SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


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11 may 2009

FRANCE; UNIVERSITES VOTENT DEBLOCAGE

Plusieurs universités françaises bloquées par les étudiants qui protestent contre les réformes du gouvernement ont voté lundi, sous la menace de l'exécutif, la reprise partielle des cours.

La fin des blocages, toutefois assortie de conditions, a été décidée à Bordeaux III, Besançon et Lorient.

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Le ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, a averti les auteurs des blocages qu'ils se verraient privés de leurs diplômes de fin d'année s'ils persistaient dans le mouvement, commencé parfois depuis plus de trois mois.

"Méfiez-vous, l'opinion se retourne", a-t-il dit lundi sur RTL. "Il n'y aura pas de licence es grève, de mastère en pétition ou de doctorat en blocage, donc on ne donnera pas des diplômes à ceux qui auront fait en sorte que les universités ne fonctionnent pas".

Il estime que les blocages frappant encore une vingtaine d'universités sur 85 nuisent aux étudiants les plus fragiles et les plus modestes. Malgré ce discours ferme, le ministre n'a cependant pas exclu une ultime concession sur la réforme du recrutement des enseignants, qui doivent voir leur formation allongée de Bac+3 à Bac+5 en 2011.

"Nous sommes en discussion", a-t-il dit. "Est examiné l'éventuel recrutement dans la période intermédiaire de la réforme de personnes à Bac+4".

Face à la grogne dans les lycées et les universités qui dure depuis fin 2008, le gouvernement a déjà reporté une réforme du lycée et accepté de revoir la modification du statut des enseignants chercheurs.

L'Unef, principal syndicat étudiant, a condamné les propos du ministre, dans lesquels il voit "une stratégie de la tension et du pourrissement irresponsable et dangereuse".

Dans de nombreuses universités bloquées totalement ou partiellement, les examens devraient se dérouler normalement ou être légèrement repoussés comme à Strasbourg, où il y aura 15 jours de retard dans certaines unités de sciences humaines.

DES VOTES À BULLETINS SECRETS

Des votes ont eu lieu lundi dans des universités en conflit, dans un climat de tension et de confusion.

A Bordeaux-III (lettres et sciences humaines), les personnels administratifs, enseignants et étudiants ont voté à bulletins secrets en faveur d'une reprise des "activités pédagogiques" tout en conditionnant la tenue des examens à la satisfaction des revendications.

La motion adoptée prévoit l'organisation d'activités pédagogiques, d'activités "hors les murs", de débats et une assemblée générale par semaine. Est également prévu qu'"aucun examen ni contrôle continu ne pourra être organisé avant les vacances d'été si nous n'obtenons pas la satisfaction de nos revendications".

A l'université Jean Moulin Lyon-II, seuls quelques cours étaient encore bloqués lundi. De l'aveu des organisateurs, "après 15 semaines de mobilisation, les effectifs sont en baisse et l'approche des partielles démobilise les troupes". Une assemblée générale est prévue mardi sur le site des quais du Rhône ; une autre est annoncée mercredi sur le site de Bron.

La faculté de lettres et de sciences humaines de Besançon, perturbée depuis le début du mouvement, a voté à 63% pour l'organisation des examens et à 60% pour la levée des blocages.

Pas de vote en revanche à la faculté toujours en grève de Nancy, où un plan de reprise des cours proposé par la présidence de l'université a été rejeté à 57% la semaine dernière.

Etudiants et enseignants grévistes de l'université de Bretagne Sud à Lorient, bloquée depuis des semaines, ont opté à bulletins secrets pour un blocage partiel. Les cours ne seront pas assurés deux après-midi par semaine mais des séances de rattrapage sont prévues en vue des examens repoussés à début juin.

Thierry Lévêque, avec les correspondants régionaux de Reuters, édité par Elizabeth Pineau

USA: STRESS TEST EN QUESTION, LE

Banques américaines : la polémique sur la fiabilité des tests de solidité ne faiblit pas

[ 11/05/09 ]

Alors que les tests de solidité appliqués aux 19 banques américaines ont fait ressortir un besoin supplémentaire en fonds propres de 74,6 milliards de capital au total, la polémique se poursuit sur la méthodologie et les pressions exercées par les banques auprès des régulateurs. Morgan Stanley et Wells Fargo ont déjà commencé à lever l'argent demandé.

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DE NOTRE BUREAU DE NEW YORK.

Tim Geithner n'aura pas savouré son succès très longtemps. Les résultats des tests de solidité, pourtant attendus depuis des semaines, étaient à peine dévoilés que la polémique reprenait, portant à la fois sur les critères retenus par les régulateurs et sur les pressions qu'ils auraient subies de la part des grands établissements de la place. Selon la presse américaine ce week-end, les grandes banques soumises aux tests ont âprement négocié avec les autorités, pour leur faire réduire les montants de capital supplémentaire jugés nécessaires pour affronter la crise.

Selon les conclusions des tests dévoilés jeudi, les fonds propres nécessaires aux 19 grandes banques étudiées pour affronter un durcissement de la crise, est évalué à 74,6 milliards de dollars. Mais selon le « Wall Street Journal », le chiffre calculé à l'origine par la Réserve fédérale était beaucoup plus élevé. Ainsi, Bank of America avait initialement besoin de plus de 50 milliards de dollars et non 33,9 milliards, Citigroup d'environ 35 milliards de dollars et non 5,5 milliards, et Wells Fargo de 17,3 milliards de dollars, contre 13,7 milliards au final.

Les banques n'ont toutefois pas attendu pour répondre aux chiffres avancés par les régulateurs. Dès jeudi, Morgan Stanley, dont les besoins sont estimés à 1,8 milliard de dollars par les tests, avait déjà levé 8 milliards de dollars sur les marchés : 4 milliards via une augmentation de capital et 4 autres via une émission de dette non garantie par l'Etat. Les fonds vont lui servir à rembourser l'argent public reçu (10 milliards de dollars) et à couvrir les besoins révélés par les tests. De même, dès vendredi, Wells Fargo a pour sa part placé 341 millions d'actions ordinaires sur le marché, lui permettant de lever 7,5 milliards de dollars. Soit plus de la moitié des 13,7 milliards de dollars exigé par le Trésor.

