SECCION Crisis monetaria: US/EURO, dolar vs otras monedas

Gráfico del tipo de cambio del Dólar Americano al Euro - Desde dic 1, 2008 a dic 31, 2008

Evolucion del dolar contra el euro

US Dollar to Euro Exchange Rate Graph - Jan 7, 2004 to Jan 5, 2009

V. SECCION: M. PRIMAS

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30 sept 2009

FMI: PERTE FINANCIERE, REV A LA BAISSE

"Nous sommes sur le chemin de la convalescence" : les premiers mots du rapport sur la stabilité financière dans le monde, présenté mercredi 30 septembre par le Fonds monétaire international (FMI) réuni à Istanbul, disent sans ambiguïté que la tempête - à son paroxysme au premier semestre 2009 - est en train de s'apaiser. En avril, le Fonds, chiffrait à 4 054 milliards de dollars (2 800 milliards d'euros) les dépréciations d'actifs des banques et des autres institutions financières dues à la crise (de 2007 à 2010). Il a réduit ce montant de 600 milliards, ramenant ces pertes à 3 400 milliards de dollars.

L'action vigoureuse des pouvoirs publics, qui ont volé au secours des établissements en difficulté à coup de dizaines de milliards de dollars, et le début de reprise économique ont contribué à cette embellie. Cela a permis aux banques de reconstituer leurs fonds propres, et aux marchés financiers, de se ranimer. Les marchés émergents ont perdu de leur dangerosité. Mais attention, prévient le FMI, "le risque demeure grand", notamment parce que le pire est à venir en matière de défauts de crédits. Il juge même que la moitié des dépréciations reste à faire.

Les Etats-Unis sont en avance sur l'Europe dans ce travail de nettoyage. Mais les banques américaines affrontent en ce moment une poussée des défaillances des prêts aux entreprises, qui ont du mal à rembourser. Le pic sera atteint fin 2009 ou début 2010 (11,5 % de défauts en juillet). Leurs consoeurs européennes sont quantitativement moins touchées (4,6 % de défauts), mais leur clientèle est constituée aux trois quarts de PME qui sont plus vulnérables.

Du côté des crédits immobiliers, l'effondrement n'est plus d'actualité, mais la montée du chômage et le recul du pouvoir d'achat ne permettent pas d'être très optimiste. Si l'on se place du point de vue géographique, ce sont l'Asie et l'Amérique latine qui ont le plus vite renoué avec une croissance du crédit. En revanche, l'Europe de l'Est ne retrouvera pas un marché assaini avant dix à dix-huit mois, selon le FMI.

Raréfaction du crédit

La demande mondiale de crédit continuera à croître en 2010, mais au taux historiquement faible de + 0,5 % en raison des difficultés persistantes des ménages et des entreprises. En regard, l'offre de crédit continuera à reculer, notamment au Royaume-Uni, où elle se contractera de 7,9 %. Cette raréfaction, a souligné José Vinals, directeur de la division des marchés du FMI, risque de provoquer un renchérissement du crédit qui pourrait étouffer la reprise.

Un autre danger tient à la façon dont seront arrêtées les coûteuses et multiples aides mises à la disposition des établissements financiers. Les maintenir trop longtemps mettrait en péril les budgets des Etats ; en sevrer trop vite les banques compromettrait le redémarrage mondial. "Il est vital de communiquer clairement la stratégie de retrait", prévient le FMI, qui préconise d'utiliser comme jalons de cette décrue "des indicateurs de marché plutôt que des dates précises", afin de ne pas nuire au regain de confiance dans le système financier.
Alain Faujas

CORRUPCION: CONDENA 6 AÑOS, Le Monde

L'ancien président du Pérou Alberto Fujimori a été condamné mercredi à six ans de prison pour corruption et écoutes illégales, lors de ses mandats entre 1990 et 2000.

M. Fujimori, 71 ans, a été reconnu coupable d'avoir acheté des députés d'opposition pour s'assurer une majorité, des médias pour avoir une couverture favorable, et d'avoir porté atteinte aux libertés par la mise sur écoute téléphonique d'opposants, journalistes, hommes d'affaires, sans oublier son épouse d'alors, et de personnalités comme le célèbre écrivain Mario Vargas Llosa, l'ancien secrétaire général de l'ONU Javier Perez de Cuellar.
L'ancien chef de l'Etat a été condamné à dédommager l'Etat et les victimes.
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Fujimori a aussitôt fait appel de la sentence à l'issue du court procès de trois jours, le quatrième et dernier sur ses années de présidence. Depuis son extradition du Chili, en 2007, après s'être réfugié pendant sept ans au Japon, l'ancien président a été déjà reconnu coupable à l'issue de trois procès et condamné à vingt-cinq ans de prison pour avoir ordonné deux massacres de militants gauchistes présumés. Cette nouvelle condamnation est donc sans effet pour Fujimori, les peines ne s'additionnant pas au Pérou. Le condamné purge ainsi la peine la plus longue à laquelle il a été condamné.

Lundi, au premier jour d'audience, il avait admis sa culpabilité afin d'écourter le procès, dont la mauvaise publicité aurait pu embarrasser sa fille, Keiko Fujimori, une députée conservatrice qui envisage de se présenter à la présidentielle de 2011.

chine: 60 ANIVERSARIO

La République populaire de Chine met en scène sa puissance retrouvée

[ 01/10/09 ]
Les autorités de Pékin célèbrent aujourd'hui avec faste le soixantième anniversaire de la proclamation, par Mao, de la République populaire de Chine. Elles entendent montrer au peuple que le Parti communiste a su rendre au pays sa force.
Y. R., Les Echos
DE NOTRE CORRESPONDANT à PéKIN.

L'une des plus grandes capitales du monde est, ce matin, en état de siège. Préparant depuis plusieurs mois la tenue aujourd'hui, à Pékin, de la célébration du soixantième anniversaire de la proclamation par Mao de la République populaire de Chine, le 1 er octobre 1949, les autorités communistes ont imposé aux 17 millions d'habitants un délirant carcan sécuritaire pour ne pas risquer le moindre imprévu dans le sacre du Parti. Depuis quelques jours, la ville est quadrillée par le GIGN local, encagoulé et armé de mitraillettes. Les administrations, hôtels et logements longeant le parcours de la parade militaire et du défilé de plus de 100.000 personnes ont été évacués il y a plusieurs jours ou placés sous la surveillance de dizaines de milliers de policiers qui patrouillent les routes du centre, interdites à la circulation et à la population, et s'assurent qu'aucun être humain n'ose s'approcher des fenêtres donnant sur la rue. Les 100.000 ­« volontaires », recrutés par les organisations d'encadrement des quartiers, doivent, eux, vérifier que toutes les terrasses des cafés et restaurants ont bien été interdites, que les éleveurs de pigeons voyageurs ont enfermé leurs oiseaux et que, dans les parcs de la cité, les grands-pères ne font pas voler de cerfs-volants, susceptibles d'être détournés par des terroristes. Dans les supermarchés, la vente de couteaux a été interdite depuis plusieurs jours pour prévenir tout coup de folie de dernière minute.

Pour justifier la sévérité de ces mesures, le pouvoir rappelle que les célébrations seront les plus fastueuses jamais organisées dans le pays. Plus que les 40 ans ou les 50 ans, le chiffre « 60 » marque dans la mythologie chinoise une étape clef car il boucle un cycle complet du calendrier chinois (cycles des 12 branches terrestres et des 10 troncs célestes) et marque l'entrée de la nation communiste dans une nouvelle ère. Sur la place Tiananmen, centre des célébrations, tous les plus hauts dignitaires du régime seront réunis pour assister à la démonstration de force de leur armée qui doit exhiber, selon le général Gao Jianguo, « 52 types d'équipements militaires 100 % chinois, dont près de 90 % pour la première fois ».
Respectabilité

Ces manifestations doivent montrer au peuple que, malgré des périodes difficiles et les errements économiques des années Mao qui ont fait des dizaines de millions de morts, le Parti communiste a, comme il l'avait promis il y a soixante ans, su rendre à la Chine le rayonnement qu'elle avait perdu au XIXe siècle sous les coups d'invasions étrangères. « Le peuple chinois s'est levé », avait lancé Mao, le 1er octobre 1949, signalant la fin de la décadence d'un pays alors peuplé de 475 millions de personnes vivant encore souvent comme au Moyen Âge. Soixante ans plus tard, la Chine, habitée par plus de 1,3 milliard d'habitants, est sur le point de devenir, grâce aux poli­tiques d'ouverture lancées par Deng Xiaoping, la deuxième puissance économique mondiale et pourrait s'imposer d'ici vingt ans comme la plus grande économie de la planète devant les Etats-Unis. Elle a gagné en respectabilité au sein de toutes les grandes institutions internationales et étendu son influence sur les continents asiatique, africain et sud-américain où elle conteste ouvertement le leadership de l'Europe et des Etats-Unis.

Tout en se gargarisant sur la scène domestique de ce « grand bond en avant », le pouvoir ­communiste montre, dans son angoisse sécuritaire, les limites mêmes du développement du pays. Plus que tout, le régime redoute toujours la contestation sociale et le désarroi de beaucoup de minorités n'ayant que peu profité du progrès et qui, faute de processus démocratique et surtout d'institutions assurant un état de droit, ne peuvent toujours exprimer leur mécontentement que par la violence.

AMERICALATINA: POBREZA. +10 MILLONES

WSJ
El Banco Mundial calcula que la crisis dejó 10 millones de pobres más en Latinoamérica

Por Kejal Vyas

NUEVA YORK (Dow Jones)--Alrededor de 10 millones de personas en América Latina probablemente pasarán a la categoría de pobres este año como resultado de la contracción económica, aunque la región está emergiendo con más fuerza que otras, señaló el Banco Mundial en un informe.

El efecto de la recesión en América Latina no es trivial y causará algunos retrocesos en los avances sociales alcanzados durante la parte más próspera de la década, señaló Augusto de la Torre, jefe de economistas para América Latina del Banco Mundial.

Estas declaraciones fueron preparadas de antemano para ser entregadas en un discurso que se realizó el martes en Miami.

El Banco Mundial estima que alrededor de 60 millones de personas salieron de la pobreza entre 2002 y 2008 y que otros 14 a 15 millones habrían ingresado en 2009 si la región hubiese continuado creciendo a un 4,3%.

A pesar de las implicaciones sociales para la región, De la Torre alabó la rápida y fuerte acción de las autoridades monetarias para recortar las tasas de interés, lo que ayudó a limitar los peores efectos de la recesión.

El PIB de América Latina se contraerá un 2% en 2009, de acuerdo a las proyecciones del banco.

Sin embargo, la estimación se ve perjudicada por México, que sufre la peor recesión, con proyecciones de una contracción económica del 7% este año.

Países con fuertes vínculos comerciales con China, como Brasil, están emergiendo con mayor rapidez de la recesión, informó el Banco Mundial. Chile y Argentina también repuntan gracias al aumento de la producción industrial.

