SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


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21 oct 2008

CEPII: CRISE FINANCIERE

VOIR
http://www.cepii.fr/francgraph/presse/2008/crisefinanciere/ABQLeMonde181008.pdf

AFPS; MENACE CRISE FINANCIERE

Une mise à l'épreuve brutale du système par capitalisation








L'effondrement des marchés financiers ne menace pas seulement l'économie réelle, la distribution du crédit, l'emploi ou l'épargne investie en Bourse. Dans les pays où la retraite par capitalisation occupe une place prépondérante, comme les Etats-Unis ou le Royaume-Uni, il met en danger le niveau des retraites. De juin 2007 à juin 2008, la tempête financière a déjà réduit de 1 000 milliards de dollars (744 milliards d'euros) - soit environ 10 % - la valeur des actifs détenus par les fonds de pension privés et publics aux Etats-Unis, selon le témoignage de Peter R. Orszag, directeur du Congressionnal Budget Office (CBO, bureau du budget au Congrès américain), sur "les effets du récent trouble sur les marchés financiers sur la sécurité des retraites", mardi 7 octobre, devant le Comité sur l'éducation et le travail de la Chambre des représentants. Avec le krach généralisé subi depuis l'été, cette perte pourrait avoir doublé...


Comme le rappelait le président Antoine Pinay, symbole politique français de la confiance, lors du krach boursier de 1987 : "Tant qu'on n'a pas vendu, on n'a pas perdu." Toutefois, outre la déroute des actions en Bourse, qui constituent l'essentiel des placements des fonds de pension, la dévalorisation marquée de presque tous les actifs financiers dans lesquels ils investissent aussi - les obligations d'entreprises et celles d'Etats émergents, les contrats à terme sur les indices de matières premières, l'immobilier, les parts de fonds spéculatifs, etc. - ainsi que les faillites ou les quasi-faillites en cours dans le secteur des établissements financiers, des fonds spéculatifs ou des entreprises laisseront des traces durables dans tous les portefeuilles. La Bourse de Tokyo vaut aujourd'hui quatre fois moins qu'avant son krach, commencé au début des années 1990 et provoqué par l'éclatement de la bulle financière sur l'immobilier...

Même à court terme, "les fonds de pension sont aujourd'hui touchés par la crise car ils doivent assurer des liquidités jour après jour, au fil des départs à la retraite de leurs adhérents. Or les actifs qu'ils détiennent et qui sont évalués, comme les normes comptables actuelles l'exigent, trimestre par trimestre, ont perdu de leur valeur avec la chute des marchés", ajoute Anne Lavigne, professeur de sciences économiques à l'université d'Orléans.

Dans les pays qui ont opté principalement pour la retraite par capitalisation, les salariés disposent de deux types de dispositifs : soit des fonds de pension publics, d'entreprise ou de branche dits "à prestations définies", qui offrent des retraites selon un mode de calcul prévu à l'avance ; soit des plans de retraite dits "à cotisations définies" qui prévoient seulement le montant des cotisations de l'entreprise et du salarié. La pension dépendra in fine de la façon dont l'épargne a fructifié. Aujourd'hui, le sort des uns comme des autres n'est guère enviable. "Il n'y a pas de mystère. Pour les fonds de pension à prestations définies, les cotisations devront augmenter. Pour ceux dits à cotisations définies, les prestations vont baisser", prévient Agnès Bénassy-Quéré, directrice du Centre d'études prospectives et d'informations internationales (Cepii). "Les retraités et les épargnants perdent fortement avec la crise financière", ajoute-t-elle.

Les fonds à prestations définis sont ceux qui offrent le plus de sécurité aux cotisants. Mais s'ils n'ont pas assez de réserves, il faut les renflouer. Le problème risque de se poser pour les fonds de pension publics : le taux de couverture de leurs engagements est maintenant tombé à 86 %, selon une étude citée par le CBO concernant 85 % d'entre eux. De même, les fonds de pension des 500 premières entreprises américaines cotées à New York ont vu la couverture de leurs engagements de retraite chuter de 108 % en 2007 (un excédent de 95 milliards de dollars) à 91 % actuellement (un déficit de 115 milliards), d'après la banque Goldman Sachs (L'Agefi du 15 octobre). La perte est donc de 205 milliards pour cette catégorie, et de 82 milliards d'euros pour les fonds de pension d'entreprise en Europe, selon la banque Morgan Stanley.

