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Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

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20 oct 2009

France: Michel Rocard, le grand emprunt

MICHEL ROCARD 

« Mes quatre priorités pour le grand emprunt »

[ 19/10/09  ]

L'ancien Premier ministre socialiste dévoile les projets privilégiés par la commission qu‘il copréside avec Alain Juppé.  

Cet été, vous avez présidé la commission sur la contribution climat-énergie, vous coprésidez maintenant celle sur le grand emprunt. Comment définiriez-vous votre rôle politique aujourd'hui ?

Les choses sont extrêmement claires : je ne suis pas un rallié, je reste un social-démocrate, j'appartiens toujours à l'opposition. Dans cette commission sur le grand emprunt, par exemple, j'assume la présence et je défends les idées du camp d'en face ! Et je l'assume parfaitement. Sur un certain nombre de sujets, je suis radicalement opposé à la politique du président de la République. Le coeur de l'identité politique, c'est la fiscalité. Eh bien, pour moi, le bouclier fiscal est une erreur sur le fond et une catastrophe quant à son tempo. Mais je vois aussi que Nicolas Sarkozy s'est converti à des idées sociales-
démocrates qui n'étaient pas les siennes au départ. Que disent-elles ? Qu'il faut réguler l'économie qui, par nature, est « méchante ». Qu'il ne faut pas faire seulement confiance au marché. On est en plein dedans ! Et s'y ajoute aujourd'hui le défi du réchauffement climatique.

La gestion de la crise a-t-elle été bonne ?

Elle a été en tout cas volontariste. Mais, ce qui est sûr, c'est que la leçon de la crise n'a pas été comprise par les banquiers. Ils disent aux Etats : « Vous avez fait le boulot, maintenant laissez-nous tranquille. » Le système financier mondial est reparti de plus belle, sans réelle régulation. C'est incroyable.

Nicolas Sarkozy a retenu un prix beaucoup plus bas que celui que vous préconisiez pour la taxe carbone. Ne craignez-vous pas qu'il ne reprenne que 50 % de vos préconisations sur le grand emprunt ?

Je vous rappelle qu'en installant la commission fin août, le président nous a dit de faire attention à ce qu'on allait écrire, parce qu'il avait l'intention de reprendre toutes nos propositions. Pour la taxe carbone, l'essentiel, c'était de la créer, et je salue la décision de Nicolas Sarkozy, qui a été de le faire. Il ne s'agit en aucun cas d'une renonciation. Je savais pertinemment que la taxe serait sans doute « mal formée » au début, ou incomplète. Ce fut la même chose pour la TVA. Quand elle est née, en 1953, moins de 50 % du PIB était concerné. Huit ans après, tous les secteurs de l'économie y étaient passés. Sur le taux de la contribution climat-énergie (CCE), le gouvernement a voulu éviter d'avoir deux prix différents, celui des quotas européens, qui avoisine 17 euros, et celui que nous proposions pour la CCE, de 32 euros pour la même chose, la tonne de gaz carbonique. On peut le regretter mais cela se comprend tout de même fort bien.

Cela justifie les exemptions de taxe carbone pour les routiers ou les agriculteurs…

Il est logique d'épargner les routiers ou les taxis, qui doivent pouvoir continuer d'exercer leur métier. Pour les agriculteurs, c'est un peu différent. Il faut revoir plus globalement les aides dont ils bénéficient et la politique agricole menée au niveau européen.

Pensez-vous vraiment que le gouvernement va augmenter la taxe carbone en 2011, alors qu'elle est mal accueillie par l'opinion ?

Je suis confiant sur le fait qu'elle sera relevée soit en 2011, soit en 2012, selon le premier bilan qui sera dressé. Les travaux d'Alain Quinet montrent qu'il faut atteindre 100 euros la tonne de CO2 d'ici à 2030. Le gouvernement a payé le fait que les gens n'ont pas cru à la compensation intégrale. Le débat a été caricaturé. Mais aujourd'hui les modalités sont claires.

