SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

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22 oct 2009

dollar:De la Chine à l'or noir, les périls qui menacent le billet vert




  • Pierre-Yves Dugua Correspondant à Washington, Arnaud Rodier, Fabrice Nodé-Langlois , Anne Cheyvialle
    12/10/2009 | Mise à jour : 08:50
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    Pour défendre leur monnaie, les Américains devront réduire les déficits.

    Dans l'immédiat, l'objectif de la Maison-Blanche reste le retour d'une croissance saine et durable aux États-Unis. Pour parvenir à rééquilibrer son économie, Barack Obama doit accroître l'épargne des Américains et augmenter les exportations. Cette politique diminuera le déficit commercial des États-Unis et le déficit de sa balance courante. Si elle réussit, le dollar verra sa crédibilité renforcée. Le second objectif des autorités américaines est de réduire le déficit budgétaire à un niveau plus raisonnable, de l'ordre de 3 à 4 % du PIB dès que la croissance sera suffisamment solide. L'explosion des dépenses publiques a porté le déficit budgétaire à près de 10 % du PIB cette année. Si la Maison-Blanche a le courage de relever les impôts et de réduire certaines dépenses à partir de 2011, cela aussi renforcera la crédibilité du dollar. Mais il faudra aussi que la Fed ose relever ses taux directeurs.
    À long terme, la capacité de l'économie américaine à dégager des gains de productivité élevés, le maintien d'une suprématie mondiale en matière militaire et une grande stabilité politique restent des ingrédients essentiels du statut du dollar comme monnaie de réserve.

    Pékin veut imposer sa monnaie mais pas trop vite

    La Chine a fait de sa monnaie, le yuan, une arme décisive pour s'imposer dans l'économie mondiale. Non convertible et étroitement liée aux fluctuations du dollar, elle ne devrait théoriquement jouer qu'un rôle mineur. Or elle influence jusqu'à la politique économique des États-Unis. La sous-évaluation du renminbi, autre appellation du yuan, de l'ordre de 40 % par rapport à ce que devrait être son cours, est régulièrement dénoncée par Washington, par le Fonds monétaire international et par les Européens. Tous l'accusent de creuser les déséquilibres internationaux. Mais elle permet à la Chine d'exporter plus et de faire tourner ses usines. C'est pourquoi Pékin fait la sourde oreille, même s'il promet de temps à autre des assouplissements allant dans le sens d'une appréciation.
    En réalité, la Chine tient les États-Unis dans sa main avec ses 2 000 milliards de réserves de change dont une bonne partie est placée en bons du Trésor américain. Et s'ils ne semblent pas pressés de détrôner le dollar, les dirigeants chinois multiplient les initiatives pour accroître l'utilisation de leur monnaie dans les échanges commerciaux : émissions de titres d'État à Hongkong, fin septembre, accords de crédits croisés avec la Corée, la Malaisie, l'Indonésie… La Russie, qui doit signer un accord de 5,5 milliards de dollars cette semaine, veut utiliser plus de roubles et de yuans et le Brésil souhaite désormais des échanges en monnaies locales. Pékin affirme qu'il est trop tôt pour faire de sa monnaie une monnaie internationale, mais fait tout pour lui préparer le terrain.

    Vaine révolte dans l'or noir

    «Ils prennent notre pétrole et nous paient avec un bout de papier qui ne vaut rien.» Ainsi s'emportait contre le dollar le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, en 2007, lors d'une réunion des pays de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole). L'Iran, cible des sanctions de l'ONU, s'est détourné du billet vert pour ses exportations de pétrole qui étaient, dès 2007, libellées à 85 % en euros et en yens. Lors de cette même réunion de l'Opep, le Vénézuélien Hugo Chavez avait lui aussi souhaité mettre fin à «l'empire du dollar».
    Ces rébellions restent cependant isolées. La devise américaine a dominé les échanges d'or noir pratiquement dès l'essor de l'industrie pétrolière à la fin du XIXe siècle. D'abord parce que les États-Unis étaient alors à la fois le principal producteur et consommateur mondial, rappelle Jean-Pierre Favennec, spécialiste du marché du pétrole à l'université Paris-Dauphine. Par la suite, redoutant dès les années 1920 la dépendance à l'or noir moyen-oriental, qui ne surviendra que quarante ans plus tard, les Américains prennent le contrôle des compagnies du Golfe. Les pays de la région indexent leurs monnaies sur le billet vert. Quand s'envole le cours du brut, lors des chocs pétroliers de 1973 et 1979, les pays du Golfe engrangent massivement ce qu'on appellera « les pétrodollars ». Lorsque le billet vert s'affaiblit, comme en 1998-2000 ou comme actuellement, leurs richesses se déprécient. Problème, note Chris Weafer, analyste à la banque russe Uralsib, « panier de devises ou euro n'offrent pas d'alternative crédible ».

    Les émergents commercent dans leur propre devise

    Pourquoi ne pas libeller nos échanges en yuan ou en real ? En visite à Pékin en mai dernier, le président brésilien Lula a une nouvelle fois plaidé pour un contournement du billet vert. « Il est absurde que deux importantes nations commerciales continuent de mener leur commerce dans la devise d'un pays tiers », a-t-il écrit dans une tribune. De fait, depuis avril, la Chine est devenue le premier partenaire commercial du Brésil avec 3,2 milliards de dollars, dépassant ainsi les États-Unis. Longtemps basés sur des relations Nord-Sud, les échanges des pays latino-américains se sont énormément diversifiés ces dernières années. Les Asiatiques puisant dans les richesses naturelles de l'Amérique latine, minerais, pétrole, produits agricoles… pour doper leur forte croissance. Le Chili, par exemple, compte dans ses cinq premiers partenaires commerciaux la Chine, la Corée et le Japon. Entre 1999 et 2007, les exportations sud-américaines en Chine ont augmenté de 45 % contre une hausse de 20 % aux États-Unis. Cette tendance s'est encore renforcée avec la récession américaine et la reprise anticipée en Asie.

    Européens et Japonais ont tout intérêt à défendre le billet vert

    Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne, l'a dit et répété. Il est « extrêmement important » que les États-Unis s'engagent fermement en faveur d'un dollar fort. Certes, la baisse du billet vert aide les exportations américaines, mais sa chute entraînerait un désastre qu'aucune banque centrale ne peut laisser faire. On l'a encore vu jeudi dernier lorsque la Corée, la Thaïlande, Taïwan, Hongkong, les Philippines et l'Indonésie sont massivement intervenues sur les marchés des changes pour racheter plus d'un milliard de dollars. Car l'Asie, gros exportateur, est directement menacée.
    Au Japon, Toyota juge «très difficile» le taux de change entre le yen et le dollar qui ne lui «permet pas de renouer avec les bénéfices avec la seule croissance des ventes». Le nouveau ministre des Finances, Hirohisa Fuji, souligne que c'est la « faiblesse du dollar, alimentée par une politique de taux d'intérêt très faible, plutôt que la force du yen ou de l'euro » qui est la cause de tous les maux. Il n'entend agir que si la situation « devient anormale », mais c'est en partie pour cette raison que le nouveau gouvernement nippon vient de décider de réorienter sa croissance vers la demande intérieure plutôt que la demande extérieure.
    Pour l'Europe, le problème est le même et la ministre française de l'Économie, Christine Lagarde, ne se prive pas de le rappeler. «Nous persistons à considérer que nous avons besoin d'un dollar fort», insiste-t-elle avec force. Autant dire que les Américains pourront toujours compter sur les Européens et les Japonais pour défendre leur monnaie…

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