SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

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30 jul 2008

FED: EMERGENCY LENDING

Fed Extends Emergency Lending Amid Continued Credit-Market Stress
By Sudeep Reddy
Word Count: 535

Facing continued troubles in credit markets, the Federal Reserve said Wednesday it is extending its emergency lending to investment banks through January and expanding several other direct-loan programs created over the past year.

The moves are a recognition of the fragile conditions in financial markets that are threatening to worsen the credit crisis and restrain the overall economy despite a series of deep interest-rate cuts and other aggressive moves since last September.

The central bank said in a statement that the steps are designed "to enhance the effectiveness of its existing liquidity facilities."

UE:CONFIANCE AU PLUS BAS

Zone euro : la confiance économique au plus bas depuis plus de cinq ans
[ 30/07/08 - 11H34 ]

L'indice de confiance économique, résumant l'opinion des chefs d'entreprises et des consommateurs, a perdu 5,3 points en juillet, le plus fort recul mensuel depuis octobre 2001. A 89,5 points, il atteint de surcroît son plus bas niveau depuis mars 2003.

AFP

Le plus fort recul jamais enregistré depuis octobre 2001, juste après les attentats du World Trade Center. Selon les données publiées par la Commission européenne, l'indice de confiance économique, qui résume l'opinion des chefs d'entreprises et des consommateurs, a chuté de 5,3 points en juillet par rapport au mois de juin. A 89,5 points, il atteint de surcroît son plus bas niveau depuis mars 2003, soit un peu plus de cinq ans. Les économistes ont été désagréablement surpris. Dans l'environnement économique actuel, ils attendaient un repli de l'indice, mais bien plus limité, de l'ordre de 93 points.

La confiance a baissé en juillet dans tous les secteurs économiques, mais le déclin est "particulièrement prononcé dans les services", détaille l'exécutif européen. Des "reculs significatifs" ont été observés en Italie (-9,6 points sur un mois) et en Grande-Bretagne (-7,2 points) ainsi que, dans une proportion un peu moindre, en France (-4,7 points), en Allemagne (-4,2%) ou aux Pays-Bas (-3,9 points).

Publié parallèlement par la Commission européenne, l'indice du climat des affaires, qui mesure, lui, la confiance des seuls industriels, confirme cette tendance négative. Il a également nettement reculé, à -0,21 point contre 0,13 point en juin.

Ces indices confirment le ralentissement de l'activité économique dans la zone euro. La flambée des prix du pétrole et des matières premières tire vers le haut l'inflation en Europe, sapant le pouvoir d'achat des ménages et poussant les entreprises à réduire leurs coûts. Sans compter l'impact des difficultés de l'économie américaine et la propagation de la crise des "subprimes". Dans ce contexte, Astrid Schilo, interrogée par Bloomberg Television, s'attend à une croissance nulle au deuxième trimestre.

FMI: CRISE INMOBILIERE,LF

crise : le FMI ne voit pas le bout du tunnel
J.-P. R.
29/07/2008 | Mise à jour : 11:08 | Commentaires 1
.
Selon le Fonds monétaire international, la crise immobilière américaine n'a sans doute pas atteint le creux de la vague.

Alors que Barack Obama a décidé de recentrer sa campagne électorale sur les difficultés de l'économie, le Fonds monétaire international note que «les défauts de paiement et les saisies se multipliant à vive allure sur le marché immobilier des États-Unis, la perspective d'une détérioration généralisée des prêts suscite une préoccupation croissante».

Ce diagnostic figure dans une note qui actualise le «Rapport sur la stabilité financière dans le monde» présenté par le FMI en avril. «Les pertes induites par la crise des prêts hypothécaires à risque devraient rester élevées, mais pour l'essentiel elles sont aujourd'hui reconnues.» Responsable du département des marchés financiers du Fonds, Jaime Caruana se félicite que «les capitaux levés par les banques couvrent à ce jour les trois quarts des dépréciations d'actifs».

Au niveau mondial, les banques ont pu au cours des douze derniers mois lever quelque 345 milliards de dollars de capitaux alors qu'elles ont dû effacer 469 milliards d'actifs sur la même période. Pour sa part le FMI ne voit aujourd'hui «guère de raisons de modifier les estimations de pertes totales» potentielles qu'il avait évaluées à 945 milliards de dollars en avril dernier, un chiffre jugé à l'époque exagérément pessimiste par les commentateurs.

