SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

1. SECCION:materias primas en linea:precios


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6 oct 2009

france: deficit budgetaire a double, 127.6 milliards euros

Le déficit du budget de l'Etat français a atteint 127,6 milliards d'euros au 31 août, contre 67,6 milliards il y a un an.

Le déficit du budget de l'Etat français a connu une nouvelle dégradation au mois d'août. Conséquence du plan de relance, ce dernier s'est encore creusé sur douze mois, atteignant 127,6 milliards d'euros au 31 août contre 67,6 milliards un an plus tôt, selon le ministère du Budget.
«Le solde général d'exécution au 31 août 2009 s'établit à -127,6 milliards d'euros contre -67,6 milliards à la même date en 2008» a indiqué le ministère . «L'écart d'une année sur l'autre (60 milliards d'euros) s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique sur l'évolution des recettes et, à hauteur de 26,4 milliards d'euros, par l'effet des différentes mesures de soutien à l'économie» a-t-il précisé.
Au 31 août 2009, les dépenses totales (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 237,9 milliards d'euros contre 230,5 milliards d'euros au 31 août de l'année précédente (+7,4 milliards d'euros).

Les recettes de l'impôt sur les sociétés plongent

Les recettes fiscales nettes se sont effondrées et diminuent de 39,1 milliards d'euros en un an, dont 11,1 milliards de manque à gagner lié aux mesures de soutien à la trésorerie des entreprises dans le cadre du plan de relance de l'économie. Même hors mesures de relance, le produit des recettes fiscales est en recul de 28 milliards d'euros par rapport à fin août 2008, ce qui donne une idée de l'ampleur de la récession traversée par la France.
Les entreprises ont été particulièrement frappées par la crise: les recettes de l'impôt sur les sociétés (IS) enregistrent la chute la plus marquée et plongent de 89,3% en un an, passant de 27,4 milliards d'euros fin août 2008 à seulement 2,9 milliards douze mois plus tard. Les recettes de TVA reculent aussi, de 12%, sur la même période, avec 76,2 milliards d'euros encaissés contre 86,6 milliards un an plus tôt.
Même le produit de l'impôt sur le revenu (IR), qui progressait sur un an les mois précédents, perd du terrain, en recul de 3,7% par rapport au 31 août 2008. Il s'élève à 29,9 milliards d'euros.


Dépenses de l'Etat en hausse

De leur côté, les dépenses totales de l'Etat (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 237,9 milliards d'euros contre 230,5 milliards au 31 août de l'année précédente, en hausse de 3,2%. Les dépenses liées au plan de relance atteignent 9 milliards d'euros, dont 3,7 milliards de remboursement anticipé du Fonds de compensation pour la TVA aux collectivités territoriales, souligne le ministère du Budget.
Hors plan de relance, les dépenses diminuent d'une année sur l'autre de 3,5 milliards d'euros, en raison notamment d'une forte baisse de la charge de la dette (-21,6%) grâce à une évolution favorable des taux d'intérêt et aux obligations indexées sur l'inflation. L'inflation a en effet nettement reculé par rapport au pic de l'été 2008, souligne Bercy.
Si les dépenses d'intervention, de fonctionnement et d'investissement s'envolent (de +9,2% à +13,9%), les dépenses de personnel stagnent (+0,2%).

or: au dessus des 1000 dollars

Des rumeurs évoquent la possibilité que le métal fin remplace le dollar dans la fixation des prix du baril de pétrole.

