avalanche de milliards déversés ces derniers jours conduira-t-elle cette agence - ou ses concurrentes - à modifier son jugement ?

CONSEQUENCES DE LA CRISE: EPARGNANTS

Epargnants: la peur de s'appauvrir

Par Georges Dupuy, mis à jour le 15/10/2008 15:42:34 - publié le 15/10/2008 15:09


s. platt/getty images/afp

Plusieurs mois seront sans doute nécessaires avant d'assister à un rebond durable des marchés financiers.

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Bourse, immobilier... les particuliers ont le sentiment de perdre sur tous les tableaux. De fait, leur patrimoine risque d'être durablement chahuté.

C'est peut-être la seule bonne nouvelle (relative) dans un océan d'incertitude et de crainte. L'épargne détenue, en 2007, par quelque 18 millions de Français est l'une des moins exposées d'Europe à la dégringolade des cours en Bourse, selon une étude réalisée par TNS Sofres. « Avec de 20 à 25 % d'actionnaires, directs ou indirects, précise Luc Arrondel, directeur de recherche au CNRS, nous sommes loin des 35 à 40 % enregistrés au Royaume-Uni, sinon des 50 % qui le sont outre-Atlantique. » Les 3 millions de petits porteurs français apprécieront : depuis janvier dernier, le CAC 40 a chuté de plus de 30 % ! Et il faudra sans doute encore attendre plusieurs mois pour espérer un rebond durable des marchés financiers. D'ici là, tous ceux qui savent que leurs placements englobent un plus ou moins grand pourcentage d'actions et d'obligations ont de quoi être inquiets.

Force est de constater, pourtant, que les banques tricolores ont joué avec prudence et que le naturel peu aventureux des particuliers leur a évité d'emprunter les chemins les plus risqués. En 2006 (mais les chiffres restent valables), les trois quarts du patrimoine financier des ménages, selon l'Autorité des marchés financiers, ne présentaient aucun risque en capital. Aujourd'hui, les 12 millions de détenteurs d'assurance-vie ont ainsi opté, à une large majorité (78 %), pour des contrats en euros. Bref, « en France, le risque de dévisser est plus limité », explique Philippe Crevel, secrétaire général du Cercle des épargnants.

L'immobilier, le grand placement des Français (55 % d'entre eux sont propriétaires de leur logement), n'échappe pas au marasme. Bernard Cadeau tempère : « C'est comme à la Bourse : tant que l'on n'a pas vendu, on n'a rien perdu. » Le responsable du réseau d'agences Orpi a beau rappeler que les prix immobiliers ont augmenté de 140 % depuis dix ans, l'actualité n'a rien de rassurant. Selon la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), les prix, au troisième trimestre de 2008, marquent un recul de 2,6 % par rapport à la même période en 2007. Et la fédération estime que la décrue, cette année, sera de 2 à 3 %.

Sur tous les fronts, la plupart des épargnants ont, désormais, l'impression que la crise a planté ses grandes dents dans leurs biens. Entraînant ce que les économistes nomment un effet d'appauvrissement. Didier Davydoff, directeur de l'Observatoire de l'épargne européenne, anticipe des changements de comportement : « Ceux qui pensent que leur patrimoine diminue vont reconstituer leur épargne au détriment de la consommation. » En privilégiant les valeurs refuges...

Vive le béton et le sac de sable ! D'ores et déjà, les ménages se sont rués sur les livrets A, dont les encours ont augmenté de plus de 350 % depuis janvier dernier ! Ils ont également multiplié par quatre ou cinq leurs achats de napoléons et de lingots d'or. D'autres n'ont pas ces soucis. Nul ne connaît la nationalité de l'acheteur qui a acquis, le 15 septembre, chez Sotheby's, pour 13 millions d'euros, une oeuvre de Damien Hirst nommée... Golden Veal (le Veau d'or). Un animal, certes, avec des cornes et des sabots dorés, mais embaumé. Tout un symbole.

