SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

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12 ago 2008

FRANCE: PRODUCTION INDUSTRIELLE EN CHUTE,LE

En net recul au deuxième trimestre, la production industrielle ne sauvera pas la croissance
[ 12/08/08 ]

Après avoir bien résisté en début d'année, la production manufacturière a nettement reculé entre le mois d'avril et juin (- 1,6 %), selon l'Insee. Un indicateur en berne de plus, qui augure d'une très faible croissance au deuxième trimestre.
Cliquez ici
La France subit le tassement de la demande de ses partenaires européens, qui connaissent tous des difficultés conjoncturelles.

Les statistiques se suivent et la direction indiquée est toujours la même : l'économie française a tourné au ralenti au deuxième trimestre. La première estimation de croissance du PIB entre avril et mai sera publiée jeudi par l'Insee mais, d'ores et déjà, le gouvernement n'attend plus aucun miracle. Il serait même soulagé si la petite progression de 0,2 % prévue initialement par l'Institut national de la statistique et des études économiques, taxé alors d'oiseau de mauvais augure, se révélait exacte.

De fait, le recul de 0,8 % de la production manufacturière en juin (- 0,4 % pour la production industrielle totale, en incluant l'énergie et l'agroalimentaire), publié hier, constitue une nouvelle déception, alors que les économistes tablaient sur un léger rebond après la chute observée en mai (- 2,7 %, révisé en baisse). La production manufacturière a chuté de 1,6 % au deuxième trimestre par rapport au trois premiers mois de l'année, alors que l'Insee anticipait une légère hausse, et de 0,5 % par rapport à la même période de 2007.

L'industrie, qui avait bien résisté au début de l'année, prenant le relais de la consommation pour soutenir la croissance (+ 0,5 % au premier trimestre), a calé à son tour. « La nette baisse de régime que nous attendions plutôt au troisième trimestre semble avoir eu lieu un peu plus tôt », explique Eric Dubois, chef du département conjoncture de l'Insee.

Au vu de cette détérioration, Natixis anticipe désormais une stagnation de la production industrielle en 2008 (au lieu d'une hausse de 0,6 %) et la croissance du PIB au deuxième trimestre « pourrait s'avérer négative ». La croissance « a sans doute été très faible, voire négative », renchérit Mathieu Kaiser, à BNP Paribas, pour qui « une récession est plus que probable d'ici à la fin de l'année ».
Dynamique enrayée

Il constate en effet que les indicateurs de conjoncture dans le secteur des services sont également mal orientés. La consommation en produits manufacturés a stagné au deuxième trimestre (+ 0,1 %), freinée par l'inflation, et la dynamique des exportations s'est enrayée après un bon début d'année. Outre l'insuffisante compétitivité des entreprises hexagonales, la France subit le tassement, logique, de la demande de ses partenaires européens, qui connaissent tous des difficultés conjoncturelles.

Le ralentissement économique survient au moment où certains facteurs explicatifs de ce retournement tendent à s'inverser : le prix du pétrole a nettement reculé ces dernières semaines, la poussée inflationniste des matières premières s'est interrompue et l'euro perd du terrain face au dollar. Si le gouvernement ne se fait guère d'illusion sur la croissance du deuxième trimestre, il espère donc que le point bas aura déjà été atteint. Et il table sur une prise de conscience et une réaction à la rentrée, au niveau européen, en matière de politique économique et monétaire.

FRANCE: PRODUCTION INDUSTRIELLE EN CHUTE,LE

En net recul au deuxième trimestre, la production industrielle ne sauvera pas la croissance
[ 12/08/08 ]

Après avoir bien résisté en début d'année, la production manufacturière a nettement reculé entre le mois d'avril et juin (- 1,6 %), selon l'Insee. Un indicateur en berne de plus, qui augure d'une très faible croissance au deuxième trimestre.
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La France subit le tassement de la demande de ses partenaires européens, qui connaissent tous des difficultés conjoncturelles.