Tout en déclarant que «le creux de la vague n'est pas encore visible», le FMI juge «nécessaire d'endiguer la chute de l'immobilier aux États-Unis pour stabiliser le marché, car cela aidera les ménages comme les institutions à reprendre leur souffle». La crainte, toujours d'actualité, est que les difficultés du secteur bancaire et l'affaiblissement de l'économie réelle entrent en résonance. À cet égard, le FMI salue le plan de sauvetage de Fannie Mae et Freddie Mac, les organismes de refinancement hypothécaire, et émet une note d'espoir «dans l'évolution récente de la solvabilité (des acquéreurs potentiels qui) pourrait favoriser la stabilisation des prix immobiliers».

Portant quasi exclusivement sur la situation américaine et ses répercussions sur les marchés bancaires et financiers de la planète, la note du FMI s'interroge sur les pays émergents, qui «ont relativement bien résisté aux turbulences des marchés du crédit», mais qui doivent pour nombre d'entre eux affronter «des pressions inflationnistes».

COBRE CAE, EL MERCURIO

Cobre vuelve a caer en la Bolsa de Londres
Miércoles, 30 de Julio de 2008
ValorFuturo

Metal rojo bajó a US$3,65369 la libra. Producto de lo anterior, el promedio del mes retrocedió a US$3,81971 y el anual a US$3,69906.

LONDRES.- Con una caída de 0,51% cerró este miércoles el cobre en la Bolsa de Metales de Londres (LME), al transarse en US$3,65369 la libra contado `grado A`, que se compara con los US$3,67492 del martes y con los US$3,71492 del lunes.

Producto de lo anterior, el promedio del mes retrocedió a US$3,81971 y el anual a US$3,69906.

Por su parte, la cotización futuro-3 meses finalizó en US$3,56433 la libra, con una variación de -0,70% respecto del martes (US$3,58928).

En la LME, los stocks aumentaron en 1.225 toneladas métricas, a 137.950. En lo que va del año acumulan una caída de 59.500 TM (-30,13%).

Cierres anteriores
Fecha / US$,libra
29/07/2008 / 3,6722
28/07/2008 / 3,7149
25/07/2008 / 3,7013
24/07/2008 / 3,7464
23/07/2008 / 3,7693
22/07/2008 / 3,8287
21/07/2008 / 3,8056
18/07/2008 / 3,7757
17/07/2008 / 3,7652
15/07/2008 / 3,8444
14/07/2008 / 3,8464
11/07/2008 / 3,8550
10/07/2008 / 3,8206
09/07/2008 / 3,7897
08/07/2008 / 3,8736
07/07/2008 / 3,8850
04/07/2008 / 3,92856
03/07/2008 / 4,0755
02/07/2008 / 3,9691
01/07/2008 / 3,9512
30/06/2008 / 3,9805
27/06/2008 / 3,9371
26/06/2008 / 3,8786
25/06/2008 / 3,8745
24/06/2008 / 3,8516
23/06/2008 / 3,8739
20/06/2008 / 3,8963
19/06/2008 / 3,8036
18/06/2008 / 3,7630
17/06/2008 / 3,6400
16/06/2008 / 3,7444
13/06/2008 / 3,6400
12/06/2008 / 3,6083
11/06/2008 / 3,6237
10/06/2008 / 3,6514
09/06/2008 / 3,6707
06/06/2008 / 3,6768
05/06/2008 / 3,5929
04/06/2008 / 3,6314
03/06/2008 / 3,6559
02/06/2008 / 3,6196

USA: DOLAR SUBE

Dólar sube a máximo de un mes por precio del crudo

12:08 | El petróleo cayó más de 4 dólares el barril, a menos de 121 dólares, tocando el precio más bajo desde mayo

Nueva York (Reuters).- El dólar subía el martes a un máximo de un mes, ya que una fuerte caída en los precios del petróleo y un inesperado aumento en la confianza del consumidor alimentaban la demanda de activos de riesgo, impulsando a las acciones estadounidenses.