L' or a battu un nouveau plus haut historique ce mardi, en se propulsant sur les 1.040 dollars, suite à des spéculations sur un possible rôle du métal dans les cotations sur le pétrole. Plusieurs pays arabes producteurs de pétrole seraient en effet en train de planifier avec la Chine, la Russie, le Japon, le Brésil et la France, la fin de la cotation en dollar du baril. L'information révélée par le quotidien anglais The Independent a de quoi surprendre. L'enjeu de ces discussions serait l'abandon pur et simple du dollar en tant que monnaie de référence pour la cotation des barils de pétrole. En marge de la réunion du Fonds monétaire international à Istanbul, de hauts responsables saoudiens et russes ont démenti l'existence de telles discussions. Le Koweït, Oman et les Emirats arabes unis ont également apporté des démentis.
D'après The Independent, il serait question de mettre en place un «panier de devises» composé des monnaies chinoises et japonaises, de l'euro, de l'or et d'une devise représentant les différents pays du golfe impliqués. Des réunions auraient d'ores et déjà eu lieu avec les ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales en Russie, en Chine, au Japon et au Brésil. Ces informations, qui proviennent des banques chinoises et arabes basées à Hong Kong, pourraient expliquer la récente montée des cours de l'or, selon The Independent. Le métal jaune, suite à ces informations, poursuivait son envolée de ces derniers jours et en profitait donc pour inscrire un nouveau zénith sur le Comex.

La Chine, possible gagnante d'un tel changement

En choisissant jusqu'à maintenant de maintenir à un niveau artificiellement bas sa monnaie nationale, et en possédant d'immenses réserves de bons du trésor américain libellés en dollar, la Chine pourrait sortir grande gagnante de ces négociations, qui prévoient la mise en place définitive de ce « panier de devises » pour 2018. La Chine importe 60% de son pétrole, majoritairement depuis les pays du Golfe.
Ce changement radical vers la fin du dollar tout-puissant pourrait avoir un impact phénoménal sur le cours des devises au niveau mondial, comparable aux accords de Bretton Woods. Mais seules des discussions informelles auraient eu lieu pour le moment, d'après le journal.

grecia: nuevo primer ministro socialista

segun El Pais INTERNACIONAl, el nuevo primer ministro socialista trae un plan anticrisis basado en aumentar la propension al consumo de las familias, despues del rotundo fracaso de las politicas neoliberales...
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Con una receta de expansión y fomento del consumo para dinamizar el mercado, una mayor recaudación fiscal y, en fin, una política de estímulos a la economía, el primer ministro griego electo, el socialista Yorgos Papandreu, pretende rescatar a su país de la recesión en que, según las previsiones del FMI, caerá a finales de año después de años de bonanza, con un crecimiento en torno al 4% (en 2008 aún creció un 3,5%). En diciembre, Grecia estará ya en números rojos: las previsiones de crecimiento son del -0,7% para este año y del -0,1% en 2010.

    Yorgos Papandreu

    Yorgos Papandreu

    A FONDO

    Nacimiento:
    1952
    Lugar:
    Minnesota
    Grecia

    Grecia

    A FONDO

    Capital:
    Atenas.
    Gobierno:
    República.
    Población:
    10,722,816 (est. 2008)

Con cerca del 9% de paro y un déficit oficial del 7%, aunque en la práctica podría superar el 10%, el escogido por Papandreu para ganar unas elecciones no es precisamente el mejor momento, como recordó la noche del domingo el primer ministro saliente, Costas Karamanlis: "Las recetas para salir de la crisis son duras e impopulares", y eso, adujo, le valió la derrota, aunque se mostró convencido de que las suyas (contención, ahorro y austeridad) siguen siendo las correctas.
Las medidas del ganador Movimiento Socialista Panhelénico (Pasok) apuntan en dirección contraria. El nuevo Gobierno pretende recaudar más, tanto a través de la presión fiscal a las rentas más altas -a partir de los 70.000 euros de ingresos por familia- como mediante el control de la economía negra o sumergida, que según la OCDE representa el 40% de la actividad económica del país y es, sin embargo, improductiva en términos de crecimiento. Se calcula que en este capítulo el Estado ha dejado de recaudar 31.000 millones.
Papandreu, que durante la campaña prometió publicar de inmediato en Internet cada decisión para garantizar una gestión transparente, no ha dicho sin embargo nada sobre cómo convencer a Bruselas de que Grecia no podrá recortar su déficit público hasta el 3%. Atenas se plantea pedir una moratoria de tres años para dar a la economía la oportunidad de recuperarse.
Entre los cinco paquetes de medidas del "programa de los 100 primeros días" -un plan de acción inmediata anunciado por Papandreu en campaña- destacan, en fin, el apoyo al pequeño comercio y el fomento del empleo, dos guiños a la economía real que le han granjeado simpatías. La reforma de la función pública, con un recorte de empleados, reviste en cambio más polémica.
Políticamente hablando, mientras en la conservadora Nueva Democracia desentierran ya las hachas de guerra y resuena el nombre de la ex ministra de Exteriores Dora Bakoyanis para suceder a Karamanlis, en el Pasok también se habla, y mucho, de mujeres. No sólo suena con insistencia para el Ministerio de Economía y Hacienda el nombre de Lukia Katseli, responsable de economía del partido; también se plantea que Yorgos Papandreu nombre a nueve mujeres al frente de otras tantas carteras, de un total de 16 ministerios.