Les statistiques se suivent et la direction indiquée est toujours la même : l'économie française a tourné au ralenti au deuxième trimestre. La première estimation de croissance du PIB entre avril et mai sera publiée jeudi par l'Insee mais, d'ores et déjà, le gouvernement n'attend plus aucun miracle. Il serait même soulagé si la petite progression de 0,2 % prévue initialement par l'Institut national de la statistique et des études économiques, taxé alors d'oiseau de mauvais augure, se révélait exacte.

De fait, le recul de 0,8 % de la production manufacturière en juin (- 0,4 % pour la production industrielle totale, en incluant l'énergie et l'agroalimentaire), publié hier, constitue une nouvelle déception, alors que les économistes tablaient sur un léger rebond après la chute observée en mai (- 2,7 %, révisé en baisse). La production manufacturière a chuté de 1,6 % au deuxième trimestre par rapport au trois premiers mois de l'année, alors que l'Insee anticipait une légère hausse, et de 0,5 % par rapport à la même période de 2007.

L'industrie, qui avait bien résisté au début de l'année, prenant le relais de la consommation pour soutenir la croissance (+ 0,5 % au premier trimestre), a calé à son tour. « La nette baisse de régime que nous attendions plutôt au troisième trimestre semble avoir eu lieu un peu plus tôt », explique Eric Dubois, chef du département conjoncture de l'Insee.

Au vu de cette détérioration, Natixis anticipe désormais une stagnation de la production industrielle en 2008 (au lieu d'une hausse de 0,6 %) et la croissance du PIB au deuxième trimestre « pourrait s'avérer négative ». La croissance « a sans doute été très faible, voire négative », renchérit Mathieu Kaiser, à BNP Paribas, pour qui « une récession est plus que probable d'ici à la fin de l'année ».
Dynamique enrayée

Il constate en effet que les indicateurs de conjoncture dans le secteur des services sont également mal orientés. La consommation en produits manufacturés a stagné au deuxième trimestre (+ 0,1 %), freinée par l'inflation, et la dynamique des exportations s'est enrayée après un bon début d'année. Outre l'insuffisante compétitivité des entreprises hexagonales, la France subit le tassement, logique, de la demande de ses partenaires européens, qui connaissent tous des difficultés conjoncturelles.

Le ralentissement économique survient au moment où certains facteurs explicatifs de ce retournement tendent à s'inverser : le prix du pétrole a nettement reculé ces dernières semaines, la poussée inflationniste des matières premières s'est interrompue et l'euro perd du terrain face au dollar. Si le gouvernement ne se fait guère d'illusion sur la croissance du deuxième trimestre, il espère donc que le point bas aura déjà été atteint. Et il table sur une prise de conscience et une réaction à la rentrée, au niveau européen, en matière de politique économique et monétaire.

FRANCE: INFLATION STABILISEE JUILLET, LF

L'inflation se stabilise
en juillet
Camille Peyrache
12/08/2008 | Mise à jour : 10:03 |
.
Les prix à la consommation se sont stabilisés en juillet notamment grâce aux soldes qui ont fait baisser les prix de l'habillement et des produits manufacturés.

Luc Chatel a coupé l'herbe sous le pied de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) pour annoncer la bonne nouvelle aux Français. En juillet, l'indice des prix à la consommation a légèrement reculé de 0,2%. «Après plusieurs mois consécutifs de hausse, le chiffre de juillet montre une stabilisation, on est à -0,2% en juillet, et à +3,6% sur un an, a précisé le secrétaire d'Etat à la consommation. Luc Chatel estime ainsi que le «pic de l'inflation est derrière nous». Reste qu'avec 3,6%, la hausse des prix est la plus élevée depuis 17 ans. En juin, l'indice des prix à la consommation des ménages avait augmenté de 0,4% sur un mois contre 0,5% en mai.