Recherche de capital

Bank of America, sur qui repose l'exigence la plus forte puisqu'elle doit trouver 33,9 milliards de dollars, est prête à émettre 18 milliards de dollars d'actions, et veut transformer des actions préférentielles détenues par des investisseurs institutionnels en actions ordinaires. Lors d'une conférence téléphonique, Ken Lewis, PDG de Bank of America, a indiqué qu'il pourrait en outre vendre pour 10 milliards de dollars d'actifs parmi lesquels pourraient figurer Columbia Management et First Republic Bank. La banque a déjà reçu 45 milliards de dollars de l'Etat, ainsi qu'une garantie sur 118 milliards de dollars d'actifs en détresse. Elle voudrait désormais s'affranchir de cette garantie. « La règle du jeu est de faire sortir le gouvernement de notre banque le plus vite possible », a affirmé Ken Lewis. De son côté, Citi, qui aurait bien défendu ses intérêts face aux autorités, compte aussi demander à des investisseurs de transformer leurs actions préférentielles en actions ordinaires.

La recherche de capital risque d'être plus difficile pour des banques plus petites comme Regions Financial, SunTrust ou Fifth Third Bancorp qui ne doivent lever qu'entre 1 et 2 milliards de dollars mais pour lesquelles on prévoit des pertes entre 9 et 11 milliards d'ici à 2010. Le gouvernement pourrait donc à nouveau intervenir, même s'il veut laisser d'abord agir les investisseurs privés. « Il était approprié de mener ces tests, mais il faudra encore du temps avant que le système bancaire et l'économie se rétablissent, estime John Douglas, responsable du secteur bancaire au sein du cabinet d'avocats Paul Hastings. « Cela a été utile, mais c'est une bonne chose que cela soit fini. »

Un avantage compétitif

Clairement, quelques établissements financiers sortent gagnants du lot. Goldman Sachs, mais aussi JP Morgan Chase (lire ci-dessous), American Express, Capital One, US Bancorp, Bank of New York Mellon, et quelques autres. A l'issue des tests de résistance, elles apparaissent plus solides et surtout à même de rembourser dès à présent l'argent de l'Etat. Elles vont donc rapidement retrouver leur indépendance et sans doute gagner un avantage compétitif qui drainera vers elles, estiment certains observateurs, investisseurs et talents. « Après les «stress tests», les banques les plus fortes le seront encore davantage, affirme Terry Moore, responsable du secteur bancaire en Amérique du Nord pour Accenture. Il y aura moins de compétition, elles auront réglé certains problèmes et seront bien capitalisées. » Reste que, selon le scénario le plus conservateur retenu par les pouvoirs publics, l'ensemble des banques étudiées pourrait faire face à une perte potentielle de 599 milliards de dollars d'ici à 2010.


spain: AMERICA LATINA POR FELIPE GONZALEZ

Felipe González a América Latina: "Podemos hacer una muy buena tarea juntos"

El Rey, el presidente Zapatero y el ex mandatario intervienen en la presentación de la estrategia española para la conmemoración de los bicentenarios de las independencias en América Latina

AGENCIAS - Madrid - 11/05/2009

Un acto institucional ha reunido este lunes en la Casa de América a los Reyes, los Príncipes de Asturias, las principales figuras del Ejecutivo español, el ex presidente Felipe González y a los representantes de los países de Hispanoamérica que a partir de este año celebrarán los 200 años de la declaración de la independencia. Los oradores del encuentro han precisado el espíritu de la estrategia de España para la conmemoración de este aniversario, que puede ser resumido en una frase de la intervención de González: "Podemos hacer una muy buena tarea juntos". Los aniversarios comienzan en Bolivia y Ecuador, prosiguen en 2010 en México, Argentina, Venezuela, Colombia y Chile, hasta culminar con las previstas en Centroamérica en 2021.

El ex mandatario socialista ha considerado que España e Hispanoamérica deben abocarse a atender los desafíos de educación, desarrollo del capital humano y buen uso de energía. "Si enfrentamos esa realidad de cara y no la disimulamos, yo creo que podemos encarar el futuro con mucha esperanza, sobre todo para nuestros pueblos, que lo llevan esperando una temporada", ha asegurado el político, que desempeña el cargo de embajador plenipotenciario para la conmemoración de los bicentenarios.

España, mediador entre Europa y América

El Rey ha afirmado que los bicentenarios son "una buena ocasión" para reflexionar sobre el futuro de Iberoamérica y sobre su "peso e identidad a escala internacional", con la intención de que su "voz sea tenida más en cuenta". El presidente José Luis Rodríguez Zapatero ha insistido en el mensaje de unidad al expresar el deseo de "acompañar" a los auténticos protagonistas de estas celebraciones. "España es un país que no se puede comprender sin Iberoamérica", ha precisado. El mandatario ha anunciado que una de las metas de la presidencia española de la Unión Europea, en el primer semestre de 2010, será profundizar la relación con América Latina y Caribe. Don Juan Carlos ha expresado un anhelo parecido, al pedir un "salto cualitativo" en el vínculo entre Europa e Iberoamérica.

El acto ha servido también para que Zapatero evalúe la tarea del Rey en el fortalecimiento de los vínculos entre la ex Metrópolis y las ex colonias americanas. Según el jefe del Gobierno, Don Juan Carlos ha sido una "especial referencia" que ha cumplido "más que ejemplarmente" el mandato de favorecer un "fuerte vínculo" entre la monarquía constitucional y las democracias iberoamericanas. Una tarea que Don Felipe continúa con "brillantez y dedicación", ha añadido Zapatero, que ha recordado que el heredero de la Corona ha acudido ya a 48 tomas de posesión de presidentes de América Latina.

ocde: depresion continua

Los indicadores confirman la "profunda ralentización" de la OCDE aunque con "signos de posibles mejoras"

Los indicadores compuestos avanzados sobre las perspectivas de la coyuntura económica en la OCDE divulgados hoy señalan una "profunda ralentización" aunque a un ritmo menor en el mes de marzo. Estos índices, agrupados en el llamado "indicador sintético", apuntan además "signos de posibles mejoras" o, al menos, "signos de una pausa en la ralentización económica" en países concretos, como Francia, Italia y el Reino Unido.