Ruée sur les coffre-forts

Au téléphone, la voix de l'homme était inquiète. Malgré l'heure tardive, il voulait acheter un coffre-fort, vite. Lors du krach financier de 1929, a-t-il affirmé à Nicolas Risterucci, le jeune patron du site Internet Hexacoffre.com, les épargnants ont été brutalement privés d'accès aux compartiments sécurisés qu'ils louaient dans leurs banques. Pas question de vivre pareille mésaventure. Pour dormir tranquille, ce client vespéral s'est offert un coffre dont la valeur assurable (du contenu) atteint la bagatelle de 55 000 euros.
Des commandes comme celle-là, Nicolas Risterucci en reçoit presque tous les jours en ce moment. A tel point qu'il a réalisé le « plus beau mois » de sa carrière de distributeur en septembre : 100 000 euros de chiffre d'affaires hors taxes, deux fois plus que l'an dernier. « Nos clients aisés veulent désormais garder chez eux bijoux, argent liquide et actes de propriété, car ils sont méfiants envers les banques », explique-t-il.
Depuis trois semaines, Hugo Gervaise, responsable de la clientèle francilienne du fabricant de coffres-forts Solon, voit passer, lui aussi, « beaucoup de monde » dans son agence parisienne : « Pas mal d'épargnants qui vident leurs comptes dans des établissements étrangers et dans des paradis fiscaux et qui achètent de l'or », précise-t-il. De quoi doper ses ventes « de 30 à 35 % ». Olivier Bianchi, directeur de la division stockages sécurisés de Gunnebo France, qui distribue les coffres-forts Fichet-Bauche, abonde dans son sens : « Nous constatons un pic d'augmentation des ventes de l'ordre de 20 à 25 % par rapport à une année classique. » Le malheur des uns fait le chiffre d'affaires des autres...

CONSEQUENCES DE LA CRISE: LES SALARIES PAIERONT

Sanofi Aventis, Hewlett-Packard, Continental... Depuis le coup de folie qui s'est emparé des marchés financiers, le jour de la faillite de Lehman Brothers, le 15 septembre, les plans sociaux se multiplient. Et, comme pour ajouter aux inquiétudes, les dernières statistiques du chômage en France, publiées en pleine panique boursière, ont mis au jour plus de 41 000 demandeurs d'emploi supplémentaires. Simple effet d'optique, en réalité : les malheurs actuels de Wall Street et du CAC 40 n'ont rien à voir avec les nouvelles alarmantes qui remontent du front de l'emploi. « La crise n'a pas commencé il y a un mois, rappelle Xavier Timbeau, de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Les premiers symptômes ont éclos voilà déjà un an et demi et elle a eu le temps de produire ses effets sur l'économie. »

Le piteux état de la croissance est là pour le rappeler. Le produit intérieur brut, après avoir augmenté de 0,4 % au premier trimestre, a perdu 0,3 % au deuxième. Et cette tendance risque de se prolonger. L'année 2009 pourrait même être la plus noire que la France ait connue depuis quinze ans. Le Fonds monétaire international estime que la croissance sera quasi nulle, à 0,2 %, et l'institut Coe-Rexecode évoque carrément, dans son scénario noir, une contraction de l'ordre de 0,5 %. Avant que les marchés financiers ne craquent, tous les voyants étaient déjà passés au rouge. Ainsi, la consommation, principal moteur de l'activité, n'a cessé de diminuer depuis le début de l'année : - 0,1 % entre janvier et mars, - 0,1 % encore entre avril et juin. Des sorties plus rares, un week-end annulé, l'achat d'un écran plat reporté, un investissement immobilier gelé... mis bout à bout, ces arbitrages rendus par les foyers ont fini par affecter l'ensemble de l'économie.