Effet soldes

D'après l'Insee, le recul des prix en juillet s'explique principalement «en raison des soldes d'été, de la baisse des prix de l'habillement et des chaussures (-9,5%) et des autres produits manufacturés (-0,7%), et dans une moindre mesure du recul des produits frais (-1,5%).» Cependant, «la hausse saisonnière des prix des autres services (+0,9%), des transports et communications (+2,1%) et la reprise du renchérissement de l'alimentation hors produits frais (+0,3%)» limitent la décrue. Les prix de l'énergie et des services de santé augmentent également de 0,2%. Cependant, le mois de juillet est traditionnellement un mois où l'indice des prix à la consommation baisse grâce aux soldes. «Pointer du doigt le recul des prix en juillet par rapport à juin n'a strictement aucun sens», car les données de l'Insee «prennent en compte les baisses de prix liées aux soldes», tempère Nicolas Bouzou, économiste chez Asterès.

Baisse des matières premières

«On s'aperçoit que les prix de (certaines) matières premières ont baissé, le pétrole notamment (a perdu) 20% en moins de trois semaines mais il faut rester extrêmement prudent compte tenu de la volatilité» des prix, a estimé Luc Chatel. Le baril de pétrole est en effet passé de plus de 145 dollars à la mi-juillet à moins de 115 dollars actuellement. «Les matières premières alimentaires ont entamé un processus de baisse important qui met toujours un certain temps à être répercuté auprès des produits finis qui se trouvent dans les magasins», a expliqué le secrétaire d'Etat à la consommation. Si la baisse des cours des matières premières se confirme, cela «aurait un impact sensible sur l'inflation» affirme l'économiste, Nicolas Bouzou.

PETROLEO: PORQUE BAJA, EL PAIS

El petróleo baja a 118 dólares tras caer casi un 20% en un mes
La crisis en países avanzados enfría la cotización del crudo

A. BOLAÑOS - Madrid - 06/08/2008


La última predicción de la Universidad de Colorado (EE UU), referencia habitual en los mercados energéticos, señala que la temporada de tormentas en el golfo de México, una de las mayores zonas petroleras del mundo, aún traerá cuatro ciclones más. Las potencias occidentales se reúnen hoy para estudiar más sanciones contra Irán, el cuarto productor mundial de crudo. El Gobierno iraní contraataca con un nuevo misil que amenaza el estrecho de Ormuz, paso obligado de un tercio de las exportaciones del oro negro. Noticias que hace unas semanas habrían alimentado la escalada del precio ayer se obviaron. El barril de brent, crudo de referencia en Europa, bajó hasta los 117,25 dólares (75,81 euros).

* Los carburantes caen un 5% desde los máximos del crudo de julio

El PIB alemán retrocedió entre abril y junio un 1%, según 'Financial Times'

Desde que la escalada del petróleo alcanzara su cima a principios de julio (el brent superó los 146 dólares), el precio del crudo ha retrocedido un 19,7%. La crisis de las economías avanzadas (los países de la OCDE aglutinan el 57% del consumo mundial) empieza a pesar en el ánimo de los inversores en contratos de futuros, que creen llegado el momento de vender y recoger beneficios. Aunque es pronto para conclusiones definitivas, la caída de la demanda occidental se impone como condicionante básico del mercado energético, más holgado tras el aporte extra de Arabia Saudí (500.000 barriles diarios más). Y augura precios a la baja. Un vaticinio que aupó a Wall Street, cuyo principal índice, Dow Jones, subió un 2,94%, la mayor subida desde la primavera.

Porque los argumentos a favor de que la crisis en los países avanzados es profunda son cada vez numerosos. Y se acumulan ahora en Europa, que en el arranque del año había tenido un mejor comportamiento que Estados Unidos. Bruselas publicó ayer los datos de ventas de comercio minorista, que cayeron un 3% interanual en junio, el peor dato en 13 años. Y el diario Financial Times, citando fuentes del Gobierno alemán, adelantó que la economía alemana retrocederá al menos un 1% en el segundo trimestre, aunque el dato definitivo no se conocerá hasta dentro de una semana.

