SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


[Most Recent Quotes from www.kitco.com]


METALES A 30 DIAS click sobre la imagen
(click sur l´image)

3. PRIX DU CUIVRE

  Cobre a 30 d [Most Recent Quotes from www.kitco.com]

4. ARGENT/SILVER/PLATA

5. GOLD/OR/ORO

6. precio zinc

7. prix du plomb

8. nickel price

10. PRIX essence






petrole on line

Find out how to invest in energy stocks at EnergyAndCapital.com.

azucar

azucar
mercados,materias primas,azucar,precios y graficos azucar i otros

17 oct 2008

UCF: De quel réel cette crise est-elle le spectacle ?, par Alain Badiou LE MONDE | 17.10.08

Telle qu'on nous la présente, la crise planétaire de la finance ressemble à un de ces mauvais films concoctés par l'usine à succès préformés qu'on appelle aujourd'hui le "cinéma". Rien n'y manque, y compris les rebondissements qui terrorisent : impossible d'empêcher le vendredi noir, tout s'écroule, tout va s'écrouler...

Mais l'espoir demeure. Sur le devant de la scène, hagards et concentrés comme dans un film catastrophe, la petite escouade des puissants, les pompiers du feu monétaire, les Sarkozy, Paulson, Merkel, Brown et autres Trichet, engouffrent dans le trou central des milliers de milliards. "Sauver les banques !" Ce noble cri humaniste et démocratique jaillit de toutes les poitrines politiques et médiatiques. Pour les acteurs directs du film, c'est-à-dire les riches, leurs servants, leurs parasites, ceux qui les envient et ceux qui les encensent, un happy end, je le crois, je le sens, est inévitable, compte tenu de ce que sont aujourd'hui et le monde, et les politiques qui s'y déploient.

Tournons-nous plutôt vers les spectateurs de ce show, la foule abasourdie qui entend comme un vacarme lointain l'hallali des banques aux abois, devine les week-ends harassants de la glorieuse petite troupe des chefs de gouvernement, voit passer des chiffres aussi gigantesques qu'obscurs, et y compare machinalement les ressources qui sont les siennes, ou même, pour une part très considérable de l'humanité, la pure et simple non-ressource qui fait le fond amer et courageux à la fois de sa vie. Je dis que là est le réel, et que nous n'y aurons accès qu'en nous détournant de l'écran du spectacle pour considérer la masse invisible de ceux pour qui le film catastrophe, dénouement à l'eau de rose compris (Sarkozy embrasse Merkel, et tout le monde pleure de joie), ne fut jamais qu'un théâtre d'ombres.

On a souvent parlé ces dernières semaines de "l'économie réelle" (la production des biens). On lui a opposé l'économie irréelle (la spéculation) d'où venait tout le mal, vu que ses agents étaient devenus "irresponsables", "irrationnels", et "prédateurs". Cette distinction est évidemment absurde. Le capitalisme financier est depuis cinq siècles une pièce majeure du capitalisme en général. Quant aux propriétaires et animateurs de ce système, ils ne sont, par définition, "responsables" que des profits, leur "rationalité" est mesurable aux gains, et prédateurs, non seulement ils le sont, mais ont le devoir de l'être.

Il n'y a donc rien de plus "réel" dans la soute de la production capitaliste que dans son étage marchand ou son compartiment spéculatif. Le retour au réel ne saurait être le mouvement qui conduit de la mauvaise spéculation "irrationnelle" à la saine production. Il est celui du retour à la vie, immédiate et réfléchie, de tous ceux qui habitent ce monde. C'est de là qu'on peut observer sans faiblir le capitalisme, y compris le film catastrophe qu'il nous impose ces temps-ci. Le réel n'est pas ce film, mais la salle.

Que voit-on, ainsi détourné, ou retourné ? On voit, ce qui s'appelle voir, des choses simples et connues de longue date : le capitalisme n'est qu'un banditisme, irrationnel dans son essence et dévastateur dans son devenir. Il a toujours fait payer quelques courtes décennies de prospérité sauvagement inégalitaires par des crises où disparaissaient des quantités astronomiques de valeurs, des expéditions punitives sanglantes dans toutes les zones jugées par lui stratégiques ou menaçantes, et des guerres mondiales où il se refaisait une santé.

Laissons au film-crise, ainsi revu, sa force didactique. Peut-on encore oser, face à la vie des gens qui le regardent, nous vanter un système qui remet l'organisation de la vie collective aux pulsions les plus basses, la cupidité, la rivalité, l'égoïsme machinal ? Faire l'éloge d'une "démocratie" où les dirigeants sont si impunément les servants de l'appropriation financière privée qu'ils étonneraient Marx lui-même, qui qualifiait pourtant déjà les gouvernements, il y a cent soixante ans, de "fondés de pouvoir du capital" ? Affirmer qu'il est impossible de boucher le trou de la "Sécu", mais qu'on doit boucher sans compter les milliards le trou des banques ?

La seule chose qu'on puisse désirer dans cette affaire est que ce pouvoir didactique se retrouve dans les leçons tirées par les peuples, et non par les banquiers, les gouvernements qui les servent et les journaux qui servent les gouvernements, de toute cette sombre scène. Je vois deux niveaux articulés de ce retour du réel. Le premier est clairement politique. Comme le film l'a montré, le fétiche "démocratique" n'est que service empressé des banques. Son vrai nom, son nom technique, je le propose depuis longtemps, est : capitalo-parlementarisme. Il convient donc, comme de multiples expériences depuis vingt ans ont commencé à le faire, d'organiser une politique d'une nature différente.

Elle est et sera sans doute longtemps très à distance du pouvoir d'Etat, mais peu importe. Elle commence au ras du réel, par l'alliance pratique des gens les plus immédiatement disponibles pour l'inventer : les prolétaires nouveaux venus, d'Afrique ou d'ailleurs, et les intellectuels héritiers des batailles politiques des dernières décennies. Elle s'élargira en fonction de ce qu'elle saura faire, point par point. Elle n'entretiendra aucune espèce de rapport organique avec les partis existants et le système, électoral et institutionnel, qui les fait vivre. Elle inventera la nouvelle discipline de ceux qui n'ont rien, leur capacité politique, la nouvelle idée de ce que serait leur victoire.

Le second niveau est idéologique. Il faut renverser le vieux verdict selon lequel nous serions dans "la fin des idéologies". Nous voyons très clairement aujourd'hui que cette prétendue fin n'a d'autre réalité que le mot d'ordre "sauvons les banques". Rien n'est plus important que de retrouver la passion des idées, et d'opposer au monde tel qu'il est une hypothèse générale, la certitude anticipée d'un tout autre cours des choses. Au spectacle malfaisant du capitalisme, nous opposons le réel des peuples, de l'existence de tous dans le mouvement propre des idées. Le motif d'une émancipation de l'humanité n'a rien perdu de sa puissance. Le mot "communisme", qui a longtemps nommé cette puissance, a certes été avili et prostitué.