En la mayoría del resto de las grandes economías de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico (OCDE), los indicadores compuestos avanzados "siguen mostrando un deterioro del ciclo de crecimiento pero a un nivel menor", según el comunicado difundido hoy por la Organización.

El indicador para el conjunto de la OCDE cayó 0,1 puntos en marzo hasta situarse en 92,2 puntos (frente a una media de largo plazo de 100), lo que le sitúa 9,5 puntos por debajo del nivel de marzo del año pasado. La caída de marzo mantiene, aunque a menor nivel, la tendencia de los últimos meses, ya que en febrero pasado el retroceso fue de 0,4 puntos y en enero de 0,7 puntos. Fuera de la OCDE "siguen deteriorándose las perspectivas de crecimiento", salvo en China, país que "muestra signos de una pausa en la ralentización".

Por lo que respecta a EE UU, el indicador compuesto avanzado disminuyó en marzo 0,6 puntos, lo que le sitúa en un nivel 11,8 puntos inferior al del mismo mes del año pasado. Sin embargo, en la zona euro, aumentó 0,2 puntos aunque el resultado sigue dejando a este grupo de países 7,9 puntos por debajo del nivel de hace un año.

FRANCE: inflexion a la vista?

Trichet afirma que la economía está en un "punto de inflexión"

Fernández Ordóñez sostiene que "hay indicios de que lo peor se produjo en el primer trimestre"

EFE / ELPAÍS.com - Basilea / Madrid - 11/05/2009

El gobernador del Banco de España, Miguel Angel Fernández Ordóñez, y su homólogo al frente del BCE, Jean Cluade Trichet, se han sumado hoy a la tendencia de creciente optimismo de quienes apuestan porque lo peor ha pasado ya gracias al efecto de los multimillonarios estímulos aprobados por los diversos gobiernos y autoridades monetarias y que no se habían visto hasta la fecha. "Nos acercamos al punto de inflexión", ha asegurado Trichet en la Reunión Económica Mundial del Banco de Pagos Internacionales que se celebra en Basilea.

"En lo referente al crecimiento, estamos cerca del punto de inflexión en el ciclo" y ha habido una "importante mejoría en los mercados desde mediados de septiembre (de 2008)", ha comentado Trichet antes de reseñar que, en cualquier caso, los gobernadores de los bancos centrales del mundo no deben bajar la guardia y hay que "seguir muy alerta".

Por su parte, Fernández Ordóñez ha asegurado en el mismo foro que "hay cierta cantidad de buenas noticias en el mundo, especialmente en los indicadores. Vemos ciertas mejoras en muchos mercados financieros". "Hay indicios de que lo peor (de la crisis) se produjo en el primer trimestre", ha defendido. No obstante, al igual que Trichet, ha añadido que hay que ser "muy cautos" con las proyecciones económicas.

A favor del análisis de Trichet y Fernández Ordóñez se encuentran los datos sobre la bajada del Euríbor y la reapertura del mercado interbancario, el avance de los índices de confianza del consumidor, la recuperación de las bolsas o la moderación de la tasa de morosidad en los créditos.

"Brotes verdes"

Este conjunto de factores también han llevado al Gobierno español a mostrar un ligero optimismo sobre la posibilidad de una recuperación, tal y como afirmó la vicepresidenta económica Elena Salgado tras el pleno extraordinario sobre el Plan E puesto en marcha contra la crisis al afirmar que se están empezando a observar algunos "brotes verdes" en la situación económica internacional. Al otro lado del Atlántico, el propio presidente estadounidense, Barack Obama, señaló en la misma línea el sábado que se detectan ya "ciertos indicios de que los engranajes del motor económico de Estados Unidos están comenzando a funcionar".

Con respecto a la proyección de los precios de consumo, Fernández Ordóñez ha insistido en que "no hay grandes riesgos de deflación" o de caídas sostenidas en los precios de consumo en la eurozona pese a los últimos datos de inflación, que registraron la primera caída de su historia el pasado mes de marzo.

Asimismo, el director del gabinete de coyuntura y estadística de Funcas, Angel Laborda, comparte la opinión del gobernador del Banco de España. En opinión del experto de la Fundación Española de Cajas de Ahorro, las mayores tasas de caídas de la economía podrían haberse registrado en el primer trimestre del año, según la información aportada por los indicadores de clima económico y los progresos en el ajuste de las posiciones financieras de las familias y empresas no financieras.

La recuperación sigue siendo "lejana"

Según Laborda, el mayor esfuerzo de los hogares en el ajuste del consumo también podría haber tenido lugar en el primer trimestre, aunque la inversión de las empresas en equipo aún no da muestras de haberse estabilizado y las perspectivas de recuperación son "lejanas". Así, el conjunto de la demanda nacional podría haber registrado una caída trimestral anualizada del 8,5% entre enero y marzo de 2009.

En cualquier caso, aunque puede que lo peor haya pasado ya, donde no hay margen de duda es en que todavía queda mucha crisis que atravesar. Sobre todo en España, que cuenta con su particular reto frente al deterioro económico en forma de burbuja inmobiliaria, según sostiene la Comisión Europea.

Ante este panorama, el BBVA ha revisado a la baja su previsión de crecimiento de la economía española para este año y, si en marzo estimaba que el PIB caería un 2,8%, en la última previsión de finales de abril sitúa su retracción en el 3,5% en línea con las proyecciones de los organismos internacionales. Por el contrario, mantiene la estimación de PIB para 2010 en un retroceso del 0,3%.