Colombia, Ecuador, México y Uruguay parecen haber alcanzado un piso, dijo De la Torre. Sin embargo, para Perú y Venezuela "no hay señales claras de tocar piso todavía".

america latina: efectos crisis COMERCIO, segun BID

DICE PRESIDENTE DEL BID, el comercio de Lima

Latinoamérica tuvo crisis de comercio y no financiera

Con ocasión del XII Foro Interamericano de la Microempresa (Foromic 2009) a desarrollarse desde hoy hasta el viernes 2 de octubre en Arequipa, que en 1961 recibiera el primer crédito aprobado por el BID, su actual presidente, Luis Alberto Moreno, conversó con El Comercio sobre diversos aspectos de la economía regional, las perspectivas de crecimiento del Perú, los proyectos en los que trabaja el mayor organismo crediticio del hemisferio y sus planes de financiamiento para los países de la región.

¿A qué se debe su visita al Perú?
Tenemos un encuentro que hace el BID todos los años, que es el foro de microfinanzas, en el que participan 1.000 o 1.200 personas. Es el foro más grande de microfinanzas de la región, viene gente de por lo menos 40 países. Es una oportunidad para revisar en qué está la industria de microfinanzas. Ahí se conjugan instituciones de microfinanzas; reguladores, es decir, superintendentes bancarios de los diferentes países; entidades que dan servicio a la industria, como agencias calificadoras de riesgo y centrales de riesgo; y gente interesada en invertir en instituciones de microfinanzas.

Se dice que la caída de la economía global ya tocó fondo. ¿Cómo ve al Perú?
Coincido en que uno podría decir que hemos tocado fondo y que ahora viene el cambio de tendencia. Lo que veremos el próximo año será qué tan rápido o qué tan lento van a crecer las diferentes economías. No hay duda de que el Perú, incluso antes de entrar a esta crisis, estaba en una situación de mucha fortaleza. En la reunión del APEC del año pasado me preguntaron qué creía que iba a pasar con la economía peruana y la crisis internacional, y yo decía que de lo único que estaba seguro era de que el país que más iba a crecer este año iba a ser el Perú, y creo que ese va a ser el caso. Mientras la economía latinoamericana se contraerá casi un 2% este año, la peruana debe estar creciendo entre 1,5% y 2%.

¿Ese es un estimado del BID?
Nosotros no hacemos proyecciones. Nuestro oficio y nuestro enfoque es fundamentalmente financiar proyectos de desarrollo, pero las proyecciones de distintas instituciones hablan de entre 1,5% y 2%.

¿El BID confía en que el Perú crecerá 2%, sabiendo que hasta julio la mejora fue de 0,09%?
El segundo semestre siempre es mejor que el primero. De otro lado, aquí hay una situación en la cual hay sectores que están creciendo rápido y se han estado agotando los inventarios. Eso es un buen indicador de que debe haber un repunte en el sector industrial y de servicios. Yo sí creo que el Perú va a tener un buen segundo semestre este año.

¿Y hacia futuro? ¿El Perú podrá recuperar los niveles de crecimiento anteriores a la crisis?
Esa es la gran pregunta para el mundo. Hay que tener en cuenta los precios de los productos básicos que Latinoamérica le vende al mundo. En la región, a diferencia de lo que pasó en Estados Unidos y en Europa, no tuvimos una crisis financiera, tuvimos más una crisis de comercio. Viendo los indicadores de comercio, por ejemplo, la Cepal (Comisión Económica para América Latina y el Caribe) estima que la caída este año puede ser del orden de 30% en volumen y del 25% en valor. Un país como el Perú, que tiene una canasta exportadora muy atada a minerales, se ve afectado. Sin embargo, el Perú logró mantener niveles de inversión extranjera importantes. Además, acá hay un mercado interno que no había antes, que ha ayudado a amortiguar un poco la crisis. Por supuesto que al final del día nuestras economías, incluida la peruana, dependen de lo que pase en la economía mundial, especialmente en el Asia, que es un poco la que va a ayudar a jalar la recuperación.

¿Cómo estuvo la actividad de la banca de fomento antes de la crisis y cómo está ahora?
Esta crisis, para nosotros, empezó hace un año. Anteriormente, entramos en un proceso de profunda reestructuración, en parte porque había toda una gran pregunta sobre cuál era el verdadero rol de estas instituciones en un mundo en el que parecía haber recursos ilimitados. Había una facilidad muy grande para todos los países de colocar bonos en el exterior, cada vez con mayor cantidad de recursos en moneda local. Incluso, el apetito de deuda bajó, los porcentajes de deuda externa sobre el PBI para toda la región bajaron a 25%, y eso se debió en parte al hecho de que hubo cinco años de buen crecimiento económico y un proceso de acumulación de reservas que sirvió para que nuestros países pudieran reducir sus niveles de deuda. Independientemente de eso, nosotros, con todos los cambios que hicimos, sí empezamos a notar un crecimiento importante en la demanda de productos del BID, en parte porque ampliamos las ventanillas de atención al sector privado. Con ello, empezamos a entrar a financiar proyectos de gran escala que no hacíamos anteriormente hasta proyectos de menor escala en todos los sectores, con muy pocas excepciones, y eso hizo que el banco, antes de la crisis, estuviera prestando un promedio de US$10.000 millones al año en total, a toda Latinoamérica y el Caribe, cuando anteriormente las colocaciones del banco eran del orden de US$6.500 millones o US$7.000 millones. Sobra decir que, entrada la crisis, hicimos lo que había que hacer, es decir, aumentar la actividad, tanto así que este año debemos estar aprobando cerca de US$15.000 millones en créditos. El 2010 ese monto bajaría, pues ya estamos llegando a nuestro techo.

¿Y los desembolsos al Perú?
Hemos estado prestando y desembolsando al Perú cerca de US$500 millones al año. Más o menos ese ha sido el ritmo de aprobaciones. Y la cartera total, o sea, lo que el Perú le debe al BID, es del orden de US$2.000 millones. En este año los desembolsos van a estar en más de US$400 millones y el año entrante, en más US$500 millones.

¿Cómo va la capitalización del BID?
Tanto el BID, como el Banco Mundial, el Banco Asiático de Desarrollo, el Banco Africano de Desarrollo y el Banco Europeo de Desarrollo, todos estamos mirando la necesidad de estudiar un aumento de capital. La semana entrante, en Madrid, tendremos una reunión del comité de gobernadores del banco, que son básicamente los ministros de Hacienda, para seguir con la discusión de cómo avanzar con este proceso de aumento de capital. Eso para poder mantener unos ritmos más altos de créditos que el banco debería de hacer, como quiera que hay una mayor demanda en todos los países. Estamos terminando una primera fase y entrando en una fase final. Esa primera fase consistió en resolver una cantidad de preguntas, proyecciones e información que nos pidieron nuestros accionistas en cuanto a escenarios financieros, escenarios de demanda y los énfasis que el BID puede dar a distintas prioridades hacia el futuro. Ahora viene un proceso de negociación entre los accionistas para determinar qué tamaño de banco quieren tener y qué quieren hacer con esos nuevos recursos.

¿Antes de la crisis, en qué tipo de activos invertía el BID?
Instituciones como el BID tienen calificación triple A. Para llegar a tener esa calificación hay que mantener índices de liquidez importantes. El tipo de inversiones que el banco maneja son inversiones muy conservadoras, como por ejemplo, papeles del Estado de Estados Unidos y activos amparados en hipotecas, entre otros. Los papeles que comprábamos son triple A. Esas inversiones tuvieron unas pérdidas contables que llegaron a montos grandes, pero las pérdidas realizadas a la fecha son de US$100 millones. Las pérdidas contables, que llegaron hasta US$2.100 millones y hoy están en alrededor US$1.600 millones, se han venido recuperando.

El euro anticipa alzas o bajas
Con respecto a la tendencia del dólar de las últimas semanas, el presidente del BID, Luis Alberto Moreno, consideró que indudable que la moneda estadounidense pierde competitividad.

Explicó que ello se debe, en parte, a que Estados Unidos enfrenta un déficit del orden del 10% de su PBI, su balanza comercial es deficitaria e incluso tiene déficit de cuenta corriente.

“Además, hay países como China con un crecimiento muy grande, y en Europa, el euro se ha estado revaluando en las últimas semanas”, detalló el presidente del BID.

Refirió que el presidente del Banco Central de China habla de la necesidad de empezar a realizar transacciones de comercio en moneda local, tema que ya ha sido planteado por países como Argentina y Brasil, para hacer transacciones en sus propias monedas.

“Creo que vamos a ver mucho de ese estilo de cambios en la medida en que los países quieran asegurarse de estar transando en monedas que tengan menos volatilidad”, comentó Moreno.

El presidente del BID señaló que algunas monedas de países de América Latina parecieran estar mucho más ancladas en el euro que en el dólar.

“La correlación que se da entre esas monedas y el euro es más grande que con el dólar. Entonces, las variaciones en el euro anticipan hacia dónde se van a apreciar o depreciar las monedas”, afirmó.

LA FICHA
Nombre: Luis Alberto Moreno.
Edad: 56 años.
Cargo: Presidente del BID.
Estudios: Administrador de negocios y economista de la Florida Atlantic University. Máster en Administración de Empresas de la Universidad de Thunderbird.
Experiencia: Embajador de Colombia en EE.UU., presidente del Instituto de Fomento Industrial, entre otros cargos.

Perú: índice global de clima de negocios microfinanzas

Martes, 29 de Septiembre de 2009, 16:31hs

Fuente: INVERTIA
Indicadores
Perú encabeza nuevo índice global de clima de negocios para microfinanzas

FOMIN, CAF y ICF presentan resultados del informe Microscopio 2009 desarrollado por The Economist Intelligence Unit

LIMA.- Perú tiene las mejores condiciones de negocios del mundo para las microfinanzas, según los resultados del Índice Microscopio 2009, divulgado hoy por el Fondo Multilateral de Inversiones (FOMIN) del Banco Interamericano de Desarrollo, la Corporación Andina de Fomento (CAF), la Corporación Financiera Internacional (IFC) y The Economist Intelligence Unit (EIU).

Este es el segundo año consecutivo en que Perú encabeza la tabla como el país mejor calificado por el Microscopio. Hasta el año pasado el índice cubría 20 países latinoamericanos y caribeños. Este año se expandió a 55 países en todo el mundo, y el liderazgo regional de Perú ha pasado a ser global.

La región mejor calificada en el informe es América Latina, reflejo de la vocación por las microfinanzas que existe en diversos países de dicha región. Bolivia ocupó el segundo lugar en el índice global y otros cuatro países latinoamericanos figuraron entre los primeros diez puestos (Ecuador, Nicaragua, Colombia y El Salvador).

Filipinas, en el tercer lugar, fue el país mejor calificado fuera de América Latina, seguido de cerca por India, que ocupó el cuarto lugar. Los países africanos mejor calificados fueron Ghana, quinto, y Uganda, sexto.

El índice será presentado en el Foro Interamericano de la Microempresa (Foromic), que se llevará a cabo en la ciudad peruana de Arequipa del 30 de septiembre al 2 de octubre.