Les entreprises bénéficiant du système européen des quotas vont être privilégiées puisque les quotas sont gratuits d'ici à 2012…

Il faut saisir d'urgence la Commission européenne sur la nécessaire modification du système des quotas, qui présente de sérieuses imperfections à l'usage. C'est un marché ultra­spéculatif. En outre, une corrélation dangereuse avec les prix du pétrole semble s'opérer.

Revenons au grand emprunt. Vous êtes très sollicités, y a-t-il un risque d'aboutir à un catalogue de mesures, comme pour la commission Attali ?

Certainement pas, ce n'est pas souhaitable et l'état de nos finances publiques ne le permettrait pas. Notre souci sera d'éviter le saupoudrage. Si je faisais l'addition des demandes, même avec un emprunt à 100 milliards d'euros, nous serions très loin du compte ! Or nous estimons que l'emprunt ne devra pas être trop supérieur à 30 milliards d'euros. Avec un montant de cet ordre, le programme d'émission de dette de la France ne sera pas chamboulé en 2010, et il n'y aura pas de changement de perception par les marchés de la qualité de notre signature, qui reste la meilleure en Europe avec celle de l'Allemagne.

Vous n'évoquez plus l'hypothèse d'une souscription auprès du grand public…

Les modalités de l'emprunt ne sont pas de notre ressort, la commission a d'elle-même décliné cet aspect. Notre sentiment est néanmoins qu'il faudrait majorer de 1,5 % la rémunération des souscripteurs pour être sûr du succès de l'opération auprès du grand public. Ce n'est pas raisonnable. Nous préférerions un recours traditionnel au marché.

Est-il raisonnable de lancer un grand emprunt quand d'autres pays programment des plans de redressement ?

L'état des finances publiques est très grave, c'est sûr, et la commission va y consacrer un chapitre dans son rapport. Mais il n'y a pas de raison pour autant d'organiser la panique. Comparons-nous avec les autres. Les Etats-Unis constituent un cas particulier puisque leur endettement global, public et privé, est astronomique mais ils s'en moquent : ils sont protégés par le dollar. Dans la zone euro, la dette augmente partout de façon invraisemblable, en Irlande, en Grande-Bretagne, en Espagne, etc. De nombreux pays voient leur signature menacée. La situation de la France est mauvaise en valeur absolue, mais elle est parmi les moins mauvaises des pays développés. Cela justifie le grand emprunt. D'autant plus que cela fait des années que les investissements publics d'avenir sont sacrifiés. On ne touche pas au salaire des fonctionnaires et c'est logique, l'Etat a du mal à ne pas satisfaire aux demandes du corps médical, des agriculteurs, etc. Les dépenses d'avenir, elles, ­passent à la trappe. La recherche et l'enseignement supérieur en paient aujourd'hui les conséquences. Une fois de temps en temps, ce n'est pas trop grave, mais quinze ans de suite, c'est le naufrage.

Ne faudrait-il tout de même pas gager l'emprunt sur la baisse de dépenses de fonctionnement ?

Lesquelles ? Comment faites-vous ? Un Premier ministre n'a souvent que deux ans devant lui. Il ne peut faire que peu de choses. Je suis antigaspillage et ce gouvernement paraît plus rigide, plus sérieux que pas mal de ses prédécesseurs. Mais il me semble que l'on est arrivé au bout des économies que l'on peut réaliser sans créer trop de tensions. La règle du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite pénalise des ­secteurs où il serait nécessaire de remplacer tout le monde.

Quelles priorités commencent à émerger au sein de la commission ?

Nous avons quatre thématiques fortes : la ­recherche, l'université, le haut débit, la croissance verte. Il s'agit d'abord de maintenir ou d'obtenir un très haut niveau de recherche fondamentale et appliquée en France. Faut-il consolider nos points forts ou rattraper notre retard dans certains domaines ? Je penche plutôt pour la première option. Exemple : la France et l'Europe sont en pointe dans le domaine spatial, mais les Etats-Unis se ­réveillent et la Chine est offensive. Donner un coup de main à la mise au point d'Ariane 6 s'impose. De même, EADS a commencé des travaux sur l'avion du futur, qui devra être moins lourd pour moins consommer et donc utiliser de nouveaux matériaux. Il y a des besoins considérables d'études, d'expérimentations, il faudra un démonstrateur… Avant que l'industrie ne se lance, la recherche a toute sa place.