De plus, les Américains étaient déjà, avant le krach récent, "dangereusement impréparés à la retraite", selon une étude de l'agence Standard & Poor's de mai 2008 : seulement 37 % des salariés bénéficiaient encore d'une couverture-retraite traditionnelle d'entreprise en 2004, contre 60 % en 1983. En effet, les plans individuels d'épargne-retraite - plus facilement transportables d'une entreprise à l'autre - se sont fortement développés : il s'agit des "401 (k)", des "403 (b)" - du nom des articles du code fiscal qui accordent une déduction d'impôts sur les versements - et des Individual Retirement Accounts (IRA). Les employeurs ont favorisé ces plans à cotisations définies car ils ne les engagent que sur les cotisations et non sur le niveau des retraites futures.

En 2004, les "401 (k)" étaient dotés en moyenne de seulement 60 000 dollars (mais de 157 727 dollars pour les salariés d'au moins 60 ans). Lorsque l'affiliation à ce type de plan est seulement optionnelle dans l'entreprise, sa gestion (choix des actions, des obligations, des mutual funds - les sicav) peut être réalisée directement par le futur retraité, pas toujours avec la plus grande prudence... Enfin, 34 % des ménages ne bénéficiaient en 2004 d'aucun dispositif. Ils devront se contenter de la retraite de la sécurité sociale - équivalent d'un minimum vieillesse, versé à tous les Américains -, et de leurs éventuels bas de laine.

Mais la crise immobilière sévit en même temps, rappelle Mme Lavigne : "Beaucoup de quinquagénaires et de sexagénaires américains ont cédé à la tentation de l'endettement facile, grâce à la politique du crédit mené aux Etats-Unis, et se sont acheté une autre résidence. Ils risquent donc d'être touchés deux fois : par l'éclatement de la bulle immobilière et par les difficultés qui attendent les fonds de pension auxquels ils contribuent."

Enfin, le système par capitalisation reste vulnérable - comme la répartition - aux effets du vieillissement. La génération des baby-boomers va désépargner en touchant sa retraite : " Cela se traduira par un déséquilibre du marché avec une offre excédentaire de titres, ce qui conduira forcément à une baisse des rendements", dit Mme Lavigne. Les pays européens ou émergents étaient censés prendre le relais, soit en développant des systèmes par capitalisation soit via les fonds souverains, mais la crise risque de freiner leur croissance.

Marie-Béatrice Baudet et Adrien de Tricornot

CONTAGION DE LA CRISE


BCE

VOIR
http://www.lesechos.fr/journal20081021/lec1_enquete/index.htm

SUECIA: ESTADO APORTA 15 MIL MILLONES CORONAS

Crisis financiera mundial - Las ayudas de los Gobiernos

Suecia avala a sus bancos con 150.000 millones

BLOOMBERG - Estocolmo - 21/10/2008

Suecia lanzó ayer un plan para intentar devolver la confianza al sector financiero y reactivar el crédito. El Gobierno destinará 1,5 billones de coronas (unos 150.000 millones de euros) para garantizar los préstamos y crear un fondo para comprar participaciones en bancos con problemas.

Las garantías cubrirán "más o menos todo tipo de bonos, certificados bancarios y otro tipo de obligaciones crediticias" con un vencimiento de entre 90 días y cinco años, afirmó el ministro de Finanzas, Anders Borg, en una conferencia de prensa. Los bancos que se acojan al programa tendrán que restringir el salario fijo y variable y, cuando la situación vuelva a la normalidad, tendrán que pagar una tasa especial de estabilidad para compensar por las ayudas.

Del importe total, 15.000 millones de coronas (1.500 millones de euros) se reservarán para comprar acciones de entidades financieras, si hay riesgo de bancarrota y si "son importantes para el conjunto del sistema financiero". Además, el Gobierno sueco ha subido la garantía para los depósitos bancarios de 250.000 a 500.000 coronas (50.000 euros).

Las medidas tomadas por Suecia llegan después de que otros países europeos hayan adoptado planes similares. Ayer mismo, Finlandia anunció que proporcionará garantías estatales por valor de 50.000 millones de euros para ayudar a sus bancos.

"Estas medidas mejorarán la situación de liquidez", indicó Henrik Mitelman, jefe de estrategia de Skandinaviska Enskilda Banken en Estocolmo. "Es un programa ambicioso e incluye un mayor abanico de garantías que los programas europeos", añadió.