Mais, aujourd'hui, sa disparition ne sert que les tenants de l'ordre, que les acteurs fébriles du film catastrophe. Nous allons le ressusciter, dans sa neuve clarté. Qui est aussi son ancienne vertu, quand Marx disait du communisme qu'il "rompait de la façon la plus radicale avec les idées traditionnelles" et qu'il faisait surgir "une association où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous".

Rupture totale avec le capitalo-parlementarisme, politique inventée au ras du réel populaire, souveraineté de l'idée : tout est là, qui nous déprend du film de la crise et nous rend à la fusion de la pensée vive et de l'action organisée.


Alain Badiou, philosophe, romancier, éditeur

Article paru dans l'édition du 18.10.08.

Gordon Brown:

Gordon Brown: Crisis financiera es un momento definitorio para la economía mundial

"Este es un momento definitorio para la economía mundial", dijo el primer ministro británico.

Reuters


17/10/2008 - 12:22

La crisis financiera es un momento definitorio para la economía mundial y tiene que haber soluciones globales para terminarla, escribió el primer ministro británico Gordon Brown el viernes en una columna para The Washington Post.

Brown citó la creación de un nuevo orden económico y la formación del Fondo Monetario Internacional, el Banco Mundial y un organismo comercial internacional al final de la Segunda Guerra Mundial como modelos para tomar y terminar la actual crisis.

En el diario estadounidense, el líder británico escribió: "hoy, el mismo tipo de internacionalismo visionario se necesita para resolver las crisis y desafíos de una era diferente".

"Este es un momento definitorio para la economía mundial". El funcionario dijo que las instituciones financieras de la posguerra están desactualizadas.

"Deben ser reconstruidas para una era totalmente nueva en la que hay una competencia global, no nacional, y economías abiertas, no cerradas. Los flujos de capitales internacionales son tan grandes que pueden superar a cada Gobierno por separado. Y la confianza, el activo más preciado de todos, ha sido erosionada", escribió.

Los líderes mundiales deben responder a las "raíces" de la crisis. "Por eso la próxima etapa es reconstruir nuestro sistema financiero internacional fracturado", escribió.

Para eliminar "los préstamos irresponsables y usualmente ocultos que están en el centro de nuestros problemas", dijo, se requiere una supervisión transfronteriza de las instituciones financieras, estándares compartidos de contabilidad y regulación, un enfoque más responsable para la compensación de los ejecutivos y la renovación de las instituciones internacionales "para convertirlas en sistemas de alerta anticipada de la economía mundial".

Brown dijo también que los líderes mundiales deberían buscar un acuerdo comercial global y rechazar el proteccionismo. "No hay soluciones exclusivas de Gran Bretaña, o de Europa o de Estados Unidos a los problemas de hoy. Estamos todos en esto, y sólo podemos arreglar esta crisis juntos", dijo Brown.

ING CAE A SU MINIMO HISTORICO

Acciones de ING caen casi 20% por reportes sobre la posición de capital de la compañía

Los papeles de ING se hundían un 17,8%, a 8,32 euros, a las 12:35 horas GMT, luego de tocar un mínimo de 13 años, de 7,56 euros.

Reuters


17/10/2008 - 12:23

Las acciones del grupo holandés de servicios financieros ING se hundían más de un 20% el viernes, debido a reportes sobre la posición de capital de la compañía, según administradores de fondos.

La compañía sostuvo que no tenía comentarios sobre el movimiento de las acciones o sobre un reporte del diario financiero holandés Het Financieele Dagblad, que citó a analistas afirmando que la firma está bajo una creciente presión para reforzar su capital.

Las acciones de ING se hundían un 17,8%, a 8,32 euros, a las 12:35 horas GMT, luego de tocar un mínimo de 13 años, de 7,56 euros.

"Hubo un momento de pánico y luego se volvió una casa de locos", dijo Marcel van der Schaaf, administrador de activos de Harmony Vermogensbeheer.

Los costos de protección de créditos para ING Bank aumentaron por temores a que el banco necesitara más capital, indicaron los operadores. <

CHILE: EFECTOS CRISIS

NEGOCIOS

Los cuatro efectos económicos clave tras la agudización de la crisis financiera mundial


Las bolsas, las monedas y las materias primas han sentido con fuerza los coletazos de las turbulencias durante el último mes

Jaime Caro A.

17/10/2008 - 09:56

La agudización de la crisis financiera durante el último mes ha pasado la cuenta. Las bolsas, las materias primas y las monedas han sido las principales afectadas por las quiebras bancarias, los temores a una recesión mundial y por la incertidumbre generada por la crisis entre los inversionistas.

Si bien la crisis subprime tiene sus orígenes a mediados del año pasado, fue durante septiembre que comenzó a afectar con mayor fuerza los mercados mundiales. El 15 de septiembre Lehman Brothers, el cuarto banco de inversión en EEUU, anunció que se acogía a la protección por bancarrota, lo que provocó una seguidilla de intervenciones en otras instituciones financieras de Estados Unidos y a la materialización de planes de salvataje en Europa, Estados Unidos y Asia para evitar una catástrofe económica mayor.

Con todo, los efectos económicos ya se sienten con fuerza. Las bolsas se derrumban y el dólar se dispara depreciando las monedas locales, complicando el panorama inflacionario de los países emergentes. Mientras, el crudo y el cobre retroceden con fuerza.


MERCADOS ACCIONARIOS
Sin ir más allá en el último mes Wall Street ha experimentado caídas históricas, que arrastraron pérdidas cuantiosas en el resto de los mercados bursátiles del mundo. La primera de ellas el 29 de septiembre, día en que la Cámara de Representantes rechazó el plan de rescate financiero de EEUU. Ese día la Bolsa de Nueva York perdió un 6,98% y registró su mayor caída en puntos (777). Le sigue la caída de 7,33% del pasado 9 de octubre, la mayor en 21 años y que fue producto de que los inversionistas ven insuficientes las medidas adoptadas tanto por Estados Unidos como el resto de los países que uno tras otro lanzan planes anticrisis.

Finalmente, el 15 de octubre se registró la segunda mayor caída porcentual de la historia del Dow Jones, al desplomarse un 7,87%. Ese día los temores de una recesión mundial arrastraron a los mercados mundiales. Chile se descolgó y perdió apenas un 0,4%.

La evolución del principal indicador de la Bolsa de Nueva York, el Dow Jones, es clave para demostrar el desplome de los mercados. El promedio de los industriales de Wall Street ha caído 35% en lo que va del año. Cerca del 25% de la caída ocurrió desde la caída de Lehman Brothers a mediados de septiembre. Claramente la inestabilidad y la volatilidad han dejado una profunda marca en los operadores e inversionistas de la plaza neoyorquina.