La cotización del dólar, otro de los factores determinantes en la escalada del petróleo, también contribuye ahora al enfriamiento del mercado del crudo. Los datos sobre una crisis más profunda en Europa y la preocupación de la Reserva Federal sobre el repunte de la inflación en Estados Unidos llevan a los inversores a apostar porque la brecha entre los tipos de interés en Europa (4,25%) y EE UU (2%) no irá a más. La divisa norteamericana llegó a cambiarse ayer a 1,54 euros, su mejor cotización desde mediados de junio.

La recuperación del dólar, moneda en la que se negocian los intercambios de mercancías en los mercados internacionales, no sólo contribuyó a que el precio del petróleo cayera. También hubo descensos significativos en otras materias primas, como el maíz o el cobre.

PETROLEO A LA BAJA; ARTICULO OCHOA

CRUDO A LA BAJA

Ing. Julio Manuel Ochoa A.

Finalmente el pinchazo a la burbuja del precio del petróleo funcionó. Hace casi un mes se había pronosticado que la subida exorbitante del precio del crudo más se debía hasta en un 28 % a movimientos especulativos en las bolsas más representativas del mundo y que en algún momento se derrumbaría. Este es un negocio de contratos de ventas a futuro, pensando que el precio del barril seguiría escalando, de tal manera que para asegurarse el suministro futuro del óleo, se compraba a mayores precios sin tomar en cuenta que la diferencia entre la producción y el consumo no era sustancial . Hay un incremento real en los precios, cuando esa diferencia es cada vez mayor.

Ya en la primera semana de julio el 19° Congreso Mundial del Petróleo realizado en Madrid objetivamente demostró que el consumo mundial del petróleo se había incrementado solamente en 1.1% en el 2007, mientras que la producción se había reducido escasamente en 0.2%. Según el mismo Congreso (de petróleo) el consumo mundial se promedió en 85.2 millones de barriles diarios en el 2007, mientras que la producción mundial alcanzó una media de 81.5 millones de barriles diarios. Con estas cifras los agentes especulativos que pensaban llegar al cielo con los contratos de venta a futuro, comenzaron a retroceder y a vender desesperadamente los mismos.

Así como están las cosas de aquí unas semanas si no es antes, el precio se estancaría por meses en alrededor de cien dólares barril o menos. Favoreciendo ciertamente a la economía mundial por la estabilidad que esto significa. Y más en los países con escasos recursos energéticos o países en vías de desarrollo que son importadores netos de petróleo y cuyas refinerías son las únicas beneficiarias porque trasladan los precios a los usuarios.

También tienen repercusión en los precios las espectativas de conflictos bélicos, el mayor consumo de potencias emergentes, entre otros. Así mismo descubrimientos de nuevos yacimientos gigantescos de petróleo como el del Brasil, la puesta en producción de aquí un año con seguridad de 1.2 millones de barriles diarios extras en Jurais-Riad de Arabia Saudita, en pleno desierto. Recuérdese que Arabia Saudita es el primer productor y exportador de petróleo del mundo.

Además se viene la gran competencia a los combustibles de origen fósil: los autos eléctricos. Como dicen las informaciones, no tienen todas las comodidades de los autos modernos, no desarrollan grandes velocidades, son más pequeños, tienen menor autonomía de recorrido pero tienen lo principal: la energía eléctrica proveniente de los mismos enchufes de las casas que permiten cargar sus baterías cuantas veces sea necesario. En forma similar a como se cargan los celulares. Las ventajas son apreciables: menores precios, menor costo de abastecimiento de energía y cero contaminación.
Jmra.ochoa@hotmail.com