Analistas dijeron que el anuncio el lunes por la noche de Merrill Lynch que asumiría una amortización de 5.700 millones de dólares para el tercer trimestre y recaudaría 8.500 millones de dólares con una venta de acciones, a medida que sigue el impacto de la crisis del crédito, también estaba ayudando a respaldar al dólar.

Esto, por la idea de que el anuncio podría estar indicando que ya está pasando lo peor del racionamiento del crédito.

"Es una combinación de petróleo, acciones y la leve mejora en la confianza del consumidor. Las (ligeras) condiciones de liquidez del verano podría ser un factor también", dijo Vassili Serebriakov, de Wells Fargo en Nueva York.

El índice dólar, que mide el desempeño de la divisa estadounidense contra una cesta de seis monedas principales, subió a 73,333, su mayor nivel desde el 25 de junio, de acuerdo con datos de Reuters. Se cotizaba a alrededor de 73,318, un alza de 0,9 por ciento en el día.

El petróleo caía más de 4 dólares el barril, a menos de 121 dólares, tocando el precio más bajo desde mayo, ya que las señales de debilitamiento de la demanda superaban a una interrupción de la producción nigeriana.

Existen preocupaciones de que los altos precios del petróleo infligirán más dolor a la economía estadounidense, que ya está afectada por una recesión en el sector inmobiliario. Un declive en las tendencias de los precios del petróleo beneficiará al dólar, ya que alivia parte de las preocupaciones sobre el crecimiento.

Hubo más noticias buenas para la economía, con un reporte independiente mostrando que la confianza del consumidor subió inesperadamente en julio, para detener un descenso de seis meses.

El declive de los precios del petróleo y la noticia de que la confianza del consumidor francés se desplomó a un mínimo récord por séptimo mes consecutivo en julio mantuvieron alejados a los inversores del euro.

El euro descendió hasta un mínimo de 1,5577. Se cotizaba a 1,5579 dólares, una caída de 1,1 por ciento en el día.

El dólar subía un 0,7 por ciento a 108,19 yenes, ya que las acciones subían gracias al descenso de los precios del petróleo.

La libra esterlina caía 0,7 por ciento a 1,9795 dólares, presionada por un informe que mostró que las ventas minoristas británicas descendieron a un ritmo anual récord en julio.

PETROLEO: CAIDA DEL CRUDO ESPECULATIVA

La fuerte caída del crudo demuestra especulación con precios'

12:20 | Así lo consideró el Gobierno de Venezuela tras analizar lo ocurrido con el precio del barril de petróleo en los últimos días

Caracas (EFE).- El Gobierno venezolano señaló hoy que la fuerte caída del precio del barril de petróleo en los últimos días demuestra que el tope que alcanzó se debió a los especuladores y no a una producción insuficiente.

"El precio del petróleo ha caído unos 20 dólares en los últimos días y, eso prueba de manera fehaciente, que no había un problema de producción sino de especulación en el mercado", dijo a la prensa el ministro de Energía y Petróleo, Rafael Ramírez.

Explicó que "si en un tiempo tan corto el precio va 20 dólares hacia arriba o hacia abajo es obvio que eso no tiene nada que ver con problemas de producción".

Ramírez señaló que ese asunto se analizará en el seno de la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP) y reiteró que la posición venezolana sigue siendo la de no colocar más barriles en el mercado.

"Sería un error inundar el mercado para que suban los inventarios y colapse el precio como pasó en los años noventa", sostuvo Ramírez.

USA: CAFE AMARGO

Starbucks cierra locales ante baja de ganancias

20:51 | Se planea cerrar 600 locales en Estados Unidos. Hasta ahora se recortaron cerca de 1.000 puestos laborales y otros 12.000 empleados

EE.UU. (DPA) - Starbucks, la mayor cadena de cafeterías del mundo, proseguirá con su política de ahorros y reestructurará su cúpula, según informó hoy la empresa en una carta dirigida a su personal.

A raíz del descenso de las ganancias se planea cerrar 600 locales en Estados Unidos. Hasta ahora se recortaron cerca de 1.000 puestos laborales y otros 12.000 empleados -un siete por ciento del personal- pueden llegar a perder el trabajo, aunque en algunos casos se podría trasladarlos de locales que cierran a otros que seguirán en funcionamiento.

