SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

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Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

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5 ago 2009

peru:tren electrico

http://www.americaeconomia.com/note.aspx?Note=315523

CHIMERICA: EE.UU. y China Comercio

http://www.uschina.org/statistics/tradetable.html

DU BLOG DE LA DEFLATION

Voici un petit bilan d'étape sur l'économie US, les résultats des plans Bush-Paulson-Obama-Geithner.
On me pardonnera les fonds de certains graphiques, je faisais simplement quelques tests des fonctions décoratives de mon tableur à partir d'images trouvées (presque) au hasard sur le web :-)

Commençons d'abord par les domaines où ces plans ont produit des résultats incontestables, et très largement au delà des "espérances" de leurs promoteurs :

La croissance de la dette publique (source)



Le rythme de creusement de la dette nette US (j'entends pas "dette nette" ce que l'état doit aux autres acteurs économique, donc hors dette intra-gouvernementale) s'est maintenu au rythme moyen d'environ 1000 milliards de $ par semestre.
La somme due par l'état a donc augmenté d'environ 38% en à peine plus d'un an.

L'évolution du taux de chômage.

Il y a plusieurs chiffrages possibles du taux de chômage US (donnes BLS) : le chômage au sens strict (personnes à la recherche d'un emploi, n'exerçant aucune activité), et une mesure au sens large, incluant notamment les personnes obligées de travailler à temps partiel pour des raisons économiques).



On trouvera ici en comparaison ce que le taux de chômage était censé faire dans un univers imaginaire keynésien où les "plans de relance" auraient l'efficacité qu'on leur prête.

Pour le moment, le taux de chômage au sens large est passé de 8% avant le démarrage de la crise à 16,5% aujourd'hui, c'est à dire qu'un travailleur américain sur 12 a perdu son emploi partiellement ou totalement. Ce qui ne sera évidemment pas sans conséquences sur la "reprise" que l'on nous promet, d'autant que cette hausse est loin d'être terminée.

Continuons à présent par les mesures centrales de l'activité économique : ventes au détail, immobilier, véhicules, activité manufacturière.

ventes au détail :



ventes de véhicules légers



ventes de logements neufs



Index de la production industrielle des USA



Tout ce que nous pouvons dire à la lecture de cette série de graphiques est qu'il n'y a aucun rebond sérieux de l'activité, nous observons simplement pour l'instant un palier dans la récession.

Signalons aussi cet article synthétique sur l'actualité économique US à partir du trafic ferroviaire, avec de nombreux indicateurs.

Les indices de confiance à présent.

Sur ce plan par contre, le rebond est incontestable, les consommateurs semblent avoir repris espoir, même si leur niveau de confiance reste encore faible. On trouvera ici l'indice de confiance du Michigan, d'autres indices présentent le même aspect.
Le seul problème est que cet "espoir" n'a aucune traduction concrète pour le moment.

Les deux indicateurs les plus positifs de ce tableau sont les ISM manufacturiers et services, qui ont rebondi de façon importante. Mais ils restent sous la barre des 50 signalant une contraction de l'activité, ce qui confirme ce que nous venons de voir, à savoir un simple palier dans la récession.

Que penser de la suite ? Est-ce que ce palier peut se transformer en véritable reprise ou est-ce que la descente va reprendre son cours après une pause ou un faible rebond de quelques mois ?

Pour ma part, je maintiens mes prévisions de poursuite de la descente, dans un contexte qui est pour moi celui d'une vraie dépression économique (prévision d'une chute du PIB de plus de 10% entre le point haut et le point bas de la crise), pour plusieurs raisons :

1) Malgré sa politique de cavalerie sans précédent, l'état US est incapable de relancer le crédit, et c'était cette seule expansion du crédit qui avait permis de réaliser la croissance artificielle des années 2000.