Le vieillissement est-il dans votre champ d'investigation ?

Le social n'est pas vraiment de notre ressort. Il ne nous appartient pas de bâtir le cinquième risque de Sécurité sociale pour la dépendance des personnes âgées. Le grand emprunt peut en revanche faciliter la recherche sur la domotique, les médicaments, etc.

Allez-vous développer des programmes publics très ambitieux comme dans les années 1960 et 1970 ?

Le plan Messmer a fait passer la part du nucléaire dans l'électricité produite de 2 % à près de 80 % aujourd'hui. C'était un plan ­ultramassif ! Nous n'avons rien de pareil en tête et la commission n'a pas une grande sensibilité pour les investissements sur les infrastructures.

Quid du haut débit ?

Il s'agit d'un investissement nécessaire qui peut avoir un impact rapide en termes de croissance et de valeur ajoutée. Mais il n'y a pas non plus besoin de fibre optique sur l'ensemble du territoire.

Ce sera un investissement public pour des bénéfices privés…

Nous sommes très attentifs à cela, car c'est un peu l'état d'esprit de certains lobbys. Il n'est absolument pas question de tomber dans ce travers. Le secteur public n'est pas là pour être racketté ! C'est le credo d'une partie de la pensée capitaliste, foncièrement ­malhonnête. Il va falloir encore d'autres ­crises avant que cette culture du mépris de la puissance publique, cette mode monétariste, ne disparaisse.

Que pensez-vous de la situation du Parti socialiste ?

Le PS est un grand malade. Quand on est dans la chambre d'un malade, il est recommandé de ne pas crier. Dans ses meilleures années, il avait 150.000 adhérents. Tous les partis « frères » à l'étranger - en Allemagne, en Autriche, en Suède - ont un nombre ­d'adhérents bien supérieur. En fait, le PS est une bizarrerie, dès sa naissance.

Il semble que la rénovation soit en cours. Est-il désormais sur la bonne voie ?

Je ne sais pas. Le PS est toujours mal à l'aise avec l'économie de marché. Certains rêvent encore d'économie administrée. Le PS n'a plus de pensée collective depuis très longtemps. François Mitterrand, déjà, avait ­aggravé cette situation. Le vrai problème de ce parti réside aussi dans l'obligation que se donnent ses dirigeants de parler à l'unanimité. C'est ce qu'a souhaité faire il y a une dizaine de jours Martine Aubry en intégrant tous les grands responsables à sa direction. C'est aussi ce qu'avait réalisé François Hollande, que je soutenais, lors du congrès du Mans. Notre motion associée à deux plus petites avait obtenu 53 %. Nous reconnaissions l'économie de marché et l'urgence de l'Europe. Mais François Hollande a effectué une « synthèse » et remis tout le monde dans le même sac. Depuis, le PS en est toujours là : à essayer de réaliser l'improbable synthèse.
PROPOS RECUEILLIS PAR  RENAUD CZARNES,  ETIENNE LEFEBVRE  ET DOMINIQUE SEUX, Les Ech

France: sortir de la crise, Nouveaux modeles de croissance

Le dernier rapport de daniel cohen et le groupe d´analyse strategique
http://www.strategie.gouv.fr/article.php3?id_article=1064

FRANCE: REFORME TERRITORIALE, GRAND CHANTIER, LES ECHOS

Nicolas Sarkozy donne le coup d'envoi de la réforme territoriale

[ 20/10/09  ]

Le chef de l'Etat donne aujourd'hui le coup d'envoi, à Saint-Dizier (Haute-Marne), de la réforme des collectivités territoriales. La conduite de ce grand chantier, lancé au beau milieu de la réforme de la taxe professionnelle, décriée par les élus, s'annonce difficile.