Riesgo en el Báltico

La medida anunciada ayer persigue acallar los temores suscitados en torno a la posibilidad de que los grandes bancos suecos estén expuestos a una crisis de crédito similar a la islandesa, pero en los países bálticos. Las entidades suecas dominan el negocio bancario del área: el Swedbank es la primera entidad en Estonia y Letonia, mientras SEB es el líder del mercado de Lituania.

Tras años de crecimiento económico sin precedentes, las tres pequeñas ex repúblicas soviéticas pueden estar a punto de entrar en una gran crisis, sobre todo por sus enormes déficit públicos. Letonia y Estonia están ya en recesión y el crecimiento en Lituania se ha desacelerado de forma importante.

Argentina disolvería sistema de pensiones privadas

Argentina disolvería sistema de pensiones privadas para pagar deuda estatal
Martes, 21 de Octubre de 2008
Reuters

Analistas aseguraron que la medida buscaría, darle al Estado fondos para enfrentar fuertes vencimientos de deuda en el 2009 ante la estrechez del mercado de crédito internacional por las turbulencias globales.

Bolsa de Buenos Aires se hunde un 10%

BUENOS AIRES.- El Gobierno argentino anunciará el martes un plan para acabar con el sistema privado de pensiones y absorber ahorros previsionales por casi US$30.000 millones, para evitar que la crisis financiera licue las futuras jubilaciones, dijo una fuente oficial.

Sin embargo, analistas aseguraron que la medida buscaría, en realidad, darle al Estado fondos para enfrentar fuertes vencimientos de deuda en el 2009 ante la estrechez del mercado de crédito internacional por las turbulencias globales.

Una fuente del Gobierno dijo a Reuters que la presidenta Cristina Fernández hará el anuncio el martes por la tarde, aunque la noticia se filtró el lunes, castigando al mercado de acciones y bonos, que teme que la desaparición de los fondos de pensiones quite liquidez.

"La capacidad del mercado local de capitales de desarrollarse en los próximos años se verá comprometida si este cambio se concreta", dijo Alberto Bernal-Leon, jefe de estrategia macroeconómica de Bulltick Capital Markets.

Los fondos de pensión, que fueron creados en 1994, son los mayores inversores institucionales del mercado local con sus compras de bonos y acciones.

Pero, según el Gobierno argentino, la crisis financiera mundial hizo que los activos en manos de las Administradora de Fondos de Jubilaciones y Pensiones (AFJP) tuvieran este año pérdidas superiores al 45%, comprometiendo las jubilaciones futuras.

El malhumor de los mercados por la posibilidad de que se concrete la medida elevó este martes el riesgo país argentino por encima de los 1.550 puntos, según el índice EMBI+ del banco JP Morgan.

Así, la deuda de la nación latinoamericana quedó como la tercera más riesgosa del planeta por detrás de la de Ucrania y Ecuador, de acuerdo con el indicador que toma en cuenta mercados emergentes.

"En un contexto (global) de alta volatilidad y con nuevos anuncios de cambios de reglas de juego, esta vez en relación al sistema de AFJP, la incertidumbre respecto de Argentina no cesa", dijo la consultora Capital Markets Argentina.

El peso argentino caía un 1,37% frente al dólar a 3,33 por unidad en el mercado informal, ante tomas de coberturas en divisas dada la cautela de los inversores a la espera de los anuncios previsionales, comentaron cambistas.

"La buena noticia desde la perspectiva de los mercados es que si el Gobierno absorbe el sistema de pensiones privado, el plan financiero para 2009-2010 será irrelevante mientras los precios de las materias primas sigan altos y Argentina pueda mantener su superávit fiscal", agregó la consultora.

Dificultades de financiamiento
El proyecto oficial llega en momentos en que el Gobierno esfuerza su ingenio para conseguir el dinero que necesita para cubrir sus necesidades financieras en los próximos tres años.

Pese a haber completado una gigantesca reestructuración de deuda en el 2005 con un fuerte recorte de capital, Argentina enfrenta fuertes vencimientos en los próximos meses, justo en momentos en que la crisis financiera global cerró las puertas de financiamiento a los mercados emergentes.

La idea de la presidenta es que los 98.000 millones de pesos que tienen en su poder las AFJP, controladas por bancos internacionales como el BBVA Banco Francés, el HSBC y el grupo holandés ING, sean transferidos al Estado, aunque aún no es claro si ese traspaso implicará la venta de todos los activos financieros en los que están invertidos.

Además, los alrededor de 15.000 millones de pesos anuales que los trabajadores aportan obligatoriamente de sus salarios irían también al Estado, lo que le daría una liquidez muy valiosa en estos momentos de mercados "secos".