FMI: SESION ESTAMBUL

la advertencia de stiglitz, la crisis todavia no ha terminado

Stiglitz avisa de la nueva exuberancia de las Bolsas

C. P. - Estambul - 06/10/2009
 
Stiglitz, Roubini, Soros. Los grandes nombres de la economía y los mercados financieros en los últimos tiempos -con la notable excepción del último Nobel, Paul Krugman- aparecieron ayer en la reunión de otoño del Fondo Monetario Internacional (FMI), en Estambul, con un rosario de advertencias cuando la economía apenas ha doblado la esquina de la mayor recesión desde la posguerra. "La exuberancia irracional ha vuelto a los mercados", proclamó Joseph Stiglitz, profesor de Columbia y prestigioso Nobel. "La Bolsa ha subido demasiado alto, demasiado pronto y demasiado rápido", afirmó Nouriel Roubini, el gran gurú de esta crisis. Y el multimillonario George Soros añadió que esa euforia contrasta con una recuperación frágil, "muy lenta". La confianza está muy cara en los tiempos que corren.
A pesar de que el Fondo está sitiado por los banqueros -la banca sigue jugando al lobby y ha recuperado las clásicas reuniones paralelas-, Stiglitz acompañó sus advertencias con un recado al sector. Propuso un impuesto global a los bancos para compensar las pérdidas que han provocado. "A los políticos estadounidenses les costó una hora aprobar un plan de 700.000 millones de dólares para salvar bancos. En la última década apenas se ha gastado una décima parte en ayuda al desarrollo", atacó.

Tasa Tobin

Stiglitz aboga por una suerte de tasa Tobin -que el FMI estudia por mandato del G-20- para reducir la especulación y ayudar a los países pobres. "Ha nacido un amplio consenso: hay que freírlos a impuestos", remachó.
Roubini -apodado doctor calamidad por su querencia por el catastrofismo- optó por la cautela: la Bolsa estadounidense se ha revalorizado más del 50% en el último semestre, y las subidas son similares en Europa. "Hay un riesgo evidente de fuerte corrección", dijo ante la diferencia entre la "anémica" recuperación mundial y el hambre de los inversores. Soros dejó un aviso para el Fondo y sus siempre discutidas previsiones: "La recuperación en EE UU va a ir muy despacio porque las instituciones financieras están casi quebradas; Europa ha salido menos dañada", defendió como contrapunto a la línea del FMI.
Por otra parte, la vicepresidenta económica española, Elena Salgado, firmó un acuerdo con el FMI para aportar 4.140 millones de euros al organismo, que incrementan su capacidad de préstamo.