De toutes les réformes qu'il s'est fait fort de réaliser pendant son quinquennat, c'est à la fois l'une des plus lourdes et des plus délicates. Nicolas Sarkozy donne aujourd'hui, à Saint-Dizier (Haute-Marne), le coup d'envoi du chantier de restructuration des collectivités locales. Un projet qui, depuis son annonce par le chef de l'Etat, en septembre 2008 à Toulon, prend de plus en plus des allures de défi. La gauche, qui contrôle « les territoires » - plus de la moitié des départements, presque toutes les régions et la majorité des grandes villes -, promet de livrer une bataille sans répit contre l'édifice législatif - cinq projets de loi dont quatre seront examinés demain en Conseil des ministres - mis au point par le gouvernement pour tailler dans le « mille-feuille » territorial. Une partie de la majorité présidentielle, elle aussi, est sur la défensive. Cette réforme, destinée à optimiser l'organisation des collectivités locales, ne fera pas de détail.
Le projet de doter, à compter de 2014, les départements et les régions du même personnel politique - les conseillers territoriaux, deux fois moins nombreux que leurs élus actuels - participe totalement de cette volonté de rationalisation. Face à cette mesure, présentée comme génératrice d'économies, l'opposition hurle depuis le début à la manipulation, et ce d'autant plus que le mode de scrutin retenu ne lui est pas favorable. Alain Rousset, le président (PS) de l'Association des régions de France (PS), toutes à majorité de gauche, sauf la Corse et l'Alsace, parle de « textes meurtriers pour la décentralisation ». Pour Claudy Lebreton (PS), son homologue de l'Assemblée des départements de France, le gouvernement veut la mort du département.
Une partie de la droite s'inquiète, notamment celle du Sénat, assez composite et bien moins volontariste que ne l'est l'UMP à l'Assemblée nationale sur cette réforme. La Haute Assemblée, via la mission Belot et secondée par le lobby communal, a déjà considérablement rogné les dispositions inspirées par le comité Balladur. Au fil des réécritures, les « métropoles » et les « nouvelles communes » qui, initialement, devaient éclipser les communes situées sur leur territoire, ont été quasiment réduites à peau de chagrin. En revanche, l'achèvement de la carte de l'intercommunalité, et surtout sa rationalisation, qui seront enfin mises en œ oeuvre, ne prêtent plus à polémique.
La partie s'annonce serrée pour Nicolas Sarkzoy et le gouvernement, qui veulent faire adopter cette réforme par le Parlement avant l'été prochain. Et ce d'autant plus que le pouvoir n'en a pas complètement fini avec le tollé soulevé par la suppression de la taxe professionnelle, et la perte de ressources que celle-ci fait planer sur les collectivités.

grupo mexico y ASARCO

Por Joel Millan
BROWNSVILE, Texas (Dow Jones)--Grupo México SAB sufrió un tropiezo en sus planes para recuperar el control de su filial estadounidense Asarco LLC después que el juez Andrew S. Hanen, de una corte de quiebra, indicara que considerará una amplia gama de temas antes de emitir un fallo sobre el caso.
Entre los temas que considerará figuran las quejas de mineros sindicalizados que se oponen a trabajar para su antiguo empleador mexicano. Al juez también se le solicitó considerar el desempeño anterior de la minera de cobre mexicana como propietario de Asarco, que tiene sede en Tucson, Arizona.
Más de dos docenas de abogados que representan a tenedores de bonos, otros acreedores garantizados, litigantes en demandas relativas a casos de asbestosis y agencias ambientales estadounidenses acudieron al tribunal del juez Hanen, el último lugar en que se desarrolla una batalla de cuatro años por el control de la filial estadounidense de minería y refinado de cobre.
El año pasado, el juez Hanen declaró culpable a Grupo México de defraudar a acreedores al desviar importantes activos de cobre que Asarco tenía en Perú a otra filial de Grupo México. El veredicto fue apelado por Grupo México.
Posteriormente, la compañía mexicana presentó un plan para entregar pagos completos a todos los acreedores de Asarco y señaló que se merece una segunda oportunidad para dirigir la compañía estadounidense.