El Microscopio fue creado en 2007 por EIU, la filial de información de negocios de The Economist Group, con apoyo del FOMIN y de la CAF. Luego de dos ediciones, la IFC, con apoyo del gobierno de los Países Bajos, se sumó a la iniciativa, permitiendo que el índice se convirtiera en un instrumento global.

"La expansión del Microscopio abre una ventana para ver las maneras en que los países innovan en las microfinanzas, revelando las áreas en donde hace falta mejorar", comentó la gerenta de investigación de EIU, Vanesa Sanchez. "Al considerar las prácticas de negocios y el desarrollo del mercado, así como los marcos legales, el índice puede ser una herramienta valiosa para los gestores de políticas, los profesionales de la industria, los donantes y los inversionistas".

El índice consiste en una evaluación que toma en cuenta 13 indicadores agrupados en tres categorías: marco regulatorio, clima para las inversiones y desarrollo institucional. Camboya y Filipinas encabezaron la tabla de marco regulatorio, mientras que Chile quedó al tope de la categoría sobre clima para las inversiones. Bolivia y Perú empataron en el primer lugar en desarrollo institucional.

Los países fueron elegidos sobre la base de la importancia o potencial de desarrollo de sus sectores microfinanciero. Sin embargo, dado que el índice global se basa en estudios previamente realizados sólo en América Latina y el Caribe, esta región está más representada que las otras, con 21 países sobre un total de 55. El índice incluye a 12 países del África subsahariana, 7 de Europa Oriental y Asia Central, 7 de Asia Oriental, 5 del sur de Asia, y 3 del Medio Oriente y África del Norte.

"En los últimos dos años, cuando se enfocó en América Latina y el Caribe, el Microscopio catalizó cambios significativo en las políticas de microfinanzas", observó la gerenta general del FOMIN, Julie T. Katzman. "Esta es una herramienta que ayuda a tomar decisiones, ofreciendo información actualizada y completa, que permite comparar sus políticas y acciones entre países".

El Microscopio 2009 se presenta en "el momento ideal para tomar decisiones acertadas", señaló el Director Adjunto PyME y Microfinanzas de la CAF, Alejandro Soriano. "Este informe será una guía de referencia para mantenerse al día sobre los cambios en la industria, facilitando que las innovaciones se compartan y propaguen por el mundo".

El gerente de la IFC para Servicios de Asesoría sobre Acceso a las Finanzas, Peer Stein, apuntó: "El alcance ampliado del nuevo informe nos permite comprender mejor dónde están tomando vuelo las microfinanzas y qué hace posible ese despegue. Perfeccionar los entornos regulatorios e institucionales para las microfinanzas en los mercados emergentes es fundamental para construir sistemas financieros más inclusivos que beneficien a todos"

gas: chile-argentina

Tras años de cortesUna gasífera chilena deja de comprar a la Argentina

Además demanda a TGN y petroleras

lanacion.com | Economía | Mi�rcoles 30 de setiembre de 2009

ARGENTINA,PERU: ULTIMOS

Encuesta regional

Tiene 23% de aceptación, según un estudio en toda América; Lula supera el 80 por ciento

>
lanacion.com | Política | Mi�rcoles 30 de setiembre de 2009

29 sept 2009

america latina: -2% en 2009

Crecimiento de Latinoamérica se contraerá 2% en 2009 según el Banco Mundial

Dow Jones Newswires

MIAMI (EFE Dow Jones)--El crecimiento económico de Latinoamérica se contraerá un 2% en el 2009, liderado por una fuerte caída del 7% del Producto Interno Bruto de México, según los pronósticos del Banco Mundial divulgados el lunes por la tarde en Miami.

No obstante, la región comienza a dar señales de recuperación frente a la crisis financiera internacional, por lo que Latinoamérica debería cerrar el próximo año con una tasa de crecimiento del tres por ciento.

"Lo peor de la crisis ha pasado", dijo Augusto de la Torre, economista jefe para Latinoamérica y el Caribe del Banco Mundial, en una conferencia de prensa en la que se presentó el informe "La crisis global: lo peor pasó, América Latina preparada para la recuperación".

Como consecuencia del descenso del crecimiento, el número de pobres se elevará en alrededor de diez millones de personas, pero hubiera aumentado aún más si no se mantenían los programas de asistencia social que, incluso, en algunos países como Chile hasta se expandieron.

"Es notable que entre las recesiones dentro de la región la más aguda es la de México. De hecho, si se excluye de la muestra y se calcula de nuevo el crecimiento económico, prácticamente no habría contracción en Latinoamérica", dijo.

Se espera que México, Centroamérica y el Caribe, cuyas economías están muy vinculadas con Estados Unidos, registren una recuperación importante a comienzos del 2010 por la percepción que existe del crecimiento del PIB estadounidense.

La recesión latinoamericana, según el funcionario, no es la peor si se compara con otras regiones: el PIB de Japón y Europa occidental sufrirá una mayor contracción de 5,7% y 4,1%, respectivamente.

Los costos caleta de la crisis

La agencia que garantiza depósitos bancarios en EE.UU. está corta de dinero

1 hora, 58 minutos

Washington, 29 sep (EFE).- La Corporación Federal de Seguro de Depósitos, que garantiza los dineros de los depósitos bancarios, estudia hoy mecanismos para reponer sus reservas después de pagar miles de millones de dólares por bancos quebrados.

La agencia, conocida por su sigla en inglés FDIC y que garantiza los depósitos en unos 8.000 bancos, ha gastado unos 14.000 millones de dólares en tan sólo los últimos tres meses, para liquidar 50 bancos.

Hasta hace un año, la FDIC garantizaba los depósitos individuales en hasta 125.000 dólares, pero tras el estallido de la crisis financiera a fines de 2008, la agencia elevó a 250.000 dólares, en forma temporal, su garantía para evitar el pánico de los clientes.

Según el diario The Wall Street Journal, uno de los mecanismos que discutirán hoy los responsables de la FDIC es exigir que los bancos asegurados paguen por adelantado las tarifas correspondientes a tres años, con lo cual esperan recolectar hasta 54.000 millones de dólares.

"Se espera que la medida sea recibida con quejas de los bancos debido al monto de dinero que deberían pagar de una vez", señaló el diario.

La FDIC, que respalda varios billones de dólares en depósitos bancarios en EE.UU., tenía 10.400 millones de dólares en su fondo de garantía de depósitos a finales de junio pasado, comparado con 45.200 millones de dólares un año antes.

La agencia, que obtiene sus recursos de tarifas cobradas a los bancos, debe reponer sus fondos cuando estos caen por debajo de cierto nivel.

En lo que va de 2009, han quebrado 95 bancos y se esperan más colapsos bancarios para el año próximo.



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28 sept 2009

MEXICO: CAE -6.9% PBI

Cae actividad económica en México
Economía - Lunes 28 de septiembre (15:00 hrs.)

(Foto: EFE)

  • El índice retrocede 6.9% en julio
  • Sector servicios, el más afectado por la recesión

El Financiero en línea

México, 28 de septiembre.-La recesión económica mostró sus peores efectos sobre la actividad de la economía mexicana durante el segundo semestre de 2009, siendo los sectores terciario y secundario los más afectados, aún cuando el sector primario registró un resultado negativo.

De acuerdo con la información publicada por el Instituto Nacional de Estadística y Geografía (INEGI), durante julio de 2009 se registró una caída de 6.9 por ciento anual en el PIB nacional, medido a través del Indicador Global de la Actividad Económica, siendo el sector de los servicios el más afectada por la recesión.

Con esté resultado, la actividad económica liga su décima caída consecutiva, tendencia que inició desde octubre de 2008 y que amenaza con mantenerse el resto del año, superando la contracción que estimaba el mercado de 9.5 por ciento anual, para el segundo trimestre del año, al arrojar un desplome de 10.3 por ciento anual.

De tal manera que la disminución de 7.6 por ciento anual que arrojó el sector terciario durante el séptimo mes del año lo colocó como el ramo más afectado de la economía, originándose principalmente por la baja en el comercio, del auto transporte de carga y de los servicios Inmobiliarios.

En el mismo sentido, el sector secundario arrojó una caída de 6.5 por ciento anual, como resultado de la baja que mostraron las ramas de la producción de equipo de transporte, en la edificación, y en la rama de extracción de petróleo y gas.

Al igual que en los dos principales sectores de la economía mexicana, la actividad agropecuaria arrojó una ligera caída de 1.7 por ciento a tasa anual hasta el mes de julio del presente año, debido a la menor producción de cultivos como la caña de azúcar, el fríjol, el maíz en grano, el mango y la alfalfa verde y tomate. De forma contraria, las actividades ganaderas registraron un comportamiento positivo. (Con información de Finsat/MCH)

BOLIVIA;Moody's sube la calificación de crédito

Por Matthew Cowley
Dow Jones Newswires

Moody's Investors Service elevó el lunes la calificación crediticia de Bolivia, debido a que la economía no se ha visto afectada por la crisis internacional, mientras que los niveles de deuda son más bajos y las tensiones políticas se han calmado.

Moody's elevó de "B3" a "B2" sus calificaciones para los bonos gubernamentales en moneda extranjera y local y señaló que las perspectivas de las calificaciones son estables.

"Años de crecimiento superior a la tendencia y los beneficios de condonación de deuda externa mejoraron significativamente la mayoría de las mediciones crediticias de Bolivia", dijo Gabriel Torres, vicepresidente de Moody's y analista soberano para Bolivia.

Las reservas extranjeras se encuentran en alrededor de 50% del Producto Interno Bruto y los ahorros gubernamentales superan 10% del PIB, señaló Torres.

La economía boliviana se ha desempeñado bien durante la crisis crediticia mundial, con una expansión superior a 6% el año pasado y probablemente será uno de los pocos países de la región que registre un crecimiento positivo durante 2009, informó Moody's.

El país podría tener dificultades para mantener este crecimiento debido a los coeficientes de inversión muy bajos, señaló.

A pesar de que las cuentas fiscales se deteriorarán este año, el gobierno cuenta con ahorros substanciales que puede usar para responder a sus ingresos y gastos, gracias a tres años de superávit.

usa:Zoellick advierte del fin del dólar

El presidente del Banco Mundial prevé que la moneda estadounidense dejará de ser la divisa de referencia mundial.- El euro se perfila como la gran alternativa

AGENCIAS - Washington - 28/09/2009

El dólar estadounidense, moneda de referencia mundial, podría convertirse en una de las víctimas de la crisis financiera, según Robert Zoellick. El presidente del Banco Mundial considera que los días de gloria de los billetes verdes están contados. Después de la debacle, Zoellick pronosticá que las mayores economías emergentes del mundo tendrán una mayor influencia mundial, en detrimento de Estados Unidos, el epicentro del desastre. Las alternativas apuntadas por el mandamás del Banco Mundial son el euro y la moneda china.