En Chile la incertidumbre es una preocupación pero que aún no cruza las puertas de la Bolsa de Santiago. Es un temor que existe, pero que las cifras aún no reflejan. El indicador selectivo Ipsa ha caído un 20% en este 2008, mucho menos que sus pares en el resto de América Latina, el Bovespa brasileño que retrocede 42% en lo que va del año.

Las autoridades económicas nacionales han repetido una y otra vez que Chile se encuentra bien “apertrechado” para enfrentar el ventarrón financiero. Las reservas y fondos en el exterior, las ganancias históricas producto del alto precio del cobre y políticas de Hacienda ordenadas podrán entregar protección al mercado local frente a la crisis.

Sin embargo, los bancos ya comenzaron a restringir el otorgamiento de créditos y el dólar, disparado por estos días, pone una presión adicional a una inflación que ronda el 9,5% anual.


PETROLEO
Ante la psicosis de los mercados surgen y caen los denominados activos de refugio.
Inicialmente, el petróleo apareció como la alternativa más rentable para los inversionistas para protegerse de la crisis y la inflación mundial, llegando a un histórico US$147 el barril intradiario en julio. Pero a consecuencia de la expansión de la crisis al resto de las economías del mundo y la inminente recesión de Estados Unidos, el mercado petrolero cayó en el juego.

Poco a poco creció la incertidumbre sobre el futuro de la demanda del crudo y con ello los precios cayeron en picada.

A casi cuatro meses del precio histórico el crudo ha perdido prácticamente el 50% volviendo a valores en torno a los US$70 por barril, registrados en septiembre de 2007. Mientras que en el lapso de un mes (del 15 de septiembre al 15 de octubre) el petróleo ha retrocedido US$21,17 por barril.


DOLAR SE DISPARA
Tras la caída de las materias primas el repunte del dólar, producto de los desplomes bursátiles y la aversión al riesgo en los mercados emergentes, ha hecho que la divisa estadounidense se transforme hoy en el activo predilecto de los inversionistas a la hora de resguardarse de la crisis.

En el exterior el “billete verde” ha subido con fuerza respecto del yen y el euro, En tanto, en su paridad con el peso chileno la apreciación de la divisa estadounidense ha sido fuerte, cercana al 20% ($498 el 3 de enero hasta $622 al 16 de octubre).

El Banco Central chileno intervino el mercado cambiario cuando el dólar se ubicó en $434, llevándolo hasta $552, momento en que el instituto emisor cortó la compra de dólares en el mercado. Tras ello, la moneda estadounidense sigue apreciándose con fuerza y escala sobre los $630. De hecho desde la quiebra de Lehman Brothers (15 de septiembre) a la fecha el dólar ha subido $90,2.

Con el alza del dólar las presiones inflacionarias aumentan debido al encarecimiento de bienes importados (desde electrodomésticos hasta la bencina) provocando un dolor de cabeza más a las autoridades y a los consumidores. En América Latina las monedas de Brasil, México y Chile reportan una caída anual de entre 15% y 25%.

COBRE
El cobre, principal exportación de Chile, ha perdido casi la mitad del valor de su cotización desde el pasado mes de julio, cuando alcanzó su máximo histórico, al cerrar en US$4,07553 por libra en la Bolsa de Metales de Londres.

Al cierre del jueves, la cotización del metal había retrocedido un 45,68%, principalmente por los temores de los inversionistas sobre la ralentización de la economía mundial debido a la crisis financiera, el menor consumo por parte de China y el consistente incremento en los inventarios físicos del metal en las bolsas nueva York, Londres y Shangai, principales bodegas de almacenamiento.

A partir de mediados de septiembre, cuando se agudizó la crisis, el cobre ha perdido un 31,23% de su valor y hoy se ubicó US$2,13 por libra, el menor precio en 33 meses.

CRONOLOGIA CRISIS SUBPRIME

Cronología de la Crisis Subprime

La acción coordinada de la Fed y otros bancos centrales del mundo marcan un nuevo antecedente histórico en una de las mayores crisis económicas del mundo.

EFE

17/10/2008 - 10:10


2007

14 marzo. La Asociación de Bancos Hipotecarios revela que el número de impagos en el sector hipotecario en EEUU (unos seis millones de contratos por 600.000 millones de dólares) alcanza su punto más alto en siete años.

27 marzo. Los precios de la vivienda registran su primera caída interanual desde 1996.

2 abril. New Century suspende pagos.

18 abril. Citigroup reconoce pérdidas de más de 5.000 millones de dólares en el primer trimestre.

18 julio. Quiebran dos fondos de inversión del banco estadounidense Bear Stearns.

3 agosto. American Home Mortgage, el décimo banco hipotecario de EEUU, declara suspensión de pagos.

9 agosto. El Banco central Europeo (BCE) inyecta en el mercado 94.841 millones de euros y la Reserva Federal de EEUU (Fed) 24.000 millones de dólares.

10 agosto. La Comisión de Valores de EEUU investiga las cuentas de las firmas de Wall Street (Goldman Sachs, Merrill Lynch y Bear Stearns). Homebanc declara la bancarrota.

13 agosto. El BCE, la Fed y el Banco de Japón inyectan dinero para aumentar liquidez.

31 agosto. El presidente de EEUU, George W. Bush, tranquiliza a inversores y entidades financieras. La crisis hipotecaria eleva el Euribor al 4,661%, el mayor nivel en siete años.

14 septiembre. El banco británico Northern Rock, el quinto del país por hipotecas concedidas, se desploma en la Bolsa de Londres.

6 diciembre. Bush anuncia un plan para aliviar la crisis hipotecaria que afecta a 1,2 millones de personas.

12 diciembre. La Fed estadounidense, el BCE y los bancos centrales de Inglaterra, Suiza y Canadá acuerdan un plan para afrontar la liquidez.



2008.

18 enero. Bush propone un plan para reactivar la economía dotado con US$145.000 millones.

21 enero. Caen las bolsas mundiales ante el temor a una recesión de la economía estadounidense.

22 enero. La Reserva Federal recorta un 0,75% los tipos de interés, hasta el 3,5%, la mayor rebaja en 25 años.

17 febrero. El Gobierno británico nacionaliza el Northern Rock.

17 marzo. Bear Stearns pierde en unas horas de cotización casi el 90% de su valor, después de que JP Morgan acordara comprarlo a un precio de dos dólares por acción.

8 abril. El FMI calcula que las pérdidas derivadas de la crisis ascienden a 600.000 millones de euros.

11 julio. IndyMac Bank, el segundo banco hipotecario estadounidense, pasa a ser controlado por las autoridades federales.

7 septiembre. El Gobierno estadounidense anunció que intervendría las dos mayores compañías hipotecarias del país, Fannie Mae y Freddie Mac.

14 septiembre. Diez bancos internacionales anuncian un programa de préstamos de US$70.000 millones para hacer frente a la crisis, el colapso del banco inversor Lehman Brothers y la compra de Merril Lynch por el Bank of America.