El sistema privado de pensiones convive actualmente con uno oficial, que tiene menos afiliados y que cuenta con la garantía del Estado para mantener el nivel de las jubilaciones, que suelen ser reducidas.

La entidad que reúne a las AFJP guardó silencio el lunes, pero una fuente del sector recordó que las inversiones que realizan los fondos son a largo plazo y que las crisis coyunturales pueden ser compensadas con períodos de bonanza a lo largo del tiempo.

ARGENTINA:REGIMEN PREVISIONAL VUELVE AL ESTADO

El régimen previsional vuelve al Estado

El proyecto dispone la obligatoriedad del régimen de reparto para todos los afiliados. La capitalización privada, voluntaria con aportes extra.

Por Raúl Dellatorre

La presidenta de la Nación anunciará hoy el envío al Parlamento de un proyecto de ley por el que se creará un nuevo sistema previsional, cuyo pilar será el régimen público de reparto, obligatorio, en tanto el de capitalización pasará a ser voluntario. Cristina Fernández hará el anuncio esta tarde, a las 17, desde la sede de la Anses, anticiparon fuentes oficiales. Las mismas fuentes precisaron que el dinero acumulado en las cuentas de capitalización individuales pasará al Fondo de Garantía de la Seguridad Social, que administra Anses. Desde la cartera laboral, en tanto, aseguraban que “estarán garantizados los puestos de trabajo de las 10.500 personas que se desempeñan en el sector”, tomando en cuenta el personal de las AFJP y de la Superintendencia respectiva. Otras fuentes del Gobierno indicaban que el Estado absorbería “hasta 3500 empleados del régimen de capitalización”. Es decir, la tercera parte. Por otra parte, trascendió que el fiscal federal Guillermo Marijuán estudiaba anoche una probable acción judicial contra directivos de las AFJP, por presuntas maniobras especulativas practicadas ayer, en el mercado cambiario, luego de que tomó estado público la intención oficial de nacionalizar el sistema de capitalización previsional.

Tal cual adelantó PáginaI12 en su edición de ayer, el cambio de régimen busca garantizar la jubilación a los afiliados al sistema de capitalización, cuyas administradoras enfrentan crecientes dificultades para no ver evaporados los fondos que les confiaran, en el marco de la actual crisis financiera mundial. Por otro lado, para el Estado es la oportunidad de recuperar el manejo de recursos de un régimen que terminó convirtiéndose en su propia trampa: fue, en 1994, la principal causa del origen del déficit de las cuentas públicas cuando se creó, y es hoy una pesada carga para el erario, porque mientras el sector público debe complementar el pago de haberes a los jubilados por el sistema privado, a la vez les paga intereses a las AFJP por los títulos de la deuda pública que éstas mantienen como activo. Los fondos de terceros administrados por las AFJP suman actualmente casi 100 mil millones de pesos, y entre 60 y 70 por ciento son títulos públicos.

Anoche, hasta muy tarde, en la Casa Rosada se pasó revista a los aspectos puntuales del proyecto que se presentará hoy. Sergio Ma-ssa, Amado Boudou, Carlos Tomada y Carlos Zannini compartieron, entre las 20 y hasta poco más de las 22, una sesión intensa para definir los mínimos detalles. Uno de los puntos que más preocupa es evitar la litigiosidad, tanto de parte de las AFJP como de los afiliados al sistema privado que se sientan perjudicados por la desaparición de ese régimen. El nuevo esquema contempla que todos los afiliados pasan al reparto, que será el único obligatorio. No habrá más cuentas individuales de capitalización, sino el cómputo de los años de aporte al régimen privado como si hubieran estado adherido al sistema público. No habría reconocimiento de rentas de capital acumuladas. Todos los fondos en poder de las AFJP pasan a ser administrados por Anses. Es decir, que por los títulos públicos que componen ese activo, el Estado pasa a ser acreedor de sí mismo, por aproximadamente 60 mil millones de pesos.

Los afiliados al sistema de capitalización pasan al régimen de reparto, pero tendrán la opción de que los fondos aportados al sistema de AFJP constituyan un seguro de retiro y perder esos años de aporte en el nuevo régimen. Es la “puerta de salida” que busca quitarles argumento a quienes busquen litigar por perjuicio. El régimen de capitalización, en tanto, seguiría siendo optativo con aportes adicionales del empleado (por encima del 11 por ciento del sueldo). Este estrecho margen de negocios es el que les quedaría a las AFJP tras la reforma, lo que obligará a las diez hoy existentes a redimensionarse o fusionarse para ser viables.