"La actual suposición es que después de la crisis la economía reflejará la creciente influencia de China, probablemente India, y de otras grandes economías emergentes. Supuestamente, EE UU, verá reducido su poder económico e influencia", ha asegurado hoy Zoellick en un discurso pronunciado en la prestigiosa universidad Johns Hopkins, en Baltimore. Y en este nuevo orden económico mundial, el dólar podría perder su posición dominante. "Estados Unidos se equivocaría si creyese garantizado para su moneda el papel de divisa predominante del mundo. Mirando hacia delante, cada vez más habrá otras opciones diferentes", pero, matiza, "el dólar seguirá siendo una de las principales divisas".

Las alternativas más sólidas son el euro -"hay muchas razones para creer que su aceptabilidad podría aumentar"- y la moneda china. Respecto al país asiático, Zoellick apunta que "China se está moviendo hacia una gradual internacionalización de su divisa. China está facilitando a sus socios comerciales el uso del yuan".

No obstante, el presidente del Banco Mundial también vislumbra baches en los caminos de europeos y chinos. La EU, según Zoellick, debe "encarar inseguridades", como su vulnerabilidad energética, la inestabilidad de los Balcanes y la relación con Turquía. China, al mismo tiempo, "todavía encara grandes incertidumbres en 2010".

La previsión del mandamás del Banco Mundial parece encajar con el acuerdo alcanzado la semana pasada en Pittsburg. Los líderes del club de países ricos y emergentes, el G-20, decidieron en la ciudad estadounidense que este foro se convierta en el escenario principal para la cooperación económica internacional, desplazando al G-8, formado por el G-7 de países más industrializados y Rusia. Se prevé que el nuevo formato otorgue mayor importancia a naciones en ascenso como China, India y Brasil y reste influencia a los poderes tradicionales europeos.

america latina: efectos crisis

http://media.eclac.cl/presentaciones/conferencias2009/paninsal/aliciabarcena/aliciabarcena.html

g20: nueva instancia del poder economico global

Pittsburgh (EE.UU.). (EFE).- La cumbre de Pittsburgh de jefes de Estado del G-20 concluyó hoy con un claro logro para este grupo apenas conocido hace un año, que ahora sale reconvertido en el gran supervisor del funcionamiento económico mundial.
Los mandatarios se despiden de esta tercera cumbre con algunos logros a sus espaldas, entre ellos el compromiso de poner los cimientos para lograr un crecimiento sostenido y, sobre todo, resolver las debilidades que condujeron a la crisis financiera mundial .

Así, el G-20 respaldó que los países ricos transfieran "por lo menos" un 5 por ciento de su voto en el Fondo Monetario Internacional (FMI) a las naciones en desarrollo. La cesión del 5 por ciento, una propuesta de EE.UU. que es inferior al 7 por ciento que pedían Brasil, China, Rusia e India, es un logro para los países emergentes y una pérdida para algunas naciones de Europa, que tendrán que renunciar a una parte de su capacidad de voto en el Fondo Monetario Internacional (FMI).

El G-20 también respaldó la importancia de adoptar una "fórmula dinámica" en el Banco Mundial que refleje el cambiante peso político de los países y que se traduzca en un incremento del "al menos" 3% del poder de voto de los emergentes. Ese incremento debería favorecer a aquellos países que están poco representados dada su contribución a la economía mundial. La medida debería otorgar a España mayor peso y representación en el FMI, según interpretó Zapatero en rueda de prensa tras la cumbre.

Así, los líderes se comprometieron a acabar con los "excesos" en el sector bancario, ante la constancia de que su "temeridad y ausencia de responsabilidad" condujeron a la crisis. La declaración adoptada hoy ataca los altos bonos de los directivos bancarios que, según recomiendan, deben ser fijados por objetivos a largo plazo y vinculados al rendimiento de la entidad. No obstante, no impone unos limites a estos bonos, como defendía Francia, con la oposición de Estados Unidos.

Otro de los mensajes claros de la cumbre es que "hay que evitar la retirada prematura de los planes de estímulo" que han puesto en marcha los países para incentivar la reactivación económica, aunque se comprometen a comenzar a preparar una "estrategia de salida" cuando sea oportuno.

El Grupo de los Veinte señaló en el comunicado final, que los países que tienen un poder de voto excesivo en relación con su peso actual en la economía mundial cederán parte de su poder. El grupo insistió además en la necesidad de "proteger" el poder de voto de los países más pobres.

Además, los jefes de Estado y Gobierno del G-20 pidieron al Banco Mundial que desempeñe un "papel clave" en la respuesta a aquellos problemas cuya naturaleza requiere una acción coordinada, como el cambio climático y la seguridad alimenticia.

Para finalizar, el organismo insistió en la necesidad de que tanto el Banco Mundial como los bancos regionales de desarrollo tengan "suficientes recursos" para hacer frente a los actuales desafíos globales y poder llevar a cabo sus mandatos.

Por su parte, España hizo presión en la cumbre para evitar que la reforma del FMI aumente sólo el voto de los países en desarrollo y no refuerce también la representación española.

España estaba a favor de que los países que ahora están sobre-representados en el Fondo traspasasen peso a los infra-representados, sin importar si los beneficiados son países en desarrollo o avanzados, según dijo a Efe una fuente de la delegación, que pidió no ser identificada. "Lo que no aceptamos es que ese peso sólo lo puedan ganar países en desarrollo infra-representados", afirmó el funcionario, que reveló que España cuenta con el respaldo del resto de Europa en su demanda.

España presionó in extremis para que se cambiase el lenguaje del comunicado y que se aboguase por un incremento del voto simplemente de las naciones "dinámicas", según revelaron otras fuentes de dos Gobiernos, que pidieron no ser identificadas. España contaba en 2008 con un Producto Interno Bruto (PIB) de 1,6 billones de dólares, a precios de mercado, lo que equivale al 2,6 por ciento de la economía mundial. En cambio, su poder de voto en el FMI no llega al 1,4 por ciento.

Esa disparidad se debe a que España ha crecido a un ritmo mayor que la media mundial tras su integración al organismo en 1956, mientras que su representación en el FMI apenas se ha ajustado para reflejar ese avance. En cambio, países europeos pequeños como Bélgica y Suiza están sobre-representados, dado que la fórmula que crearon los vencedores de la Segunda Guerra Mundial para dividirse el poder en el Fondo da un peso especial a la apertura económica, y son por ello los que más tienen que perder con la reforma.

Brasil, China, India y Rusia reclamaban una transferencia del 7 por ciento del voto, mientras que Estados Unidos había propuesto limitarla a un 5 por ciento, la idea que ha ganado fuerza en la cumbre.

EE.UU., principal aliado de los emergentes
Washington no pierde poder con la reforma, puesto que en realidad también está infra-representado: su Producto Interno Bruto (PIB) a precios de mercado superaba en el 2008 el 23 por ciento de la economía mundial y su poder de voto en el FMI ronda tan sólo el 17 por ciento. Ese porcentaje le da, sin embargo, el derecho de veto de las decisiones más importantes, que requieren una mayoría del 85 por ciento.

En este contexto, Washington se ha erigido como el principal aliado de los países emergentes grandes para darles más poder en los organismos económicos mundiales. Su decisión de potenciar el G-20, en detrimento del G-8, anunciada hoy, también es una forma de reconocer su nuevo peso en el mundo.

Actualmente los países de la Unión Europea designan o tienen gran influencia en el nombramiento de los ocupantes de 10 de las 24 sillas y Estados Unidos ha pedido en la cumbre del G-20 que renuncien a algunas de ellas.

Sin embargo, en ese punto Europa por ahora no ha dado su brazo a torcer y el comunicado incluye sólo una afirmación vaga de que el debate sobre la reforma del FMI también abordará "el tamaño y la composición" del Consejo Ejecutivo. España actualmente comparte una silla en ese órgano con México y otros países latinoamericanos más pequeños.

La transferencia del 5 por ciento del voto es la reforma más profunda del FMI desde su fundación y podría llevar a que China gane más poder que Francia y Reino Unido. España, que pujaba por no quedarse de lado en un organismo al que la crisis ha traído recursos adicionales de 500.000 millones de dólares y papel central en la redefinición del sistema financiero mundial.

G20: Movilizaciones

http://www.bbc.co.uk/mundo/internacional/2009/09/090925_video_g20_protestas_nc.shtml?s

Honduras: estado de sitio

"Honduras: estado de sitio durante 45 días" : http://www.bbc.co.uk/mundo/america_latina/2009/09/090927_2313_honduras_oea_expulsa_rb.shtml?s

g20: nueva instancia del poder economico global

"Economías emergentes asumen nuevo rol" :

http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/09/090925_0551_g20_medidas_rb.shtml?s

26 sept 2009

Proponen ITF global bancario financiero

A FAVOR DE UN IMPUESTO A LAS OPERACIONES FINANCIERAS GLOBALES

por P. Steinbrück, ministro de Finanzas alemán
Qué falló en los mercados financieros globales? En pocas palabras, la implosión

    1. de un nuevo entorno financiero sofisticado y la consiguiente crisis tuvieron su
    2. origen en la idea de que los mercados libres y no sujetos a ninguna regulación
    3. siempre funcionan en beneficio público y son todo lo que se necesita para gozar
    4. de prosperidad económica.

    5. El preámbulo de esta crisis fue una combinación de dinero barato, desregulación
    6. y una carrera por obtener los máximos beneficios por parte de los ejecutivos que
    7. no se dejaban intimidar por los riesgos asociados a sus operaciones.

    8. Cuando la burbuja inmobiliaria estalló y los mercados financieros se colapsaron,
    9. el crecimiento global cayó en picado como nunca lo había hecho desde la Gran
    10. Depresión. Para este año está previsto que el PIB de las economías avanzadas
    11. retroceda un 4%. Las pérdidas totales del sector financiero en las economías
    12. avanzadas ascienden a aproximadamente 1,6 billones de dólares (1,08 billones de
    13. euros). El FMI calcula que todavía se producirán pérdidas que superarán más del
    14. doble de esta cantidad. El paro seguirá aumentando.

    15. Las generaciones futuras tendrán que hacer frente a una explosión de deuda
    16. pública y tardaremos años en alcanzar la plena recuperación.

    17. A pesar de todas estas dificultades, los integrantes del mercado financiero que
    18. han logrado sobrevivir a esta debacle han obtenido importantes beneficios de los
    19. planes de rescate estatales. La media de las ayudas de los miembros del G20 al
    20. sector financiero supera el 30% del PIB (incluyendo inyecciones de capital,
    21. garantías, préstamos del Tesoro y compras de activos, provisiones de liquidez y
    22. otras ayudas de los bancos centrales).

    23. Nuestra respuesta política a esta crisis tendrá que incluir nuevas formas de
    24. financiación y de distribución de la carga fiscal. En este contexto, el ministro
    25. de Asuntos Exteriores alemán, Frank-Walter Steinmeier, y yo hemos avanzado una
    26. propuesta para la introducción de un impuesto a las transacciones financieras
    27. globales (FTT, en sus siglas en inglés).

    28. Aunque la opinión pública es consciente de lo que acontece en Wall Street, en
    29. Londres y en Fránkfort, los participantes del mercado financiero no están
    30. haciendo todo lo que pueden en esta crisis, Los ciudadanos saben que se han
    31. utilizado cientos de miles de millones de euros y de dólares para rescatar a los
    32. bancos. Los pagos de bonus en el sector financiero coexisten ahora con la
    33. pérdida masiva de puestos de trabajo en la economía real.