15 septiembre. Lehman se declara en quiebra.

16 de septiembre. EL BCE inyecta 70.000 millones de euros y la Fed US$50.000 millones en el sistema financiero.

La Fed rescata a la aseguradora AIG con un préstamo de US$85.000 millones.

18 de septiembre. La crisis financiera obliga a los bancos centrales de EEUU, Canadá, Japón, Suiza, Inglaterra y el BCE a inyectar US$180.000 millones en los mercados.

22 de septiembre. La Fed aprueba la transformación de los dos últimos grandes bancos de inversión estadounidenses, Goldman Sachs y Morgan Stanley, en bancos comerciales.

23 de septiembre. El inversor Warren Buffett inyecta US$5.000 millones a Goldman Sachs para salir a su rescate.

25 de septiembre. Washington Mutual protagoniza el mayor hundimiento de una entidad financiera en la historia de EEUU. El Gobierno toma el control del banco, que atesora US$307.000 millones en activos, y acuerda una venta de urgencia a JP Morgan.

28 de septiembre. Los líderes del Congreso de EEUU y la Casa Blanca cierran el acuerdo sobre el plan de rescate financiero por valor de US$700.000 millones.

Las autoridades de Bélgica, Holanda y Luxemburgo alcanzan un acuerdo para inyectar en el banco Fortis 11.200 millones de euros.

29 de septiembre. El Grupo Santander adquiere, a través de su filial Abbey, la red de sucursales y los depósitos de la británica Bradford & Bingley, nacionalizada por el Gobierno de Londres.

El Gobierno alemán y un grupo de bancos anuncia que ofrecerán al Hypo Real Estate unas garantías por valor de 35.000 millones de euros.

Citigroup adquiere las operaciones bancarias de Wachovia.

La Bolsa de Nueva York baja un 6,98% y sufre la mayor caída en puntos de su historia, después de que la Cámara de Representantes de EEUU rechazase el plan de rescate financiero.

30 de septiembre. El Senado de EEUU aprueba un plan de rescate financiero de US$700.000 millones. El 3 de octubre fue aprobado por la Cámara de Representantes.

Bélgica, Francia y Luxemburgo inyectarán 6.400 millones de euros en el banco Dexia.

Irlanda anuncia la protección total durante dos años de los depósitos de los seis grandes bancos del país.

3 de octubre. El Reino Unido amplia la garantía de depósitos a 63.836 euros.

5 de Octubre. El Gobierno alemán y la banca privada acuerdan un nuevo paquete de ayuda al banco hipotecario alemán Hypo Real Estate (HRE) por valor de 50.000 millones de euros.

7 de Octubre. Los ministros de Finanzas de la UE (Ecofin) aseguran que no permitirán quebrar a ninguna entidad financiera que pueda arrastrar al resto del sistema, y elevan la garantía de los depósitos, hasta un mínimo de 50.000 euros, para convencer a la ciudadanía de la estabilidad del sistema.

España aumenta a 100.000 euros las garantías de depósitos y anuncia que destinará entre 30.000 y 50.000 millones de euros para aliviar la financiación de la banca.

8 de Octubre. La Bolsa de Tokio baja un 9,38%, su mayor descenso desde 1987.

El Gobierno británico anuncia un plan de rescate de 62.000 millones de euros para estabilizar el sistema financiero del Reino Unido. El dinero servirá para comprar acciones en los principales bancos del país.

La Reserva Federal, el Banco Central Europeo y los Bancos Centrales de Inglaterra, Suiza, Suecia y Canadá acuerdan coordinadamente una bajada simultánea en los tipos de interés para hacer frente a la crisis. A la medida se suman otras bancos emisores, como el de China. Japón se excluye pero apoya la iniciativa coordinada.

15 de Octubre: Wall Street registra su mayor caída porcentual de la hhistorioa al ver insuficientes las medidas de los gobiernos en contra de la crisis

SPAIN: MOROSIDAD RECORD, DEUDA HIPOTECARIA SUBE

La morosidad alcanza su tasa más alta de los últimos diez años
Los créditos dudosos de cobro crecen al 2,44% y triplican la tasa de hace un año. -La deuda hipotecaria de las familias marca un máximo

EUROPA PRESS - Madrid - 17/10/2008


La crisis está disparando el volumen de préstamos de las entidades financieras dudosos de cobro. Según los últimos datos publicados por el Banco de España, la morosidad de los créditos concedidos por bancos, cajas de ahorro y cooperativas de crédito a particulares y empresas ha vuelto a subir en agosto por decimocuarto mes consecutivo y se ha situado en el 2,44%, la tasa más alta desde mayo de 1998, cuando llegó al 2,48%.

* El Banco de España aboga por las fusiones voluntarias

La noticia en otros webs

* webs en español
* en otros idiomas

Este dato supone un incremento de 0,29 puntos o un 13% respecto a la tasa de julio, y es más de tres veces superior a la de agosto de 2007, cuando se situaba en el 0,76%. El incremento de la morosidad en este periodo ha estado influido por el concurso voluntario de acreedores (antigua suspensión de pagos) de Martinsa-Fadesa, que tuvo lugar a finales de julio y que disparó el avance de los créditos dudosos de cobro en un 31% en un sólo mes, casi el doble del avance registrado en agosto.

De cara al futuro a corto y medio plazo, las previsiones de los analistas de AFI apuntan a que la morosidad continuará al alza hasta alcanzar el 6% a finales de 2009. El sector es más optimista, aunque tampoco descarta subidas. Así, desde la patronal de las cajas CECA, su presidente Juan Ramón Quintás calcula que esta tasa llegará al 3,3% este diciembre y podría ascender al 5,5% dentro de un año.

En términos absolutos, el saldo de créditos cuyo pago no está garantizado aumentó en agosto en más de 5.300 millones de euros con respecto a julio hasta llegar a los 43.693 millones. Por su parte, el volumen total de préstamos concedidos hasta agosto alcanzó 1,78 billones de euros.

El alza de la morosidad está estrechamente vinculada a la crisis inmobiliaria, tal y como pone de relieve el caso de Martinsa-Fadesa, el aumento del paro y, también, al alza del Euríbor, que a pesar de moderarse en la última semana aún acumula dos años de subidas, según reconoce el propio gobernador del Banco de España, Miguel Ángel Fernández Ordóñez.

Baja la deuda hipotecaria de las familias

Relacionado con el frenazo en las ventas, que ha condicionado a su vez el aumento de la cartera de créditos dudosos que los bancos y cajas tienen con promotoras e inmobiliarias, las familias han frenado su ritmo de endeudamiento hipotecario al 6,8%, la tasa más baja desde, al menos 1995. A pesar de esta reducción, los hogares mantienen un pasivo récord de 670.712 millones a cierre de agosto.