Aun sin estas novedades, el negocio había dejado de ser brillante para todas. Fuentes del sector aseguraban anoche que, más de una, recibirá como un golpe de suerte la “nacionalización” del sistema, ya que venían desbarrancándose. De todos modos, el manejo de un capital financiero extraordinario todavía les permite mantener alto poder de fuego: ayer, se habría detectado una gruesa maniobra especulativa de un puñado de ellas, que buscaron “desestabilizar” el mercado vendiendo bonos públicos y comprando dólares en la plaza cambiaria. Ello habría sido la causa de la baja en el valor de los primeros y la suba de la divisa. “Sobre un total de operaciones de compra de 140 millones de dólares, la mitad habrían tenido origen en las AFJP”, confió una fuente oficial. La fiscalía federal, a través de Guillermo Marijuán, estudiaba anoche accionar contra directivos que habrían hecho abuso del manejo de fondos fiduciarios en beneficio propio. Primeros escarceos de una pelea larga.

ARGENTINA:AFJPS LIQUIDACION,VUELVE ESTADO

EL SISTEMA AFP vuelve al Estado y al metodo de reparto en Argentina

12:51 › VUELTA AL ESTADO

El fiscal Marijuan denunció a AFJP que liquidaron bonos en las últimas horas

El fiscal federal Guillermo Marijuan denunció esta mañana a una decena de Administradoras de Fondos de Jubilaciones y Pensiones (AFJP) por haber liquidado presuntamente, en las últimas horas, bonos al enterarse que los beneficios previsionales pasarán a la órbita del Estado Nacional.

Marijuan atribuye a las Administradoras de Fondos de Jubilados y Pensionados el presunto delito previsto en el artículo 174 del Código Penal, que establece penas de dos a seis años de prisión a quienes cometieren fraudes en perjuicio de la administración pública. La denuncia está contenida en 19 carillas que quedó radicada ante el juez federal Claudio Bonadío.

Marijuan efectuó la denuncia en su carácter de titular de la Unidad Fiscal de Investigaciones de la Seguridad Social (UFISES), y en ella pide que se investigue la posible comisión del delito de defraudación a la administración pública.

El representante del ministerio público atribuye a las Administradoras de Fondos de Jubilados y Pensionados el presunto delito previsto en el artículo 174 del Código Penal, que establece penas de dos a seis años de prisión a quienes cometieren fraudes en perjuicio del Estado.

También reclamó una medida cautelar "ante la inminencia de que el Estado asuma la dirección de un sistema único de jubilaciones y pensiones, se impone la necesidad de ordenar a las Administradoras que se abstengan de efectuar operaciones financieras de los fondos que administran".

Esa medida fue requerida ante la posibilidad de que se ocasionen "serios e irreparables perjuicios de imposible reparación ulterior, no sólo a sus afiliados sino también al Estado Nacional".

Marijuan sostuvo que corresponderá a la Superintendencia de Administradoras de Fondos de Jubilaciones y Pensiones "efectuar el debido control sobre las inversiones realizadas por las Administradoras hasta el día de la fecha".

El fiscal reclamó el allanamiento a las administradoras denunciadas para "asegurar la prueba documental de interés para la pesquisa", y que "se haga lugar a la medida de no innovar peticionada".

En base a informaciones periodísticas, el denunciante afirmó que el 77 por ciento de los 446.000 jubilados cuyos haberes son responsabilidad de las AFJP terminan siendo pagados con recursos del Estado, al tiempo que 33 mil personas que integran el sector pasivo y que están afiliadas a las AFJP reciben el total de un haber del Estado.

Ello es así "por cuanto sus aportes ya no existen más; 220 mil reciben la mitad; y para otras 100.000 una parte del haber es estatal; apenas 23 por ciento, es decir 103 mil jubilados cobran todo su haber de la AFJP", según reseñó.

"El nivel de títulos públicos que tienen las AFJP (cerca del 60 por ciento) se convirtió en 'un régimen de reparto caro, donde el Estado paga altas tasas de interés y los particulares grandes comisiones'", se afirma en otro de los párrafos de la denuncia.

Marijuan citó cables de agencias de noticias según los cuales "la actual crisis pone brutalmente en evidencia que el sistema privado es conceptualmente inadecuado. El Estado tendrá que salir a rescatar de una forma u otra a los futuros jubilados del sistema".