    34. He llegado a la conclusión de que la respuesta política a esta crisis debe ir
    35. acompañada de algo más que de un mejor sistema regulador, estrategias de gestión
    36. de riesgos y requisitos de capital. El modo en el que los gobiernos consigan
    37. repartir el peso entre Wall Street y los contribuyentes definirá la cohesión
    38. social, la estabilidad de los mercados financieros y la reputación de los
    39. líderes políticos durante los próximos años.

    40. Es cierto que el pago de compensaciones y las cuotas de garantías
    41. gubernamentales recaen sobre los bancos que participan en programas de
    42. estabilización financiados por el contribuyente, pero eso no es suficiente. Los
    43. participantes de los mercados financieros tienen que demostrar que entienden su
    44. responsabilidad en esta crisis y que están dispuestos a contribuir en la medida
    45. de lo posible para evitar que esta situación se repita.

    46. Un impuesto a las transacciones financieras globales, aplicado de forma uniforme
    47. en todos los países del G20, de forma que además cubra todas las operaciones
    48. financieras a un tipo muy bajo, es el instrumento más adecuado para garantizar
    49. la contribución equitativa de todos los integrantes del mercado financiero.

    50. Junto al ministro Steinmeier, propondré que el G20 tome medidas adecuadas de
    51. cara a introducir un FTT del 0,05% para todas las operaciones de productos
    52. financieros en el marco de sus jurisdicciones, con independencia de que esas
    53. transacciones tengan lugar en los mercados de valores. Los gobiernos nacionales
    54. podrían establecer una deducción fiscal por gastos personales para los
    55. inversores minoristas.

    56. Según los cálculos realizados por el Instituto Austriaco de Investigaciones
    57. Económicas, que ha estudiado los posibles efectos del FTT por encargo del
    58. Ejecutivo del país, un FTT global del 0,05% podría reportar unos beneficios de
    59. hasta 690.000 millones de dólares anuales, lo que equivale a aproximadamente el
    60. 1,4% del PIB mundial.

    61. Ese impuesto no supondría una carga excesiva para los integrantes del mercado
    62. financiero, pero, en cambio, serviría para reunir una cantidad importante de
    63. capital para financiar el coste de esta crisis.

    64. Los participantes del mercado financiero están haciendo todo lo posible para
    65. evitar pagar lo que les corresponde, proponiendo una serie de argumentos en
    66. contra de un FTT con los que intentan encubrir su oposición. Algunos aseguran
    67. que un impuesto de ese tipo provocaría evasiones fiscales por parte de sus
    68. colegas y podría dar lugar a falsas interpretaciones. No obstante, estoy
    69. convencido de que las prácticas evasivas de los miembros del mercado serían
    70. prácticamente imposibles si el G20 permaneciera unido en este aspecto.

    71. El volumen de operaciones del G20 y de las bolsas de la Unión Europea representa
    72. aproximadamente el 97% de las transacciones totales de valores cotizados y casi
    73. el 94% del volumen total de bonos cotizados.

    74. Dado que el impuesto sería muy bajo e incluiría las operaciones en bolsas,
    75. mercados de derivados y mercados OTC, cuyas negociaciones se realizan fuera del
    76. ámbito de las bolsas, así como todas las clases de activos (acciones, bonos,
    77. derivados y divisas) tampoco habría lugar a equívocos. No creo que una tasa de
    78. ese tipo incida de una forma tan negativa en la liquidez del mercado pero,
    79. incluso en el caso de que así fuera, un pequeño empujón a este tipo de
    80. actividades no resultaría tan negativo.

    81. En el debate entre los ministros de Finanzas durante la reunión de Londres antes
    82. de la cumbre del G20 se llegó a un acuerdo básico favorable a la distribución
    83. equitativa de los costes de la crisis financiera.

    84. Durante la cumbre de Pittsburg, deberíamos concretar cuál se consideraría el
    85. reparto más ecuánime entre contribuyentes y participantes del mercado financiero.

    86. La canciller alemana Angela Merkel ha encontrado respaldo a esta iniciativa por
    87. parte del primer ministro británico Gordon Brown y del presidente francés
    88. Nicolas Sarkozy. Percibimos gestos de interés y disposición a profundizar en la
    89. propuesta tanto en el seno de la Unión Europea como fuera de sus fronteras.

    90. Sin duda, existen motivos a favor de la introducción de un FTT global, lejos de
    91. ser perjudicial, reportaría muchos beneficios. Si alguien tiene una idea mejor
    92. para la distribución equitativa del gasto que ha generado esta crisis entre los
    93. contribuyentes y Wall Street, le prestaremos la atención que se merece. De lo
    94. contrario, cuanto antes tengamos un FTT, mejor.

    95. The Financial Times Limited 2009. All Rights Reserved.

peru; impuestos cuando hay recesión, debate

Bruno, con la corrección de Richard seria si "s es mayor a sp", si los privados ahorran más que el sector público el incremento de impuestos implica que el incremento del gasto público es mayor a la reducción en gasto privado. Pero creo que también se debe considerar que el dinero que el sector privado ahorraba se iba va a inversión, los impuestos de ahora por lo tanto contraen la inversión futura. No afectas en monto gastado sino, en el mejor de los casos, el momento en que se gasta. El otro factor a evaluar es cómo gasta el sector público. El proceso esta quitándole recursos a un grupo de agentes económicos que realizan gastos buscando el mayor retorno por sol invertido. Pocos consideraran que esto mismo sucede en el sector público. Menos aún acercándose periodos electorales. Y peor aun cuando se pretende hacer paquetes de gasto fiscal a la volada como en EE.UU. (en www.AtikaPeru.com recopilé lo que han dicho algunos nobels de economía o nobels por ser al respecto, aunque quisiera agregar a mas de los que si creen en el modelo keynesiano para tener un mejor balance).

Diego


Bruno:

tu penultima ecuacion dice:

Y= A+(1-s)*(Y-T) + (1-sp)*T+B+mY+ F+xY*

¿ no deberia ser? :

Y= A+(1-s)*(Y-T) + (1-sp)*T+B - mY+ F+xY*


..... pues las importaciones entran restando.


Por otro lado tu ultima ecuacion dice:

Y= (1/(s+m))*(A+ B+F+xY*) - (s-sp)(s+m)T

no deberia ser ?:

Y = [ 1/(s+m) ] * [ (A+B+F+xY*) + (s-sp)T ]

de esa forma si el gobierno tiene una altisima propension a gastar lo recaudado (sp=0) la mayor recaudacion tributaria aumentaria el PIB



Richard Roca

________________________________


La respuesta no es tan simple. Adjunto como una explicaciòn un pequeño modelo. Puedes encontrar en una explicaciòn completa en el libro de polìtica fiscal de Fpelix Jimenez.

Mini modeelo elaborado por Oscar Dancourt hace ace cinco años.

Bruno

1. Introducción
2. El Modelo
La primera ecuación del modelo nos permite indicar cuáles son los componentes de la demanda agregada en una economía abierta:
(1-1) Y= E+G+X-M
Donde E indica el Gasto total del Sector Privado, G el Gasto Público , X las exportaciones y M a las importaciones.

La segunda ecuación del modelo expresa cuales son los determinantes del Gasto total del Sector privado:

(1-2) E= A+(1-s)*(Yd)
;
En esta ecuación A denota al componente autónomo del gato, s es la propensión marginal a ahorrar del sector privado e Yd el ingreso disponible.

Indicamos en la tercera ecuación del modelo cuales son los determinantes del gasto total del sector público:
(1-3) G= B+ (1-sp) T
Aquí B indicada el gasto público autónomo, sp la propensión marginal ahorrar del gobierno y T a los impuestos
En la cuarta ecuación del modelo indicamos cuales son los determinantes de las importaciones:

(1-4) M= mY

En la quinta los factores que determinan las exportaciones:

(1-5) X= F+ xY*

Donde Y* denota al ingreso Mundial y F a las ecpotaciones autónomas.

En la ecuación (1-6) escribiremos cuales son los determinantes del ingreso disponible del sector privado:
(1-6) Yd= Y-T

Para resolver este simple modelo podemos reemplazar (1-2) y (1-6) en (1-1) y así obtener:

Y= A+(1-s)*(Y-T) + (1-sp)*T+B+mY+ F+xY*

Después de agrupar algunos términos y simplificar esta expresión obtenemos la siguiente forma reducida para los determinantes del ingreso:

Y= (1/(s+m))*(A+ B+F+xY*)- (s-sp)(s+ m)T

Esta expresión nos muestra, con claridad, que el ingreso se reduce cuando aumentan los impuestos.

El crucial factor que determine el signo es la diferencia entre la propensión marginal a ahorrar del sector privado y la del sector público. Un aumento en los sólo cuando s es mayor que sp y este es el caso usual que discuten los libros de de texto. Sin embargo un incremento en los impuestos puede aumentar el ingreso si s es menor que sp.



25 sept 2009

BRASIL: MEREILLES VICEPRESIDENT?

http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601086&sid=aOGxtxQvN8q8

BRICS+G8:G20

http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601109&sid=aJ_NdOuJP9hQ

g20: SOBRE LA CRISIS

FMPor Sumeet Desai y Chris Buckley

PITTSBURGH (Reuters) - El Grupo de los 20 consideró el viernes que sus esfuerzos para combatir la crisis económica global resultaron exitosos y se comprometió a dar a potencias emergentes como China una mayor voz en el escenario internacional.

En el comunicado que cerró el encuentro de dos días en Pittsburgh, el G-20 prometió también mantener los planes de estímulo hasta que la recuperación de la economía global esté asegurada, además de haber lanzado un marco de trabajo para en conjunto rebalancear el crecimiento económico y para implementar reglas sobre la gestión de los bancos hacia el año 2012.

"Aquí in Pittsburgh, los líderes que representan dos tercios de la población del planeta han acordado un plan global sobre empleos, crecimiento y una recuperación económica sostenida. El G-20 es ahora el primer foro para nuestra cooperación económica internacional", declaró el primer ministro británico, Gordon Brown.

La primera cumbre de importancia de la que el presidente Barack Obama fue anfitrión terminó con un tono positivo, en medio de vítores de los líderes por haber evitado que la recesión global se convirtiera en una depresión.

"Funcionó", declararon los líderes en el comunicado. "Nuestra firme respuesta ayudó a detener el (...) declive en la actividad económica y estabilizar los mercados financieros", sostuvo el texto.

La cumbre de Pittsburgh fue la tercera en un año para el G-20, que denominó a esta instancia como el "foro principal para la cooperación económica internacional", desplazando el predominio de décadas del G-7 y el G-8, que según los diplomáticos ahora serán foros para discutir temas geopolíticos.

La decisión es un claro reconocimiento del rol clave que juegan ahora economías en desarrollo como China e India.

"No se puede hablar de economía global sin tener a las principales economías emergentes en la mesa", dijo John Lipsky, subdirector gerente del FMI, a Reuters Televisión.