El incremento en tasa interanual se ha situado en casi medio punto por debajo del experimentado en julio (7,2%) y ha sido casi diez puntos porcentuales inferior al incremento del 16,7% registrado en agosto de 2007. Sin embargo, en términos absolutos, los números rojos de los hogares han registrado los ocho primeros meses un nuevo récord y, después de haber completado más de un año con niveles superiores a los 600.000 millones de euros, se acerca a la barrera de los 700.000 millones. Así, la deuda hipotecaria de los hogares es más del doble que la contabilizada en 2003, cuando se situó en 300.000 millones de euros.

El dato de morosidad, según destaca el Banco de España, no recoge la morosidad de los establecimientos financieros de crédito, ya que son entidades que pueden conceder créditos pero no captar depósitos y tienen una morosidad muy elevada.

SPAIN: El sector industrial desciende a niveles de 2005

El volumen de negocio cae un 4,3% por cuarto mes lastrado por los bienes de consumo

ELPAÍS.com - Madrid - 17/10/2008

La industria española no logra recuperarse, aunque tampoco está acelerando su frenazo. Tras el desplome de su facturación en junio, cuando registró su mayor descenso desde la recesión de 1993 , el sector ha cerrado agosto con una caída del 4,3%. Una cifra que, aunque es una décima inferior al dato de julio, representa su cuarto mes consecutivo a la baja y ha llevado al índice industrial que elabora el INE a su nivel más bajo de los últimos cinco años. Además, de cara al futuro, la bajada del 6,6% en la entradas de pedidos deja poco margen al optimismo.

La noticia en otros webs

* webs en español
* en otros idiomas

Por destino económico de los bienes y como vienen siendo habitual en los últimos meses, las cifras de negocio sólo aumentan en la energía, un imponente 28,5%, y caen en el resto. Los intermedios ceden un 11,2%, mientras los bienes más ligados a la voluntad inversora de las empresas, los de equipo, aumenta con fuerza su caída del 2,2% al 10,9%.

En el mismo sentido, destaca la evolución de los bienes de consumo duradero, los primeros que las familias recortan en momentos de crisis, que aumenta su desplome del 16% registrado en julio al 22,6% de agosto. El descenso fue del 4% para los no duraderos.

En cuanto a las entradas, el descenso del 6,6% en los pedidos está ligado principalmente a la disminución del 20,2% en el caso de los bienes de equipo; del 10,5% de los intermedios, y del 7,3% de los de consumo (un 21,9% menos para los duraderos y una disminución del 5,7% para los duraderos).

BOURSES 17 OCTOBRE

INMOBILIER; HAUSSE DES TAUX INTERET

Prêts immobiliers : hausse généralisée des taux d'intérêt en octobre
[ 17/10/08 - 12H23 ]
Augmenter la taille du texte

Diminuer la taille du texte
Retour à la page précedente
Imprimer l'article
Ajouter à mes dossiers
Envoyer à un ami
R?agir ? cet article
Tous nos fils RSS
Conséquence de la crise financière et des problèmes de refinancement des banques : les taux d'intérêts des prêts immobiliers ont fortement augmenté en octobre, de +0,05% à +0,35%, selon les régions et les durées de prêts. Retrouvez tous les taux par région.
Cliquez ici

La ministre de l'économie, Christine Lagarde, avait déjà prévenu en septembre qu'il faudrait s'attendre à "un renchérissement du crédit dans les semaines qui viennent". Septembre a été plutôt calme sur le front des prêts aux particuliers, avec même, du fait de la forte concurrence entre établissements bancaires, une baisse généralisée des taux. Avec l'aggravation de la crise financière et les problèmes de refinancement que rencontrent les banques, le retour de bâton ne s'est pas fait attendre. "Nous constatons une hausse notable et généralisée des taux des prêts immobiliers en octobre, quelles que soient les régions observées ou la durée des emprunts. Cet alourdissement du coût du crédit varie de +0,05% à +0,35%, avec les plus fortes hausses dans l'Est à +0,30% en moyenne", explique Geoffroy Bragadir, fondateur d'empruntis.com, courtier de crédits en ligne.

Un taux moyen de 5,40% pour un prêt à 20 ans

En moyenne, le taux d'un prêt à 15 ans est revenu à 5,30% au 16 octobre (soit une hausse de +0,20% par rapport à mi-septembre) et celui d'un prêt à 20 ans s'affiche désormais à 5,40% (contre 5,20% un mois plus tôt). "Pour un prêt de 200.000 euros sur 20 ans au taux de 5,40% en octobre, le surcoût par rapport à septembre (taux de 5,20%) est de 22 euros par mensualité, soit 5.375 euros au total sur toute la durée du prêt", calcule Geoffroy Bragadir.

ACIER: PRODUCTION CHUTE 15%

ArcelorMittal baisse sa production mondiale
[ 17/10/08 - 16H21 - actualisé à 17:06:00 ]

Le numéro un mondial de la sidérurgie pourrait réduire sa production de 15%. Cette mesure touchera les zones où la demande a le plus diminué.

AFP

ArcelorMittal est en train de réduire sa production mondiale d'acier, une baisse qui pourrait atteindre 15% alors que la demande faiblit, a annoncé vendredi le numéro un mondial de la sidérurgie. "Face à une réduction de la demande, et de façon temporaire, nous sommes en train de mettre en place des réductions de la production, qui pourraient aller jusqu'à 15%", a déclaré un porte-parole.

"Cette réduction ne sera pas uniforme sur tous nos marchés", mais touchera davantage "les zones où la demande a le plus diminué", a-t-il indiqué à l'AFP, sans plus de précision. L'action ArcelorMittal a perdu jusqu'à 4% dans les minutes suivant cette annonce, avant de se redresser: vers 16H45 (14H45 GMT), elle gagnait 5,75% à 21,25 euros, dans un marché parisien en hausse de 3,54%.

Une telle réduction de production est susceptible de soutenir les prix, alors que la demande d'acier est freinée par le ralentissement économique mondial. Mardi, le groupe avait déjà annoncé qu'il réduirait sa production d'acier en Pologne de 10 à 15% par rapport au niveau de 2007. "La fin de l'année est une période traditionnellement plus faible pour les producteurs d'acier", avait alors souligné Andrzej Krzysztalowski, porte-parole d'ArcelorMittal, cité par l'agence PAP. "Cette année s'y ajoute un ralentissement que l'on peut observer dans plusieurs domaines, entre autre une régression dans la branche automobile qui est un consommateur important de tôles", avait-il ajouté, en misant sur un rebond au printemps 2009.

ArcelorMittal avait indiqué en septembre compter sur une croissance du marché mondial de l'acier "de 3 à 5% dans les prochaines années", portée notamment par la Chine et les pays émergents, alors que les pays développés ne représentent aujourd'hui plus qu'un tiers du marché mondial de l'acier. Grâce à cette demande soutenue, le prix de l'acier devrait rester "au-dessus de 1.000 dollars la tonne dans les années à venir", avait-il souligné à l'occasion de l'annonce d'un plan d'économies de 2,8 milliards d'euros (4 milliards de dollars), assorti de réductions d'effectifs.