VENEZUELA: nacionalizan activos de contratistas

Gobierno toma activos de contratistas petroleras en Maracaibo

Soldados resguardan la entrada del puerto de Maracaibo (Reuters/Isaac Urrutia)

01:30 PM Caracas.- El presidente Hugo Chávez anunció hoy que el Gobierno asumió el control de los activos pertenecientes a contratistas petroleras que operan en el Lago de Maracaibo, apoyado en una ley que la Asamblea Nacional aprobó en la víspera que reserva al Estado los bienes y servicios de las actividades primarias de hidrocarburos.

Chávez dijo, en cadena de radio y televisión, que su administración procedió a asumir el control de unas 300 lanchas, pertenecientes a contratistas petroleras.

Aseguró que la toma de los activos de las contratistas petroleras tendrá impacto en "la reducción del costo de producción del petróleo" y aseguró que representa un avance hacia el socialismo.

"Cerca del 20% es la reducción" del costo de producción con las determinaciones adoptadas lo cual se refleja en "menos gasto", sostuvo.

El ministro de Energía, Rafael Ramírez, informó en la víspera que este viernes serían expropiadas "300 lanchas, 30 remolcadores, 30 gabarras, 39 terminales y muelles, 61 lanchas de buzos, cincos diques de astilleros, y 13 talleres'', de contratistas petroleras y que 8.000 trabajadores del sector privado petrolero serían absorbidos por el Gobierno.

La Asamblea Nacional aprobó el jueves una ley que le reserva al Estado los bienes y servicios de las actividades primarias de hidrocarburos y le abre el camino al gobierno para expropiar los activos de empresas petroleras cuando lo estime necesario.

La nueva ley declara de "interés público y social las obras, bienes y servicios conexos para la realización de las actividades primarias" de hidrocarburos y le reserva al Estado las operaciones de "inyección de agua, de vapor o de gas" a los yacimientos, indica AP.

De igual forma quedaron bajo control estatal las actividades del Lago de Maracaibo, tales como "lanchas para el transporte de personal, buzos y mantenimiento; de barcazas con grúas para transporte de materiales, diesel, agua industrial y otros insumos; de remolcadores; de gabarras planas... reemplazo de tuberías y cables subacuáticos; de mantenimiento de buques en talleres, muelles y diques", según refieren el texto de la ley.

venezuela:Crudo sube 4,60 dólares hasta $48,73 por barril

Crudo venezolano sube 4,60 dólares hasta $48,73 por barril

03:11 PM Caracas.- El precio de venta del petróleo venezolano cerró hoy con una media semanal de 48,73 dólares el barril, 4,60 dólares por encima del promedio de la semana anterior (44,13), informó el Ministerio de Energía y Petróleo.

El alza de los precios del crudo respondió al "optimismo en el mercado de una recuperación de la economía global y a la persistente depreciación del dólar frente a otras divisas", dijo el despacho en su reporte.

Asimismo, también contribuyó a este incremento "la menor oferta de crudo proveniente de los países de la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP)", agregó.

El precio promedio del petróleo venezolano en lo que va del año se situó así en 41,78 dólares, menos de la mitad de los 86,81 dólares registrados el año pasado, indicó Efe.

Se sitúa, sin embargo, por encima de 40 dólares por barril que el Gobierno ha previsto que promediará este año, según el cambio en el cálculo del presupuesto fiscal a partir de marzo, que inicialmente se basó en un promedio de venta de 60 dólares.

chile: Enríquez-Ominami sorpresa

Encuesta Imaginaccion: Enríquez-Ominami obtiene 10,5% en primera vuelta

Además, se mantiene el empate técnico en segunda vuelta entre Eduardo Frei y Sebastián Piñera, ambos con un 44,3% y 44,7% respectivamente.
El Mercurio Online
Lunes 11 de Mayo de 2009 14:13

Enríquez-Ominami subió mas 8 puntos respecto a la medición de abril, donde obtuvo el 1,9.
Foto: Alejandro Balart, La Segunda

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SANTIAGO.- El candidato presidencial y diputado PS, Marco Enríquez-Ominami, alcanzaría un 10,5% de preferencias de los electores, en una primera vuelta, según la encuesta dada a conocer hoy por Imaginaccion Consultores, propiedad del ex ministro Enrique Correa.


En la medición de abril, el parlamentario "díscolo" sólo consiguió un 1,9% ante la pregunta abierta ¿quién le gustaría que fuese el próximo Presidente(a) de la República?, aunque esta vez la consulta se limitó a los candidatos Adolfo Zaldivar, Sebastián Piñera, Alejandro Navarro, Eduardo Frei.


Los resultados de la consulta, realizada entre el 4 y el 26 de abril, indican que en el mismo escenario, el candidato presidencial de la Coalición por el Cambio, Sebastián Piñera, obtendría un 38,3% de las preferencias, mientras que el abanderado de la Concertación, Eduardo Frei, alcanzaría un 32,4.


Asimismo, la encuesta mantiene la tendencia mostrada en los resultados de abril respecto al empate técnico en segunda vuelta, entre los candidatos Eduardo Frei y Sebastián Piñera, ambos con un 44,3% y 44,7% respectivamente.


En tanto, el apoyo a la Presidenta Bachelet se mantiene en un 62,2% de las preferencias sobre su gestión al mando del país, mientras que el Gobierno también mantuvo su nivel de aprobación en comparación a la última medición, alcanzando el 52% de las preferencias.

chile: desempleo 9.2% Abril

ver

http://www.economiaynegocios.cl/indicadores/desempleo.asp

USA: reducción de impuestos para familias y pymes

EE.UU. anunció reducción de impuestos para familias y pymes y el fin de los privilegios petroleros
Lunes, 11 de Mayo de 2009
AFP

Además, se determinó el restablecimiento de la tasa impositiva máxima de 39,6% a los contribuyentes más ricos, que había sido suprimida en 2001 por la administración del presidente George W. Bush.