La statistique Z1 de la FED a montré que la dette totale des USA a baissé (très légèrement) au 1er trimestre 2009, fait sans précédent depuis des décennies de croissance du crédit, et ce malgré la frénésie d'emprunt du gouvernement que nous avons vu plus haut dans cet article.
Au niveau des prêts détenus par les banques commerciales (statistique hebdomadaire H8 de la FED), la tendance est la même : après un sursaut à l'automne 2008 lié au plan Bush, la tendance à la baisse a repris, malgré toutes les efforts de l'état en matière de déficit et de gaspillage d'argent public :



Pour relancer le crédit et le faire revenir au rythme des années précédentes, il faudrait que l'état dépense au moins 4000 milliards de $ chaque année uniquement au titre de la fuite en avant dans la dette (et sans doute plus, vu que les autres secteurs n'augmentent plus leur endettement, mais le réduisent), soit environ 1 plan Obama tous les 2 mois.
Si on arrivait à ce niveau de dépenses, la cavalerie croissance des années précédentes pourrait effectivement repartir, peu avant une faillite totale de l'état US. En cela, le prix Nobel Paul Krugman, keynésien "ultra" et admirateur de Charles Ponzi et de Bernard Madoff a "raison" de dire qu'il faudrait creuser encore plus le déficit des USA et voler encore plus d'argent aux générations futures et aux épargnants raisonnables pour "contrer" la crise (il oublie juste de parler du désastre qui se produirait après les quelques trimestres de "reprise" qu'il aurait ainsi obtenus).

2) La marge de manoeuvre de l'état se réduit chaque mois :

A cause de la crise, les recettes de l'état US fondent en effet rapidement, et ont baissé de plus de 22% en un an. Dans le même temps, les dépenses de ce même état ont augmenté de presque 80%.




Une telle gestion peut-elle être prolongée durablement ?
La réponse est évidemment non (sauf si on écoute les extrémistes de la cavalerie comme P.Krugman).
Deux forces viendront contrer rapidement ce mouvement, et limiter la marge de manoeuvre de l'état (dont la capacité d'action est déjà insuffisante) :

- Les taux d'intérêt. Le premier avertissement s'est produit au printemps 2009 quand les taux des prêts hypothécaires ont commencé à monter en suivant les taux des emprunts d'état. Les choses sont plus ou moins rentrées dans l'ordre pour le moment, mais la pression augmentera à chaque tentative des dirigeants d'augmenter encore le niveau des dépenses et de l'endettement public.

- L'opinion publique. C'est pour moi l'élément le plus important. J'attaque souvent les "keynésiens" ici et leur politique de fuite en avant. Mais je n'oublie pas que cette politique n'est que l'expression de la volonté d'une foule euphorique.
Avec l'arrivée de la crise le sentiment de foule commence à changer, comme le montre ce sondage à mon avis capital pour la suite : 60% des américains sont à présent opposés à l'adoption d'un nouveau plan de relance, contre 27% seulement qui y sont favorables. La volonté de rigueur budgétaire se fait de plus en plus forte, avec 45% des sondés qui souhaitent l'annulation des dépenses restant à faire dans le cadre du premier plan Obama, la réduction du déficit étant vu comme bien plus importante (37%) que la réforme du système de santé (20%).
Ce n'est pas pour moi une saute d'humeur, il s'agit d'un basculement de psychologie des foules de la vie à crédit vers la frugalité, qui ne va cesser de s'amplifier, comme à chaque fin de supercycle économique (hiver de kondratieff).
On peut reprocher beaucoup de choses à Barack Obama et à sa politique économique, mais il y a un domaine où je le crois très bon : c'est un fin politique, qui sait sentir les changements d'opinion. Si l'opinion devient majoritaire en faveur de la rigueur budgétaire, il la suivra, et le siège éjectable de Bernanke en fera les frais.Ses derniers discours marquent d'ailleurs une inflexion vers plus de rigueur budgétaire.
Les thèses de Ron Paul (que je soutiens et qui n'a jamais trahi ses idées libérales, contrairement à beaucoup) gagnent en popularité, et sa proposition d'audit de la FED a déjà l'appui de plus de la moitié des parlementaires. C'est un autre signe de défiance clair vis à vis du système FED, basé sur le crédit.

Plus le temps passera, plus la déflation apparaîtra comme ce qu'elle est vraiment, c'est à dire le remède, et non le problème.

3) la hausse du taux de chômage sapera les capacités des ménages à consommer.

La mesure qui nous intéresse ici est celle du taux de chômage au sens large (perte d'emploi totale ou temps partiel forcé). Ce nombre, déjà passé de 8% à 16,5% de la population active va continuer d'augmenter, et le franchissement de la barre des 20% n'est qu'une question de temps. Entre le début de la crise et aujourd'hui, environ 1 actif sur 12 a perdu totalement ou en partie son emploi, et a donc subi une perte partielle ou totale de revenus. Cela fait autant de personnes en moins disponibles pour participer à une éventuelle reprise de l'économie.

