SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


[Most Recent Quotes from www.kitco.com]


METALES A 30 DIAS click sobre la imagen
(click sur l´image)

3. PRIX DU CUIVRE

  Cobre a 30 d [Most Recent Quotes from www.kitco.com]

4. ARGENT/SILVER/PLATA

5. GOLD/OR/ORO

6. precio zinc

7. prix du plomb

8. nickel price

10. PRIX essence






petrole on line

Find out how to invest in energy stocks at EnergyAndCapital.com.

azucar

azucar
mercados,materias primas,azucar,precios y graficos azucar i otros

23 nov 2008

SUISSE:UBS NOUVELLE AIDE 6 M

UBS : les autorités suisses n'excluent pas une nouvelle aide

[ 23/11/08 - 12H37 - actualisé à 17:46:00 ]

Pour renflouer l'ancien fleuron des banques suisses, les autorités helvétiques ont déjà lancé une augmentation de capital de 6 milliards et ouvert un fonds où seront transférés certains de ses actifs qui ne trouvent plus d'acheteurs pour un montant pouvant aller jusqu'à 60 milliards de dollars. Mais la confiance n'est pas revenue.

AFP
Cliquez ici

La banque UBS, autrefois symbole de la prospérité suisse et qui ne cesse de sombrer malgré 60 milliards de dollars injectés par la Confédération, pourrait bien nécessiter un nouveau plan de sauvetage, ont prévenu dimanche les autorités helvétiques.

"Si la situation s'aggrave, il faudra tant bien que mal procéder à une nouvelle augmentation de capital", a estimé Daniel Zuberbühler, directeur de la la Commission fédérale des banques (CFB), dans un entretien au journal Sonntagszeitung.

Une nouvelle intervention des autorités "n'est pas à exclure", a-t--il poursuivi, ajoutant qu'"il faut effectivement se poser la question, si nos mesures ont été suffisantes".

Les autorités suisses avaient annoncé le 16 octobre un vaste plan de secours pour UBS, qui a procédé en un an à 46,9 milliards de dollars de dépréciations d'actifs.

Symbole de la perte de confiance, ses clients lui ont retiré au troisième trimestre 83,6 milliards de francs suisses, contre un afflux net d'argent nouveau de 38,3 milliards il y a un an.

Pour renflouer UBS, les autorités suisses ont lancé une augmentation de capital de 6 milliards et ouvert un fonds où seront transférés des actifs illiquides (ndlr: qui ne trouvent plus d'acheteurs) de la banque pour un montant pouvant aller jusqu'à 60 milliards de dollars.

Les autorités suisses ont déjà obtenu 9% du capital d'UBS, lors du premier plan de sauvetage, et une nouvelle intervention accroîtrait leur participation.

Ces mesures draconiennes n'ont pas redonné confiance aux investisseurs, UBS ne cessant de plonger en Bourse. Le titre a ainsi passé jeudi la barre symbolique des 11 francs suisses, clôturant vendredi en légère hausse à 11,35 francs suisses.

Avant le début de la crise des "subprime" en juin 2007, l'action avait presque atteint 80 francs suisses, enregistrant depuis une dégringolade de 85%.

"Il est difficile de dire jusqu'où (l'action) va reculer", a estimé un analyste zurichois, ajoutant qu'il faudra s'attendre à des pertes supplémentaires au quatrième trimestre. Avec l'effondrement de sa capitalisation boursière, UBS, qui ne pèse plus que 33,3 milliards en Bourse, pourrait devenir en candidat potentiel au rachat, une option qu'écarte cependant M Zuberbühler. Un acheteur devrait reprendre la totalité du plan de secours, y compris les actifs illiquides repris par la Banque nationale suisse (BNS), a souligné le directeur de la CFB.

Le ministère des Finances, contacté par l'AFP, a indiqué qu'il ne voyait "pas de nécessité de prendre de nouvelles mesures", même s'il n'écarte pas la possibilité d'un nouveau plan de secours si "la situation globale" venait encore à se détériorer.

Un rapprochement avec le numéro deux du secteur Credit Suisse, qu'évoquent les marchés depuis plusieurs mois, est également exclu pour M. Zuberbühler, car une telle opération ne se solderait que par une "accumulation de problèmes".

