SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

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4 nov 2009

BULLE: RETOUR DU PERIL, LE MONDE

http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/11/02/le-grand-retour-de-la-bulle-speculative_1261468_3234.html#ens_id=1090253

Dossier

Le grand retour de la bulle spéculative




En voulant sauver l'économie mondiale, a-t-on fait naître une nouvelle bulle qui sera à l'origine
de la prochaine crise ?
Après les injections massives de centaines de milliards de dollars par les Etats et les banques centrales dans le but d'éviter le naufrage des établissements bancaires et des constructeurs automobiles et pour soulager les ménages, de nombreux économistes mettent maintenant en évidence l'existence d'un accès de spéculation.



 

En appui de cette thèse, ils soulignent la flambée concomitante et quasi inédite des marchés boursiers, en particulier en Asie, des marchés obligataires, notamment sur les emprunts d'Etat, et du prix des matières premières, l'or et le pétrole en vedettes. Depuis six mois, "tout monte !", constate Patrick Artus, responsable de la recherche économique chez Natixis. Selon lui, il s'agit de spéculation car ces hausses, souvent spectaculaires - la Bourse de Shanghaï a progressé de 63 % depuis le 1er janvier -, sont déconnectées de la réalité économique. "A la Bourse de Taïwan, les valeurs des actions représentent 100 fois les bénéfices des sociétés, 90 fois en Australie, contre 13 fois à la Bourse de Paris", souligne l'économiste.
Pour M. Artus, cette bulle serait le fruit de l'abondance de liquidités issues notamment des plans de relance et de soutien lancés en 2008. Pour endiguer la crise, les banques centrales ont d'une certaine manière "fait marcher la planche à billets", explique-t-il, en ouvrant les vannes du crédit via des politiques monétaires accommodantes avec des taux d'intérêt proches de zéro et en achetant des titres, parfois toxiques, afin de soulager les établissements financiers. Les Etats, de leur côté, se sont endettés en empruntant sur les marchés des montagnes de dette. Les économistes de Barclays calculent qu'il s'émettra en 2009 pour 1 300 milliards de dollars (875 milliards d'euros) de bons du Trésor américains et quelque 900 milliards de dollars de titres d'emprunts en Europe.
"La liquidité mondiale n'a jamais progressé aussi vite, souligne M. Artus. De 1990 à 2007 la monnaie en circulation, estimée sur la base des bilans des banques centrales, progressait de 15 % par an en moyenne ; aujourd'hui, le rythme est de plus de 30 %."
"En 1990, la base monétaire représentait 4 % du produit intérieur brut (PIB) mondial ; aujourd'hui, c'est 21 % !", souligne M. Artus. Pour placer cet argent, les investisseurs achètent tour à tour des actifs sur le marché immobilier, sur celui des matières premières, des actions ou des obligations notamment "souveraines" - émises par des Etats - car jugées moins risquées. On a ainsi des "bulles sauteuses", explique M. Artus, où la spéculation se concentre sur un marché avant de se nicher ailleurs.
Du fait de ces excès, "la reprise qui se dessine est insoutenable, alerte l'historien et économiste Nicolas Baverez, dans une tribune publiée dans Le Monde du 30 octobre. L'on réédite les erreurs commises après 2001 en reconstituant deux bulles spéculatives, sur les marchés d'actions et de dettes des Etats".
"On vit dans un monde producteur de liquidités", estime aussi Daniel Cohen professeur à l'Ecole normale supérieure (ENS). Mais, pour lui, la racine du mal est plus profonde qu'on ne le croit. "On a souvent dit que la politique monétaire laxiste d'Alan Greenspan, le président de la Réserve fédérale américaine, menée après l'éclatement de la bulle Internet était à l'origine de la crise actuelle", rappelle-t-il. Les taux d'intérêt très bas auraient en effet contribué à laisser se former une bulle du crédit aux Etats-Unis. "En réalité les causes de l'abondance de liquidités sont plus profondes que les erreurs de Greenspan", assure M. Cohen.