usa: bernanke sobre desequilibrios comerciales.wsj

Por Jon Hilsenrath
SANTA BÁRBARA, California— Los grandes déficit comerciales de Estados Unidos con los países desarrollados, aunque menores que hace dos años, siguen siendo una amenaza para la economía global, advirtió el presidente de la Reserva Federal, Ben Bernanke, en un discurso en el que hizo un llamado a las autoridades estadounidenses y asiáticas a abordar el problema.
Sus comentarios —en los que pidió a los líderes de Asia desarrollar mejores sistemas de pensiones e incrementar el gasto fiscal y al gobierno del presidente Barack Obama resolver el déficit presupuestario— reflejan un creciente consenso entre las autoridades mundiales sobre la necesidad de "equilibrar" el crecimiento económico global para que dependa menos de los consumidores estadounidenses.
Entre 2000 y 2006, la brecha entre las exportaciones y las importaciones de EE.UU. aumentó de menos de US$400.000 millones a casi US$800.000 millones. Como porcentaje de su Producto Interno Bruto, la brecha creció de menos de 2% a mediados de los años 90 a más de 5% actualmente.
EE.UU. envió dólares al exterior para comprar bienes producidos en otros países. Muchos bancos centrales de mercados emergentes, renuentes a dejar que sus monedas se aprecien contra el dólar y perjudiquen su propio crecimiento basado en las exportaciones, reciclaron esos dólares comprando bonos del Tesoro y otra deuda estadounidense.
En su discurso en una conferencia del Banco de la Reserva Federal de San Francisco sobre Asia, Bernanke señaló que el sistema financiero estadounidense estaba "agobiado" por el ingreso de capital. "Debemos evitar desequilibrios cada vez más grandes e insostenibles en el comercio y en los flujos de capital", dijo.
El déficit comercial de EE.UU. se ha reducido a menos de 3% del PIB a medida que los consumidores han recortado sus gastos como consecuencia de la desaceleración económica. El superávit comercial de China también se ha reducido, de 10% del PIB a cerca de 6,5%. Bernanke señaló cifras que muestran que la producción industrial en muchas economías asiáticas está creciendo más rápido que las exportaciones, un indicador de que la demanda doméstica en esos países está superando las exportaciones y los desequilibrios están mejorando.
El presidente del banco central, no obstante, advirtió que a medida que se recupere la economía global, los desequilibrios podrían reaparecer. "Las autoridades alrededor del mundo deben protegerse contra tal desenlace", indicó.
Un resultado de las preocupaciones sobre el déficit comercial de EE.UU. —aunque Bernanke no lo dijo de manera tan explícita— podría ser un dólar más débil frente a las divisas de economías emergentes como China e India. Un dólar más débil abarataría las exportaciones estadounidenses en el exterior y, por lo tanto, las volvería más competitivas. A su vez, las importaciones serían más caras y menos competitivas. El dólar se ha debilitado sustancialmente en los últimos meses contra las divisas principales a excepción del yuan chino.
Morris Goldstein, un académico del Instituto Peterson de Economía Internacional, un centro de estudios de Washington, afirmó que, a menos que la divisa china se aprecie de manera más rápida, rebalancear el crecimiento global "va a ser una batalla cuesta arriba".
El lunes, Bernanke evitó cuidadosamente incluir al dólar en su prescripción para un comercio mundial más equilibrado.
Tampoco mencionó a China, pero dijo que "los superávit comerciales logrados a través de políticas que artificialmente mejoran los incentivos para el ahorro doméstico y la producción de bienes de exportación distorsionan la mezcla de industrias domésticas y la asignación de recursos" y producen "una economía que es menos capaz de satisfacer las necesidades de sus propios ciudadanos en el largo plazo".
Bernanke hizo hincapié en que déficit comerciales estadounidenses más pequeños preservarían la confianza en el dólar y ayudarían a equilibrar el crecimiento global al llevar a los estadounidenses a ahorrar más.