Le groupe, malmené en Bourse début octobre, avait alors tenté de rassurer les investisseurs en confirmant son objectif d'une progression de son résultat brut d'exploitation (Ebitda) au troisième trimestre et sur l'ensemble du second semestre, en dépit de la crise économique. Le sidérurgiste publiera ses résultats du troisième trimestre le 5 novembre. (source AFP)

USA; LOGEMENT EN CHUTE LIBRE, LE

Immobilier américain : les mises en chantier au plus bas depuis janvier 1991
[ 17/10/08 - 14H41 - actualisé à 14:53:00 ]

Les mises en chantier de logements aux Etats-Unis ont baissé de 6,3% en septembre sur un mois ; le nombre de permis de construire a diminué de 8,3% pour tomber à son plus bas niveau depuis novembre 1981. La dégradation est plus importante que prévu.

Le marché de la construction de logements poursuit sa descente aux enfers aux Etats-Unis, où les mises en chantier ont de nouveau baissé en septembre, pour atteindre leur plus bas niveau depuis janvier 1991, selon les chiffres officiels publiés ce vendredi.

Les mises en chantier de logements ont baissé en septembre de 6,3% par rapport à août, pour s'établir à 817.000 (en rythme annuel), selon les chiffres corrigés des variations saisonnières publiés par le ministère du Commerce américain.

Ce recul, d'autant plus important que les chiffre du mois précédent ont été révisés à la baisse (à 872.000 unités, au lieu de 895.000), enfonce les prévisions des analystes, qui tablaient en moyenne sur un recul de l'indice à 870.000 unités.

Les permis de construire ont baissé en septembre de 8,3% à 786.000 unités (en rythme annuel), soit leur plus bas niveau depuis novembre 1981, ajoute le ministère. C'est là encore bien pire que ce prévoyaient les analystes, qui tablaient dans leur ensemble sur un recul de l'indice à 840.000 permis accordés.

Le chiffre du mois précédent a été revu en légère hausse, à 857.000 permis (au lieu de 854.000).

Par rapport à septembre 2007, les mises en chantier de logements ont baissé de 31,1%, et les permis de construire de 38,4%, selon le ministère.

Ces chiffres vont dans les sens des prévisions du Fonds monétaire international (FMI) ou de plusieurs responsables de la Réserve fédérale américaine (Fed), qui ont estimé récemment que le marché de l'immobilier n'avait pas encore touché le fond.

La baisse des deux indicateurs ralentit cependant son rythme : le repli de 6,3% des mises en chantier de logements en septembre suit un recul de 8,5% en août et de 12,9% en juillet. Celle de 8,3% des permis de construire avait été précédé d'un recul de 8,1% en août et de 17,9% en juillet. La baisse des mises en chantier en septembre a été tirée par une chute des nouvelles constructions de maisons individuelles de 12% par rapport au mois d'août. (Source AFP)

FRANCE: perte de 600 millions Euros CAISSES

Info & Secteurs > Finance > Actualité Retrouvez l'ensemble des articles de cette rubrique sur votre page personnalisée
BANQUE -

Caisses d'Epargne : trois traders à l'origine de la perte de 600 millions
[ 17/10/08 - 19H01 - actualisé à 19:18:00 ]


Les traders ont joué le rebond de la Bourse et ne sont pas parvenus à se refaire, le lundi 6 octobre. Ils ont été mis à pied en attendant des mesures disciplinaires précises.

AFP/Thomas Lohnes

La perte de 600 millions d'euros subie par la Caisse d'Epargne est le fait de trois traders qui ont parié sur un "rebond de la Bourse" juste avant qu'elle ne chute brutalement le 6 octobre et qui ne sont pas arrivés à se "refaire", a raconté vendredi à l'AFP un proche du groupe bancaire. "Ils ont joué le rebond de la Bourse et la baisse de la volatilité" des marchés, mais les Bourses ont chuté lundi 6 octobre et ils "se sont pris le maximum de la punition", a-t-il résumé.

"Ils ont essayé de déboucler (de se défaire de) leur position" mais n'y sont pas parvenus car "personne en face" n'était prêt à leur racheter leurs actions. Ils n'y sont finalement arrivés que le 8 octobre, laissant à l'Ecureuil une ardoise de 600 millions d'euros. La Bourse de Paris a enregistré entre le lundi 6 et le vendredi 10 octobre la pire baisse hebdomadaire de son histoire.

L'équipe de la Caisse d'Epargne était "probablement inadaptée à un contexte de crise", a jugé ce proche. "C'est une erreur humaine collective de gens qui étaient débordés par les marchés et pas une entreprise de spéculation", a-t-il estimé, précisant qu'"aucune plainte n'avait été déposée" à leur encontre par la direction.

La banque a pris des sanctions à l'égard des trois traders et du responsable de la banque de marché, qui sont "mis à pied en attendant des mesures disciplinaires précises", a-t-il poursuivi. L'Ecureuil a également mis en place une "cellule exceptionnelle" de gestion des risques après cette affaire, a indiqué ce proche. Le directeur général de la banque, Nicolas Mérindol, s'est exprimé à la télévision interne de la banque pour expliquer aux salariés ce qui s'était passé, toujours selon la même source.

La ministre de l'Economie Chrisitne Lagarde s'est dite vendredi "frustrée et découragée" par l'événement, et a demandé à l'autorité de tutelle des banques de se pencher sur cet "incident boursier", selon le terme du groupe bancaire. (source AFP)

PERU: EMISION BONOS CUANDO SUBE EMBI A 495 PPBS

FMI afirma que sería un éxito la posible emisión de bonos de Perú

11:53 | El monto de la emisión que evalúa Perú oscilaría entre 400 y 600 millones de dólares a un plazo de 30 años

(Andina).- La posible emisión de bonos que realizará el Perú en el mercado internacional sería un éxito, dada la situación del país que, evidentemente, es la mejor de la región, consideró hoy el director ejecutivo de los países del Cono Sur del Fondo Monetario Internacional, Javier Silva Ruete.

Destacó que se colocarán estos papeles debido a la solidez de las variables macroeconómicas del Perú, destacando nítidamente el superávit presupuestal, el superávit comercial, entre otras.

"El resultado del análisis de la situación económica del país es excelente. Todos los indicadores así lo muestran."
El monto de la emisión que evalúa Perú oscilaría entre 400 y 600 millones de dólares a un plazo de 30 años, según ha adelantado el ministro de Economía y Finanzas, Luis Valdivieso.

Silva Ruete comentó que a propósito de la última reunión de gobernadores del FMI, existieron pronunciamientos de representantes del Japón sobre la oferta de una cifra billonaria para la colocación de recursos en países emergentes, siempre y cuando estos mercados estén bien calificados en este momento, que es el caso del Perú.