4) Les pressions sur le marché immobilier vont continuer au moins jusqu'en 2011 ou 2012, et aucune reprise à ce niveau n'est à attendre.

Le niveau des prix immobiliers aux USA(selon l'historique de Case-Shiller) peut être consulté ici, sur le site de Robert Shiller.
On peut voir que l'index des prix immobiliers (en monnaie constante), a 130 aujourd'hui a déjà corrigé une part importante de la bulle (202 au plus haut). Mais vu l'importance de la crise, il reste du chemin à parcourir avant d'arriver à un véritable excès baissier caractéristique des grandes crises (entre 70 et 80)...Cela dit il y a sans doute déjà de très bonnes affaires à réaliser dans certains endroits pour les résidents US qui connaissent bien leur marché.



L'immobilier US ne repartira pas tant que les stocks ne seront pas revenus à un niveau normal.
Le problème est que jusqu'en 2011-2012 au moins, le flot de saisies immobilières restera très élevé.
D'abord à cause des prêts à taux révisables dont les mensualités vont être "révisées" (c'est à dire fortement augmentés comme le prévoient les contrats sur ce type de prêts), voir les données de calculated risk sur ce sujet.
Ensuite à cause de la hausse du chômage qui provoque des défauts sur toutes les catégories de prêts (y compris sur les "prime", c'est à dire les emprunteurs censés être solides).
Les saisies immobilières ont déjà marqué de nouveaux records sur le premier semestre 2009 (malgré tous les plans gouvernementaux, qui n'ont servi comme prévu à rien). Voir ce graphique de foreclosurepulse.com et cet article.

5) Les ménages épargnent de plus en plus au lieu de consommer

Le retournement de tendance est très clair sur ce graphique de la FED.
Et comme il ne s'agit que d'un retour à une situation normale, il y a peu de chances de voir cette tendance s'inverser.

En conclusion :

Nous allons sans doute observer une pause dans la récession, qui se verra dans les chiffres du PIB des 2ème et 3ème trimestres. Cette pause ne doit à mon avis pas faire oublier que la partie la plus intense de la récession reste devant nous. Nous ne sommes pas dans le cadre d'une reprise en W, en V ou en L, mais plutôt dans celui d'un escalier descendant.

Le seul scénario alternatif que l'on puisse espérer pour les pays développés est celui d'un scénario à la Japonaise, où une très forte croissance des pays émergents adoucirait la récession dans les pays développés.
Mais attention, ce n'est pas le plus probable pour le moment, vu que les exportations des USA vers la Chine par exemple sont insignifiantes et ne s'élèvent qu'à 0,5% de son PIB. Reste quand même la part d'activité des entreprises occidentales implantées chez les émergents, qui est difficile à évaluer.

USA: secretario del Tesoro critica reguladores

Por Damian Paletta y Deborah Solomon

WASHINGTON– El secretario del Tesoro de Estados Unidos, Timothy Geithner regañó fuertemente a los principales reguladores estadounidenses en una crítica llena de groserías el viernes pasado, en momentos en que crece la frustración sobre el tambaleante plan del gobierno de Barack Obama para reformar las instituciones de regulación financiera de EE.UU., según fuentes al tanto.

La propuesta de reforma es una de las prioridades domésticas del presidente Barack Obama. Pero desde que fue presentado en junio, el plan ha sido criticado por la industria de servicios financieros, así como por los reguladores preocupados por perder influencia en su territorio.

"Ya es suficiente", les dijo Geithner a los reguladores el viernes, según una persona al tanto. Geithner dijo que se les dio a los reguladores una oportunidad para expresar sus preocupaciones, pero que era hora de que se detuvieran, agregó la fuente.

Entre las personalidades reunidas en la sala de conferencias del Departamento del Tesoro esa tarde se encontraban el presidente de la Reserva Federal, Ben Bernanke; la presidenta de la Comisión de Bolsa y Valores, Mary Schapiro, y la presidenta del Fondo de Garantía de Depósitos, Sheila Bair.

La reunión del viernes, que se prolongó por casi una hora, fue descrita como inusual, no solo por el uso repetido de obscenidades por parte de Geithner, sino debido a la postura agresiva que tomó ante funcionarios de agencias federales que se suelen considerar independientes de la Casa Blanca. Geithner les recordó a los asistentes que el gobierno y el Congreso dictan las políticas, no las agencias regulatorias.