Les autorités semblent pourtant résolues à venir en aide à UBS, car une faillite aurait des conséquences catastrophiques pour l'économie helvétique.

Début novembre, le gouvernement avait rappelé que la défaillance d'une banque comme UBS aurait pour suite "une déstabilisation du système de paiement en Suisse". Le coût d'une faillite d'UBS s'élèverait à court terme entre 15% et 30% du produit intérieur brut (PIB) de la Suisse, soit de 75 à 150 milliards, a précisé la Confédération.

A long terme, la perte en terme de croissance a été estimée entre 60% et 300% du PIB (300 à 1.500 milliards) par les autorités. (Source AFP)

OBAMA:RELANCE

Barack Obama prépare un vigoureux plan de relance sur deux ans

par Caren Bohan et Jeff Mason


CHICAGO (Reuters) - Barack Obama a déclaré qu'il préparait un vigoureux plan de relance sur deux ans pour sortir l'économie américaine de sa mauvaise passe, en préconisant une action rapide afin d'éviter une récession profonde et une spirale déflationniste.


"Si nous n'agissons pas vite et vigoureusement, la plupart des experts estiment que nous risquons de perdre des millions d'emplois l'an prochain", a noté le président américain élu dans un commentaire préparé pour une émission radiophonique hebdomadaire du Parti démocrate.


"Nous risquons à présent de basculer dans une spirale déflationniste propre à aggraver encore notre dette massive."


Au lendemain d'un rebond de Wall Street lié au choix apparent de Timothy Geithner pour le poste de secrétaire au Trésor de son futur gouvernement, Obama a brossé un tableau morose de la situation économique dans ses propos les plus nets sur ce sujet depuis sa victoire électorale du 4 novembre.


En octobre, Obama avait préconisé un programme de soutien de 175 milliards de dollars, mais son discours de samedi a fait comprendre qu'il était prêt à mettre au point un projet beaucoup plus ambitieux, bien qu'il ne l'ait pas chiffré.


Il a dit que le programme fixerait un objectif de 2,5 millions d'emplois à créer d'ici à janvier 2011 et serait adapté "aux défis que nous avons à relever".


Le projet de plan de relance échelonné sur deux ans laisse entrevoir un effort de grande ampleur, la plupart des plans de cette nature étant conçus pour une période d'un an.


Le département du Travail a annoncé jeudi que les inscriptions hebdomadaires au chômage avaient atteint cette semaine leur niveau le plus élevé depuis seize ans en s'établissant à 542.000, contre 516.000 la semaine précédente.


GEITHNER SANS DOUTE APPELÉ AU TRÉSOR


Les statistiques officielles font aussi apparaître une situation de plus en plus préoccupante sur le marché du logement.


"Les nouvelles de cette semaine ne font que renforcer le fait que nous faisons face à une crise économique de dimension historique", a déclaré le futur locataire de la Maison blanche.


De sources démocrates, on a rapporté qu'Obama avait choisi de confier le poste de secrétaire au Trésor à Geithner, président de la Réserve fédérale de New York, en vue de soustraire le pays à un précipice économique.


L'indice Dow Jones, qui avait reculé toute la semaine, a fini vendredi sur un bond de 6,54% après l'annonce que Geithner était sélectionné pour le Trésor, ce qui est interprété comme le signe d'une volonté d'action face à la crise.


Selon NBC, Obama devrait annoncer son choix lundi.


Le futur locataire de la Maison blanche et son équipe s'appliquent à dissiper l'idée qu'il puisse régler rapidement les problèmes économiques, ce qu'il a réitéré dans son discours.


"Il n'y a pas de remèdes rapides ou faciles pour cette crise, qui était en gestation depuis bien des années, et cela risque encore d'empirer avant de s'améliorer", a dit Obama.


"Nous mettrons au point les modalités d'action dans les semaines qui viennent, mais ce sera un effort d'ampleur nationale de deux ans pour faire redémarrer les créations d'emplois en Amérique et jeter les bases d'une croissance économique forte", a-t-il dit.