AUN HAY TAREAS PENDIENTES

Pese al optimismo, los líderes recordaron que aún no terminaron su trabajo.

El G-20 prometió no volver al "comportamiento imprudente" de los años de bonanza que desencadenó la crisis hace dos años con la explosión de hipotecas riesgosas.

"Una sensación de normalidad no puede llevarnos a la complacencia", dijeron los líderes del G-20 en el comunicado. "Queremos crecimiento sin ciclos de explosión y luego de derrumbe, así como mercados que fomenten la responsabilidad, no la imprudencia", indicó el documento.

La sugerencia de que cualquier estrategia de salida de las políticas monetarias y fiscales expansivas aún está lejos provocó que el viernes el dólar cayera a un mínimo de siete meses y medio frente al yen.

Los líderes del G-20 acordaron también reformar el Fondo Monetario Internacional para darle más poder de voto a China y a otras grandes economías emergentes.

El G-20 acordó también controlar los excesos financieros que condujeron a la crisis de crédito dos años atrás.

El comunicado estableció que los miembros del grupo crearán normas más estrictas sobre la cantidad de capital que debe tener un banco para absorber las pérdidas para fines del 2010, las cuales serán implementadas gradualmente en los dos años siguientes.

El documento también abordó el polémico asunto de los esquemas de pago a los ejecutivos bancarios, acusados de alentar la toma de riesgo que provocó grandes pérdidas en las instituciones financieras y los consecuentes rescates con dinero público.

Los líderes acordaron además que los países ricos cedan parte de su poder de voto en el Fondo Monetario Internacional a favor de los países sub-representados como China, en otro reconocimiento del cambio en las relaciones de poder.

A cambio de darle a las economías emergentes más voz, el comunicado sugería que el G-20 obtuvo su compromiso para hacer su parte en el equilibrio de la economía mundial.

Esto implica que los países cargados de deudas como Estados Unidos aumenten sus ahorros y las potencias exportadoras, como China, incrementen su consumo.

La cumbre tuvo protestas que se han vuelto algo usual en tales encuentros, así como la acostumbrada fuerte seguridad.

Un pequeño avión voló sobre el espacio aéreo restringido en la ciudad de Pittsburgh el viernes y fue escoltado a un aeropuerto cercano por dos aviones de combate F-15, informaron funcionarios. Las autoridades investigarán el incidente.

(Reporte de equipo G-20 Reuters; Reporte adicional de Richard Leong en Nueva York; Escrito por Emily Kaiser

24 sept 2009

John Taylor estima el impacto del estímulo fiscal en EE.UU. en el PBI

diego isasi en macroperu

Link al articulo en : www.AtikaPeru.com

Ha habido mucho debate acerca de si el estimulo fiscal en EE.UU. seria efectivo. Cogan, Taylor y Wieland miden el impacto del estimulo seis meses después de aprobada la medida. La primera parte del paquete fiscal consistió en el pago de US$ 250 a ciudadanos elegibles que recibían seguridad social, ingresos suplementarios, beneficios de veteranos o beneficios de retiro del de transporte ferroviario (He traducido el nombre de los programas de asistencia). Reducción de retenciones de impuesto a la renta que generaron un crédito fiscal reembolsable de US$ 400 para personas y US$ 800 para familias con ingresos por debajo de ciertos umbrales. Los pagos empezaron en marzo.

Los autores presentan un grafico (entrar al link al artículo) que muestra que a pesar de que el estimulo fiscal aumentó el ingreso disponible de los estadounidenses, el consumo personal no se vio afectado. La razón es que el incremento en el ingreso disponible es solo temporal (una sola vez) y por lo tanto no afecta las decisiones de consumo de las personas que tienden a tratar de tener un consumo más estable. Este comportamiento es consistente con las teorías de "Ingresos permanentes" y la de "ciclos de vida" desarrolladas por Milton Friedman y Franco Modigliani hace 50 años. Este resultado no deberia sorprender ya que lo mismo sucedió con el paquete similar que implementara el Presidente Bush es el 2008.

Acerca del la parte del estímulo que consiste en mayor gasto de gobierno, el gobierno indica que esta medida ha logrado una menor reducción en el PBI en el segundo trimestre. La reducción en la caída del PBI de 6.4% a 1% representaría un beneficio del estimulo fiscal de 5.4%. El modelo análisis económico realizado por el gobierno estima un impacto de entre 2% y 3%, el modelos de los autores uno de menos de 1% y el del Economista Robert Barro 0%. Los autores indican que la parte del PBI que generó la mayor parte de la recuperación fue la inversión y esta se dio en plantas, maquinarias e inventarios. Es difícil encontrar que parte del estímulo fiscal podría haber afectado este tipo de inversión. De los US$ 787 mil millones del estímulo fiscal, solo US$ 4.5 mil millones fueron compras federales y US$ 17.7 compras al nivel estatal y local en el segundo trimestre. Por lo que la recuperación del segundo trimestre debe deberse a otros factores.

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    23 sept 2009

    FMI : les banques centrales n'ont pas vu les «signaux» de la crise

    A Panizzo (lefigaro.fr)
    22/09/2009 | Mise à jour : 19:14 |
    Le Fonds monétaire international s'est inquiété mardi des points de croissance perdus par l'économie mondiale et souhaite un élargissement des pouvoirs de surveillance des banques centrales au niveau macroéconomique.

    Dans son rapport intitulé « Perspectives de l'économie mondiale », le Fonds monétaire international dresse un tableau des principaux enseignements que l'on peut tirer des 88 crises bancaires de ces 40 dernières années. Dans un des chapitres de l'étude, l'institution s'inquiète de la croissance perdue par l'économie mondiale ces prochaines années à cause de la crise financière. «Les crises bancaires ont généralement des répercussions durables sur la production, même si la croissance finit par reprendre. Les baisses du taux d'emploi, de l'investissement et de la productivité sont autant de facteurs qui contribuent à prolonger les pertes de production». Le FMI note ainsi que pour un pays moyen, le niveau de production reste inférieur «d'environ 10 % au niveau antérieur à la crise sept ans après son déclenchement». L'organisation internationale avance comme raisons principales une baisse de la productivité dans un premier temps de la crise, puis un affaiblissement de l'investissement et du niveau d'emploi global. «L'activité réelle dans les économies développées a peu de chances de rebondir vers sa tendance d'avant-crise» poursuit le FMI, précisant cependant que les pertes de production ne sont pas inévitables et qu'elles sont moindres dans les pays disposant de mesures de relance à court terme.

    Plus de pouvoir pour les banques centrales

    Revenant sur certaines des causes de la crise actuelle, le FMI estime que la politique monétaire n'est pas directement responsable. «Dans quelques pays, elle (la politique monétaire) a été laxiste durant les années qui l'ont précédée, mais il est improbable qu'elle ait été la principale cause systématique des expansions et des récessions consécutives dans l'ensemble de l'économie mondiale» avance le FMI, qui estime que les différences entre les politiques monétaires nationales ne sont pas bien corrélées aux écarts entre la croissance des prix immobiliers et boursiers. Cependant, les responsables des politiques monétaires ne sont pas exempts de tout reproches car ils auraient pu détecter des «signaux d'alerte», les banques centrales ayant accepté sans broncher l'assouplissement des conditions de financement, créant le risque d'une grave récession. Afin que ces erreurs ne se reproduisent pas, le FMI prône pour l'instauration d'instruments «macroprudentiels» au sein des banques centrales, conçus «pour atténuer les cycles du marché du crédit».

    L'Asie, moteur de la reprise

    Arnaud Rodier
    22/09/2009 | Mise à jour : 20:38 |
    La Banque asiatique de développement révise à la hausse ses prévisions de croissance pour la région en 2009 et 2010.

    Ce n'est pas une surprise, mais la BAD (Banque asiatique de développement) le confirme : l'Asie est en passe de conduire la reprise de l'économie mondiale. Elle estime même que la région est «plus résistante qu'on ne le croyait» et a, ce mardi, révisé à la hausse ses prévisions du mois de mars dernier.

    À ses yeux, la croissance globale de l'Asie, hors Japon, sera de 3,9% cette année et de 6,4% l'an prochain. Elle sera tirée par la Chine (+ 8,2% en 2009 et + 8,9% en 2010) qui profitera de son plan de relance de 4 000 milliards de yuans (396 milliards d'euros), mais pas seulement. L'Inde (+ 6% et + 7% respectivement) et l'Indonésie (+ 4,3% et + 5,4%) y participeront également.

    Car, souligne la banque, ce sont les grands pays encore en développement qui vont s'affirmer comme les véritables locomotives de la sortie de crise et non pas les plus petits qui sont les plus ouverts aux échanges internationaux.

    Ainsi Singapour, très dépendant du monde occidental, va-t-il plonger de 5% cette année avant de retrouver une croissance de 3,5% l'an prochain, de même que Hong­kong (- 4%, puis + 3%), Taïwan (- 4,9%, + 2,4%), la Thaïlande (- 3,2%, + 3%) et la Malaisie (- 3,1%, + 4,2%).

    Le cas de la Corée du Sud semble à part. Malgré un important programme de soutien à la consommation, ce pays restera dans le rouge en 2009 (- 2%) et devra attendre 2010 pour renouer avec la croissance (+4%).

    Intégration régionale

    Mais la BAD se veut encore prudente. «La reprise reste fragile et exposée à des risques importants», souligne son économiste en chef, Lee Jong-wha. Il ne faudrait surtout pas, insiste-t-il, que les gouvernements décident de «tirer à la hâte sur les tapis des soutiens budgétaires et monétaires».

    L'Asie tout entière, ajoute-t-il, a impérativement besoin de s'appuyer sur une demande intérieure beaucoup plus forte qu'elle n'est actuellement pour compenser sa dépendance vis-à-vis du poids de ses exportations. Pour y parvenir, la détermination des pouvoirs publics pour relancer la consommation sera primordiale.

    Mais il lui faudra aussi compter davantage sur une véritable intégration régionale. Elle a commencé à le faire en faisant tomber de nombreuses barrières tarifaires. Malheureusement la création d'un vrai marché commun, construit autour de l'Asean (Association de nations de l'Asie du Sud-Est), de la Chine, de la Corée du Sud et du Japon, n'avance qu'à la vitesse d'un escargot.

    EURO: 1.4796 DOLLAR

    L'optimisme affiché des cambistes sur la reprise économique dope toujours la monnaie unique européenne au détriment du dollar.

    L'euro retrouve ses niveaux du 23 septembre 2008. Vers 11h45, l'euro cote 1,4796 dollar, touchant en séance un plus haut d'un an face au billet vert à 1,48 dollar. Les investisseurs ont retrouvé le moral depuis les déclarations du président de la Fed, Ben Bernanke, il y a plus d'une semaine, sur le fait que la récession américaine entamée en décembre 2007 était terminée. La confiance revenant, ils sont ainsi plus enclins à prendre des risques et à se porter davantage sur des monnaies plus rémunératrices, telle que l'euro, ce qui explique la faiblesse du dollar.