Geithner, sin mencionar nombres, expresó preocupación por los reguladores que cuestionan la idea de darle a la Reserva Federal más poder para supervisar al sistema financiero. Schapiro y Bair, entre otros, han argumentado que una mayor autoridad debe ser compartida entre un consejo de reguladores.

"Se trata de un tremendo poder regulatorio que se invertirá en lo que sea que vaya a ser esta entidad", dijo Bair ante el Comité Bancario del Senado el mes pasado. "Y creo que en términos de pesos y contrapesos, también ayuda el que se expresen diferentes puntos de vista y que se llegue a un consenso".

Mientras tanto, funcionarios de la Reserva Federal y la Oficina del Controlador de la Moneda han cuestionado la creación de una nueva agencia federal para supervisar las regulaciones al consumo, una medida que les quitaría poderes a ambas instituciones.

La propuesta le daría poderes al gobierno para intervenir y desmantelar grandes compañías financieras, fusionar a dos reguladores bancarios y endurecer la supervisión de hipotecas, entre otras cosas.

Funcionarios del gobierno dicen que no les preocupa la posibilidad de la reforma, y agregan que hay un consenso sobre aspectos clave, incluida la regulación de los derivados que se negocian fuera de bolsa. Funcionarios del Tesoro afirman que esperaban un gran debate sobre el complejo proyecto de ley. La primera parte, que aborda la remuneración de ejecutivos, fue aprobada por la Cámara de Representantes el viernes.

"La industria ya está de nuevo en los niveles anteriores al colapso", dijo el jefe de personal de la Casa Blanca, Rahm Emanuel. "Necesitamos asegurarnos de no regresar al comportamiento riesgoso por el cual las instituciones tienen todas las ventajas y los contribuyentes todas las desventajas; por eso necesitamos una reforma regulatoria".

Funcionarios del gobierno dijeron que Geithner contaba con que los reguladores objetarían las partes del plan que amenazaban su poder o autoridad, pero funcionarios del Tesoro quedaron sorprendidos por el impacto que tuvieron las críticas entre los legisladores.

Geithner quería decirles a los asistentes que no deberían dejar que las guerras territoriales interfirieran con la misión de arreglar un sistema que está claramente roto, dijo Neal Wolin, subsecretario del Tesoro. El funcionario prefirió no hacer comentarios sobre el tono y el lenguaje de Geithner.

Los voceros de las agencias regulatorias representadas en la reunión no quisieron comentar al respecto.

La propuesta del gobierno le daría a la Fed amplia libertad para supervisar cualquier gran compañía financiera de EE.UU. y también crearía un "consejo de supervisión de servicios financieros" para coordinar las políticas y resolver disputas entre los reguladores.

Cómo se balancearía el poder entre la Fed y esta entidad ha sido uno de los puntos de controversia, que han debatido los funcionarios del gobierno. Finalmente, los funcionarios creen que la estructura regulatoria necesita un punto único de responsabilidad, y argumentan que una de las debilidades de la respuesta del gobierno a la crisis financiera el año pasado fue la falta de claridad sobre qué entidades tenían el control.

USA: Ganancias Cisco - 46%

Cisco Systems Inc. registró una ganancia neta de US$1.110 millones, o 19 centavos por acción, durante el cuarto trimestre de su año fiscal, una disminución del 46% frente al beneficio de US$2.010 millones, o 33 centavos por acción, del mismo período del año anterior.

La compañía atribuyó los resultados al descenso de los ingresos, márgenes sin cambios y un cargo tributario. Sin embargo, la mayor fabricante de equipos de conexión de redes destacó algunas mejoras en las tendencias de pedidos de trimestre a trimestre.

De excluir los costos de compensación basada en acciones y un cargo tributario de US$174 millones por una mejora en los beneficios de jubilación anticipada, las ganancias cayeron a 31 centavos frente a los 40 centavos previos. Los analistas encuestados por Thomson Reuters esperaban ganancias de 29 centavos por acción.

Los ingresos de la compañía retrocedieron el 18% a US$8.540 millones. En mayo, la compañía proyectó ganancias de entre US$8.300 millones y US$8.600 millones, un descenso inferior al que habían esperado los analistas de Wall Street.