En el escrito se señala que ayer "se produjo otra abrupta caída de los mercados locales reseñándose por los matutinos de la fecha que los bonos cayeron hasta un 12,5 por ciento y la bolsa un 3,3 -índice Merval-".

"Frente a los serios y fundados argumentos de modificar el sistema de jubilaciones y pensiones existentes y que trascendieran", las AFJP habrían "efectuado operaciones financieras en claro detrimento de los intereses de sus afiliados, dilapidando los fondos en clara violación a las disposiciones legales vigentes".

El fiscal se preguntó "si puede considerarse una inversión o un acto de administración la acción común deplegada por varias sociedades privadas y distintas en pos de liquidar sus posiciones a cualquier costo cuando ya sabían que había una disposición estatal de absorberlas".

Entre las medidas de prueba solicitó que se requiera al Mercado de Valores y al Mercado Abierto Electrónico (extrabursátil (MAE) que informe, con "carácter de urgente trámite", la totalidad de operaciones financieras efectuadas por las AFJP en los últimos siete días.

Garrido Lecca intercedió en el ingreso del Banco Azteca al Perú

Revelan que Garrido Lecca intercedió en el ingreso del Banco Azteca al Perú

23:57 | Una denuncia periodística afirmó que el ex ministro fue contratado por la entidad financiera para hacer lobby y poder ingresar en el país

El blog "Utero TV" reveló a través de un informe la relación laboral que mantuvo el ex ministro de Salud, Hernán Garrido Lecca, con el Banco Azteca y la forma cómo el dirigente aprista se habría beneficiado cuando el partido de la estrella entró en el gobierno.

La denuncia, que fue difundida en el programa de TV "Prensa Libre", precisa que Garrido Lecca fue contratado por el Banco Azteca para hacer lobby ante las autoridades peruanas durante el gobierno de Alejandro Toledo con el fin de permitir el ingreso de la entidad mexicana en el mercado peruano.

Refirió que esto no se pudo conseguir debido a que Juan José Marthans, entonces superintendente de Banca y Seguros, recomendó la no aceptación de los mexicanos debido a que no cumplían con una serie de requisitos y estaban envueltos en un escándalo de fraude con la Reserva Federal de Estados Unidos, lo cual fue confirmado por el congresista Carlos Bruce.

Cuando el Apra asumió las riendas del gobierno, el Ejecutivo despidió a Marthans y luego en menos de un mes el Banco Azteca pudo operar en el Perú.

UK: DESACELERACION

ndustria manufacturera británica sufre una grave crisis de confianza

9:56 | Es la peor desde 1980: el 46% de las compañías tuvo una reducción de nuevos pedidos contra un 16% que reportó un aumento en ese sentido

Londres (EFE).- La confianza de la industria manufacturera del Reino Unido cayó durante los últimos tres meses a su nivel más bajo desde 1980, advirtió hoy la Confederación de la Industria Británica (CBI, patronal de este país).

Según la encuesta trimestral de la CBI sobre las tendencias del sector, el 60% de las 515 empresas manufactureras consultadas ven con mayor pesimismo la situación de la industria que en el segundo trimestre del año.

Se trata del nivel de confianza más bajo registrado en ese sondeo desde julio de 1980, cuando la economía nacional se encontraba en recesión, precisó la Confederación de la Industria Británica.

Asimismo, el 46% de las compañías tuvo una reducción de nuevos pedidos, mientras que solo el 16% informó de un aumento en ese sentido.

La CBI cree, además, que 2008 podría saldarse con una pérdida de más de 60.000 empleos en el sector, toda vez que las empresas esperan un retroceso de la producción a su peor nivel en casi treinta años.

"Esta encuesta se efectuó durante un periodo de excepcional turbulencia económica, por lo que no es sorprendente que la confianza haya alcanzado ese nivel", afirmó el asesor económico jefe de la CBI, Ian McCafferty.

Sin embargo, McCafferty admitió que el estudio demuestra que "la desaceleración de la economía del Reino Unido se está extendiendo a sectores previamente resistentes a la debilidad de los mercados bancario e inmobiliario".

Por su parte, Howard Archer, economista jefe de la firma Global Insight, calificó de "terrible" el resultado del sondeo, que, en su opinión, acentúa los temores a que el Reino Unido entre en una recesión larga y profunda.

Estos resultados se difundieron antes de que el próximo viernes el Gobierno publique los últimos datos sobre el crecimiento del Producto Interior Bruto (PIB), que, según muchos analistas, será negativo por primera vez en 16 años.