"El Perú en este momento no necesita esa plata, pero si se agrava la crisis es bueno que se tomen las debidas precauciones para que, si es necesario, se tengan recursos a fin de ofrecer liquidez para préstamos bancarios o para reforzar el sistema bancario."

Según la consultora Málaga-Webb & Asociados, la emisión significaría una señal para los mercados globales en la etapa poscrisis subprime.

"Está demostrado que los recursos no estarían en condición de 'urgente' para el manejo fiscal, tendrían, en suma, la etiqueta de 'benchmark' y marcaría una diferencia respecto a la posición de otros países emergentes."

La consultora indicó que esta robusta posición peruana dentro de los países considerados emergentes resulta fundamental para enfrentar la crisis financiera internacional, dado que se expande desde Estados Unidos al resto del mundo mediante restricciones en las fuentes de financiamiento y produce un impacto real con la reducción de la demanda por las exportaciones peruanas.

En ese contexto es que el anuncio de la posible emisión representa una respuesta oportuna si es que aumenta el riesgo de que los efectos de la crisis golpeen con mayor rudeza la economía local.

PERU: BLINDADO SEGUN VICEMINISTRO

'Un agravamiento de la crisis mundial no generaría recesión en el Perú'

0:05 | Viceministro del MEF aseguró que lo peor que podría pasar es que el país no crezca según lo planeado

El viceministro de Economía, Eduardo Morón, aseguró que el Perú se encuentra preparado ante un posible agravamiento de la crisis financiera internacional y que dicha situación no generará una recesión en la economía. Lo peor que podría pasar -afirmó- es que el país crecerá en un nivel menor del proyectado.

"En la medida que la crisis sea más larga, como mucha gente predice, probablemente ese 7% de crecimiento (previsto para el 2009) pase a ser seis o cinco en el 2010, pero no estamos hablando de -15, -10 o -3%", señaló.

Por tal motivo, Morón pidió a los analistas y agentes económicos peruanos quitar dramatismo a sus proyecciones para el futuro de la economía del país durante la crisis internacional.

"Estamos largamente mejor que durante las crisis pasadas", dijo.

Sin embargo, agregó que "sería ciego no reconocer que nos afectará, pero el tema pasa porque el impacto sea leve. Si caer de 9 a 7% es recesión para algunos, eso no es así para nosotros".

El viceministro Morón, el Banco Central de Reserva (BCR) y la Superintendencia de Banca, Seguros y AFP (SBS) han formado una especie de comisión de seguimiento de la crisis para monitorear su desarrollo y su impacto en el Perú.

Wall Street BAJA

Wall Street sigue en baja ante la caída de la construcción de viviendas en EE.UU.

10:55 | Este sector se ha reducido más de 6% en el mes pasado y de seguir así podría agravar la crisis financiera de Estados Unidos y del mundo

Nueva York (AP).- Wall Street caía nuevamente al iniciar la sesión de hoy viernes después que el Gobierno anunció que el sector de construcción de viviendas tuvo su peor descenso desde 1991. El índice industrial Dow Jones perdió 200 puntos.

La construcción de viviendas perdió más del 6% en septiembre a un ritmo anual de 817.000 unidades, informó el Departamento de Comercio. Esa cifra es menor que las 880.000 unidades pronosticadas por los economistas de Wall Street entrevistados por Thomson/IFR. La solicitud de permisos de construcción también bajó.

El informe constituye otra prueba de que Estados Unidos se enfrenta a una débil economía, que de no resolverse la crisis financiera, podría llevar a caída sostenida. El presidente George W. Bush dijo hoy en un discurso que el mercado crediticio, donde la mayoría de empresas obtienen fondos para sus operaciones, tomará algún tiempo para mejorar, pero que los estadounidenses deben sentirse confiados en que lo hará.

Ha sido una semana errática en Wall Street. El Dow se disparó el lunes con 936 puntos, y declinó ligeramente el martes, pero el miércoles perdió 733 puntos, seguida de un ascenso de 401 puntos el jueves. La volatilidad del mercado no constituye un gran alivio para los inversionistas, pero sigue siendo un cambio de la tendencia inclemente de la semana previa, durante la cual el Dow se derrumbó y registró una pérdida de 2.400 billones de dólares en la peor semana que haya tenido Wall Street.

En la primera hora de transacciones, el índice industrial Dow Jones caía 213,62 puntos, equivalentes al 2,38%, a 8.765,64 puntos.

Los índices generales también perdían. El índice Standard & Poor's 500 bajaba 24,47, un 2,59%, a 921,96 puntos, y el índice compuesto Nasdaq descendía 36,41, un 2,12%, a 1.681,30.

Los bonos del Tesoro a tres meses registró un rendimiento del 0,52%, en ligera alza con respecto al 0,47% del jueves.

Las bolsas de Asia

Las bolsas de Asia registran ganancias pese a crisis financiera

7:38 | El parqué japonés cerró en 2,8%, luego de perder el jueves un 11,4%. La jornada estuvo marcada por la inestabilidad bursátil

Hong Kong (Reuters).- Las bolsas más importantes de Asia subieron el viernes, recuperándose de las profundas pérdidas en la sesión previa, luego de que alentadores resultados de firmas tecnológicas como IBM alejaron algunos temores sobre una recesión global.

Las acciones en Asia registraron su primera semana de ganancias en las últimas siete, con avances en el último día de operaciones apuntalados por una recuperación el jueves en Wall Street, con un alza de más de 4% en el promedio industrial Dow Jones.

Las ganancias en la bolsa ayudaron a impulsar al barril de crudo estadounidense , que subía 3 dólares, aunque otras materias primas, sin embargo, no lograban contener su descenso.

Pero los nervios persistían tras una semana volátil en la que los mercados bursátiles globales se recuperaron y cayeron en días sucesivos en medio de señales de una potentialmente profunda desaceleración económica global.

El dólar retrocedía frente al euro, pero la divisa estadounidense se mantenía firme contra el yen.

"Aún hay nerviosismo en el mercado por la economía real, pero en términos de valuaciones el precio es bueno en este momento", dijo Nagayuki Yamagishi, estratega de Mitsubishi UFJ Securities en Japón.

"Los problemas económicos son el principal tema en el mercado hoy y todos saben esto, por lo que las subidas serán limitadas", agregó.

El índice MSCI de acciones asiáticas no japonesas subía un 0,6% a las 0630 GMT, tras perder un 8,2% en la sesión previa. El referencial ha ganado un 0,4% en lo que va de la semana y se encamina a su primera semana de ganancias desde fines de agosto.

Las ganancias en las bolsas siguieron a alentadoras señales en lo concerniente a resultados corporativos.

International Business Machines Corp (IBM), la mayor compañía de servicios tecnológicos, dijo el jueves que espera alcanzar sus estimaciones de largo plazo, debido en parte a un continuo crecimiento en los mercados emergentes.