El margen bruto no registró cambios en el 64%, en línea con la proyección que la compañía emitió en mayo.

Las ventas de productos cayeron un 22% mientras que las ventas de servicios aumentaron un 4,8%.

Cisco, estrechamente ligada al mundo empresarial, es una referencial del sector tecnológico, porque sus productos de redes son cruciales para los componentes de cualquier estructura corporativa. Los resultados más recientes, que estuvieron esencialmente en línea con las expectativas, son una señal de que los gastos en tecnología no están mostrando un crecimiento significativo.

El titular y presidente ejecutivo, John Chambers, dijo el miércoles que Cisco observó un buen número de señales positivas este trimestre, especialmente en las comparación de tendencias secuenciales. "Si continuamos viendo estas positivas tendencias de pedidos en los próximos uno o dos trimestres, existe una buena probabilidad de que el punto de cambio ocurrió en nuestra compañía" en el cuarto trimestre.

Las acciones de Cisco se negociaban tras el cierre con un una pérdida del 2,7% a US$21,57.

precio gas natural: 4.02 (baja desde 13.9)

ver
http://www.24hgold.com/english/interactive_chart.aspx?&codecom=NATURAL%20GAS%20FUTR&chgecom=ChgeCom&valecom=ValeCom

USA: CONTRACCION DEL SECTOR SERVICIOS,Agosto

Sector servicios EEUU se contrae en julio: ISM
miércoles 5 de agosto de 2009 11:50 GYT

Por Chris Reese NUEVA YORK (Reuters) - La actividad del sector servicios en Estados Unidos se contrajo en julio a un ritmo más intenso que en junio, aumentando las preocupaciones de que cualquier recuperación económica pueda....

NUEVA YORK (Reuters) - La actividad del sector servicios en Estados Unidos se contrajo en julio a un ritmo más intenso que en junio, aumentando las preocupaciones de que cualquier recuperación económica pueda ser lejana aún, de acuerdo con un reporte divulgado el miércoles.
El Instituto de Gerencia y Abastecimiento (ISM por sus siglas en inglés) dijo que su índice no manufacturero cayó a 46,4 en julio desde 47,0 en junio.
Los economistas consultados por Reuters esperaban una lectura de 48,0. Una lectura por debajo de 50 apunta a contracción en el sector.
"Hay un claro rezago en la recuperación del sector servicios, que refleja la anemia del consumo", dijo Richard DeKaser, presidente de Woodley Park Research en Washington.
El sector servicios representa cerca del 80 por ciento de la actividad económica de Estados Unidos e incluye negocios como los bancos, aerolíneas y restaurantes, entre otros.
La Bolsa de Nueva York extendió las pérdidas, mientras que los bonos del Tesoro de Estados Unidos recortaron sus bajas y pasaron al alza tras los datos.
La última vez que el índice superó la línea de 50 fue en agosto del 2008, seguido de una medición de 50 el mes posterior.
El subíndice de precios pagados bajó a 41,3 en julio contra 53,7 en junio, mientras que el componente de los nuevos pedidos cedió a 48,1 desde 48,6 en junio.
El índice del empleo cayó a 41,5 en julio contra 43,4 el mes previo.
La caída del componente del empleo se sumó a las preocupaciones de que el tamaño de cualquier contracción de las nóminas no agrícolas en julio, un dato que el Gobierno divulgará el viernes, pueda ser mayor de lo proyectado originalmente.
Esas preocupaciones ya habían sido alimentadas por el reporte que dio a conocer más temprano el miércoles ADP Employer Services, mostrando una contracción mayor de lo previsto en el empleo privado en julio.
"Esto no es una buena noticia para el mercado laboral dada la decepcionante lectura de ADP, no es un buen augurio para la medición de las nóminas de julio", dijo DeKaser.
La mediana de las proyecciones de los analistas encuestados por Reuters apunta a una contracción de las nóminas no agrícolas en 320.000 en julio, tras la pérdida de 467.000 puestos de trabajo en junio.
(reporte adicional de Richard Leong)

bancos: multa por pagar bonos

"Bank of America multado por pagar bonos" : http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/08/090803_2305_bankofamerica_multa_gm.shtml?s

crisis: dimensiones de la crisis mundial

"Las cinco crisis invisibles" : http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/08/090724_crisisinvisible_economia_mj.shtml?s

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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