    Ce mardi, débute la réunion du comité de politique de la Fed (FOMC). Le marché, qui s'attend à un statu quo concernant les taux directeurs, s'interroge notamment sur la politique de sortie de crise. Le communiqué qui rapporte les conclusions de la réunion doit être publié mercredi à 20h15. Il permettra aux investisseurs de se rendre compte des perspectives économiques de la Fed pour les prochains mois. Si la Reserve Fédérale continuait à rester optimiste, l'euro pourrait bien dépasser les 1,60 dollar dans quelques semaines. Toutefois, certains analystes estiment que l'inflation pourrait bientôt poindre son nez et amener la Fed à relever ses taux directeurs prochainement.

    NACIONES UNIDAS: OBAMA COOPERACION

    Obama apuesta por abrir "una nueva era de cooperación"

    El presidente de los EE.UU. se declara dispuesto a actuar "de modo valiente y colectivo" en los grandes desafíos internacionales | Ban Ki Mun pide unidad ante la pobreza, los conflictos como el de Afganistán y la gripe A

    23/09/2009| Actualizada a las 21:18h | Internacional

    Naciones Unidas. (Agencias).- El presidente de los EE.UU., Barack Obama, ha lanzado un llamamiento apremiante para abrir "una nueva era de cooperación" contra los desafíos internacionales y se declaró dispuesto a actuar "de modo valiente y colectivo". En términos similares se ha expresado el secretario general de la ONU, Ban Ki Mun, que ha pedido unidad a los líderes mundiales para afrontar los desafíos.
    Ban Ki Mun, durante el discurso de apertura de la 64 Asamblea General de Naciones Unidas
    Ban Ki Mun, durante el discurso de apertura de la 64 Asamblea General de Naciones Unidas / Ap / Richard Drew

    "Defenderé los intereses de mi país y de mi pueblo y no voy a pedir disculpas por ello, pero es mi firme creencia que en los tiempos que vivimos, más que nunca los intereses de nuestros países y nuestros pueblos son comunes". "Ha llegado el momento de adoptar una nueva era de acercamiento basado en los intereses mutuos y el respeto mutuo, y esta tarea debe comenzar ya", sostuvo, al tiempo que criticó duramente que la ONU se haya convertido "a menudo en un foro para sembrar la discordia en vez de buscar puntos de acuerdo".

    El presidente estadounidense expresó la voluntad de su país de recuperar el multilateralismo y enumeró una serie de medidas ya adoptadas para ello, entre ellas la colaboración con el G20 para hacer frente a la crisis económica mundial o la decisión de cerrar la prisión de Guantánamo. "Ha llegado el momento de que todos nosotros adoptemos la parte de responsabilidad que nos toca para una respuesta global a desafíos globales", declaró. "Si somos honestos con nosotros mismos, debemos admitir que no estamos asumiendo esta responsabilidad", añadió al enumerar problemas como el terrorismo, los conflictos de larga duración, el genocidio o la proliferación nuclear como ejemplos de la necesidad de hacer más.

    La cooperación, a juicio de Obama, debe tener cuatro pilares: la no proliferación, la promoción de la paz y la seguridad, la preservación del planeta y una economía global que dé oportunidades a todos. "Debemos detener la expansión de las armas nucleares y buscar la meta de un mundo sin ellas", afirmó.

    En este sentido, lanzó una advertencia a los regímenes de Irán y Corea del Norte de que si continúan adelante con sus programas nucleares "tendrán que rendir cuentas". También advirtió que "no permitiremos refugios para que Al Qaeda lance ataques desde Afganistán o cualquier otra nación" y expresó su compromiso a buscar una paz duradera en Sudán.

    EE.UU. no reconoce la legitimidad de los asentamientos israelíes
    El presidente de EE.UU aseguró además que EE.UU. no reconoce la legitimidad de los asentamientos israelíes, en el primer discurso de su mandato ante la Asamblea General de la ONU.

    Obama, que se reunió el martes al margen de la Asamblea con el primer ministro israelí, Benjamín Netanyahu, y el presidente palestino, Mahmud Abas, sin lograr un acuerdo para el restablecimiento de las negociaciones, indicó que para lograr la paz "aún es necesario hacer más". Los palestinos deben "poner fin a la incitación contra Israel", declaró el presidente estadounidense.

    Por otro lado, EE.UU. "sigue subrayando que EE.UU. no acepta la legitimidad de los asentamientos israelíes", resaltó. En una reiteración de sus declaraciones tras la trilateral del martes, Obama insistió que "ha llegado el momento de relanzar las negociaciones, sin condiciones previas, sobre los asuntos del estatus final: la seguridad para israelíes y palestinos, las fronteras, los refugiados y Jerusalén".

    La meta debe ser dos Estados que convivan en paz: un Israel seguro y un Estado palestino "viable e independiente, con territorio contiguo que ponga fin a la ocupación comenzada en 1967 y permita a los palestinos alcanzar su potencial".

    EE.UU. también buscará, subrayó el mandatario, la paz entre Israel y Líbano, Israel y Siria y "una paz más amplia" entre Israel y sus vecinos. Obama admitió que lograr este objetivo "no será fácil" pero "debemos decidir si somos serios acerca de la paz o sólo hablamos de la boca para afuera".

    Las partes deben estar dispuestas a declarar en público lo que reconocerían en privado, sostuvo. Así, EE.UU. "no le hace ningún favor a Israel cuando dejamos de vincular nuestro compromiso inquebrantable con su seguridad a la insistencia de que Israel respete los derechos y reclamaciones legítimos de los palestinos". Por otro lado, otros países "no hacen ningún favor a los palestinos cuando optan por ataques venenosos en vez de una voluntad constructiva de reconocer la legitimidad de Israel y su derecho a existir en paz y seguridad", declaró.

    La solución al conflicto de Oriente Medio "concierne al derecho de cada ser humano de vivir con dignidad y seguridad" y por ello, prometió, "no flaquearé en mi búsqueda de la paz".

    Tras la trilateral del martes, el presidente estadounidense ha instruido a su enviado especial a la zona, George Mitchell, para que se reúna en Washington con representantes de ambas partes y continúe las negociaciones para restablecer el proceso de paz.

    El plazo es hasta mediados de octubre, cuando la secretaria de Estado, Hillary Clinton, deberá informar sobre los progresos obtenidos. La afirmación de Obama sobre los asentamientos israelíes se produce después de que en esa reunión el presidente estadounidense dejara de exigir, como había hecho en los últimos meses, la "congelación" y se refiriera a la necesidad de "refrenar" esas actividades. Las autoridades palestinas exigen que Israel congele los asentamientos antes de poder proceder a las negociaciones de paz, mientras que Netanyahu considera que el destino de esos emplazamientos debe decidirse en las conversaciones.

    Ban Ki Mun pide unidad contra la pobreza y el cambio climático
    Ban Ki Mun, por su parte, pidió unidad para afrontar retos como la pobreza, la pandemia de gripe A o el cambio climático, y conflictos como los de Somalia, Afganistán Birmania o Gaza. "Si alguna vez ha habido un momento para renovar el espíritu del multilateralismo y crear una ONU de auténtica acción colectiva, es ahora (...). La gente espera una respuesta de nuestra parte", aseguró Ban, en la apertura de los debates de la 64 Asamblea General de Naciones Unidas.

    El responsable de la ONU, ahora en la mitad de su mandato de cinco años, aseguró que todos los países tienen que estar "unidos en los propósitos y en la acción". Abordó también el problema de la pobreza que, debido a la recesión económica ha hecho que desde este año haya 100 millones más de pobres, por lo que consideró que "en vez de brotes verdes de recuperación, lo que hay son banderas rojas de peligro".

    El secretario general de la ONU señaló que aunque los mercados empiezan a mostrar signos de recuperación, no ocurre lo mismo con el nivel de ingresos y los puestos de trabajo, y por ello dijo que "la gente está enfadada y que la economía global está en su contra". Ban, además, avanzó que en esta misma fecha de septiembre de 2010, convocará una cumbre especial sobre los Objetivos de Desarrollo del Milenio (ODM), cuando solo queden cinco años para alcanzar, sin un previsible éxito, la fecha fijada para reducir la pobreza del mundo a la mitad.

    Se refirió también a la situación de las mujeres y los niños en el mundo y señaló que mientras en los últimos 20 años el índice de mortalidad infantil bajó el 28%, no ha habido progresos similares en cuanto a salud materna y mortalidad. También propuso que la prevención de la violencia sexual contra las mujeres se convierta en una de las prioridades de la comunidad internacional. "La ONU no puede mirar hacia otro lado cuando una mujer muere en el parto o son violadas como arma de guerra, sin tener a donde ir", afirmó Ban, que señaló que esa preocupación le llevó a reunir a todos los organismos de la ONU que tratan sobre los problemas de las mujeres bajo una misma agencia.

    USA: FED 0 a 0.25%

    La Reserva Federal mantendrá los tipos cercanos a cero "un largo tiempo"

    El Comité Federal de Mercado Abierto de EE.UU. prolongó la decisión que ya había tomado en el mes de agosto | La decisión del organismo resultó la que ya esperaban los mercados

    Nueva York. (EUROPA PRESS) El Comité Federal de Mercado Abierto (FOMC) de la Reserva Federal de EE.UU. (Fed) decidió hoy mantener los tipos de interés en un rango objetivo de entre el 0% y el 0,25%, tal como ya decidió en su pasada reunión del mes de agosto y tal como esperaban los mercados.

    La institución ha mantenido los tipos en los últimos meses en este nivel para dar aire a una economía perjudicada por la crisis y ante la estabilidad de las perspectivas de inflación. En un comunicado, el organismo dirigido por Ben Bernanke subrayó su intención de mantener las tasas en niveles bajos "por un periodo prolongado". Asimismo, la Fed estimó que la actividad económica de EE.UU. se recuperó "tras una severa desaceleración", pero que se mantendrá "débil" por un tiempo.

    "La información recibida desde el encuentro del Comité Federal de Mercado abierto de agosto sugiere que la actividad económica se ha recuperado tras una severa desaceleración. Las condiciones en los mercados financieros han mejorado y la actividad en el sector de la vivienda se ha incrementado. El gasto familiar parece haberse estabilizado, pero sigue estando restringido por las pérdidas de empleo, el lento crecimiento de la renta, el valor más bajo de la vivienda y la escasez de crédito", añadió.

    Prolonga las compras de títulos hasta marzo
    Asimismo, la Fed anunció que prolongará su programa de compras de títulos hipotecarios, extendiendo su vida hasta finales del primer trimestre de 2009, aunque reducirá "gradualmente" el ritmo de estas compras de deuda con el fin de "promover una transición sin problemas en los mercados". Así, comprará un total de 1,25 billones de dólares en deuda respaldada por hipotecas y hasta 200.000 millones de dólares en deuda de agencias. La economía estadounidense ha mostrado una ligera mejoría en los últimos meses. De hecho, el PIB del segundo trimestre se contrajo un 1% en tasa trimestral anualizada, frente al retroceso del 6,4% del primer trimestre, según la segunda estimación hecha pública por la Administración estadounidense.