En tanto, compañías estadounidenses como Google Inc y Advanced Micro Devices Inc reportaron resultados que superaron las expectativas.

Por el lado de los mercados de crédito, las recientes medidas tomadas por los bancos centrales para inyectar liquidez en el sistema financiero parecen estar dando sus frutos.

Sin embargo, los datos mostraron el jueves que la producción industrial de Estados Unidos registró en septiembre su peor caída desde 1974, mientras que un índice manufacturero regional cayó y los mercados laborales mostraron debilidad.

"El foco del mercado está girando gradualmente hacia la debilidad de la economía real", dijo Minoru Shioiri, jefe de cambios de Mitsubishi UFJ Securities.

El promedio Nikkei japonés subió un 2,8%, recuperándose tras haber perdido un 11,4% el jueves, en su peor pérdida diaria desde el crac de 1987.

Hong Kong cerró a la baja del 4,4% y también retrocedieron Seúl (-2,7%), Taipei (-2,28%), Sídney (-1,1%) y Manila (-1,1%). Sin embargo, Shanghai cerró al alza de 1,08% y Wellington ganó 1,59%.

AL:RIESGO PAIS SUBE

Enviar
El riesgo país de Perú subió a 4,95 puntos porcentuales

10:48 | El indicador se incrementó 12 puntos básicos siguiendo la tendencia observada en la región

(Andina).- Siguiendo la tendencia regional, el riesgo país de Perú subió 12 puntos básicos pasando de 4,83 a 4,95 puntos porcentuales, según el EMBI+ Perú calculado por el banco de inversión JP Morgan.

Cabe señalar que el 12 de junio del 2007 Perú registró un nivel mínimo histórico de riesgo país al cerrar en 95 puntos básicos.

El EMBI+ Perú se mide en función de la diferencia del rendimiento promedio de los títulos soberanos peruanos frente al rendimiento del bono del Tesoro estadounidense.

Así se estima el riesgo político y la posibilidad de que un país pueda incumplir con sus obligaciones de pago a los acreedores internacionales.

Es decir, el riesgo país es el índice denominado Emerging Markets Bond Index Plus (EMBI+) que mide el grado de "peligro" que entraña un país para las inversiones extranjeras.

Las principales consecuencias de un alto nivel del riesgo país son una merma de las inversiones extranjeras y un crecimiento económico menor y todo esto puede significar desocupación y bajos salarios para la población.

Para los inversores este índice es una orientación pues implica que el precio por arriesgarse a hacer negocios en determinado país es más o menos alto.

Cuanto mayor es el riesgo menos proyectos de inversión son capaces de obtener una rentabilidad acorde con los fondos colocados y cuanto menor sea este índice el país se hace más atractivo para los inversionistas.

Wall Street sigue en baja

Wall Street sigue en baja ante la caída de la construcción de viviendas en EE.UU.

10:55 | Este sector se ha reducido más de 6% en el mes pasado y de seguir así podría agravar la crisis financiera de Estados Unidos y del mundo

Nueva York (AP).- Wall Street caía nuevamente al iniciar la sesión de hoy viernes después que el Gobierno anunció que el sector de construcción de viviendas tuvo su peor descenso desde 1991. El índice industrial Dow Jones perdió 200 puntos.

La construcción de viviendas perdió más del 6% en septiembre a un ritmo anual de 817.000 unidades, informó el Departamento de Comercio. Esa cifra es menor que las 880.000 unidades pronosticadas por los economistas de Wall Street entrevistados por Thomson/IFR. La solicitud de permisos de construcción también bajó.

El informe constituye otra prueba de que Estados Unidos se enfrenta a una débil economía, que de no resolverse la crisis financiera, podría llevar a caída sostenida. El presidente George W. Bush dijo hoy en un discurso que el mercado crediticio, donde la mayoría de empresas obtienen fondos para sus operaciones, tomará algún tiempo para mejorar, pero que los estadounidenses deben sentirse confiados en que lo hará.

Ha sido una semana errática en Wall Street. El Dow se disparó el lunes con 936 puntos, y declinó ligeramente el martes, pero el miércoles perdió 733 puntos, seguida de un ascenso de 401 puntos el jueves. La volatilidad del mercado no constituye un gran alivio para los inversionistas, pero sigue siendo un cambio de la tendencia inclemente de la semana previa, durante la cual el Dow se derrumbó y registró una pérdida de 2.400 billones de dólares en la peor semana que haya tenido Wall Street.

En la primera hora de transacciones, el índice industrial Dow Jones caía 213,62 puntos, equivalentes al 2,38%, a 8.765,64 puntos.

Los índices generales también perdían. El índice Standard & Poor's 500 bajaba 24,47, un 2,59%, a 921,96 puntos, y el índice compuesto Nasdaq descendía 36,41, un 2,12%, a 1.681,30.

Los bonos del Tesoro a tres meses registró un rendimiento del 0,52%, en ligera alza con respecto al 0,47% del jueves.

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

Etiquetas

Peru:crisis impacto regional arequipa,raul mauro

Temas CRISIS FINANCIERA GLOBAL

QUIEN SOY?
claves para pensar la crisis

MATERIAS PRIMAS
-Metales
-Cobre
- plata
- oro
- zinc
- plomo
- niquel
- petroleo

-Tipo de cambio

- LA CRISIS

- BOLSA VALORES
- BANCOS
- PBI PAISES
- USA: DEFICIT GEMELOS
- UE: RIEN NE VA PLUS

CONTAGIO: CANALES

- PERU: DIAGRAMA DE CONTAGIO
- PERU: IMPACTO EN BOLSA
- MEXICO: HAY CRISIS?

LA PRENSA
COMENTARIO DE HOY

- DIARIOS DE HOY
NLACES

Coyuntura
Bancos centrales
Paginas Recomendadas

BLOGS

economiques
Interes

VIDEO

- Economia videos
- Crisis financiera global

TRICONTINENTAL

- AFRICA: daniel
- EUROPA: helene
- ASIA:
- AMERICA

COLUMNAS AMIGAS

Chachi Sanseviero

ETIQUETAS
por frecuencia de temas
por alfabetico

EVENTOS

FOTOS DEL PERU

GONZALO EN LA RED

JOBS
VOZ ME CONVERTIDOR
CLIMA
SUDOKU
PICADURAS

LOGO

LIBRO de GONZALO

La exclusion en el Peru

-Presentacion

- introduccion

- contexo economico

- crisis de la politica

- excluidos de las urbes

- excluidos andinos

- contratapa

VIDEOS ECONOMICOS
Crisis Enero 2009
Krugman
Globalizacion 1
Globalizacion 2
Crisis Brasil
Crisis bancaire
Karl marx revient

TODOS LOS DERECHOS RESERVADOS

GOOGLE INFORMA


PRESS CLIPPINGS-RECORTES PRENSA-PRESSE..

ETIQUETAS alfabetico