WASHINGTON.- El departamento del Tesoro estadounidense anunció este lunes que las reducciones de impuestos prometidas a la clase media por el presidente Barack Obama alcanzarán los US$736.000 millones en 10 años, lo que debería permitir a una "pareja tipo" economizar US$800.

Por su parte, las pequeñas y medianas empresas se beneficiarán con reducciones de impuestos por US$100.000 millones den el mismo periodo, añadió el Tesoro en un comunicado.

"Mediante las reducciones fiscales a los pequeños negocios y a las familias de clase media, así como la inversión en innovación, invertimos directamente en nuestras comunidades, creando nuevos empleos, y encaminando a nuestra nación hacia la recuperación", dijo el secretario del Tesoro, Timothy Geithner.

Inversamente, el gobierno anuncia la suspensión de varias decenas de beneficios fiscales que cuestan "cientos de miles de millones de dólares al Estado".

El Tesoro anuncia así el fin de las ventajas fiscales para las compañías petroleras, especialmente de los créditos impositivos que benefician a la exploración y perforación petrolera.

Este lunes se decidió también el restablecimiento de la tasa impositiva máxima de 39,6% a los contribuyentes más ricos, que había sido suprimida en 2001 por la administración del presidente George W. Bush.

BOLIVIA; ASILO CREA CONTROVERSIA

Evo critica a García y le exige respetar la ley sobre el asilo
El Jefe de Estado dijo que el Gobierno del Perú no debería proteger a los delincuentes, refiriéndose a los bolivianos acusados por la muerte de más de 60 personas en octubre del 2003. Llamó “chabacano” a su colega peruano.
• CONMINATORIA PRESIDENCIAL • El Primer Mandatario envía un mensaje a su homólogo peruano. Lo hizo ayer, durante un acto de entrega de casas en la ciudad de El Alto.
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El presidente Evo Morales llamó ayer “chabacano” (vulgar) a su homólogo peruano, Alan García, y lo convocó a respetar las leyes y no otorgar asilo político a procesados por delitos de lesa humanidad, como ocurrió con el caso del ex ministro de Desarrollo Económico Jorge Torres Obleas.

El sábado, mediante una carta pública, Torres reveló que el gobierno de García decidió otorgarle “protección bajo el estatus de asilado político” y el viernes el canciller peruano, José Antonio García Belaúnde, informó a la agencia AFP que otros dos ex ministros de la gestión de Gonzalo Sánchez de Lozada tramitaban similar beneficio, aunque no dio nombres.

´Si el Gobierno peruano concede asilo o refugio, estaría cometiendo un grave delito, yo diría, porque hemos revisado las documentaciones, las normas que tiene el Estado peruano sobre refugio, pues no pueden dar asilo o refugio si hay personas en Latinoamérica, en el mundo, que han cometido delitos de lesa humanidad´, dijo ayer Morales durante un acto en la ciudad de El Alto.

La Ley de Asilo 27840 vigente en Perú señala que el asilo no procede para “la persona que se encuentra inculpada, procesada o condenada ante los tribunales judiciales ordinarios...”. Una convención (1933) y un tratado (1939) internacionales que registra la base de datos de Agencia de la ONU para los refugiados (ACNUR) señalan la misma disposición.

Torres, al igual que Sánchez de Lozada y otros diez miembros de su gabinete ministerial, es procesado por delitos de lesa humanidad y la Corte Suprema de Justicia fijó el 18 de mayo como fecha para el inicio del juicio en Sucre.

Según Evo Morales, el Gobierno peruano cometería un error si otorga asilo político a las autoridades procesadas del régimen de Gonzalo Sánchez de Lozada.

´Que no cometan el error... sería muy grave eso; antes (los implicados en este caso) se escapaban a Estados Unidos cuando (George W.) Bush estaba de presidente; ahí están Sánchez de Lozada y otros de sus ministros, y no es posible ahora que sus ex ministros escapen a Perú´, sostuvo.

Agregó que es contradictorio que mientras en Perú la justicia combata los delitos de lesa humanidad, el Gobierno conceda asilo a quienes son procesados por ello. ´Imagínense en el Perú, la justicia peruana encarcelando a quienes cometieron delitos de lesa humanidad (en alusión al ex presidente peruano Alberto Fujimori) y no es posible que el Presidente peruano pueda dar asilo o refugio a algunos ministros que van escapándose´, señaló.

Luego pidió a García que no proteja a delincuentes y, por el contrario, los expulse de su país.

´Al compañero chabacano Alan García, presidente de Perú, quiero decirle que no tiene por qué proteger a los delincuentes en el pueblo peruano, en el Estado, en el Gobierno peruano´, expresó.

´A mí me dijo uno de los ministros de Alan García, chabacano. Yo no sé qué dirá, pero sé que es una ofensa, no me molesta. Pero ahora, como está cometiendo un error ni siquiera respetando sus normas del Perú, yo digo: colega chabacano Alan García le pido con mucho respeto expulsar a estos delincuentes que se escapan al Perú´, agregó. En marzo, el ministro peruano, José Chang, llamó chabacano a Morales.

Un convenio, un tratado y una ley sobre el asilo político

Conv. de Montevideo (1933)

Artículo 1.- “No es lícito a los Estados dar asilo en legaciones, naves de guerra, campamentos o aeronaves militares, a los inculpados de delitos comunes, que estuvieren procesados en forma o que hubieren sido condenados por tribunales ordinarios, así como tampoco a los desertores de tierra y mar. Las personas mencionadas en el párrafo precedente, que se refugiaren en algunos de los lugares señalados en él, deberán ser entregadas tan pronto lo requiera el gobierno local”.

Trat. de Montevideo (1939)

Artículo 3.- “No se concederá asilo a los acusados de delitos políticos que, previamente, estuvieran procesados o hubieren sido condenados por delitos comunes y por los tribunales ordinarios. La calificación de las causas que motivan el asilo corresponde al Estado

que lo concede. El asilo no podrá ser concedido a los desertores de las fuerzas de mar, tierra y aéreas, salvo que el hecho revista claramente carácter político”.