VENEZUELA: VENTA DE BONOS POR 5 MIL MILLONES DE DOLARES

Por Ana Isabel Martínez
CARACAS (Reuters) - Venezuela vendió cerca de 5.000 millones de dólares en la emisión combinada de bonos 2019-2024, ampliando la oferta inicial de 3.000 millones, a un precio del 140 por ciento, dijo el martes una fuente gubernamental.
La operación del Bono Soberano Internacional permite a los inversores hacerse con dólares en medio de un férreo control de cambios, a un precio superior al fijo oficial de 2,15 bolívares pero inferior al cambio del inflamado mercado paralelo.
"La colocación está cercana a los 5.000 millones de dólares (...) El precio fue del 140 por ciento", dijo a Reuters la fuente gubernamental de alto rango. El precio de la oferta combinada de bonos había sido fijada en un rango de 135-140 por ciento.
Está previsto que el Ministerio de Finanzas anuncie el martes por la mañana el precio único de adjudicación para la emisión, compuesta a partes iguales por un papel al 2019 con cupón del 7,75 por ciento y otro al 2024 con cupón del 8,25 por ciento.
La demanda por el papel soberano superó los 19.000 millones de dólares, evidenciando el apetito represado por los billetes verdes tanto de personas naturales como de empresas, cada vez con más restricciones para acceder a las divisas reguladas en un panorama de alta inflación y contracción económica.
La fuente agregó que el Gobierno evalúa lanzar otra emisión destinada a bajar las presiones sobre el mercado paralelo, donde el dólar ha llegado este año a cotizarse en 7 bolívares y que en recientes jornadas rondó los 5,6 bolívares por dólar.
"La idea es hacer una colocación para inversores institucionales para lograr una baja más fuerte en el precio del dólar no oficial", agregó el funcionario.
Operadores calcularon que el tipo de cambio implícito generado con la colocación del bono 2019-2024 está entre 4,4 y 4,7 bolívares por dólar, dependiendo del precio al que se coticen los papeles en el mercado secundario, que calcularon podría oscilar entre 65 y 67 por ciento.
A pesar de que el Gobierno ha tratado de minimizar los efectos que sobre la galopante inflación local tiene el dólar paralelo, el gabinete económico analiza nuevas operaciones de deuda para bajar su cotización y con ello el ritmo creciente de los precios, que acumulan una variación del 26,7 por ciento anualizada a agosto.
"Lo que esperamos es llevar el dólar paralelo por debajo de los 4 bolívares por dólar", dijo el funcionario, para quien ello permitiría alcanzar una inflación de alrededor del 20 por ciento en el 2010.
La última emisión similar a la del 2019-2024 estuvo a cargo de la estatal Petróleos de Venezuela (PDVSA) por unos 3.000 millones de dólares, pero en la que el valor del dólar implícito fue considerablemente mayor dada las necesidades de la firma por levantar ingentes recursos para pagar deudas pendientes.
(Por Ana Isabel Martínez, editado por Luis Azuaje)

Ecuador: Inflacion0.63 en set, cerraria en 4% anualizado diciembre

la inflacion de Ecuador cae a la mitad del año previo, info de Reuters

QUITO (Reuters) - Los precios al consumidor en Ecuador subieron un 0,63 por ciento en septiembre en comparación con el alza de 0,66 por ciento registrada en igual mes del año previo, informó el martes el estatal Instituto Nacional de Estadísticas y Censos (INEC).
En agosto, el índice había caído un 0,30 por ciento.
La inflación anualizada al noveno mes del año se ubicó en el 3,29 por ciento frente al 9,97 por ciento reportado en el mismo periodo del 2008, agregó el INEC en un reporte publicado en su página de internet.
Mientras, la acumulada a septiembre alcanzó el 3,12 por ciento en comparación con el 8,65 por ciento del mismo mes del año previo.
Ecuador aspira a cerrar el 2009 con un índice inflacionario cercano al 4 por ciento y espera mantener esa cifra en el 2010.
El 2008, el país andino cerró con una inflación de 8,83 por ciento.
(Reporte de Alexandra Valencia)

Revista Moneda N° 141: Horizonte de las economías emergentes en el escenario global

la revista Moneda presenta una contribucion de Paul Castillo sobre la respuesta del Banco Central a la crisis

----- Original Message -----
From: BCRP
To: ggarcianunez@mail.com
Subject: Revista Moneda N° 141: Horizonte de las economías emergentes en el escenario global
Date: Tue, 6 Oct 2009 09:42:14 -0500






ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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