En Australia se cerrarán 61 de los 84 locales de Starbucks, anticipó la empresa en la misiva. El jefe de los negocios internacionales de la cadena, Jim Alling, deja el cargo, que será ocupado por Martin Coles, hasta ahora Chief Operating Officers (COO), puesto que será eliminado del organigrama directivo.

Starbucks gestiona a nivel mundial 16.000 locales, 11.000 de ellos en Estados Unidos. A partir de 2002 abrió locales en México, Perú, Chile, Brasil y, hace apenas dos meses, uno en Argentina.

La empresa dará a conocer mañana tras el cierre bursátil estadounidense sus resultados cuatrimestrales.

PERU: PRESIDENTE DE LOS RICOS

Lourdes Flores: Alan García se ha convertido en el presidente de los ricos y es muy conservador

8:49 | Ya pasado el mensaje a la nación, la lideresa del PPC sostuvo que el gobierno aprista no se preocupa por los servicios públicos que afectan al ciudadano de a pie . "García se ha radicalizado". dijo

La presidenta del PPC, Lourdes Flores Nano, calificó hoy al presidente Alan García como el verdadero "presidente de los ricos". La ex candidata presidencial -a quien el Apra durante la campaña general del 2006 la tildó de ser la 'candidata de los ricos'-, le devolvió el epíteto al presidente García y añadió que el gobierno actual era muy conservador.

"García se ha radicalizado. Démosle gracias a Dios que entre las consecuencias de su pasado y las cosas poco claras que dijo en su campaña del 2006 encuentran hoy a un hombre más centrado en términos económicos y creo que es un hombre que ha madurado y espero que eso ocurra en lo económico", añadió en declaraciones a una radio local.

Asimismo, Lourdes Flores calificó que el tercer discurso presidencial del 28 de julio ha sido igual de conservador. La lideresa del PPC dijo que el gobierno se preocupa al detalle por la macroeconomía pero no tiene el mismo énfasis en los servicios públicos que es lo que más percibe la población.

OPEP: PETROLEO SIGUE CAYENDO

OPEP dice que precio del crudo podría caer más de 35 por ciento
14-1

Se confirmaría teoría que actual disparada no se debe a poca oferta.
El presidente de la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP), Chakib Jelil, calificó de "anormal" el actual precio del crudo y aseguró que en un contexto adecuado el barril podría caer más de un 35%. Dijo que el crudo podría bajar más hasta US$ 70 y US$ 80 el barril a largo plazo.

En Yakarta, a donde viajó para reunirse con el ministro de Energía indonesio, Purnomo Yusgiantoro, indicó que si el dólar continúa fortaleciéndose y la situación política mejora, en referencia a Irán, los precios del petróleo a largo plazo podrían situarse en torno a US$ 70 el barril.
De esta forma, el presidente de la OPEP expuso la tesis de la mayoría de países pertenecientes al cártel petrolero, que han repetido en distintas ocasiones que la actual alza de los precios no se debe a un problema de oferta.
Jelil añadió que si los precios empiezan a caer, los países de la OPEP no deberían reducir la oferta, lo que favorecería que el precio del crudo siga descendiendo en comparación con los registros obtenidos en los últimos meses.

Caída
El petróleo ha caído desde un máximo histórico de US$ 147,27 registrado el 11 de julio, presionado por signos de que los altos precios y la desaceleración económica están frenando la demanda especialmente en EE UU, el mayor consumidor de crudo del mundo.
El presidente ejecutivo de BP Plc, Tony Hayward, dijo ayer que prevé una destrucción de la demanda de gasolina en las economías desarrolladas de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico (OCDE) de un 5% a un 10%, debido a que la gente manejaría menos debido a los altos precios del combustible.

El dato
El petróleo que se cotiza en Nueva York –Nymex– cerró a US$ 121.70 el barril, después de restar US$ 3.03 al precio anterior.

CUBA DEBATE

La agenda mundial de Fidel Castro: "alimentos, petróleo y materias primas, inversiones requeridas, devaluación del dólar, inflación, recesión, estafa y saqueo imperialistas, errores del adversario, riesgos de guerra nuclear, problemas insolubles del sistema y otros que no requieren de secreto alguno.,,," en su pagina web:

http://www.cubadebate.cu/

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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