L'excès d'argent proviendrait, selon lui, de la conjonction de deux facteurs : le premier lié à l'émergence de pays dont la balance commerciale est structurellement excédentaire, comme la Chine - ils innondent la planète de leurs liquidités - ; le second de pays producteurs de matières premières, qui sont "à 95 % transformées en produits financiers", explique M. Cohen.
In fine, les Etats et les banques centrales ne seraient donc pas coupables de la création de bulles, mais subiraient, en quelque sorte, les déséquilibres de ce nouvel ordre mondial.
Quelle qu'en soit l'origine, ces outrances financières auront, selon les économistes, des conséquences désastreuses tant au niveau microéconomique, que macroéconomique ou géopolitique. En éclatant, une bulle ruine en effet les détenteurs d'actifs du marché concerné. Mais la spéculation peut également propager ses effets négatifs à l'économie "réelle". Les émeutes de la faim en 2008, liées à la flambée des matières premières (sucre, céréales, etc.) l'ont démontré, tout comme, à la même époque, un pétrole à plus de 100 dollars le baril a pénalisé l'industrie et le pouvoir d'achat des ménages.
Que faire ? Pour la plupart des économistes, la responsabilité incombe en premier lieu aux banquiers centraux. A eux de faire en sorte de "vider" le monde de ses liquidités trop abondantes en durcissant les politiques monétaires.
Mais en agissant ainsi, ils risquent de briser une reprise économique mondiale encore fragile et instable. Et certains experts, à l'image de Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes, pensent qu'il est plus dangereux de briser la croissance que de laisser se propager une bulle financière qui, selon lui, menace... sans être encore véritablement présente.
"La bulle n'est pas encore là, mais elle est devant nous. C'est un risque qu'il faut surveiller", estime M. Lorenzi. Selon lui, tant que ce risque ne s'est pas manifesté, il est préférable de soutenir encore l'économie par le jeu de politiques monétaires conciliantes, même si l'économie n'en a plus vraiment besoin. "La moitié du PIB mondial est encore sous perfusion, il ne faut pas stopper ce soutien trop tôt,
juge M. Lorenzi. Le faire un peu trop tard ne serait pas plus grave que de prendre des antibiotiques trois heures de plus qu'il ne faut."
Pour l'heure, le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a rassuré les plus inquiets en soulignant, le 29 octobre dans un entretien aux Echos, que "pour le moment, rien ne justifierait" le relèvement des taux d'intérêt directeurs de la Banque centrale européenne (BCE).
Mais, pour les banques centrales, l'exercice est d'autant plus délicat que leur boussole habituelle, l'inflation, ne marche plus.
Jusqu'ici, une surchauffe était clairement rendue visible sous la forme d'une hausse des prix. Mais depuis les années 1980, l'inflation, sur le Vieux Continent comme dans l'ensemble du monde occidental, semblait éradiquée.
L'efficacité des politiques monétaires dans ce domaine, couplée à la mise en place de mesures favorisant la concurrence, mais aussi et surtout aux bouleversements du marché du travail (désindexation des salaires sur les prix, multiplication des délocalisations, compétition avec des pays à bas salaires, moindre pouvoir des syndicats...) ont contribué à cantonner la hausse des prix autour de 3 %.
Selon les économistes, pour mesurer les effets réels de leurs politiques monétaires sur les prix, les banques centrales doivent impérativement élargir leur mandat et ne plus regarder seulement l'inflation des biens et des services.
En effet, comme ces dernières années en ont fourni l'illustration frappante, l'inflation a déserté en grande partie les étiquettes des étals pour aller se réfugier sur les valeurs Internet ou dans l'immobilier. Les décisions de baisse ou de hausse des taux d'intérêt influencent peu le panier de la ménagère, mais beaucoup le prix auquel elle achète son logement. Les instituts d'émission gagneraient donc en efficacité s'ils surveillaient, en plus de l'évolution des prix à la consommation, celle des prix des actifs sur les marchés boursiers, des obligations ou des matières premières. Ils serviraient ainsi mieux, par la même occasion, leur objectif de veiller à la stabilité financière et de prévenir la formation de nouvelles bulles financières.
Claire Gatinois