FED: ALERTA RECESION

Fed alerta de una larga recesión y favorece otro plan de reactivación

22:53 | El nuevo proyecto de ley, que será abordado tras las elecciones del 4 de noviembre, propone gastar 150 mil millones de dólares

Washington (EFE).- El proyecto de dar una nueva dosis de oxígeno a la economía estadounidense con otro plan de estímulo fiscal ganó hoy fuerza con el apoyo del presidente de la Reserva Federal (Fed), Ben Bernanke, y la actitud "abierta" de la Casa Blanca.

El jefe del banco central estadounidense dio su respaldo por primera vez a un nuevo paquete de gasto, en un momento en que la economía pasa por una ralentización "grave".

"Con la probabilidad de que la economía siga débil por varios trimestres y un cierto riesgo de una desaceleración prolongada, parece apropiado que el Congreso considere un paquete fiscal en esta coyuntura", señaló Bernanke ante el Comité Presupuestario de la Cámara de Representantes.

Su declaración supone un respaldo clave para los demócratas, que presionan para que el Gobierno dé un segundo empujón fiscal a la economía.

La bolsa de Nueva York respondió a los comentarios de Bernanke con una subida de casi el 4,7 por ciento en el Índice Dow Jones al final del día.

El presidente de Estados Unidos, George W. Bush, por su parte, está "abierto" a la posibilidad de un segundo paquete de apoyo a la economía, aunque se encuentra a la espera de las medidas específicas que incluirá el Congreso, informó hoy su portavoz, Dana Perino.

La Casa Blanca se opuso en septiembre a un programa de gasto fiscal extraordinario de 61.000 millones de dólares aprobado por la cámara baja, pero que no llegó a ver la luz del día por el rechazo del Senado.

La declaración de hoy del jefe de la Fed ha dado alas a los demócratas.

Bernanke "ha añadido su voz al coro de economistas, expertos y políticos que insisten en que Estados Unidos necesita un paquete de rescate que cree empleos", indicó en un comunicado Nancy Pelosi, la presidenta de la cámara baja.

El nuevo proyecto de ley, que será abordado tras las elecciones del 4 de noviembre, propone gastar 150.000 millones de dólares en rebajas tributarias temporales, infraestructuras y ayuda para los gobiernos estatales, los pobres y los desempleados.

El titular de la Reserva Fedenral señaló que el plan no solo debería fomentar el consumo, sino también contrarrestar "la contracción extraordinaria del crédito", la cual, a su juicio, puede prorrogar la recuperación económica.

El plan de estímulo se añadiría a una larga lista de acciones públicas para combatir la crisis económica.

Un ámbito es la política monetaria y, en ese sentido, Bernanke pareció apuntar a una nueva rebaja de los intereses la próxima semana, al indicar que la caída reciente de los precios de las materias primas y la desaceleración económica "deberían reducir la inflación".

Otra esfera de acción es el apoyo directo a los bancos. El Gobierno divulgó hoy los detalles del plan para la compra de acciones de entidades financieras por valor de 250.000 millones de dólares, como forma de darles capital fresco.

Los bancos tendrán hasta el 14 de noviembre para presentar su solicitud de participar en el programa, que comprará entre un 1 y un 3 por ciento de sus activos.

En un comunicado conjunto, el banco central y las otras agencias reguladoras estadounidenses instaron a las instituciones financieras del país a aceptar la entrada del Gobierno en su capital.

Ya han anunciado su participación nueve entidades grandes del país, mientras que "un grupo amplio de bancos de todo tamaño" ha dado muestras de interés, dijo hoy en una rueda de prensa el secretario del Tesoro, Henry Paulson.

"Esta es una inversión, no un gasto, y no hay razón para creer que este programa le costará nada a los contribuyentes", sostuvo Paulson, quien detalló que el erario público recibirá "una rentabilidad razonable" por sus acciones.

El dinero vendrá del fondo de 700.000 millones de dólares aprobado por el Congreso para restablecer la normalidad en los mercados financieros y que incluirá la compra de deuda de mala calidad de los bancos, la cual -según los expertos- será menos rentable para el contribuyente que la compra de acciones.

Aun así, Bush dijo hoy en una mesa redonda con pequeños empresarios en Alexandria (Luisiana) que se recuperará "la mayor parte" del dinero público, "porque el Gobierno lo que está haciendo en realidad es una inversión".

