CHANGEMENT CLIMATIQUE: VICTIMES

http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/11/10/le-sud-premiere-victime-du-rechauffement-climatique_1265452_3244.html

CHINA; NO A LA APRECIACION DEL YUAN

Por Alex Frangos en Hong Kong
El economista jefe del Banco Mundial Justin Yifu Lin declaró su fuerte oposición a forzar a China a permitir que su moneda se aprecie como una forma de reequilibrar la economía mundial.
"La apreciación de la moneda en China no ayudará a arreglar este desequilibrio y puede detener la recuperación mundial", dijo en una conferencia el lunes en la Universidad de Hong Kong.
Las declaraciones de Lin se hacen en momentos en que reguladores financieros, como el presidente del Banco Central Europeo Jean-Claude Trichet, los funcionarios del Fondo Monetario Internacional y autoridades en Japón han pedido que China permita que su moneda, el yuan, se aprecie frente al dólar.
China ha mantenido el valor del yuan ligado al del dólar de EE.UU. desde mediados de 2008. El déficit de cuenta corriente de EE.UU. se ha reducido sustancialmente durante la recesión, pero a medida que la economía mundial se recupera, crecen los temores de que los desequilibrios económicos mundiales podrían incrementarse de nuevo y generar nuevos problemas, especialmente peligrosas burbujas de activos.
Lin sostuvo que movimientos cambiarios a corto plazo no van a resolver los problemas de la economía mundial. Él asevera que lo que se necesita es una "reforma estructural". Eso incluye que EE.UU. ponga su casa fiscal en orden y la creación de condiciones en China para que el país pueda reducir su elevada tasa de ahorro y aumentar el consumo interno.
En una entrevista después de la conferencia, Lin, de nacionalidad china y educado en EE.UU., dijo que otros países no deberían intervenir para mantener sus monedas baratas e impulsar los sectores de exportación, llamándolo el "equivalente al proteccionismo".
"En esta crisis mundial, la mayoría de las personas dice que no se debe usar la depreciación de la moneda para fomentar las exportaciones", dijo.
Algunos dicen que es exactamente lo que China ha estado haciendo. Lin cree que la situación de China es diferente. China ha mantenido su moneda estable a través de la crisis, incluso a medida que monedas de otros países caían (la mayoría de las monedas de Asia se acerca ahora a los niveles pre-crisis frente al dólar).
La última vez que China dejó apreciar su moneda — 21% desde 2005 hasta 2008— hizo poco para reducir el déficit de cuenta corriente de EE.UU. De hecho, se amplió. China representa un tercio del déficit comercial de EE.UU., agregó el economista. "No se puede culpar a la moneda china por los otros dos tercios" del déficit.

colombia: liquidez y tasas

http://www.portafolio.com.co/economia/economiahoy/ARTICULO-WEB-NOTA_INTERIOR_PORTA-6556869.html

declaraciones de Cano, Banco Central

dolar: al minimo

http://lta.reuters.com/article/businessNews/idLTASIE5A80GT20091110

la estabilidad en el piso

economie verte

http://mail01.mail.com/scripts/common/login_home.cgi?a=8f98139853a8036ef87d192c429b58fc25533d4a02e2df38b6318c66924c79b23c69389ad9cc240ed83712fe35f4d793f5d3cbabd34beccf2b0e0cf2e780a6549140c2cd7f3223716b97be0c0143324c40b23614311dcd659ede

monnaie: blog

http://democratieetavenir.over-blog.com/article-comprendre-la-monnaie-et-la-creation-monetaire-pour-les-eleves-38989777.html

usa: chomage 10%

Le taux de chômage dépasse les 10% aux Etats-Unis

Sylvain D'Huissel (lefigaro.fr)
10/11/2009 | Mise à jour : 13:35 | Commentaires 49 | Ajouter à ma sélection

Un homme scrute les offres d'emplois dans un centre départemental du travail, à San Francisco. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

C'est la première fois depuis 26 ans, que le taux de chômage passe au dessus de cette barre dans le pays, à 10,2%. 190.000 postes ont été détruits en octobre.

Une première depuis 1983 aux Etats-Unis. Le taux de chômage est passé au dessus des 10% au mois d'octobre, à 10.2%, du fait de nouvelles destructions massives de postes. L'économie américaine a en effet perdu 190.000 emplois sur la période. Depuis le début de la récession, cela porte à 7.3 millions le nombre de postes détruits. Les statistiques publiées par le département du travail sont bien décevantes par rapport aux attentes des économistes, qui anticipaient un taux de chômage proche des 10%, et des destructions d'emplois un peu moins élevées, autour de 175.000.
Pour le président américain Barack Obama, ces chiffres sont un «dur rappel à la réalité», même si l'histoire «nous enseigne que la croissance de l'emploi reste toujours à la traîne de la croissance économique», a-t-il dit. Pour conclure : «Je vous promets que je n'aurai de cesse que les Américains qui veulent travailler trouvent du travail».

Le nombre d'heures travaillées ne décolle pas

Autre vecteur d'inquiétude : la reprise n'est pas encore d'une intensité telle qu'elle obligerait les entreprises à augmenter le nombre d'heures travaillées. Ce dernier est resté scotché à 33 heures hebdomadaires en octobre, les heures travaillées dans l'ensemble de l'économie ayant même reculé de 0.2%. Pour l'heure, les sociétés se contentent donc d'augmenter la productivité des heures travaillées, comme en attestait hier le département du travail. Seule note positive dans cet océan de mauvaises nouvelles, le nombre de destructions d'emplois a été revu à la baisse pour septembre, avec 219.000, contre 263.000 initialement annoncées.
Si la tendance sur les derniers mois reste bonne, avec une diminution des destructions de postes, on reste encore loin du point d'inflexion qui verra l'économie américaine créer de l'emploi et une diminution du taux de chômage. Signe de la crise économique aux Etats-Unis: un autre indice, alternatif au taux officiel du chômage, qui comprend les travailleurs découragés et ceux qui sont contraints de travailler à temps partiel, a augmenté à 17,5%. Soit son taux le plus élevé depuis son record de 1995. La tâche de Barack Obama, avant les élections intermédiaires de 2010, apparaît donc ardue. Tout comme celle de la Fed, qui avait averti mercredi des risques qui pesaient toujours sur la reprise. La prévision de la banque centrale américaine d'un chômage maximum de 10,1% en 2009 est en effet d'ores et déjà dépassée...