BANCA: CRISIS Y PROBLEMAS 3

El fiscal incluye otros tres grandes bancos en la investigación sobre deuda opaca en EE UU

S. POZZI - Nueva York - 12/08/2008


Andrew Cuomo sigue con su cruzada contra los gigantes de Wall Street que engañaron a sus clientes individuales e institucionales al venderles deuda opaca. El fiscal general de Nueva York acaba de enviar cartas a JP Morgan Chase, Morgan Stanley y Wachovia donde les avisa de que ha ampliado su investigación y les ha incluido en las pesquisas, lo que podría forzarles a recomprar los activos financieros que vendieron.
Citigroup fue el primero que anunció que recompraría estos activos, después de llegar a un acuerdo con Cuomo y la autoridad reguladora del mercado de valores (SEC), que consideraban un probable fraude la venta de estos activos. Hace unos días, las autoridades llegaron a acuerdos también con Merrill Lynch y el banco suizo UBS. Morgan Stanley ya anunció un pacto similar con la fiscalía de Massachusetts.

El mercado de deuda está congelado desde el pasado mes de febrero, a raíz del colapso del negocio de las hipotecas subprime. El fiscal neoyorquino quiere estar seguro de que estas entidades devuelven a sus clientes el dinero que invirtieron en unos activos que no tienen liquidez, pero que se ofrecieron bajo la promesa de que se apoyaban en valores convertibles en efectivo.

Además de los bancos antes citados, que por el momento están cooperando con la fiscalía para evitar una demanda y la fuga de clientes, las autoridades reguladoras también tienen bajo su lupa a Washington Mutual y Bank of America.

BANCA: CRISIS Y PROBLEMAS 2

Otro banco grande que resbala
Redacción BBC Mundo

Bank of Scotland
El anuncio de RBS se produce a un año del inicio de la crisis crediticia en EE.UU.

El Royal Bank of Scotland (RBS), entidad que ocupa el quinto lugar en la lista de los bancos más grandes del mundo, anunció pérdidas de US$1.560 millones para el primer semestre del año.

El banco señaló que se vio afectado por amortizaciones de US$11.400 millones asociadas a la crisis crediticia e inmobiliaria, iniciada en Estados Unidos hace exactamente un año.

En ese mismo período el año pasado, el banco registró ganancias de US$5.000 millones.

El director de RBS, Fred Goodwin, lamentó el anuncio y advirtió que un "deteriorado panorama económico" agravaría los problemas en los mercados financieros.

De hecho, los analistas esperaban que sus pérdidas fuesen incluso más grandes.

Crisis hipotecaria

La mayoría de las amortizaciones de RBS se derivan de inversiones en el banco holandés ABN Amro, que fue adquirido por RBS y sus socios este año.

El RBS, conjuntamente con otros bancos británicos y globales, sufrió una caída en el valor de inversiones riesgosas, especialmente aquellas vinculadas a las hipotecas suprime estadounidenses.

Los clientes de ese tipo de hipotecas suelen tener un historial crediticio pobre o inexistente y en recientes meses muchos se han quedado morosos.

El editor de negocios de la BBC, Robert Peston, apuntó que las perdidas tiene su origen en la combinación de la alta exposición del banco al mercado inmobiliario subprime estadounidense y la compra del ABN.

Como resultado las llamadas amortizaciones del mercado crediticio fueron de más de US$5.000 millones una cifra que Peston califica como "incomprensiblemente" grande.

Nuestro corresponsal apunta que se trata de algo especialmente mortificante para el banco, ya que el resto de sus negocios no estaba en mala situación.