FED:Fondos mutuos perdieron un cuarto de su valor

La Reserva Federal de Estados Unidos actúa para sustentar fondos mutuos

9:19 | Han perdido casi un cuarto de su valor durante el último año. Además, han tenido dificultades para vender títulos de corto plazo

Washington (EFE).- La Reserva Federal anunció hoy un mecanismo de financiación para la compra de activos de los mercados de fondos mutuos, donde tienen sus ahorros para jubilación millones de personas en Estados Unidos.

El Programa de Financiación de Inversionistas en Mercados de Dinero (MMIFF, por su sigla en inglés) ayudará, según la Reserva, a "aliviar las presiones en el mercado de deuda de corto plazo".

Los fondos mutuos, que han perdido casi un cuarto de su valor en un año, han tenido dificultades para vender títulos de corto plazo para satisfacer los pedidos de redención y atender sus necesidades de balance de portafolio.

"Al facilitar las ventas de instrumentos de mercado de dinero en el mercado secundario, el programa MMIFF deberá mejorar la liquidez de los inversionistas en ese mercado, aumentando su capacidad para atender los pedidos de redención", dijo la Reserva en un comunicado.

En el último año, la Reserva Federal y el Departamento del Tesoro han inyectado cientos de miles de millones de dólares para "mantener la liquidez" de los mercados financieros, han sustentado con garantías la liquidación de bancos financieros en crisis y la nacionalización parcial de hipotecas, seguros y bancos privados.

BCE INYECTA 101.9 millones de Dolares

El Banco Central Europeo no excluye más 'accidentes' en el sector bancario

9:30 | El sector bancario se encuentra duramente golpeado por la crisis. El BCE inyectó hoy US$101.930 millones

Frankfurt (Agencias).- El Banco Central Europeo (BCE) no descarta que se produzcan nuevos "accidentes" en el sector bancario, duramente golpeado por la crisis, estimó el martes uno de los principales responsables de esta entidad, el alemán Jurgen Stark.

"Existe un gran riesgo de que veamos otros accidentes", destacó el economista jefe en una entrevista en la radio alemana "DeutschlandFunk". "Nos encontramos en un contexto de incertidumbre extremadamente elevada".

Stark se mostró no obstante moderadamente confiado. Los planes masivos de apoyo al sector bancario decididos por Europa y Estados Unidos cambiaron la situación. "Estamos en una mejor situación para poder enfrentarnos a nuevas sorpresas", aseguró.

Preguntado sobre si lo peor de la crisis ya pasó, Stark no quiso comprometerse. "Lo espero", respondió.

Inyección de liquidez
El BCE inyectó hoy en el mercado 101.930 millones de dólares a un tipo de interés fijo del 2,11% y con un vencimiento a 28 días.

Según informó hoy el banco europeo, en la subasta participaron 91 bancos comerciales de la zona del euro, que pidieron la cantidad que el BCE les adjudicó.

La operación se liquidará el jueves y vencerá el próximo 20 de noviembre.

Para facilitar un amplio acceso a la liquidez y a los fondos, el Banco de Inglaterra, el BCE y el Banco Nacional Suizo van a conducir subastas de fondos en dólares con adjudicación plena y con vencimiento a siete, 28 y 84 días.

Además con el mismo objetivo, el Eurosistema va a ofrecer liquidez en dólares a los bancos a cambio de euros.

El BCE entregó a 16 bancos comerciales de la zona del euro dólares por valor de 22.605 millones de dólares en una operación mediante un intercambio de divisas y con un vencimiento de 28 días.

El banco europeo entregó los dólares a un tipo de cambio de 1,2044 dólares.

El tipo de cambio de referencia en el mercado de divisas en el momento de la operación era de 1,3248 dólares al que el BCE aplicó un margen del 10% como medida de control de riesgo, lo que da el tipo de cambio al que se ha producido la transacción (1,2044 dólares).

El BCE volverá a comprar los dólares el 20 de noviembre, cuando vence la operación, a un tipo de cambio de 1,2035 dólares por euro.

El BCE, como la mayoría de grandes bancos central mundiales, inyecta masivamente liquidez en el mercado desde que se agravó la crisis financiera con la quiebra del banco estadounidense Lehman Brothers.

Así actúa desde agosto de 2007, cuando la crisis "subprime", ligada a los créditos hipotecarios de alto riesgo en Estados Unidos, desencadenó la crisis financiera.

"Continuaremos haciéndolo tanto tiempo como sea necesario", repitió Stark. También expresó su deseo de que los planes de apoyo a los bancos de los gobiernos europeos y estadounidense logren restablecer la confianza entre las entidades y permitan que el crédito interbancario, vital para la economía, vuelva a la normalidad.

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