El documento fue suscrito en Montevideo, Uruguay, en 1939.

Ley 27840 (Perú)

Artículo 5.- “El Estado otorgará asilo al extranjero a través del Ministerio de RREE, una vez calificados los hechos que lo motiven”.

Artículo 6.- “No podrá otorgarse asilo a la persona que se encuentra inculpada, procesada o condenada ante los tribunales judiciales ordinarios competentes por delitos comunes, o que haya cometido delitos contra la paz, terrorismo, crímenes de guerra o delitos de lesa humanidad definidos en los instrumentos internacionales”.

USA:hallazgo revitaliza el gas natural


Un enorme hallazgo revitaliza el gas natural en EE. UU.
WSJ/Americas (07/05/2009)

EL COMBUSTIBLE PASA DE ACTOR SECUNDARIO A ESTRELLA EN LOS ESFUERZOS DEL PAÍS POR SATISFACER LOCALMENTE SUS NECESIDADES ENERGÉTICAS.

CADDO PARISH EE.UU. Un enorme hallazgo de gas natural en este distrito en el estado de Louisiana, anuncia un gran cambio en el panorama energético de Estados Unidos. Tras una era de producción en descenso, el país ahora nada en gas natural.





Tras una era de producción en descenso, Estados Unidos ahora nada en gas natural.
Ver imágenes



Incluso los cálculos más conservadores sugieren que el descubrimiento en Louisiana —conocido como el Esquisto Haynesville, por la densa formación rocosa que contiene el gas— podría albergar unos 5,7 billones (millones de millones) de metros cúbicos de gas natural. Ese es el equivalente a 33.000 millones de barriles de petróleo, o a 18 años de la actual producción estadounidense de petróleo. Algunos ejecutivos creen que el yacimiento podría tener varias veces ese tamaño.

Grandes campos también han sido hallados en los estados de Texas, Arkansas y Pensilvania. Un estudio respaldado por la industria estima que EE.UU. tiene más de 62 billones de metros cúbicos de gas listos para ser extraídos, lo suficiente para satisfacer casi 100 años de la demanda actual de gas natural del país.

Los descubrimientos han animado a expertos y autoridades a considerar el gas natural en sus esfuerzos por alcanzar varias metas: suavizar el impacto de las alzas en los precios de la energía, reducir la dependencia del petróleo extranjero, bajar las emisiones de "gases de efecto invernadero" y acelerar la transición hacia combustibles renovables.






Un proyecto de ley sobre cambio climático que cuenta con el apoyo del presidente Barack Obama, podría dar un impulso al gas natural. Se prevé que la propuesta, que podría llegar al Congreso este mes, fije objetivos ambiciosos para reducir las emisiones de dióxido de carbono.

Cumplir con esas metas requeriría abandonar rápidamente las plantas energéticas a carbón, que emiten un considerable volumen de carbono. Obama quiere que su país utilice más fuentes de energía renovable, como energía eólica y solar, pero esas tecnologías no están listas para satisfacer más de una pequeña parte de las necesidades energéticas de EE.UU. Los partidarios del gas natural sostienen que el combustible, que es más limpio que el carbón, sería una solución rápida y lógica.

"La disponibilidad de generación de gas natural nos permite ser mucho más osados al planificar una transición a una economía de bajo consumo de carbono", afirma Jason Grumet, director ejecutivo de la Comisión Nacional de Política Energética.

Hace sólo tres años, la mayoría de los expertos coincidía que la producción de gas natural en EE.UU. estaba destinada a caer permanentemente. Las autoridades se habían resignado a la idea de que tendrían que depender cada vez más de otros países para obtener el combustible necesario para calefaccionar la mitad de los hogares y generar un 20% de la electricidad del país.






Pero las nuevas tecnologías y un auge de la perforación han ayudado a que la producción crezca 11% en los dos últimos años. Ahora existe una superabundancia, que ha arrastrado los precios a su nivel más bajo en seis años y ha llevado a los productores a reducir temporalmente las perforaciones y buscar nuevas fuentes de demanda.

Los hallazgos de gas natural llegan en momentos en que el petróleo se ha vuelto más difícil de encontrar y más caro de producir. EE.UU. depende cada vez más de envíos desde Medio Oriente y otras regiones políticamente inestables. Por el contrario, el 98% del gas natural que consume se produce en América del Norte.

El gas natural nunca ha sido más que un actor secundario en la provisión de energía de EE.UU. El crudo, refinado en gasolina o diésel, abastece a casi todos los autos y camiones en ese país. El carbón es el combustible dominante para generar electricidad.

El Esquisto Haynesville está en una de las regiones productoras de petróleo y gas más antiguas de EE.UU. Las petroleras sabían de su existencia, pero lo consideraban un proyecto menos viable que una formación cerca de Fort Worth, estado de Texas, conocida como el Esquisto Barnett, donde han tenido mucho éxito. Haynesville se encuentra a 3.050 metros o más por debajo del suelo, donde la alta presión y las temperaturas de 150 grados centígrados son suficientes para tostar los equipos de perforación de alta tecnología.

Pero en 2006, Chesapeake Energy Corp. perforó un pozo exploratorio y concluyó que los resultados eran lo suficientemente prometedores como para justificar los altos costos de perforar en condiciones tan adversas. Para fines de 2007, la compañía ya tenía claros indicios del enorme potencial del hallazgo.

En marzo de 2008, cuando los precios del petróleo y el gas estaban por las nubes, Chesapeake reveló sus descubrimientos. Así se desató la fiebre: decenas de empresas enviaron agentes a la zona para alquilar tierras y realizar perforaciones, convirtiendo a agricultores en millonarios de la noche a la mañana.

El frenesí marcó el pico de un auge de la perforación en todo EE.UU., que fue impulsado por una combinación de precios de la energía en alza y crédito fácil. Pero no duró. Entre julio y octubre, los precios del crudo y el gas cayeron más de 50%, y siguieron bajando. Desde comienzos desde 2009, los precios del gas natural han caído 41%, a su nivel más bajo desde 2002.