BOLIVIA: EVO PASA 63%

http://news.bbc.co.uk/hi/spanish/latin_america/newsid_7553000/7553203.stm

EURO BAJA VS DOLAR

PANORAMA
El euro marca su cotización más baja frente al dólar desde el mes de febrero

Eleuro continuó retrocediendo ayer frente al dólar al conocerse nuevos datos sobre la debilidad de la economía europea, como el descenso de la producción industrial francesa. Cotizó a 1,4895 dólares, frente a los 1,5013 del viernes. Es la cotización más baja desde el pasado 26 de febrero. También el petróleo, influido por el alza del dólar, continuó a la baja durante toda la jornada, y se movió por debajo de los 112 dólares el barril aunque a última hora repuntó. / Agencias

USA: INVESTIGAN BANCOS, LV

El Fiscal de Nueva York investiga un posible fraude de JPMorgan, Morgan Stanley y Wachovia

El mercado para este tipo de instrumentos financieros colapsó en febrero pasado y dejó a miles de inversores sin saber qué ocurriría con sus fondos
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El mercado para este tipo de instrumentos financieros, conocidos como ARS (auction-rate securities), colapsó en febrero pasado y dejó a decenas de miles de inversores sin saber qué ocurriría con sus fondos.

La Fiscalía de Nueva York y otros estados, así como la Comisión de Bolsa y Valores (SEC, por sus siglas en inglés) han investigado en los últimos meses las peculiaridades de ese mercado y las prácticas de las entidades en la comercialización de la deuda, lo que ha dado lugar ya a algunas multas millonarias y a la promesa de devolución de unos 20.000 millones de dólares a inversores.

Cuomo anunció hoy en un comunicado de prensa que había ampliado su investigación a los bancos JPMorgan Chase, Morgan Stanley y Wachovia, con el fin de determinar si esas entidades habían ofrecido tales activos de forma engañosa a sus clientes. Explicó que se había extendido la investigación "para garantizar a los inversores del estado de Nueva York y en el país que recuperan su dinero".

El fiscal recordó que la pasada semana su oficina logró acuerdos extrajudiciales con los bancos Citigroup y UBS para que recompren activos a sus clientes por un valor conjunto de unos 20.000 millones de dólares y se comprometan a reformar algunas prácticas relacionadas con el negocio. "Consideramos que cuando se protege al inversor también aumenta su confianza, lo que beneficia al mercado en su conjunto", señaló.

David Markowitz, director de la Oficina de Protección del Inversor en la Fiscalía, ha enviado sendas cartas a las tres entidades bancarias instando a entablar "de inmediato" conversaciones para resolver la investigación.

En la misiva se avanza a las entidades que cualquier posible acuerdo debe atender las mismas preocupaciones y asuntos que se abordaron en los compromisos alcanzados con Citigroup y UBS, que incluían el pago de multas.

Markowitz sostiene que "sería injusto para los clientes con cuentas en otras firmas, así como para los bancos que llegaron a un acuerdo, que nuestra investigación se ralentizase o parase". Por esa razón, la investigación se dirige ahora "al grupo siguiente de participantes en ese mercado", que incluye a JPMorgan Chase, Morgan Stanley y Wachovia.

El banco suizo UBS se comprometió la pasada semana a devolver más de 11.000 millones de dólares a unos 40.000 clientes de EE.UU. que invirtieron en ARS y a los que se ofrecían como una inversión segura y con un equivalente concreto en efectivo, cuando en realidad afrontaban un creciente riesgo, según explicaron entonces las autoridades.

El banco también se comprometió a pagar 75 millones de dólares de multa al estado de Nueva York y otros 75 millones a diversas agencias reguladoras del país. El acuerdo con UBS se producía un día después de que Citigroup se comprometiera a pagar una multa de 100 millones de dólares y a recomprar a sus clientes ese mismo tipo de instrumentos financieros por un valor de 7.000 millones de dólares y en un plazo de tres meses.

El banco de inversión Merrill Lynch también anunció el jueves una recompra voluntaria de ARS en manos de sus inversores minoristas. Esas tres entidades son los mayores participantes del mercado de ARS, con la emisión de cerca de la mitad de ese tipo de bonos, según precisó la Fiscalía.

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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