Les parlementaires démocrates ont promis de donner la priorité à un vaste programme de relance économique lorsqu'ils reprendront leurs travaux en janvier. Sont notamment prévus des baisses d'impôts pour les classes moyennes et l'octroi de milliards de dollars pour des travaux publics tels que la construction d'infrastructures routières.


SOROS FAIT CONFIANCE À OBAMA


Les constructeurs automobiles, en très mauvaise posture, négocient avec les élus et la Maison blanche pour obtenir un plan de sauvetage. Tout en approuvant le principe d'une injection de fonds au profit du secteur automobile, Obama est resté discret sur ce terrain.


Fidèle au principe que les Etats-Unis doivent avoir un seul président à la fois, Obama se cantonne pour le moment à Chicago, où il se consacre à la formation de son cabinet et à l'élaboration de sa politique économique.


De son côté, le milliardaire et investisseur George Soros a déclaré que l'économie américaine avait besoin de 300 à 600 milliards de dollars supplémentaires pour faire face à la crise financière qui, a-t-il dit, a dépassé tout ce qu'il aurait pu attendre.


Soros a dit au magazine allemand Der Spiegel que les Etats-Unis avaient besoin d'un programme d'infrastructure et d'un ensemble de mesures d'incitation économique afin de fournir aux villes et aux différents Etats des liquidités suffisantes.


Le gouvernement américain a lancé un plan de sauvetage du système financier de 700 milliards de dollars. Mais l'économie américaine a besoin de 300 à 600 milliards de dollars supplémentaires, a estimé Soros.


Il a critiqué le secrétaire au Trésor, Henry Paulson, pour avoir réagi trop tard à la crise et a dit fonder de grands espoirs dans la capacité d'Obama à gérer la situation.


Version française Nicole Dupont et Philippe Bas-Rabérin

USA:WALL STREET REBOTA UN POCO

Wall Street “encuentra excusa” para realizar un fuerte rebote

21/11/2008 - 22:43 - MADRID, 21 NOV. (Bolsamania.com/BMS) .- Wall Street encuentra “excusa” para realizar un fuerte rebote (Dow Jones: +6,54%; S&P 500: +6,32% Nasdaq: +5,18%): el presidente de la Reserva Federal de Nueva York, Timothy Geithner, será nominado para convertirse en el nuevo Secretario del Tesoro, cuando Obama reemplace a Bush como Presidente el próximo 20 de enero, según informó NBC. Muchas crónicas han confirmado esta elección, aunque no se espera un anuncio oficial hasta la próxima semana. La Bolsa de Nueva York estaba en terreno negativo cuando salió la noticia y el posterior rally ha sido impresionante.

No obstante, a pesar de las ganancias registradas hoy, los principales selectivos estadounidenses han terminado con un fuerte descenso semanal (Dow Jones: -5,3%; S&P 500: -8,4% Nasdaq: -8,7%) debido a la incertidumbre sobre la economía y la “sobrevivencia” de componentes del Dow Jones como General Motors o Citigroup.

Empresas:

A pesar de todas las informaciones que indicaron que Citigroup (-20,0%) podría ponerse a la venta o vender algunas unidades, el Director General ha desmentido estos rumores. Sus acciones se han dado la vuelta, tras sus palabras, y registran una caída semanal del -60%.

También en el sector financiero, Keycorp (-9,3%) ha anunciado un recorte de su dividendo trimestral de más del -60%. Bank of New York Mellon (+6,1%) ha anunciado que despedirá a 1.800 empleados sumándose así a la larga lista de entidades bancarias que ya han anunciado el recorte de su plantilla en los últimos meses como parte de sus planes para reducir costes. Por último, el fondo soberano chino CIC puede estar negociando hacerse con una participación del 49% en la división Alico, de la aseguradora AIG (+11,1%), por aproximadamente unos $5.100 millones.

En el sector tecnológico, Oppenheimer ha subido su recomendación sobre Microsoft (+12,3%) hasta sobreponderar desde neutral. Como factor negativo, Dell (-5,2%) publicó anoche, tras el cierre, ventas peores de lo esperado. Asimismo, el fabricante de ordenadores ha registrado un flujo de caja negativo.