Los productores gasíferos soportaron una fuerte caída en sus ganancias y en el precio de sus acciones. Preocupadas por una superabundancia, las empresas redujeron marcadamente la perforación e hicieron lobby para intentar impulsar la demanda.

La demanda creciente creó oportunidades para las autoridades y los medioambientalistas, dándoles una esperanza de que el gas natural podría ser una posible solución para los problemas energéticos del país.


POR BEN CASSELMAN.

PERU: INMOBILIARIO OPINA GRAN GRUPO

En el sector inmobiliario todavía no se puede hablar de crisis

11:00 | Centenario, la empresa de los grupos Romero y Brescia que controla el 50% de las ventas de terrenos en Lima, vivió el mejor trimestre de su historia

Por Silvia Mendoza

Entrevista a Gonzalo Sarmiento, gerente comercial de Centenario

Los edificios de viviendas que se multiplican en Lima no son los únicos protagonistas del “boom” inmobiliario capitalino, pues en la periferia las urbanizaciones se reproducen y la venta de lotes mantiene el ritmo boyante del 2008. Pese a que el segundo mercado de Centenario, el de oficinas, está en observación. Gonzalo Sarmiento, gerente comercial de la empresa de los grupos Romero y Brescia, dice que a su mercado no ha llegado la crisis.

Hasta hace unos años se decía que Lima crecía horizontalmente, pero de pronto comenzó a crecer verticalmente ¿Cómo se está comportando el mercado de la venta de lotes en un contexto en el que predominan los proyectos de edificación de viviendas?
Ambos desarrollos se han dado paralelamente en Lima, tanto un crecimiento horizontal como vertical. El horizontal obviamente tiene las restricciones de la disponibilidad de tierras, pero la demanda sigue.

¿Cuánto ha crecido la venta de lotes?
En el 2008 tuvimos una facturación de casi US$20 millones, con un crecimiento de 43% respecto al 2007. En el primer trimestre del año hemos crecido también y podemos decir que ha sido el mejor de nuestra historia.

¿Por mayor demanda o alza de los precios?
Por ambos factores.

¿Qué previsiones de crecimiento tiene Centenario para este año?
Estimamos que en el 2009 venderemos hasta un 10% más que el año pasado.

¿Consideran un crecimiento más bajo que el 2008 por la desaceleración?
Tras los resultados del primer trimestre no podemos hablar de crisis.

PERU: exportaciones - 9,6% en primer trim 09

exportaciones peruanas cayeron 9,6% en primer trimestre del año

12:38 | El mayor deterioro se dio en el sector no tradicional (textil, pesquero, metalmecánico), donde la caída fue de 18,9%

(EFE). Las exportaciones peruanas en el primer trimestre del año cayeron 9,6%, mientras que las importaciones se redujeron en 11,2% en el mismo periodo, informó hoy el Instituto Nacional de Estadística e Informática (INEI).

Las exportaciones reales tuvieron un mayor deterioro en el sector no tradicional (textil, pesquero, metalmecánico), donde la caída fue de 18,9% en el periodo de enero a marzo del 2009, mientras que las exportaciones tradicionales (agrícola y minero) cayeron en 3,5%.

En tanto, las importaciones reales (FOB, franco a bordo) presentaron su peor reducción en materias primas y productos intermedios, donde las compras al extranjero se redujeron en 23,8% en el primer trimestre, agregó la fuente oficial.

El INEI informó que las exportaciones reales de marzo último fueron de 984 millones de dólares, frente a los 1.012 millones de dólares exportados en el mismo mes del año pasado, debido a la contracción de la demanda del principal mercado de destino: Estados Unidos.

No obstante, anotó que las exportaciones tradicionales tuvieron un ligero aumento de 0,8% asociado a los mayores embarques de productos del sector pesquero en 20%, agrícola en 1%, y en petróleo y derivados en 7%.

Por su parte, las importaciones de marzo último bajaron a 1.205 millones de dólares, respecto a los 1.467 millones de dólares del mismo mes de 2008.

El INEI atribuyó la caída a la desaceleración de la actividad económica y a la percepción de los agentes económicos sobre los efectos de la crisis internacional y su impacto en el Perú.

Esto se reflejó en las menores importaciones de bienes para el consumo (-6,3%), materia prima y bienes intermedios en (-20,2%), y bienes de capital y materiales de construcción en (-20,3%).

PERU:Exportación de aceitunas se incrementó 7,3% en el primer trimestre del año

Exportación de aceitunas se incrementó 7,3% en el primer trimestre del año

15:29 | Las ventas totalizaron US$ 5’865.000. El principal país de destino fue Brasil, seguido de EE.UU., Chile y España

Las aceitunas y sus derivados alcanzaron ventas al exterior del país por US$ 5’865.000, durante el primer trimestre del año, lo que representa un crecimiento de 7,3% con respecto al mismo periodo del año anterior, en que se vendió dicho producto por US$ 5’465.000, reportó la Asociación de Exportadores (Ádex).

Fueron siete partidas en total que se exportaron, incluido el “aceite de oliva virgen”, y en que destacaron largamente las “aceitunas preparadas o conservadas sin congelar” con US$ 5’399.000 del total exportado.

Ádex también remarcó que durante el periodo señalado once nuevas empresas (54 en total) empezaron a venderle sus productos al mundo y un nuevo destino se agregó (18 en total) a los países compradores de nuestras aceitunas y sus derivados.

Brasil se convirtió en el principal país de destino, pues compro US$4 millones del total. Otros importantes mercados fueron Estados Unidos, Chile y España.

El gremio exportador también destacó que nuevos y atrayentes mercados se han sumado a los destinos de la aceituna peruana. Estos son: Venezuela, Kuwait, Sudáfrica, Emiratos Árabes, Costa Rica y España.