    En cuanto a la evolución de los precios, la inflación en EE.UU. aumentó cuatro décimas en agosto en términos mensuales y se situó en el -1,5% en términos interanuales, alejándose cada vez más los temores de deflación.

    ALEMANIA: DIE LINKE

    Todos contra la izquierda

    La descalificación y caricaturización del pujante partido de Lafontaine y Gysi oculta una temerosa patología alemana
    RAFAEL POCH | Berlín. Corresponsal | 23/09/2009 | Actualizada a las 02:15h | Internacional

    En la Europa de hoy hay una línea de marginalidad que comienza a la izquierda de la socialdemocracia. Más allá de ella, están los soñadores y perdedores. Eso no es así en Alemania, donde hay una anomalía europea llamada "Die Linke", que en el actual panorama continental recuerda al poblado de Asterix. Se trata del Partido de la Izquierda de Oskar Lafontaine y Gregor Gysi, una alianza de disidentes socialdemócratas del Oeste y ex comunistas del Este, que no deja de crecer desde su fundación hace dos años.
    Los puntos en el mapa indican los lugares donde hay presencia institucional del Partido de la Izquierda Un sarpullido que crece
    Los puntos en el mapa indican los lugares donde hay presencia institucional del Partido de la Izquierda Un sarpullido que crece / Die Linke

    Primero se hizo fuerte en las cinco regiones de la antigua Alemania comunista, y se explicó como un "club de nostálgicos" del "comunismo" con el reloj parado. En los dos últimos años ha ido ganando posiciones en el oeste. En el Sarre (21%) es la tercera fuerza, en Turingia (27%) la segunda, gobierna en Berlín con los socialdemócratas, cuyo líder, el alcalde gay Klaus Wowereit, es una estrella en alza del SPD, está presente en 11 de las 16 regiones del país, y tiene vocación de gobierno: su líder, Lafontaine, es un ex Ministro de Hacienda, con veinte años de experiencia de gobierno, que fue candidato a Canciller. En Turingia, donde se ha acabado con veinte años de gobierno conservador, el jefe de lista del partido, Bodo Ramelow, ha propuesto ceder la jefatura del gobierno regional a una candidata verde mucho menos votada que él, para hacer posible un tripartito de izquierdas con verdes y SPD. Todo esto ya no se puede explicar con simplezas.

    Como toda la izquierda europea, Die Linke es mas fuerte en la crítica, en la negación, que en la propuesta positiva, pero a diferencia de sus parientes, electoralmente pobres de Europa, defiende un programa bastante coherente que sintoniza con los enfados que la crisis comienza a sembrar en el continente. Tras sus eslóganes electorales "Fuera de Afganistán", "Gravar la riqueza", "Más para educación, menos para bancos", "Justicia social", etc., el partido conjuga, esencialmente, recortes de impuestos a los trabajadores y las pequeñas y medianas empresas, con fuertes subidas de impuestos a los pudientes, a las transacciones bursátiles, incrementos para las herencias y subida de los tipos impositivos a las rentas más altas y a las grandes compañías. De esta forma, dice, se avanza hacia una sociedad mas justa y se llenan las arcas públicas que sostendrían una política de tendencia niveladora.

    Este programa es calificado por doquier de "populista", "incompetente" e "irreal". Las conversaciones con diplomáticos, expertos y periodistas en Berlín, suelen dar por supuesta la falta de "seriedad" del partido de la Izquierda. Die Linke es, además, la única de las cinco fuerzas políticas que se declara en contra de la guerra de Afganistán, que tanto desagrada a tres de cada cuatro alemanes. Solo ella recuerda la paradoja que para la soberanía popular supone, que las fuerzas políticas que concentran el 90% de la intención de voto ignoren la voluntad antibélica del 60% o 70% de los alemanes. Pero en la actual campaña, la Izquierda, lejos de explotar esa paradoja ha tendido a moderarla, tendiendo puentes hacia las otras fuerzas políticas que, ante la evidencia del desastre afgano, comienzan a barajar "estrategias de salida".

    No hay en Die Linke un estilo "radical", que a los alemanes desagrada. Ninguna de las dos fuentes de las que se nutre el partido, la socialdemocracia del oeste y el partido de Estado de la Alemania comunista -un partido conservador, como todo partido único-, eran radicales, sino profundamente institucionales. El diagnóstico de la clase política y de los medios de comunicación es demasiado unánime y superficial como para no evidenciar una patología de miedo hacia una nueva realidad en ascenso que se comprende mal, que reniega de la Unión Europea neoliberal y que afirma que Alemania debe "aprender francés" en lo sindical, es decir radicalizarse un poco.

    En la prensa alemana, es muy difícil encontrar artículos neutros sobre Die Linke. Abundan las seudo revelaciones sobre turbios pasados en la Alemania comunista, las denuncias de "antisemitismo", por criticar el cheque en blanco a Israel que suscribe la mala conciencia nacional por el Holocausto, y las noticias sobre divisiones internas.

    En junio, cuando celebró su congreso la prensa daba por segura una escisión que no se produjo, lo que hizo que el congreso dejara de ser noticiable. En vísperas de las elecciones, se leen nuevas "revelaciones" contra Gregor Gysi en "Der Spiegel", y el "Süddeutsche Zeitung" publica las de su colaborador infiltrado, ridiculizando el partido.

    Los 53 diputados de la Izquierda en el Bundestag son los únicos que merecen el privilegio, oficialmente reconocido, de ser "vigilados" (teléfonos, ordenadores, correo, seguimientos) por los servicios secretos, como si fueran unos delincuentes, una situación que humilla al parlamentarismo, recuerda las peores tendencias estatistas alemanas y que no ha suscitado el menor escándalo en la prensa liberal. Está claro que la anomalía europea de Die Linke, suscita miedo en el "establishment" alemán.

    UE: CHOMAGE

    SUR
    http://democratieetavenir.over-blog.com/article-36441114.html

    VENEZUELA-FRANCE: PETROLEO

    "Venezuela y Total: acuerdo por petróleo" : http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/09/090923_1400_venezuela_total_orinoco_alf.shtml?s

    "¿Podrá China salvar al mundo?" :

    http://www.bbc.co.uk/mundo/economia/2009/09/090916_esp_crisis_financiera_china_mes.shtml?s

    camino a Copenhague:

    http://www.bbc.co.uk/mundo/ciencia_tecnologia/2009/09/090922_1721_cambio_lp.shtml?s

    Donde esta la crisis? A la vuelta de la esquina?



    Hola Luis,

    Tu pregunta es ambigua. ¿Puedes formularla de una forma mas precisa? En el artìculo de Juergengen se dicen muchas cosas y no todas son afirmaciones.

    Bruno

    --- In MacroPeru@yahoogroups.com, Luis Destefano-Beltran <LuisDestefano@...> wrote:
    >
    > Estimados:
    > Que tanto de este OpEd es cierto? Estamos tan cerca de un crack?
    >
    > Saludos
    >
    > ¿Dónde está la crisis?Mar, 22/09/2009 - 21:13Jurgen Schuldt
    >
    > *Economista , Universidad del Pacífico*
    >
    > Observando las deprimentes cifras macroeconómicas, uno diría que nos
    > encontramos en una situación desastrosa a nivel microeconómico. Sin embargo,
    > muchos se preguntan cómo así las familias de casi todos los estratos
    > socioeconómicos siguen comprando a un buen ritmo, si bien a manos no tan
    > llenas como el año pasado. Parecería existir, por tanto, una incongruencia
    > entre la desaceleración económica y el aparente bienestar relativo de la
    > población.
    >
    > En efecto, la demanda interna ha caído en 5.6%, comparando el segundo
    > trimestre de este año respecto al mismo del anterior, en gran parte por el
    > descenso de la inversión en 20,8% y del gasto público y otros menores en
    > 18,2%. En el segundo trimestre respecto al primero de este año, la inversión
    > siguió cayendo (-10%), pero fue compensada en términos absolutos por el
    > aumento del gasto público (32%). Las calamitosas cifras de producción
    > sectorial asustan y son de dominio público, especialmente el derrumbe de la
    > producción manufacturera en 12,5%.
    >
    > ¿Dónde está el secreto de la curiosa bonanza relativa? Evidentemente en la
    > expansión del Consumo Privado real, que representa el 71% de la demanda
    > interna. Ese gasto familiar aumentó apenas en 1,9% en ese periodo, pero se
    > expandió a una sorprendente tasa del 10,1% en el segundo trimestre vis a vis
    > el primero de este año. Curiosamente, sin embargo, resulta que los ingresos
    > no han aumentado y el empleo urbano a nivel nacional ha caído en 2,9%,
    > comparando el primer semestre de este año (promedio del índice: 134,7) con
    > el segundo del año pasado (138,7), considerando únicamente el que se refiere
    > a empresas con diez o más trabajadores.
    >
    > De manera que no queda sino explicar ese incremento del consumo familiar
    > como consecuencia del crédito que el sistema financiero les ha otorgado a
    > las familias y a las microempresas: aumentó en 35%, comparando los primeros
    > siete meses de este año con similar periodo del año anterior. El crédito
    > para consumo se expandió en 14%, para vivienda en 40% y para microempresas
    > en 30%. Con lo que las deudas acumuladas de las familias han aumentado a
    > ritmos que hacen pensar que la insolvencia podría estar a la vuelta de la
    > esquina. Es cierto que aún la tasa de morosidad es baja, pero ha aumentado
    > en 39% (de 1,19 a 1,65) en los últimos doce meses, lo que ya es una primera
    > señal preocupante.
    >
    > Como en EEUU hasta hace poco, estamos flotando sobre una pareja de burbujas,
    > resultado del estímulo espurio proveniente del sector financiero, que –si
    > bien se está desacelerando– resulta peligroso porque en cualquier momento
    > puede colapsar. La acumulación de las deudas y la sobreinversión en
    > viviendas están a la vista. Bastará una pequeña chispa, digamos la quiebra
    > de algunas empresas textiles o agroindustriales exportadoras, que enfrentan
    > graves problemas de demanda y que sufren a consecuencia de una tremenda
    > sobrevaluación del sol respecto al dólar, el que se ha revaluado
    > nominalmente en más del 11% desde marzo (cayendo de 3,259 a 2,894).
    >
    > Ciertamente la vejiga aún tardará en desinflarse, lo que sucederá a más
    > tardar cuando El Niño juguetón la pinche. Las injustificadas expectativas
    > tan optimistas que mantienen a flote nuestro bote en estos momentos y la
    > expansión del crédito pueden voltearse con la menor ventisca. Guerra avisada
    > no mata gente.
    >
    >
    > --

    ENTREVISTAS TV CRISIS GLOBAL

    NR.: Director, no presidente ---------------------------------------------- Bruno Seminario 1 ------------------------- Bruno Seminario 2 -------------------- FELIX JIMENEZ 1 FELIZ JIMENEZ 2 FELIX JIMENEZ 3, 28 MAYO OSCAR DANCOURT,ex presidente BCR ------------------- Waldo Mendoza, Decano PUCP economia ---------------------- Ingeniero Rafael Vasquez, parlamentario 24 set recordando la crisis, ver entrevista en diario

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