MEXICO: GOBERNADOR ORTIZ PREVE REPRISE

Viene recuperación sincronizada: Ortiz
Ortiz consideró que México enfrenta un problema estructural de finanzas públicas desde hace muchos años












MÉXICO, octubre 20, 2009.- Así como se observó una contracción mundial de la actividad económica al inicio de la crisis, hoy se está viendo una recuperación sincronizada", en la cual México podría reportar un crecimiento de 3% en el tercer trimestre de este año, si se compara en cifras desestacionalizadas, declaró Guillermo Ortiz, gobernador del Banco de México (Banxico).
En reunión con medios, al finalizar el primer día de la serie de conferencias internacionales "Retos y Estrategias para Promover el Crecimiento Económico", el funcionario puntualizó que este fenómeno comenzó en Asia, ya que desde el segundo trimestre se observaron  crecimientos positivos respecto del primer trimestre.
Sin embargo, enfatizó que éste no fue el caso de México, debido a que hubo una contracción significativa en el país derivado de otros factores negativos, no obstante, ratificó que se espera un mejor panorama en el tercer trimestre.
"Si se cumplen los pronósticos consensuados de la mayoría de los analistas sobre el comportamiento de la economía mundial, podemos prever también que en el año 2010 continuaremos con la recuperación", afirmó Ortiz.
Al ser cuestionado sobre su opinión al respecto de la propuesta económica del Ejecutivo, el gobernador de Banxico reiteró que el peor escenario es que no haya paquete, que no haya reformas y que no se avance en el tema fiscal, "yo creo que estas medidas y las propias negociaciones no son fáciles y confío que el Congreso realmente saldrá con un paquete razonable".
Finalmente, agregó que México enfrenta un problema estructural de finanzas públicas desde hace muchos años, aunado a una dependencia enorme de los ingresos petroleros, los cuales llegaron a representar en años recientes casi el 40% de los ingresos fiscales, por lo que urgió hacer las correcciones pertinentes en esta materia

BRASIL:IMPUESTO A LOS FLUJOS DE CAPITAL

Dólar abre a la baja tras el anuncio de Brasil de fijar un impuesto a los flujos de capital
martes, 20 de octubre de 2009
Reuters

A las 9.38 horas, el tipo de cambio bajó $3 a $542 comprador y $542,3 vendedor en el mercado chileno.

SANTIAGO.- El dólar abrió con una leve retroceso frente al peso el martes tras el anuncio de Brasil de fijar un impuesto a los flujos de capital, lo que desincentivaría la compra de dólares en el mercado local para arbitraje de tasas, y por una caída global del dólar.

A las 9.38 horas, el tipo de cambio bajó $3 a $542 comprador y $542,3 vendedor en el mercado chileno.

El ministro de Hacienda de Brasil, Guido Mantega, confirmó el lunes que el gobierno impondrá un impuesto a los flujos de capital al país, incluyendo las transacciones para inversiones de renta fija y acciones.

"Esta medida frenaría el "carry trade" entre ambos países, lo que básicamente se trata de una salida de dólares desde nuestro mercado para llevarlos a Brasil. Ya se veía que el gobierno brasileño estaba tratando de controlar la apreciación de su moneda", dijo un operador.

"Creo que esta noticia puede ser positiva para los que veíamos al peso fuerte hacia fines de este año, ya que van a comenzar a regresar algunos dólares a nuestro mercado", comentó.

El real de Brasil se desplomaba un 1,4% el martes golpeado por el anuncio.

Agentes dijeron que la moneda chilena también seguía una tendencia externa debido a que el dólar caía ante una canasta de monedas a un mínimo de 14 meses.

ENTREPRISE: COMPRENDRE AVEC INSEE

http://democratieetavenir.over-blog.com/article-comprendre-l-entreprise-avec-l-insee-37849781.html

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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