El dato
Solo la exportación de aceitunas en sus diversas presentaciones sumó en el 2007 US$ 18’855.000 mientras que en el 2008 el monto ascendió a US$ 27’010.000

AUTOMOVIL:FUSION PORSCHE-WW

Porsche hace concesiones para fusionarse con Volkswagen

11:59 | El productor de automóviles deportivos tendría problemas para afrontar sus deudas, debido a la gran caída en la venta de coches de lujo

Stuttgart (DPA). El fabricante de automóviles deportivos Porsche está dispuesto a renunciar a algunas de sus exigencias históricas en el proceso de fusión con Volkswagen (VW), automotriz de la que posee una participación de 50,8%, de acuerdo con información difundida por la prensa en Alemania.

El presidente de Porsche, Wendelin Wiedeking, desistió de su cruzada de años contra la Ley Volkswagen, que solo para esa automotriz fija en 20% el mínimo del paquete accionario necesario para vetar decisiones empresariales, cuando lo normal es que la minoría de bloquedo sea de 25% del paquete.

Wiedeking está ahora dispuesto a aceptar que el estado federado de Baja Sajonia, accionista con el 20,20% de VW, mantenga en el nuevo grupo el derecho a bloquear las decisiones empresariales, según publica la revista “Der Spiegel” en su edición del lunes.

Porsche también se avendría a que la nueva sede de la empresa automotriz estuviese en Wolfsburgo (sede histórica de VW) o en Hannover y no en Stuttgart.

Los problemas derivados de la crisis económica mundial obligaron a Porsche a deponer los ambiciosos planes de hacerse con 75% de Volkswagen y asumir el control del mayor fabricante de vehículos de Europa.

Según medios de prensa, el productor de automóviles deportivos tiene problemas para afrontar las deudas contraídas para su desembarque en Volkswagen debido a la caída en picada de las ventas de coches de lujo.

Así las cosas, el fabricante de automóviles deportivos apunta ahora a la formación de un grupo que comercializará las diez marcas por separado y en el que se van perfilando de a poco la balanza de poder entre ambas empresas y un mayor protagonismo del gobierno regional de Baja Sajonia, que quiere ver asegurados los millares de puestos de trabajo de Volkswagen en la región.

“Mantenemos conversaciones constantes y abiertas” con Porsche, dijo el portavoz del estado federado de Baja Sajonia, Roman Haase, quien confirmó que esta semana habrá reuniones, donde “el primer ministro del estado (Christian Wulff) quiere estar presente”. Gracias a la “Ley VW” el primer ministro del estado tiene un papel clave en las negociaciones.

Según “Der Spiegel”, el máximo directivo de Porsche también se reunirá con representantes de los trabajadores. Hasta ahora, VW puede erigir nuevas plantas o trasladar las existentes solo con la anuencia de los trabajadores representados en el consejo de vigilancia, algo que también estipula la llamada “Ley VW”. Wiedeking está dispuesto a que la norma se mantenga en el nuevo consorcio.

Las negociaciones sobre la futura distribución accionaria del nuevo consorcio está también bastante avanzada según “Der Spiegel”: las familias Porsche y Piëch pueden tener entre 45 y 55% de la nueva sociedad accionaria.

El estado federado de Baja Sajonia subiría su participación a entre 21 y 25%. La revista alemana “Focus” nombra además a otro inversor, “posiblemente el Emir de Qatar”. Junto con Baja Sajonia, el tercer inversor tendrá cerca de la mitad del paquete accionario.

PERU: 70% creen culpable por robo a ex gobernante

http://e.elcomercio.pe/101/impresa/img/2009/05/11/ecpl110509a7.jpg

PERU: inflación 2% en el 2009,BCR

BCR: La inflación anual del Perú llegaría a 2% el 2009

12:59Para el Banco Central de Reserva, el Índice de Precios al Consumidor convergerá al rango meta, de entre 1 y 3%, en el tercer trimestre.

El Banco Central de Reserva (BCR) proyectó que la inflación en Perú cerrará el 2009 en 2%, luego de observar la tendencia a la baja que se registró en los primeros meses del año.

“En el último Consensus Forecast se proyecta para Perú una inflación (2.6%) que está dentro del rango meta del BCR, pero el banco tiene una proyección menor inclusive, y pensamos que este año va a estar en 2%”, indicó el gerente central de Estudios Económicos del BCR, Adrián Armas.

Según el Instituto Nacional de Estadística e Informática (INEI), el Índice de Precios al Consumidor (IPC) de Lima Metropolitana, que se usa como referencia para medir la inflación nacional, ascendió a 0.02% en abril, mientras que la inflación acumulada (entre enero y abril) se situó en 0.41%.

Armas explicó que la inflación subyacente, que no considera el incremento de los precios energéticos y de los alimentos frescos no elaborados, ascendió a 0.15% en abril, y en términos anualizados la inflación subyacente sería de 1.8%.

“Esa tasa mensual de la inflación subyacente no se observaba desde el año 2007 y eso nos indica claramente la tendencia de inflación por una reversión de los choques de oferta”, indicó.

En ese sentido, subrayó que el BCR mantiene su proyección de que la inflación anualizada (últimos 12 meses), que en abril se ubicó en 4.6%, de todas maneras convergerá al rango meta, que es entre 1 y 3%, durante este año.

“La proyección que teníamos en el último Reporte de Inflación era converger al rango meta en el cuarto trimestre, pero con la información que tenemos creemos que puede ser antes y puede ser en el tercer trimestre”, estimó Armas.

Recordó que la inflación anualizada alcanzó su nivel máximo en diciembre del 2008, cuando se ubicó en 6.7%, pero a partir de enero del 2009 ese indicador está en un claro descenso.

“También hay una reducción en las expectativas de inflación que tiene que ver con los inventarios ya que existen menos empresas que reducirían sus inventarios”, dijo.

Mencionó que según la Encuesta de Expectativas Macroeconómicas realizada al 30 de abril, se registró que el sistema financiero redujo sus expectativas de inflación de tres a 2.75% para el 2009.

Mientras que los analistas económicos esperan que la inflación sea de 3% y las empresas no financieras se mantienen en 3.5%, aunque podrían reducirlo más adelante.

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