L'assureur-crédit Euler-Sfac a noté, pour le premier semestre, une hausse des faillites en France de 9 % : plus de 53 000 entreprises ont été forcées de mettre la clef sous la porte ces douze derniers mois, ce qui a mis en péril 186 000 emplois. « On n'avait pas vu cela depuis 2002, avoue Karine Berger, auteur de l'étude. Les secteurs liés à la consommation sont ceux qui sont le plus touchés. Dans l'hôtellerie et la restauration, par exemple, on constate une faillite tous les jours. Mais ce ne sont pas les seuls : la construction et l'automobile ont déjà payé, eux aussi, le prix du ralentissement ». En témoignent les récentes difficultés des promoteurs Kaufman & Broad et Nexity, contraints d'annoncer des suppressions de postes massives, et les plans sociaux lancés, dès janvier, chez Peugeot et, en septembre, chez Renault.

La crise était là, mais on ne la voyait pas. La bourrasque financière l'a mise sur le devant de la scène, et elle n'est pas près de se retirer en coulisse. Les banques, touchées en plein coeur, vont devoir reconstituer leurs fonds propres et limiter les risques. Le crédit sera plus rare et plus cher, ce qui va asphyxier encore plus la consommation des ménages et l'investissement des entreprises. Et étouffer l'activité. « Les conséquences sur l'emploi seront très mauvaises, au moins jusqu'à la fin de l'année prochaine », prédit Karine Berger. Confrontée à la concurrence internationale, tentée par les délocalisations, l'industrie, qui d'après l'Insee a déjà perdu 64 300 emplois entre janvier 2007 et juin 2008, risque d'être particulièrement à la peine. Comme l'explique Yvon Jacob, président du Groupe des fédérations industrielles, « quand les perspectives ne sont pas bonnes, une entreprise qui doit diminuer sa production préfère d'abord toucher aux emplois des autres et cesse de faire appel à ses sous-traitants ». Et ceux-ci, en manque de trésorerie, peuvent se retrouver très vite acculés à la faillite.

« L'industrie va évidemment être affectée, mais, en réalité, il y aura peu de secteurs épargnés par les suppressions d'emploi, prévient Xavier Timbeau. La grande consommation, les services, la construction vont aussi prendre la crise de plein fouet, parce que ce sont des secteurs qui usent et abusent des contrats précaires, comme l'intérim ou le temps partiel subi. Il est très facile de s'en débarrasser quand la conjoncture s'obscurcit. » Mais, même si la mise en place des « plans de sauvegarde de l'emploi » - appellation officielle des plans sociaux depuis 2002 - est soumise à une réglementation relativement contraignante, aucun salarié n'est à l'abri de la tempête qui s'apprête à secouer l'économie française. « On risque d'assister dans les semaines qui viennent à une série d'annonces de la part des grands groupes, pronostique Xavier Lacoste, directeur général d'Altedia. L'idée d'une dégradation de la conjoncture est dans toutes les têtes, et les entreprises, qui sont encore en plein brouillard, ne vont pas hésiter à prendre des mesures préventives. »

PETROLE: CHUTE A MOINS 70

http://www.lexpress.fr/actualite/economie/petrole-la-chute-des-cours_609327.html

PERVERSION DU CAPITALISME,LM

http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/10/17/crise-le-proces-d-une-perversion-du-capitalisme_1108292_1101386.html

GARANTIE DES DEPOTS, LM

Les garanties de dépôts en Europe | Le Monde.fr

LA BCE

VOIR
http://www.lemonde.fr/web/infog/0,47-0@2-3220,54-960427,0.html

USA: CONSEQUENCES DE LA CRISE

VOIR

http://www.lemonde.fr/web/infog/0,47-0@2-3234,54-1063373,0.html

Quatre stratégies que les banques ont adoptées pour tenter de sortir de la crise provoquée par les subprimes | Le Monde.fr

USA: VALEURS BOURSIERES

VOIR

http://www.lemonde.fr/web/infog/0,47-0@2-3234,54-1095530,0.html

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