GM+OPEL: CRISE

http://www.lesechos.fr/info/auto/020205196543-le-revirement-de-gm-sur-la-vente-d-opel-declenche-l-ire-du-gouvernement-allemand.htm

Gros probleme du au revirement de GM

USA: BURBUJA DE ACTIVOS?

http://online.wsj.com/article/SB125729682383226815.html

burbuja de activos, grandes inyecciones de liquidez

fed mantiene las tasas

http://online.wsj.com/article/SB125736355639028705.html

intel: graves acusaciones

http://online.wsj.com/article/SB125735308520428383.html

corrupcion?

CHINA: BM Asia crecera mas

http://gestion.pe/noticia/364181/banco-mundial-eleva-pronostico-crecimiento-asia

China vuelve a los dos digitos en PBI

EURO: DOLAR / YEN

http://gestion.pe/noticia/364168/euro-recorta-sus-ganancias-frente-al-dolar-yen

usa: desempleo sigue

http://gestion.pe/noticia/364189/sector-privado-eeuu-elimina-203000-empleos-octubre

datos del desempleo son pesimistas

PETROLEO: 80 /Barril

El petróleo avanzó sobre los US$ 80

16:13El crudo estadounidense para entrega en diciembre terminó a 80.40 dólares el barril.
El petróleo subió el miércoles en un 1%, sobre los 80 dólares el barril, tras conocerse que los inventarios de crudo en Estados Unidos cayeron inesperadamente y que la Fed mantendrá las tasas de interés estables por un periodo prolongado.
El crudo estadounidense para diciembre subió 80 centavos para cerrar en 80.40 dólares, en su tercer día consecutivo de ganancias. El crudo Brent cerró con un alza de 78 centavos a 78.89 dólares, según precisa la agencia Reuters.
La Administración de Información de Energía de Estados Unidos (EIA) dijo en su reporte del miércoles que las existencias de crudo se redujeron en 4 millones de barriles en la última semana. Los analistas preveían que los inventarios subirían en 1.4 millones de barriles.
Este retroceso -precisa la agencia Reuters- ayudó a subir a los mercados de petróleo, que han estado buscando soporte este año en signos de recuperación económica y en la demanda de combustible, que ha sido afectada por la recesión.
Analistas advirtieron que el reporte de la EIA no era del todo alcista, porque gran parte de la baja del crudo se produjo por una caída en la actividad de las refinerías porque compañías recortaron la producción e importaron menos crudo debido a una débil demanda y pobres márgenes.
El informe de la EIA también mostró una baja imprevista de las existencias de gasolina en 300,000 barriles, mientras que los inventarios de destilados se redujeron en 400,000 barriles.
El Instituto Americano del Petróleo (API) dijo el martes que las existencias de petróleo crudo comercial de Estados Unidos disminuyeron en 3.3 millones de barriles, ante una caída de las importaciones, en la semana al 30 de octubre.
El oro marcó un máximo histórico sobre los 1,095 dólares la onza a medida que el dólar se debilitaba y después de que la venta de 200 toneladas de metal precioso del Fondo Monetario Internacional al Banco Central de India fortaleció el atractivo del metal.
En tanto, la Reserva Federal de Estados Unidos expresó el miércoles su creciente confianza de que está en marcha una recuperación de la economía de Estados Unidos, pero reiteró su compromiso de mantener las tasas de interés cercanas a cero por “un periodo prolongado” de tiempo.
En una votación unánime, el Comité Federal de Mercado Abierto de la Fed decidió dejar estable la tasa de fondos federales en una franja de cero al 0.25%, como lo esperaba el mercado.
Los analistas habían advertido más temprano que los precios del crudo podrían sufrir pérdidas si surgen señales en el comunicado de la Fed de que la política monetaria será ajustada más de lo previsto.
Inversores han apostado por las materias primas este año como cobertura contra la inflación, ayudando a elevar los precios del petróleo desde debajo de 33 dólares el barril en diciembre del 2008.
El petróleo también obtuvo soporte del dólar que descendió el miércoles contra una canasta de monedas. El dólar débil abarata las materias primas para los tenedores de otras monedas.

PERU: PBI -0.4% SET

La economía peruana habría caído un 0.4% en setiembre

17:42La confianza del consumidor registró un retroceso en el noveno mes del año, según el banco BBVA.
El Producto Bruto Interno (PBI) en Perú habría caído un 0.4% en setiembre, en términos interanuales, según el Indicador Adelantado de Actividad Económica del banco (IABBVA), luego de que julio y agosto registraran resultados de -1.38 y 0.25%, estimó el BBVA Banco Continental.
Mientras que la recuperación del PBI en términos desestacionalizados sigue consolidándose y se acerca a los niveles máximos registrados en el tercer trimestre del 2008, señaló el Servicio de Estudios Económicos del banco en su reporte Observatorio PBI Avance.
Ello se viene dando en un entorno de mejora de la actividad global, mayor impacto del Plan de Estímulo Económico (PEE), finalización del proceso de ajuste de inventarios y recuperación de la confianza empresarial, agregó.
Sin embargo, detalla la agencia Andina, la confianza del consumidor (medido por el INDICCA, que publica la empresa Apoyo) mostró un retroceso en setiembre (último dato disponible), regresando a la zona de pesimismo lo que introduce cierta fragilidad a la recuperación económica.
En este contexto, el banco anticipa que las políticas de estímulo se mantendrían aún por varios meses.

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NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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