Por último, el miembro del Dow Jones Wal-Mart (+4,5%) ha nombrado un nuevo CEO.

La Reserva Federal:

Los miembros de la Reserva Federal que han hablado hoy están de acuerdo en que la economía no se recuperará hasta el próximo año. El presidente de la Fed de Richmond ha indicado que la economía podría recuperar su inercia positiva en el 2009. “Muchos analistas esperan un momento positivo para la economía en algún momento de 2009”, ha dicho Lacker. “Eso me proporciona una razonable expectativa”, ha añadido. De forma paralela, Plosser, el presidente de la Fed de Philadelphia, prevé un “ritmo positivo en la segunda mitad de 2009”. Tal vez más pesimista, el presidente de la Fed de Chicago, Evans, ha indicado que los datos macro de octubre han salido más débiles de lo que él esperaba y prevé ”un periodo prolongado de crecimiento débil”. Los tres miembros están más o menos de acuerdo en que no se preocupan sobre la inflación. Sin embargo, Evans ha señalado que el riesgo de deflación ha aumentado, aunque “sigue siendo mínimo”.

Sectoriales:

Las mayores ganancias se han registrado en Metales Preciosos (+39,4%), Mineras de Oro (+25,4%), y Aluminio (+22,2%).

Las mayores pérdidas se han registrado en Equipos de Energía Renovable (-20,5%), Electricidad Alternativa (-3,3%), y Construcción de Viviendas (-1,7%).

Volumen y balance:

Extremadamente alto volumen parecido a lo registrado ayer. En el NYSE se han negociado 2.374 millones de acciones, mientras que se han movido 3.087 millones de títulos en el Nasdaq.

Los valores que han subido superan a los que han bajado en una proporción de 5 a 3 en el NYSE, y en un ratio de 1,7 a 1,1 en el Nasdaq.

Otros mercados:

El futuro del crudo con vencimiento en enero sube ahora +$1,05, hasta los $50,47, en el Nymex.

Los bonos del tesoro a 10 años pierden -1 18/32, con una rentabilidad que se sitúa en el 3,190%.

Por último, el euro sube hasta los $1,2591, desde los $1,2453.

apec:summit

ver
http://www.apec.org/

noticias del summit apec

VENEZUELA:CRUDO A 40.68

El barril de petróleo venezolano pierde esta semana 5,67 dólares

Caracas, 21 nov (EFECOM).- El barril de crudo venezolano cerró esta semana a un precio promedio de 40,68 dólares por barril, una pérdida de 5,67 dólares respecto a la media de venta de la semana anterior (46,35), informó hoy el ministerio de Energía y Petróleo (MEP).

Los 40,68 dólares de la media semanal representan menos de la mitad del promedio de 93,90 dólares por barril que acumula el precio de venta en lo que va del año, muy lejos del récord nacional de 132,53 dólares que llegó a comercializarlo el pasado mes de julio.

El precio de 93,90 dólares de este año supera, sin embargo, los 64,74 dólares que el MEP reportó como precio promedio de venta de cada barril el año pasado, así como a los 56,45 dólares de 2006 y los 45,39 dólares que promedió el barril (159 litros) en 2005.

"La preocupación por la economía global y los indicios de una menor demanda de energía continúan siendo la principal causa en el debilitamiento de los precios petroleros", explicó hoy el MEP en su página web.

El presidente venezolano, Hugo Chávez, reconoció esta semana que la caída de los precios del petróleo registrada en medio de la actual crisis financiera internacional "va a afectar" la economía de Venezuela.

Por su parte, el titular del MEP, Rafael Ramírez, confirmó que Venezuela propondrá a la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP), un nuevo recorte de producción, que "podría ser de un millón de barriles", adicional a la reducción de 1,5 millones diarios que el cartel decidió recientemente.

El presupuesto fiscal de Venezuela para 2009, que asciende al equivalente a 78.604 millones de dólares, se basa en que el próximo año el barril venezolano se venderá en al menos 60 dólares, lo que permitirá financiar alrededor de la mitad de ese monto, ya que el resto provendrá de la recaudación de impuestos internos.

El ministro de Economía y Finanzas, Alí Rodríguez, ha previsto que, sin embargo, los precios del petróleo volverán a subir en el mediano y largo plazo, debido al "carácter estructural de que están cayendo las reservas" mundiales y a que los yacimientos más ricos del planeta "se van desinflando".

Venezuela, quinto exportador mundial de crudo, es miembro fundador de la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP) y actualmente produce unos 3,2 millones de barriles diarios También es uno de los principales abastecedores de petróleo a Estados Unidos, con aproximadamente unos 1,2 millones de barriles diarios, según datos venezolanos. EFECOM afs/mlr

PETROLEO BRENT CAE MAS QUE DOW JONES

usa: RECESION SE PROFUNDIZA



Todavia no estamos en 1991

spain:desempleo en 16% en 2009

La Fundación de las Cajas de Ahorros (Funcas)ha rebajado sus previsiones de crecimiento económico para 2009 y 2010. El próximo año la economía se contraerá un 1,5% para volver a crecer en 2010 a un ritmo del 0,5%, según las cajas. Argumentan que el impacto de la crisis financiera internacional está siendo más grave de lo previsto y además, en el caso español, «el ajuste del sector de la construcción está adquiriendo cada vez mayor dramatismo».
Respecto al mercado laboral, Funcas estima que el paro alcanzará casi el 16% el próximo año y el 18% en 2010. Asimismo, continuará el deterioro de las cuentas públicas, que tendrán un déficit del 1,8% este año, el 4,3 el próximo y el 5,6% dentro de dos años.
Ante estas perspectivas, los economistas, que han celebrado esta semana en Zaragoza su VIII Congreso Nacional, reclamaron ayer al Gobierno un paquete de medidas para reactivar la economía.
Recetas de los economistas
Entre sus propuestas destacan la bajada de impuestos para las empresas, «reorganizar el mercado laboral para hacerlo más flexible», reducir los trámites administrativos y apoyar «con políticas de oferta al sector real de la economía», sobre todo a la industria exportadora y a los proyectos en I+D+i. También proponen intensificar la inversión en obra pública y «mostrar capacidad de liderazgo» para desarrollar «una política económica racional, coordinada, programada y carente de vaivenes».

ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

Etiquetas

Peru:crisis impacto regional arequipa,raul mauro

Temas CRISIS FINANCIERA GLOBAL

QUIEN SOY?
claves para pensar la crisis

MATERIAS PRIMAS
-Metales
-Cobre
- plata
- oro
- zinc
- plomo
- niquel
- petroleo

-Tipo de cambio

- LA CRISIS

- BOLSA VALORES
- BANCOS
- PBI PAISES
- USA: DEFICIT GEMELOS
- UE: RIEN NE VA PLUS

CONTAGIO: CANALES

- PERU: DIAGRAMA DE CONTAGIO
- PERU: IMPACTO EN BOLSA
- MEXICO: HAY CRISIS?

LA PRENSA
COMENTARIO DE HOY

- DIARIOS DE HOY
NLACES

Coyuntura
Bancos centrales
Paginas Recomendadas

BLOGS

economiques
Interes

VIDEO

- Economia videos
- Crisis financiera global

TRICONTINENTAL

- AFRICA: daniel
- EUROPA: helene
- ASIA:
- AMERICA

COLUMNAS AMIGAS

Chachi Sanseviero

ETIQUETAS
por frecuencia de temas
por alfabetico

EVENTOS

FOTOS DEL PERU

GONZALO EN LA RED

JOBS
VOZ ME CONVERTIDOR
CLIMA
SUDOKU
PICADURAS

LOGO

LIBRO de GONZALO

La exclusion en el Peru

-Presentacion

- introduccion

- contexo economico

- crisis de la politica

- excluidos de las urbes

- excluidos andinos

- contratapa

VIDEOS ECONOMICOS
Crisis Enero 2009
Krugman
Globalizacion 1
Globalizacion 2
Crisis Brasil
Crisis bancaire
Karl marx revient

TODOS LOS DERECHOS RESERVADOS

GOOGLE INFORMA


PRESS CLIPPINGS-RECORTES PRENSA-PRESSE..

ETIQUETAS alfabetico